Le Nouveau Gabon

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Selon le rapport ITIE (Initiative pour la transparence dans les industries extractives) 2021 de l’État du Gabon, qui vient d’être rendu public, les revenus générés par le secteur extractif du pays se chiffrent à plus de 812,7 milliards de FCFA en 2021.

Un montant enregistré principalement grâce au secteur des hydrocarbures qui reste le premier contributeur des revenus provenant des industries extractives. En effet, au cours de la période sous revue, les hydrocarbures ont rapporté au pays plus de 735 milliards de FCFA en termes de revenus. Soit 90,4 % des revenus contre 9,5 % (77,7 milliards de FCFA) pour le secteur minier.

Ces revenus ont été collectés à 90 % par trois entreprises et administrations publiques principales. À savoir la Direction générale des hydrocarbures à hauteur de 45 %, la Gabon Oil Compagny pour 27 % et la Direction générale des impôts à hauteur de 16 %. Le reste de ces revenus issus des industries extractives ayant été collecté par la direction générale des Douanes et la direction générale des mines et de la géologie entre autres.

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Des résultats enregistrés dans un contexte où le Gabon essaie de trouver des solutions pour tirer un meilleur profit de son pétrole, du gaz et d’autres ressources naturelles et réussir ainsi sa transition énergétique et la diversification de son économie.

SG

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Le Conseil d’État a annulé ce 20 avril 2023 l’élection du bâtonnier, Raymond Obame Sima, a appris Le Nouveau Gabon.

L’élection en janvier dernier du bâtonnier Raymond Obame Sima était contestée par plusieurs de ses confrères qui estimaient qu’il ne remplissait pas toutes les conditions pour être éligible à cette fonction. Notamment le critère qui exige aux candidats à totaliser 10 ans révolus au grand tableau de l’Ordre des avocats du Gabon.

Pour ses contestataires à l’instar de Me Jean-Paul Moumbembé, avocat au Barreau du Gabon, la décision du Conseil d’État est une victoire. Cependant, Me Raymond Obame Sima pourra encore se représenter lors des prochaines élections, apprend-on.

Rappelons que Me Raymond Obame Sima a été porté à la tête de l’Ordre des avocats du Gabon le 6 janvier dernier au cours d’une assemblée générale élective, en remplacement de Me Lubin Ntoutoume.

Il était alors considéré comme le douzième bâtonnier de l’ordre des avocats du Gabon qui compte 142 membres.

SG

La société Financia Asset Management est la nouvelle filiale de Financia Capital chargée de la gestion d’actifs immobiliers dans la Cemac (Cameroun, Congo, Centrafrique, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad). Cette filiale de la banque d’affaires détenue par le financier camerounais Serge Yanic Nana (Photo) a décroché son agrément de gestionnaire d’actifs au bout d’un examen par le collège de la Commission de surveillance du marché financier d’Afrique centrale (Cosumaf), réuni en session ordinaire le 31 mars dernier.

Pour gérer cette société, basée à Libreville au Gabon, le régulateur du marché financier a également délivré l’agrément de directeur général à Willy Delort Heubo qui officiait jusqu’ici comme DGA de Financia Capital. Ce financier camerounais revendique plus de 17 ans d’expérience sur les marchés financiers en Afrique. Diplômé de l’Essec de Douala en ingénierie financière, Willy Heubo est par ailleurs titulaire d’un MBA en gestion financière obtenu à l’Université de Liège (ULG) en Belgique.

La société Financia Asset Management devient donc la première à opérer dans la gestion d’organismes collectifs immobiliers (OPCI) au sein de la Cemac. Non autorisées jusqu’ici dans la sous-région, les OPCI font désormais l’objet d’un encadrement règlementaire à la faveur du règlement portant organisation et fonctionnement du marché financier d’Afrique centrale, adopté le 21 juillet 2022 par le comité ministériel de l’Umac. Ils rejoignent les organismes de placement collectifs en valeurs mobilières (OPCVM) dans la liste des instruments d’investissements collectifs (IIC). Tout comme les organismes de titrisation (OT), les organismes de capital investissement (OCI) et les organismes professionnels d’investissements à long terme (OPILT) s’ajoutent à ceux déjà opérationnels dans la catégorie des Fonds d’investissement alternatifs (FIA). 

Très peu connus du public de la Cemac, les OPCI ont pour objet principal, la construction ou l’acquisition d’immeubles exclusivement en vue de leur location. Outre la rentabilité pour les investisseurs, ce véhicule d’investissement peut contribuer à résoudre le problème d’accès au logement, très courant dans les grandes métropoles de la sous-région.  

