Le Nouveau Gabon

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Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, s’est entretenu, ce 19 janvier 2023 au Palais de la présidence, avec la présidente-directrice générale du groupe Eramet (qui gère le chemin de fer gabonais), Christel Bories. Les échanges ont tourné entre autres sur la reprise du trafic ferroviaire sur le Transgabonais endommagé depuis le 24 décembre par un éboulement de terrain entre les gares d’Offoué et de Booué.

« Nous avons parlé de l’actualité avec Setrag (Société d’exploitation du Transgabonais). L’éboulement qui a eu lieu sur la voie le 24 décembre qui maintenant est en voie de résorption puisque les premiers trains ont pu passer hier sous forme de test et le fret va pouvoir recommencer progressivement », a déclaré Christel Bories à sa sortie d’audience.

Selon le PDG, « il est absolument important que nous continuions ensemble les travaux de rénovation qui sont prévus sur cette voie. Des progrès énormes ont été faits, mais on sait que de plus en plus d’acteurs économiques gabonais ont besoin du chemin de fer et qu’il faut faire des efforts supplémentaires pour continuer à le développer », a-t-elle indiqué.

La vie devrait donc bientôt revenir à la normale dans les provinces du Haut-Ogooué et de l’Ogooué-Lolo très impactées par la suspension du trafic ferroviaire. Les populations de ces deux localités avaient du mal à s’approvisionner en produits alimentaires et en médicament. Les autorités gabonaises ont mis en place un plan d’urgence et un pont aérien a été établi pour éviter la pénurie des vivres dans ces deux localités. Cela a permis d’acheminer 35 tonnes de vivres frais et secs et 35 tonnes de médicaments pour soulager les populations.

BG

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La Société de garantie du Gabon (SGG) et la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Gabon (Bicig) ont signé ce 19 janvier 2023, une convention de garantie de portefeuille dans le but de faciliter le financement des PME.

Dans cet accord, la SGG met à la disposition de la Bicig, un montant de 2,5 milliards de FCFA, dans l’optique de partager son risque de contrepartie lorsque la banque accorde un crédit aux entreprises. « En effet, la convention permettra de garantir à hauteur de 50% les crédits qui seront consentis aux PME/PMI y compris les start-ups. Aussi, un accent particulier sera mis sur les initiatives portées par les femmes et celles dont les activités vont dans le sens de la réduction de l’empreinte carbone, à travers un rehaussement du taux de couverture à 75% », indique la SGG.

Aussi, cette enveloppe financière est mise à la disposition de la Bicig dans le but de bénéficier d’une pondération avantageuse sur la partie du financement couvert par la garantie, et d’accroitre le volume crédits accordés aux PME/PMI, apprend-on. Cette garantie permet donc selon le directeur général de la Bicig, Bene Sammarie, de renforcer le dispositif d’accompagnement des acteurs locaux. Et de ce fait de sécuriser et accélérer le développement économique du Gabon. Ce, dans un contexte où les PME peinent à accéder aux crédits bancaires.

« Ce partenariat majeur avec la Bicig s’inscrit dans une perspective de mieux répondre aux besoins de financement des entreprises et représente la première pierre de l’édifice que nous souhaitons bâtir pour renforcer l’économie gabonaise. L’objectif étant de garantir cette association avec tous les établissements de crédit pour faciliter l’accès des PMES au financement », a indiqué Alban Etho, directeur général de la SGG.

Ce partenariat avec la Bicig est le tout premier signé avec une banque depuis le lancement de la SGG le 14 novembre 2022. En effet, la SGG est une société dédiée à la garantie bancaire, portée par Okoumé Capital (filiale du Fonds gabonais d’investissements stratégiques-FGIS) et dotée d’un capital entièrement libéré de 12 milliards de FCFA. Elle a pour objectif principal de proposer aux institutions financières locales un dispositif de partage de risque, à travers des solutions de garanties partielles de prêt aux PME, sous forme de garanties de portefeuille et de garanties individuelles.

SG

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Le Gabon va abriter la conférence sous-régionale sur la promotion du genre en mars-avril 2023. C’est ce qui ressort d’un entretien entre le ministre de la Justice, Erlyne Antonela Ndembet Damas, le Commissaire de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC) en charge du département de la Promotion du Genre, du développement humain et social, Yvette Kapinga Ngandu.

Cette conférence, apprend-on, verra la présence des ministres en charge du genre, des Premières dames issues des États de la CEEAC. Le ministre gabonais de la Justice aura la responsabilité d’animer le pan « genre » au niveau de la sous-région, a précisé la Commissaire. Pour la CEEAC et le Gabon, apprend-on, l’objectif est de bâtir un agenda communautaire autour des problématiques ayant trait au genre. Mais également, de soulever les problèmes sensibles auxquels les femmes et les jeunes filles font face dans la sous-région, a précisé le Commissaire.

