(Le Nouveau Gabon) - Malgré le décès survenu en Suisse, le 27 août 2018, de Guido Santullo, Pdg du groupe éponyme, le contentieux opposant les deux parties se poursuit en France, au Tribunal arbitral de Paris.
L’Etat gabonais, apprend-on dans la presse locale, dont la défense est assurée par le cabinet CGA et Linkater, accuse l’homme d’affaires franco-italien, de corruption d’agents publics pour l’obtention illégale de marchés publics, d’escroquerie en bande organisée et de blanchiment d’argent.
Pour sa part, le groupe Sericom réclame 400 milliards Fcfa à l’Etat, au titre des prestations réalisées concernant la réalisation de plusieurs infrastructures routières restées impayées. Ce montant représente une partie du reste à payer et les intérêts générés par le principal.
PcA