Cédrick Jiongo

Profitant d’une augmentation de la demande mondiale, les prix des principaux produits agricoles exportés de la Cemac vers l’extérieur ont progressé de 7,3% au premier trimestre 2023. Cette embellie n’a cependant pas suffi à amortir la baisse de 9,9% de l’Indice global des produits de base (ICCPB) exportés, selon les données de la Beac.

La banane, le cacao et le riz ont profité de la conjoncture favorable avec des hausses respectives de 11,7 %, 10,9 % et 9,8 % de leur coût. Après avoir chuté de 7,2% et 8,3%, au trimestre précédent, les prix de l’huile de palme (+3,2 %) et du caoutchouc (+8,2 %) se sont nettement redressés « en lien avec la reprise de la demande chinoise (premier importateur mondial de l’huile de palme et du caoutchouc) », souligne la Beac.

Dans le panier des produits agricoles ciblés par l’ICCPB, seuls le coton (-2,1 %) et le tabac (-3,8 %) ont vu leur prix se détériorer.

Rappelons que l’ICCPB est un indice fondé sur les cours de 20 produits de base exportés par les pays de la Cemac, représentant 90% des valeurs des exportations de cette communauté. Le panier se décompose en cinq grandes catégories : produits énergétiques, métaux et minéraux, produits forestiers, produits agricoles et produits de la pêche.

CJ

Les premiers packages d’équipements nécessaires pour finaliser la construction de l’usine de production de GPL (gaz de pétrole liquéfié ou gaz butane) à Batanga, dans la province de l’Ogooué-Maritime au Gabon, sont arrivés à Port-Gentil, a appris Le nouveau Gabon au ministère du Pétrole. La cargaison est composée entre autres du matériel de stockage, des systèmes de refroidissement, des colonnes pour d’extraction du propane et du butane et leurs équipements associés. Ces équipements importés de l’Europe ont été réceptionnés à la fin du mois de mars dernier à Port-Gentil, la capitale économique du pays.

Ce matériel devrait permettre à la société pétrolière Perenco d’accélérer les travaux de construction de l’usine située à 70 km de Port-Gentil, dont le démarrage est prévu pour le 3e trimestre 2023. Avec une capacité prévisionnelle de 15 000 tonnes de gaz butane par an (environ 35 % de la consommation nationale), la mise en service de cette usine permettra de réduire les importations gazières du pays de plus de 50 %. Le Gabon envisage de devenir aussi exportateur de gaz à l’horizon 2026 grâce à cette infrastructure.

Pour l’instant, le Gabon ne produit que 20 % de sa consommation nationale, et recourt à l’importation pour combler le déficit, malgré son potentiel gazier. Un potentiel gazier qui est pour l’instant exploité par la compagnie pétrolière Perenco à partir de deux gisements (Ganga et Ozangue).

SG

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La Façade maritime du champ triomphal (FMCT), société qui gère le projet de la Baie des Rois, a signé ce 19 avril 2023 avec l’Ordre des architectes du Gabon un accord dans le but de construire des bâtiments durables dans le pays. C’était au cours d’un atelier sur la ville durable au Gabon. Il est question d’après Emmanuel Edane, directeur général de la FMCT, de « mettre un accord-cadre avec les architectes gabonais qui sont aujourd’hui plus d’une centaine, car, nous avons besoin de collaborer avec les architectes gabonais. Et ils ont besoin d’être intégrés dans la réflexion de la Ville de demain », a indiqué Emmanuel Edane. De ce fait, les deux parties mèneront une réflexion visant à trouver un modèle de ville durable à adopter au Gabon. Des villes durables à « l’image de notre culture, avec des matériaux locaux, et un impact sur les chaînes de valeur, sur la création d’emploi et sur l'économie. Il faut qu’elle réponde aussi à l’ambiance tropicale, équatoriale, à la gestion de la pluie, la gestion de l’humidité, de la forêt. C’est un travail de long terme. Car Libreville va absorber dans les années à venir plus d’habitants, et il faut pouvoir proposer de nouvelles zones d’aménagement », a expliqué Emmanuel Edane.

Pour Erichk Mauro Nguema, président de l’Ordre gabonais des architectes (OGA), ce partenariat permettra de « construire des maisons de manière qualitative, dans les normes », et dans le respect des règles environnementales.

Et pour recevoir les premiers modèles de villes durables proposées par les architectes gabonais, un concours dédié et destiné aux architectes sera organisé au Gabon dans les prochains jours par l’OGA et la FMCT. Un concours qui donnera la possibilité aux architectes de proposer des modèles de construction de ville durable sollicités par la FMCT.

