(Le Nouveau Gabon) - C’est le constat établi, à la faveur d’une visite d’inspection effectuée hier sur le site de construction du Centre hospitalier universitaire Fondation Jeanne Ebori (CHUFJE), par le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba.
Quelques jours après l’annonce de l’inauguration prochaine, de deux nouveaux Centres hospitaliers universitaires à Libreville, le chef de l’Etat est allé s’enquérir de l’état d’avancement des travaux de construction du Centre hospitalier universitaire Fondation Jeanne Ebori (CHUFJE).
Accompagné de la Première Dame, Sylvia Bongo Ondimba, le chef de l’Etat a parcouru l’imposant édifice de quatre étages. Une visite qui lui a permis de constater que le chantier est entré dans sa phase d’achèvement. Il a ainsi pu apprécier le service de radiologie équipé d’un scanner, un bloc opératoire aux normes internationales, la salle de réveil, la maternité (50 lits) et l’unité pédiatrique (25 lits + 12 en soins intensifs).
Spécialisé en obstétrique, gynécologie et pédiatrie, ‘’Jeanne Ebori’’ s’apprête à renaître de ses cendres, sur une surface de 17 500 m², pour bientôt offrir des soins de haut niveau conformément aux engagements pris par les autorités gabonaises, lors de la destruction de l’ancien établissement.
En complément des prestations hospitalières classiques, l’hôpital disposera de deux unités de soins intensifs, d’urgences et d’une pouponnière de 30 lits. Des consultations externes seront proposées dans le cadre d'une offre sanitaire à vocation également régionale.
Synclair Owona avec la Direction de la communication présidentielle