Le Nouveau Gabon

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Dieudonné Nkassa-Emane, liquidateur de PosteBank, invite 116 entreprises et 32 particuliers à honorer le paiement de leurs créances dues à cet établissement financier depuis des années.

Cette réaction fait suite au mutisme observé lors du premier communiqué rendu public en juin 2018 dans les colonnes du quotidien pro gouvernemental L’Union. Aussi demande-t-il à ceux qui ne se sont pas manifestés lors de cette première interpellation, à se rendre dans les services de l’établissement bancaire en vue de l’apurement de leur dette devenue exigible.

«Tous ces gens-là ont emprunté de l’argent à la Poste. Et on essaie d’aller vers eux pour leur dire : il faut rembourser parce que l’argent que vous avez emprunté appartient à des épargnants. Il y a certaines sociétés qui sont même en faillite. Si on les rappelle, c’est parce qu’on ne les retrouve pas. On cherche dans la ville, on ne sait pas où elles sont. On lance un communiqué en espérant qu’elles vont réagir.», explique le liquidateur.

La PosteBank annonce qu’elle va lancer des enquêtes judiciaires à l’encontre des débiteurs qui se rendront coupables à ses yeux d’indélicatesse, en évitant de se présenter dans ses services afin d’apurer leurs créances.

Aussi des poursuites seront-elles engagées contre ces derniers, car, l’établissement entend rentrer en possession de son dû avant la fin du mandat du liquidateur en septembre 2019.

PcA

Après le ralentissement vécu en 2017 où le pays a connu une croissance de 0,5%, les autorités entrevoient une augmentation de l’activité économique en 2019. Car, après un redécollage en 2018 de 1,2%, le pays envisage de s’inscrire dans une dynamique optimiste à moyen terme qui devrait atteindre 4%, en rapport avec l’exécution satisfaisante du PRE, souligne Jean-Marie Ogandaga.

« Le point le plus important à retenir est celui de la bonne tenue de la croissance hors pétrole qui fait preuve d’une certaine résilience, conséquence des efforts de diversification de notre économie », indique-t-il à L’Union.

L’application rigoureuse des mesures de politique fiscale et budgétaire contenues dans la Loi de finances, relève le ministre de l’Economie, devrait permettre de renouer avec une croissance plus confortable.

« Nous projetons, en effet, une progression de l’activité économique supérieure à 3%, soutenue à la fois par la reprise dans l’industrie pétrolière et la bonne tenue du secteur hors pétrole », explique le ministre.

Dans le détail, les autorités tablent sur les bonnes performances des activités du secteur primaire, pondérées à 10,2%. Celles-ci incluent le pétrole, les mines et l’agriculture. Dans le secondaire, l’on projette un relèvement de la croissance de 2,8% de son activité, tirée par les industries du bois et agroalimentaires. Quant au secteur tertiaire, l’on table sur une progression de 3,5%, grâce au boom des activités des transports et des télécommunications.

PcA

Dans un entretien accordé à nos confères du quotidien L’Union en fin de semaine, le ministre du Pétrole, Pascal Houangni Ambouroue (photo), a dressé un état des lieux du secteur pétrolier gabonais.

Dans cet entretien, il revient notamment sur la hausse des prix des carburants, du déclin de la production pétrolière, les relations avec l’Opep, l’audit des structures publiques et sur bien d’autres sujets d’envergure.

On retient ainsi qu’en termes de production, l’activité pétrolière a avoisiné les 71 000 000 de barils, soit 9,72 millions de tonnes métriques. Selon Pascal Houangni Ambouroue, ce chiffre correspond à une situation de déclin de la production par rapport au pic enregistré en 1997.

Mais pour mieux se préparer face à cette tendance axée au déclin, son département ministériel a élaboré et mis en œuvre un plan stratégique d’exploitation et de valorisation durable de cette matière première.