Selon le ministre des Travaux publics, Toussaint Nkouma Emane, avoir une architecture verte renferme plusieurs avantages. Notamment, les économies d’énergies, la réduction des émissions de gaz à effet de serre, l’amélioration de la qualité de l’air qui permet d’améliorer la santé et le bien-être des habitants. « En effet, le développement de villes durables est un objectif ambitieux pour les autorités et les urbanistes, mais il est primordial pour lutter contre le changement climatique. Une infrastructure durable permet un approvisionnement en eau fiable et atténue les effets des inondations, des tempêtes et des vagues de chaleur », a affirmé le ministre des Travaux publics.

La Façade maritime du champ triomphal est la filiale du Fonds gabonais d’investissement stratégique (FGIS), en charge du développement du projet de la Baie des Rois. C’est un projet immobilier qui prévoit la construction à Libreville d’un éco-quartier d’affaires, de logements, d’établissements de loisirs, de commerces divers et d’espaces verts… sur une superficie de 40 hectares.

Sandrine Gaingne

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En visite en Chine, le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, a échangé ce 19 avril 2023 avec son homologue Xi Jinping. Un entretien qui s’est soldé par la signature de sept Mémorandums d’entente (MOU) dans les domaines de l’agriculture, de la communication, de l’environnement, de l’habitat, de l’investissement et de la coopération économique, ainsi que de la coopération au développement, informe la présidence de la République.

Il s’agit notamment d’un Mémorandum d’entente entre les ministères en charge de l’Agriculture des deux pays pour le renforcement de la coopération en matière d’agriculture, et un autre entre les ministères en charge de l’Environnement pour la fourniture de matériels dans le cadre de la coopération Sud-Sud pour lutter contre les changements climatiques.

D’autres accords ont été scellés entre les deux pays pour le renforcement de la coopération dans le domaine du logement et du développement urbain, pour le jumelage du Parc national de la Lopé du Gabon et du Parc national Wuyishan de Chine et pour la création du Groupe de travail sur l’investissement et la coopération économique.

Un MOU a également été signé avec l’Agence chinoise de coopération internationale pour le développement en vue du renforcement de la coopération au développement et à la promotion de la mise en œuvre de l’initiative pour le développement mondial.

Des accords qui visent à renforcer les relations de coopération entre les deux pays qui partagent des liens diplomatiques depuis 1974. À noter qu’au cours de leur échange, les deux chefs d’État ont décidé de faire passer leurs pays du concept de « ”Partenariat de coopération globale” en 2016, à celui de "Partenariat stratégique de coopération globale" pour ainsi manifester les liens privilégiés et exemplaires qui lient leurs deux États », a indiqué la présidence de la République.

SG

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Le Maroc met à la disposition des élèves en classe de terminale et étudiants désireux de poursuivre leurs études dans ce pays frère, 150 bourses d’études pour le compte de l’année académique 2023-2024, annonce l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG) dans un communiqué signé le 18 avril 2023.

Il s’agit de 100 bourses universitaires, 30 bourses techniques et 20 bourses professionnelles destinées aux étudiants et aux élèves de terminale les plus méritants. D’après les conditions d’admissibilité, les candidats du premier cycle doivent avoir obtenu un baccalauréat avec une mention « très bien » ou « assez bien » et être âgés de 22 ans au plus au moment de la demande. Et pour le second cycle, les candidats doivent être titulaires d’une licence obtenue avec une moyenne supérieure ou égale à 14/20 et être âgés de 26 ans au plus. Et pour les postulants du troisième cycle, avoir obtenu le master avec une mention « bien » ou « assez bien » pour les scientifiques, techniques et professionnels, et avoir 30 ans maximum.

Les candidatures doivent être déposées au plus tard le 22 mai 2023 à l’ANBG. Le Maroc offre régulièrement des bourses d’études aux élèves et étudiants gabonais. Après la France, le Royaume chérifien se positionne comme le deuxième pays qui accueille le plus grand nombre d’étudiants gabonais, apprend-on.

SG

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Le groupe bancaire gabonais BGFIBank a enregistré en 2022 un résultat net de 62 milliards de FCFA, en hausse de 35 % par rapport à l’année 2021, a annoncé la banque. « Cet excellent niveau de résultat combine les effets favorables du renforcement de l’activité commerciale et de la parfaite maîtrise du coût du risque », indique l’entreprise.

