Entre le 1er et le 12 octobre de cette année, l’Autorité de régulation des transports ferroviaires (ARTF), a noté de nombreux dysfonctionnements ayant entraîné l’inconfort des voyageurs sur le Transgabonais.
L’inconfort mis à l’index ici par le secrétaire exécutif de l’ARTF, Léandre Anoue Kiki, procède davantage de la dégradation de la voie ferrée.
Ce qui, depuis deux ans, a conduit le gouvernement à « lancer le programme de remise à niveau de la voie ferrée afin de traiter les zones instables, l’acquisition de nouvelles rames, la mise en place d’un nouveau système d’exploitation ».
Pour ce qui concerne le confort des passagers, Léandre Kiki indique à la presse qu’il avait été question, suite aux séances de travail conjointes ARTF et Setrag, de « poster des contrôleurs ARTF dans les différentes gares et à bord des trains voyageurs afin de relayer en temps réel les dysfonctionnements constatés, de recueillir les plaintes des usagers, de vérifier l’effectivité de la qualité de service à bord, notamment : les sanitaires, l’eau potable, l’électricité, la climatisation, la sécurité ».
Mais, selon la presse locale, force est de constater qu’après ces rappels à l’ordre, le confort des voyageurs préoccupe peu. Ce qui a conduit à la sortie du 19 octobre dernier, à Libreville.
PcA