Selon M. Houangni Ambouroue « ce plan s’articule autour de deux orientations majeures adoptées comme guide de l’action gouvernementale à mener au cours des cinq prochaines années. Il s’agit de renforcer la dynamique d’ouverture sur le marché mondial et le développement des partenariats afin de stimuler la promotion du domaine pétrolier libre et le développement des découvertes d’hydrocarbures ».

La seconde option, selon le membre du gouvernement, consiste à encourager le développement des champs matures et la mise en production des découvertes de taille petite et moyenne, parallèlement aux travaux de recherche pétrolière dont les résultats prennent plusieurs années avant d’être connus.

A cet effet et à titre d’illustration, M. Houangni Ambouroue a indiqué qu’au cours de l’année 2018, le pays a enregistré la mise en production de champs tels que Tortue (BWE), ainsi qu’Assewe et EOV (PERENCO).

Malgré tout, a assuré le patron du pétrole gabonais, « à l’évidence, l’activité pétrolière demeure la principale source de revenus de l’Etat et a encore de beaux jours devant elle. Au titre de l’année 2018, les recettes pétrolières se situent à 450 milliards de francs Cfa sur les 9 premiers mois de l’année ».

Stéphane Billé

Le climat sociopolitique et économique que traverse le Gabon commence à prendre des proportions inquiétantes. Cette situation déjà bien marquée depuis la présidentielle du 16 août 2016, dont les stigmates restent encore bien présents dans les esprits, s’est vue aggravée par la maladie du chef de l’Etat, Ali Bongo, mais aussi et surtout, avec la tentative de putsch avortée du 7 janvier dernier.

C’est le constat établi et présenté par le président d’Ensemble pour la République, et ancien candidat à l’Election présidentielle de 2016Dieudonné Minlama Mintogo (photo), à la faveur d’une sortie le 12 janvier dernier, à Libreville. Cette sortie a aussi servi de cadre à l’orateur, d’émettre des pistes de solutions pour sortir le pays de cette fâcheuse et négative orientation.

Selon M. Minlama Mintogo, « la situation que traverse actuellement le pays met en très grande difficulté, notre vivre ensemble ». Et d’ajouter : « Notre pays le Gabon n’a jamais été aussi proche de l’explosion, aussi proche de sombrer dans l’impasse… je voudrais simplement que les uns et les autres retiennent, que notre pays est plongé dans une grande crise politique, économique et sociale, qui entame sérieusement, et met en danger les fondements qui soutiennent notre vivre ensemble ».

Dans son réquisitoire, Dieudonné Minlama Mintogo dénonce particulièrement « la gestion approximative et conflictuelle de la maladie du chef de l’Etat et de son indisponibilité temporaire actuelle, les atermoiements, les interprétations diverses de la Constitution, le doute installé dans la mémoire des Gabonais, la colère, le ras-le-bol, la violence verbale et maintenant la violence physique qui sont, selon lui, des signes forts qui expriment la gravité de la crise citée plus haut ».

Après une profonde radioscopie de la situation, il a annoncé la mise en œuvre d’une plateforme citoyenne et républicaine dénommée « Gabon Nouveau Départ », en guise de thérapie à la relance de la machine sociopolitique et économique du pays.

Cette plateforme, selon lui, devrait « accueillir en son sein, tous les Gabonais et Gabonaises, tous les mouvements de la société civile, les confessions religieuses, les partis politiques et toutes les personnalités qui adhèrent à sa démarche ». De son avis, « nous avons encore le temps de prendre le destin de notre pays en main. Dans tous les cas, si nous nous taisons, les armes parleront à notre place et quand les armes parlent, il est difficile de les faire taire ! »

Stéphane Billé

C’est en conseil des ministres le 16 novembre 2018 que le gouvernement, sur proposition de la Task Force sur les finances publiques mise en place par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba, a décidé de mettre un terme au fonctionnement de 11 agences gouvernementales.

Pour sortir ces administrations du circuit, les autorités se sont appuyées sur des critères portant sur la nature juridique, la cohérence externe à savoir le niveau de chevauchement des missions entre l’agence, les opérateurs et les services centraux ; la viabilité financière et l’efficacité.