Grâce à ce bénéfice, le conseil d’administration proposera la distribution de 25 milliards FCFA de dividendes correspondant à un dividende brut de 15 850 FCFA par action au titre de l’exercice 2022 aux actionnaires, lors de la prochaine Assemblée générale qui se tiendra le 22 mai 2023, apprend-on.

Dans l’ensemble, le produit net bancaire -équivalent du chiffre d’affaires pour le secteur- ressort à 253 milliards de FCFA, en hausse de 22 %, soutenue par l’effet d’un haut niveau de production de crédits et d’une offre de produits et services de plus en plus adaptée aux besoins d’une clientèle, explique la banque.

Le total bilan quant à lui est en progression de 25 %, les crédits à la clientèle de 19 % et des dépôts en hausse de 18 %. D’après BGFIBank, « ce niveau des dépôts bénéficie de l’intégration de BGFIBank Centrafrique et de FINAM dans le périmètre de consolidation et traduit la confiance renouvelée de la clientèle ».

Pour 2023, la banque compte poursuivre dans cette lancée, voire accélérer sa croissance. Ce, grâce aux mesures structurelles mises en œuvre en matière de développement commercial (élargissement de la base clientèle, extension de l’offre digitale et le déploiement des métiers), en matière de gouvernance (renforcement des organes délibérants et exécutifs des sociétés du Groupe, respect des engagements vis-à-vis des parties prenantes), et en matière de maîtrise des risques et d’optimisation des coûts d’exploitation.

SG

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La holding panafricaine d’infrastructures et de solutions logistiques fondée par Olam International, ne fait plus partie des actionnaires de la Société autoroutière du Gabon (SAG), en charge des travaux de réhabilitation de la Transgabonaise, une route de 780 km qui relie Libreville à Franceville. Selon des informations rapportées par le média en ligne Africa Business+, la filiale d’Olam a cédé depuis le mois de décembre dernier, l’intégralité de ses parts dans la SAG à son partenaire français Meridiam avec qui elle s’est associée en 2019 au sein de ladite société pour relancer les travaux de réaménagement de cette infrastructure routière. Soit 50 % des parts cédées. Ce qui fait désormais du français Meridiam l’unique actionnaire de la SAG. Par cette transaction qui n’a pas encore été officialisée par les deux entreprises, Arise se retire du projet de la Transgabonaise dont les travaux de réhabilitation ont été lancés en 2020.

Comme le rapportent des sources citées par Africa Business+, Arise se retire de ce projet dans le but de se focaliser sur la gestion des zones économiques spéciales dans lesquelles elle a investi en Afrique. Notamment, les zones économiques spéciales de Nkok au Gabon, Adetikope au Togo, et Glo Djigbé au Bénin dans lesquelles Arise est aujourd’hui engagé.

À la suite du retrait de Arise de la Transgabonaise, qui est présentée comme l’un des plus grands chantiers du président Ali Bongo Ondimba, le Français Meridiam a sollicité de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), une garantie dans le but d’assurer ses fonds engagés dans ledit projet, d’après un communiqué rendu public par cette institution du groupe de la Banque mondiale au mois de février 2023. En effet, l’investisseur français a demandé une garantie à hauteur de 67,5 millions d’euros (un peu plus de 44 milliards de FCFA) contre les risques de restriction de transfert, d’expropriation, de rupture de contrat, de guerre et de troubles civils, pour une période pouvant aller jusqu’à 15 ans. Cette garantie devra couvrir les investissements en fonds propres, quasi-fonds propres et prêts de l’actionnaire de la SAG pour la réhabilitation, l’exploitation et l’entretien de cette infrastructure routière, soutient la MIGA.

Cependant, malgré le retrait de la filiale d’Olam du projet de la Transgabonaise, les travaux se poursuivent sur le tronçon PK12-PK105 (81 km) de cette voie. Cette partie représente la première phase de ce projet dont la livraison reste attendue. La deuxième phase de la Transgabonaise devrait être lancée au courant de ce premier semestre 2023, selon le Premier ministre, Alain Claude Bilie-By-Nze. La livraison des travaux de réhabilitation de la Transgabonaise qui est financée à hauteur de 600 milliards de FCFA par la SAG, est prévue pour cette année 2023. Et la SAG a récemment donné des assurances quant au respect de ce délai fixé.

La Transgabonaise est construite sur 2 x 2 voies à partir du PK 12 jusqu’à Ntoum et sur 1 x 2 voies avec une emprise élargie jusqu’à Franceville. Une fois terminée, elle va permettre de développer les échanges entre les provinces et créer des emplois.

Sandrine Gaingne

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