Le Gabon est considéré comme un leader en matière du respect d’égalité genre en Afrique. La stratégie du pays, apprend-on, repose sur la mise en œuvre de 33 recommandations dans six domaines d’actions prioritaires que sont les violences faites aux femmes, l’éducation, la santé, le droit de la famille, la participation à la vie économique et l’émancipation politique. Le pays dispose désormais d’un centre d’accueil pour la prise en charge des personnes victimes de violences et un observatoire du droit des femmes a également été mis en place par les autorités.

Cependant, le pays accuse encore du retard au plan de la représentation des femmes en politique. Car, selon les statistiques de la Banque mondiale, la proportion de sièges occupés par des femmes au parlement gabonais est actuellement de 16,2 %, en deçà des 30 % requis. Mais le pays essaie d’améliorer la situation. En effet, à la suite des élections sénatoriales des 30 janvier et 6 février 2021, et comme le prévoit la constitution, le président Ali Bongo Ondimba, a procédé à la nomination de 15 sénateurs et leurs suppléants dans les neuf provinces du Gabon. Sur les 15 sénateurs nommés, sept titulaires sont des femmes. Parmi leurs suppléants, on compte en plus cinq dames.

S.A.

Lancée en octobre dernier à l’occasion de la première édition du UK-Francophone West and Central Africa Trade and Investment Forum tenu à Londres, la plateforme Gabon Virtual Deal Room (Gabon VDR) est déjà opérationnelle avec la promotion de ses premières opportunités d’affaires, indique un communiqué du ministère de la Promotion des investissements.

Fruit d’un partenariat public privé entre le ministère de la Promotion des investissements et la société britannique Asoko Insight, Gabon VDR est une plateforme digitale destinée à promouvoir des projets d’investissements des secteurs public et privé au Gabon. « Cette initiative innovante va permettre de donner une plus grande visibilité à l’international au portefeuille de projets détenus par l’Agence nationale de promotion des investissements (ANPI) et d’accroitre les flux d’investissements directs étrangers dans les secteurs hors pétrole », a déclaré le ministre de la Promotion des investissements, Hugues Mbadinga Madiya.

Selon le membre du gouvernement, la mise en place de cet outil « dynamique » donne la possibilité d’élargir le portefeuille d’investisseurs afin d’accélérer le processus de financement des projets prioritaires. « Il permettra à terme de positionner notre pays comme une destination privilégiée des investisseurs en Afrique centrale », a précisé Hugue Mbadinga Madiya.  

Le fonctionnement de cette plateforme, apprend-on, s’appuie sur la technologie éprouvée d’Asoko Insight et de son expertise approfondie des données sur l’investissement en Afrique. Il consiste à connecter les projets prioritaires du Gabon à sa base de données de plus 600 investisseurs axés sur l’Afrique (institutions de développement, multinationales à la recherche d’opportunités de fusion-acquisition, fonds de « venture capital »…). Ainsi, les investisseurs enregistrés ayant manifesté un intérêt sont mis en relation avec l’ANPI-Gabon pour engager des discussions. La société Asoko Insight assure le suivi des échanges entre les deux parties jusqu’au « closing financer ».

Aussi, dans sa première version en ligne, Gabon VDR est une « landing page » (une page isolée d’un site internet) offrant aux investisseurs l’opportunité de découvrir et de sélectionner les projets prioritaires du Plan d’accélération de transformation (PAT). Dans les prochaines semaines, les projets d’investissements du secteur privé sont attendus sur la plateforme. La seconde version se présentera sous la forme d’un portail personnalisé dédié à l’investissement. Pour rappel, Asoko Insight est une plateforme de données d’entreprise et d’engagement en Afrique.

Brice Gotoa

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Le ministre de la Justice, Erlyne Antonela Ndembet Damas, a reçu, le 17 janvier à Libreville, le bureau du Syndicat national des Magistrats du Gabon (Synamag) conduit par son président, Germain Ella Nguéma.

Malgré les annonces faites à cette occasion, le président du Synamag a déclaré que l’heure n’est pas à la convocation d’une assemblée générale pour lever la grève. Il a indiqué que les syndicalistes vont lever leur mouvement de grève lorsque les véhicules de service seront mis à leur disposition et que les textes portant statut du magistrat auront connu une avancée substantielle au niveau du Parlement. 