«Le coût budgétaire annuel global de la dizaine d’agences supprimées est évalué à près de 3,5 milliards Fcfa. Pour tout vous dire, le gouvernement est pleinement conscient de la nécessité d’aller au-delà de ces 11 agences supprimées.», explique le ministre de l’Economie, Jean-Marie Ogandaga (photo) dans les colonnes du quotidien pro gouvernemental L’Union.

D’après lui, le gouvernement entend faire les choses dans le bon ordre pour s’assurer de l’efficacité des mesures de réformes mises en œuvre, question de ne pas confondre vitesse et précipitation dans la suppression des activités des agences encore en activité et dont l’existence crée des doublons dans l’action publique.

Pour ce qui est du destin du personnel employé dans ces administrations, le ministre de l’Economie rappelle que ces derniers étaient en grande partie des agents publics en détachement.

«Le traitement des situations des personnels relevant du statut de droit privé fait actuellement l’objet d’une attention particulière au niveau du gouvernement.», rassure le ministre.

PcA

dimanche, 13 janvier 2019 03:57

Composition du nouveau gouvernement gabonais

Par décret du Président de la République, en date de ce jour, et sur proposition du Premier ministre, chef du Gouvernement, Julien Nkoghe Bekale (photo), le Gouvernement de la République est composé ainsi qu’il suit :

 

Ministres d’Etat

Ministre d’Etat ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et duLogement: M. Régis IMMONGAULT TATANGANI 


Ministre d’Etat, ministre des Forêts et de l’Environnement chargé du Plan climat : M. Guy-Bertrand MAPANGOU 


Ministre d’Etat, ministre de la Santé, de la Protection sociale et de la Solidarité nationale : Mme Denise MEKAM’NE EDZIDZIE épouse TATY 


Ministre d’Etat, ministre des Sports, des Loisirs, de la Culture et de l’Artisanat : M. Alain-Claude BILIE-BY-NZE 


Ministre d’Etat, ministre de l’Éducation nationale chargé de la Formation civique : M. Michel MENGA M’ESSONE 


Ministre d’Etat, ministre des Relations avec les Institutions constitutionnelles et les Autorités administratives indépendantes : M. Francis NKEA NZIGUE 


Ministre d’Etat, ministre de la Défense nationale et de la Sécurité du territoire : M. Etienne MASSARD KABINDA MAKAGA 


Ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, de l’Administration du territoire, des Collectivités locales, de la Décentralisation chargé de la Citoyenneté et de l’Immigration : M. Lambert Noël MATHA

Ministre d’Etat, ministre du Budget et des Comptes publics : M. Jean- Fidèle OTANDAULT

Ministre d’Etat, ministre de la Justice et des Droits humains, Garde des Sceaux : M. Edgard Anicet MBOUMBOU MIYAKOU

Ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et du Transfert des technologies: M. Jean de Dieu MOUKAGNI IWANGOU

 

Ministres

Ministre de l’Économie, de la Prospective et de la Programmation du développement : M. Jean-Marie OGANDAGA

Ministre de la Fonction publique, de l’Innovation, du Service public et du Travail : Mme Madeleine BERRE

Ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et de l’Alimentation chargé du programme GRAINE : M. Ali Akbar ONANGA Y’OBEGHE

Ministre chargé du Suivi des réformes économiques et de la Planification du développement : M. Alexis BOUTAMBA MBINA

Ministre de l’Équipement, des Infrastructures et des Travaux publics : M. Arnauld Calixte ENGANDJI ALANDJI

Ministre de la Valorisation et de l’Industrialisation des ressources minières : M. Christian MAGNAGNA

Ministre du Pétrole, du Gaz et des Hydrocarbures : M. Pascal HOUAGNI AMBOUROUE

Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale, de l’Intégration régionale, de la Francophonie, et des Gabonais de l’étranger : M. Abdu Razzaq Guy KAMBOGO