« Avec le président du Synamag, Germain Nguéma Ella, un point des revendications au centre du mouvement de grève a été fait. Au nombre de ceux-ci, on compte le texte relatif à la carrière du magistrat et les dotations en véhicules de service qui ont connu une avancée significative. En ce qui concerne les automobiles, madame le ministre a informé ses interlocuteurs de ce que la procédure d’achat auprès des concessionnaires retenus par la direction générale des marchés publics est arrivée à terme et que le secrétaire général du ministère et l’inspecteur général des services judiciaires disposent des deux premières dotations du lot », apprend-on.

Pour ce qui concerne la carrière des magistrats, le membre du gouvernement a indiqué que le texte y relatif a été présenté en conseil interministériel du 13 janvier 2023, après examen par le secrétariat général du gouvernement. Il devrait faire la navette entre le Conseil d’État, le conseil des ministres, le parlement avant promulgation par le président de la République.

Le Synamag est en grève depuis le 15 décembre 2022 dans l’ensemble des juridictions du pays. Il revendique un meilleur statut pour les magistrats.

S.A.

Au cours d’une audience le 18 janvier dernier avec la représentante résidente de la Banque mondiale au Gabon, Aissatou Diallo, le ministre de la Promotion des investissements, Hugues Mbadinga Madiya, a sollicité l’assistance technique et financière de l’institution pour la mise en place d’un marché hypothécaire au Gabon.

Ce marché devrait être mis en place à travers la SFI (Société financière internationale), l’institution du groupe de la Banque mondiale chargée des opérations avec le secteur privé. Il « permettra l’accessibilité des logements (…) à grande échelle pour les populations à revenus moyens et faibles conformément à la volonté du président de la République », a indiqué le ministère de la Promotion des investissements.

Le marché hypothécaire est « la valeur de l’ensemble des biens immobiliers mis en garantie dans le cadre des crédits bancaires. Par exemple, si un propriétaire d’un bien immeuble bâti, évalué à la suite d’un rapport d’expertise à un milliard de FCFA, sollicite en échange de son bien un crédit bancaire de 400 millions de FCFA, son bien d’un milliard de FCFA sera inscrit sur le marché hypothécaire par la banque. Car, c’est l’ensemble des biens hypothécaires auprès des banques et institutions financières qui constituent le marché hypothécaire et qui déterminent la capacité de refinancement des banques par la Banque centrale et autres institutions », explique Alban Clovis Fogang, expert financier.

Au cours de la 6e édition de la Conférence internationale du forum des Caisses de dépôt qui s’est tenue à Libreville le 27 octobre 2021, Christophe Eyi qui était alors directeur général adjoint de la CDC Gabon, avait déjà proposé ce type de solution pour permettre aux Gabonais d’avoir accès à un logement.

Ces propositions sont faites dans le but de résorber le déficit en termes de logements au Gabon. D’après des statistiques communiquées par les services du Plan d’accélération de la transformation (PAT), le Gabon accuse depuis 2015, un déficit de 225 000 logements, dont 53 % sont concentrés dans la province de l’Estuaire.

Sandrine Gaingne

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A l’issue de son conseil d’administration tenu le 13 janvier dernier, la Société gabonaise d’entreposage de produits pétroliers (SGEPP) annonce avoir réalisé, au cours de l’année 2022, un bénéfice net après impôts d’un milliard de FCFA contre un peu plus de 700 millions l’année précédente, soit une hausse de 7%.

Ce qui fait de l’exercice 2022 « un bon cru pour l’unique opérateur national stratégique en matière de stockage et de distribution de pétrole, de gaz, d’essence et de gasoil », précise l’entreprise. Ces résultats valident également « la bonne santé croissante de l’entreprise », ajoute la SGEPP.

Des résultats enregistrés en raison notamment des investissements effectués au cours de l’année pour améliorer le stockage et la distribution des produits pétroliers au Gabon. Il s’agit par exemple de la mise en place de l’application AJEX qui permet d’accélérer l’approvisionnement des camions en carburant dans le but d’autonomiser la gestion et l’exploitation de ses dépôts.

Pour l’année 2023, la SGEPP prévoit de continuer dans la même lancée en mettant un « accent particulier sur l’investissement », indique le président du conseil d’administration de la SGEPP, Ambroise Germain Banas. Ainsi, les projets qui n’ont pas été exécutés en 2022 ont été reportés en 2023. À côté de ces projets, l’entreprise prévoit de construire une défense contre l’incendie des dépôts de Moanda et de mettre en conformité la défense contre l’incendie des dépôts d’Owendo de gaz de pétrole liquéfié (GPL et produits blancs).

Créée le 19 mai 1967 sous l’appellation « SGE » (Société gabonaise d’entreposage), la SGEPP dispose aujourd’hui de trois dépôts principaux et d’un dépôt relais à Owendo et Moanda. Les produits pétroliers entreposés dans ces dépôts proviennent de la Société gabonaise de raffinerie (Sogara) et du marché international.

SG

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Les travaux de réhabilitation des 900 mètres de voie ferrée endommagés suite à l’éboulement de terrain le 24 décembre dernier entre les gares d’Offoué et Booué, tirent vers leur fin, a annoncé ce 18 janvier 2023, la Société d’exploitation du Transgabonais (Setrag), concessionnaire de cette ligne de chemin de fer reliant Owendo à Franceville.

Et en vue de la reprise, du trafic sur cette voie, « nous procédons actuellement aux tests de circulations avec des trains à vide sur la nouvelle partie de voie posée », soutient l’entreprise. Tout en précisant qu’une communication sera faite lors de la reprise qui interviendra avant la fin de ce mois de janvier comme l’avait affirmé il y a quelques jours la Setrag.

De quoi rassurer les Gabonais de plusieurs localités qui espèrent revoir le train circuler entre Libreville et Franceville. Car, l’interruption du trafic ferroviaire depuis le 24 décembre dernier, a provoqué l’inflation de plusieurs produits notamment dans les localités qui sont principalement impactées à savoir les provinces de l’Ogooué Lolo et du Haut Ogooué. La reprise du trafic permettra donc de soulager les populations de ces localités.

SG

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Le commerce des véhicules devrait connaître une tendance haussière au 1er trimestre 2023, selon le test prévisionnel de conjoncture que vient de publier la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC).

En effet, écrit la Banque centrale, « Ce secteur est tributaire des performances des opérateurs miniers et forestiers pour ce qui concerne les pièces détachées, l’octroi de nouveaux permis miniers et le démarrage du projet de fer de Belinga ainsi que la demande locale de matériel industriel permettraient à la branche d’afficher un rythme soutenu de croissance au premier trimestre 2023 ».

Ces nouvelles optimistes concernant la branche automobile au Gabon sont de nature à encourager les concessionnaires et les opérateurs du secteur qui sortent d’une période morose du fait de la pandémie du coronavirus. En effet, selon le ministère en charge de l’Économie, la crise sanitaire et économique causée par la Covid-19 a considérablement impacté le marché des véhicules au Gabon au cours des premiers mois de cette année-là.

Les chiffres communiqués par URAI (Union des représentants des automobiles industriels) révèlent en effet que les ventes de véhicules utilitaires neufs par l’URAI ont légèrement fléchi de 1,2 % à 1 359 unités au premier semestre 2020. À la même période l’année dernière, 1 375 véhicules neufs avaient été commercialisés. Le marché des véhicules industriels, lui, a également été touché. Selon la même source, le segment du commerce des véhicules industriels a enregistré une contraction de son chiffre d’affaires de 8,2 % à 13,3 milliards de FCFA contre 14,5 milliards FCFA de vente, de janvier à juin 2019.

S.A.

Selon les informations du ministère gabonais des Eaux et des Forêts, l’État compte octroyer 350 000 ha de forêts aux communautés villageoises sous forme de forêts communautaires en 2023.

Cette surface est largement supérieure aux 55 000 hectares octroyés aux communautés villageoises à en 2022. Ainsi, le ministère des Forêts explique que cette distribution dédiée aux populations villageoises rentre dans le cadre du développement des ressources forestières du Gabon qui passe également par la participation de la communauté villageoise dans la gestion durable des ressources des forêts.

La forêt communautaire, expliquent les officiels, est une portion de forêt sur laquelle l’État donne des droits d’utilisation à une communauté villageoise qui en fait la demande. Cette forêt, qui continue à appartenir à l’État, est gérée par la communauté villageoise concernée, avec l’assistance technique de l’administration des forêts. Cela permet aux communautés de mener des exploitations lucratives, mais sous le contrôle de l’État pour éviter des destructions et privilégier une exploitation durable.

Après 13 ans de suspension, le Gabon a relancé le processus d’attribution et de gestion des forêts communautaires en 2022. À cette occasion, Libreville a abrité en avril dernier la cérémonie de signature et de remise des conventions d’attribution et de gestion des forêts à 19 communautés sur les 28 dossiers retenus et jugés éligibles pour la signature des conventions. Ces 28 dossiers avaient été soumis à l’examen de la commission nationale d’affectation des terres qui, en sa session du 09 février 2022, a validé 19 dossiers pour les conventions de crédit et neuf dossiers pour les conventions provisoires.

S.A.

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