Ministre de l’Eau et de l’Énergie : M. Emmanuel Norbert Tony ONDO MBA

Ministre de l’Emploi, de la Jeunesse, de la Formation professionnelle, de l’Insertion et de la Réinsertion, porte-parole du gouvernement : Mme Nanette LONGA


Ministre des Transports et de la Logistique : M. Justin NDOUNDANGOYE

Ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Poste : M. Guy-Maixent MAMIAKA

Ministre de la Famille, de la Décennie de la femme et de l’Egalite des chances : Mme Estelle ONDO

Ministre du Commerce : M. David MBADINGA


Ministre de la Promotion des investissements, des Partenariats publics-privés et des PME PMI: M. Biendi MAGANGA MOUSSAVOU


Ministre de la Pêche et de la Mer : Mme Prisca KOHO épouse NLEND

Ministre du Tourisme : Mme Marie Rosine ITSANA


Ministre de l’Industrie et de l’Entreprenariat national : Mme Carmen NDAOT

 

Ministres délégués

Ministre délégué auprès du ministre d’Etat, ministre de la Santé, de la Protection sociale et de la Solidarité nationale, chargé de la Protection sociale et de la Solidarité nationale : M. Jonathan NDOUTOUME NGOME

Ministre délégué auprès du ministre d’Etat, ministre de l’Éducation nationale chargé de la Formation civique: Mme Gisèle AKOGHET épouse NTOUTOUME

Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat, ministre des Forêts et de l’Environnement chargé du Plan climat : M. Franck NGUEMA

Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat, ministre des Sports, des Loisirs, de la Culture et de l’Artisanat : M. Arsène Édouard NKOGHE

Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, de la Jeunesse, de la Formation professionnelle, de l’Insertion et de la Réinsertion : Mme Olivia Hagar NGUEMA ONDO

Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, de l’Administration du territoire, des Collectivités locales,de la Décentralisation chargé de la Citoyenneté et de l’Immigration : Mme Patricia TAYE

Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat, ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et du Logement : M. Jean-Marie OBAME ONDO

Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, de la Prospective et de la Programmation du développement : M. Hilaire MACHIMA

C’est dans la nuit du vendredi 11 et du samedi 12 janvier 2019, que le secrétaire général de la présidence gabonaise, Jean-Yves Teale, a annoncé le décret présidentiel nommant Julien Nkoghe Bekale (photo), aux fonctions de Premier ministre en remplacement d’Emmanuel Issoze-Ngondet.

Cette nomination intervenait juste, quelques heures seulement, après l’entrée en fonction du bureau de la future Assemblée nationale qui sera dirigée par Faustin Boukoubi.

Avant sa nomination, Julien Nkoghe Bekale, occupait les fonctions de ministre du Travail et de l’Emploi, dans le gouvernement sortant. Originaire de la province de l’Estuaire, M. Nkoghe Bekalé avait déjà dirigé les ministères de l'Agriculture, des Transports et de l’Equipement, de l'Elevage et celui du Pétrole durant le premier septennat d’Ali Bongo Ondimba.

Selon le dispositif constitutionnel, le nouveau PM devra donc former le nouveau gouvernement dans les prochaines heures.

Quant à l'ex-Premier ministre, Emmanuel Issoze-Ngondet, il devient "médiateur de la République", a indiqué Jean-Yves Teale lors de la lecture du communiqué.

Selon les observateurs avertis, la nomination de Julien Nkoghe Bekalé constitue le retour de ce poste de Premier ministre dans la province de l’Estuaire. Un principe qu’a toujours préservé l’ancien président, Omar Bongo Ondimba dans son système de géopolitique.

Stéphane Billé

Après l’ultimatum lancé au gouvernement norvégien par son parlement de limiter et d’éliminer progressivement l'huile de palme dans sa politique relative aux biocarburants, à compter de janvier 2020, il y a quelques jours, le Conseil malaisien des palmiers à huile tente de désamorcer cette escalade.

En réponse à cette décision d’exclure l’huile de palme des biocarburants, du fait qu’elle présente un risque élevé de déforestation, le Conseil malaisien des palmiers à huile a déclaré que l'action de l'Union européenne (UE) menacerait les moyens de subsistance de 650 000 petits exploitants, souligne The News Straits Times.

Mais pour s’arrimer aux critères de développement durable, malgré toutes les pratiques durables adoptées tout au long de la chaîne de valeur de l'huile de palme, le pays entend s’inspirer du modèle gabonais pour contrer les militants anti-huile de palme, qui exercent une influence notable sur les gouvernements et les parlements de l'UE.

La première étape consistera à établir un plan national d’utilisation des sols à l’instar du Gabon. « Le pays cultive le palmier à huile à une échelle commerciale, sans toutefois causer les dommages environnementaux que subit actuellement l'Asie du Sud-Est. », affirme le média américain.

En outre, poursuit-il, « son plan national d'aménagement du territoire tente de maintenir un équilibre entre palmier à huile, agriculture et préservation de la forêt. Avec plus de 76% du territoire recouvert de forêts, son Agence nationale des parcs nationaux (ANPN) a supervisé la cartographie de la terre et de la vie sauvage du pays, afin de déterminer les zones à développer pour l'agriculture ».

Par ailleurs, le pays a accordé plusieurs concessions de palmier à huile à Olam Gabon, une filiale de l’entreprise agroalimentaire Olam international, basée à Singapour. La première à Awala a une superficie de 20 234 ha. Un tiers est cultivé avec du palmier à huile, l’autre tiers est conservé sous forme d'un bloc de forêt et le reste demeure, en petites parcelles, certaines sur des pentes abruptes. Quant à la seconde, qui se trouve à Mouila, plus de 50% de superficie plantée, est située dans une savane ouverte ou une prairie, cela aux fins d’éviter la déforestation.

Enfin, « la coopération étroite entre Olam et l'ANPN garantit que les projets d'huile de palme au bon endroit, avec la bonne gestion, peuvent préserver les forêts primaires et augmenter la production alimentaire du Gabon. Fait intéressant, la plantation de Mouila pourrait faire partie d’un nouveau parc national », conclut National Geographic.

Stéphane Billé

Du 29 janvier au 5 février 2019, les experts de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) effectueront une revue intermédiaire de sécurité sur les protocoles de l’aviation civile gabonaise.

Durant cet exercice, 533 questions seront passées en revue, en rapport notamment avec la législation aéronautique de base. A savoir : les règlements d’exploitation ; l’organisation de l’autorité nationale d’aviation civile ; la qualification et la formation du personnel technique.

Les indications, les guides et les procédures techniques à l’endroit du personnel technique seront également inspectés tout comme, les obligations en matière de délivrance de licences ; les obligations de surveillance et la résolution des problèmes de sécurité.

Stéphane Billé avec ANAC

Pour assurer l'accès de tous à une éducation de qualité ainsi que la promotion des possibilités d'apprentissage à un plus grand nombre, le gouvernement et l’Unesco ont signé une convention portant sur la planification du système éducatif.

Cette convention a pour objectif de permettre au gouvernement d’assurer la production de statistiques basiques fiables, à même de permettre aux systèmes d’enseignements préscolaire, pré-primaire, primaire, secondaire, technique, professionnel et supérieur, l'alphabétisation, la formation des adultes et l'éducation populaire, de réaliser un diagnostic des préoccupations qui handicapent la modernisation de la formation scolaire et académique.

Porté financièrement par l’Unesco, l’Unicef et le Fonds des nations unies pour la population, le projet bénéficie également de l'appui de l'Agence française de développement et de la Banque mondiale.

Pour le ministre de l’Éducation, Francis Nkea Ndzigue, et le représentant-résident de l'Unesco au Gabon, Vincenzo Fazzino, le projet va permettre au Gabon de disposer d'une planification rigoureuse des actions à mener dans ce secteur dans les années à venir.

PcA

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