Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

C’est le seul point inscrit dans les divers de la réunion du Comité ministériel de l’Union monétaire d’Afrique centrale (UMAC) qui se tient à Yaoundé jusqu’au 6 juillet 2018. Cette question a déjà fait l’objet d’échanges entre la Commission de la CEMAC et les chefs d’entreprise minière qui opèrent dans l’espace communautaire.

D’après Daniel Ona Ondo, ces entreprises doivent transférer les recettes des exportations afin de conforter les réserves de change dans la sous-région. Mais, malheureusement, des conventions signées avec les Etats rendent difficile l’application des lois et règlements communautaires.

« Ces conventions, précise le président de la Commission, leur donnent la possibilité de garder certaines réserves de change pour leur fonctionnement régulier. Nous avons donc regardé tout ça et nous avons discuté entre nous pour édicter des mesures qui permettent de ne plus signer ce genre de conventions qui pénalisent nos pays », expliquait-il dans une interview, il y a peu.

La situation des réserves de change de l’espace communautaire sera également au menu des sujets à examiner par cette session de l’UMAC, aux côtés de la conjoncture économique et financière des Etats membres, l'état des négociations des pays de la CEMAC avec le Fonds monétaire international.

La présentation du rapport d'audit de la BDEAC par la Commission bancaire d’Afrique centrale, les conclusions du rapport du Comité de liaison anti-blanchiment (CLAB) de la zone Franc, réuni à Brazzaville le 12 avril 2018, et celles du Comité de pilotage élargi du programme indicatif régional (PIR) pour l'Afrique, réuni à Bruxelles le 24 avril dernier, sont également inscrites au menu des sujets de cette session.

PcA

Selon Alpha Condé, 23 pays africains appliquent déjà la taxe sur les importations de denrées alimentaires. Très contestée par les pays qui importent le plus sur le continent, la taxe de 0,2% sur les importations de denrées alimentaires dans nombre de pays africains, adoptée par les chefs d’Etat de l’Union africaine, lors du sommet de janvier 2018, à Addis Abeba, est déjà appliquée dans 23 pays.

D’autres pays, assure le président guinéen, Alpha Conde, l’ont déjà intégrée dans leurs Lois de finances respectives.

Le produit de cette taxe communautaire doit aider l’institution panafricaine à autonomiser son fonctionnement. Mais en dépit des réticences, le président guinéen se félicite de la tendance haussière du nombre de signataires de la zone de libre-échange continentale qui l’ont rendue applicable.

« En un an, il y a 23 Etats, ce qui est extraordinaire ; il y a déjà presque la moitié des Etats qui ont déjà accepté. Et beaucoup, dont la Guinée, l’ont déjà mise dans leur budget. Parce que vous savez, l’Union africaine était financée pour l’essentiel par l’Union européenne », explique-t-il sur les ondes d’une radio française.

Parmi les plus grands pourfendeurs de cette taxe, il y a l’Afrique du Sud qui, avec les pays d’Afrique australe, tardent à appliquer le principe. Pour le chef de l’Etat guinéen, si ce groupe de pays est d’accord avec la taxe, les incompréhensions apparaissent au niveau de l’interprétation de son application et de la désignation des commissaires.

« Ils sont d’accord pour les 0,2%. Mais le problème, c’est une mauvaise interprétation de l’Afrique du Sud de dire qu’on a touché à l’axe fondamental. C’est une mauvaise lecture », explique-t-il.

Des divergences de fonds qui laissent émerger en surface de vieux conflits avec le Rwanda. « Il ne faut pas confondre le message avec le messager », a plaidé pour cela Paul Kagame, lors du dernier sommet.

PcA

 

L’implication du Gabon dans le retour à la paix et à la stabilité de la RCA n’est plus à démontrer. Cette posture a, une fois de plus, été confirmée lors du Conseil des ministres tenu le 04 juillet dernier, à Libreville.

En effet, l’une des grandes résolutions prises au terme dudit Conseil au plan sous-régional est le renforcement du rôle du Gabon dans la réorganisation des forces de défense centrafricaines.

Le Conseil des ministres, prenant acte des multiples sollicitations et appels du président Faustin Archange Touadera, du peuple centrafricain, et du Secrétaire général des Nations Unies, a décidé du maintien des troupes gabonaises au sein de la mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en Centrafrique. Cela, « au titre de la solidarité africaine et l’excellence des relations d’amitié et de fraternité avec le peuple centrafricain », souligne-t-on.

Toujours, dans le cadre de la défense, le gouvernement gabonais s’est engagé à participer à la réorganisation de l’armée centrafricaine en matière de formation. Cette initiative passe par l’accueil des officiers de cette armée dans les écoles militaires gabonaises. Notamment, l’Ecole d’état-major, l’Ecole d’application de service de santé militaire de Libreville et des Ecoles d’officiers d’Owendo et de Mandilou.

Stéphane Billé

En marge de la 31ème session de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine (UA) qui s’est tenue le lundi 02 juillet 2018, à Nouakchott, en Mauritanie, le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, a présidé une réunion au sommet, avec quelques-uns de ses pairs ainsi qu’avec les chefs de délégation de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC).

Cette rencontre qui s’inscrivait dans le cadre de leurs consultations régulières, a permis d’éplucher les  questions d’intérêt commun, notamment celles relatives au développement, à la sécurité, à la paix, à l’intégration régionale, aux migrations, ainsi qu’à la situation spécifique de la République démocratique du Congo et de la République centrafricaine.

A cette occasion, Ali Bongo Ondimba, en sa qualité de président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC), a confirmé à ses pairs ainsi qu’aux délégations présentes, la tenue du sommet conjoint CEDEAO-CEEAC, le 30 juillet 2018 à Lomé, au Togo.

Il a, par ailleurs, indiqué que ce sommet sera précédé d’une réunion ministérielle, dont les thématiques  porteront sur  la paix, la sécurité, la radicalisation et l’extrémisme violent.

Prenaient part à ce mini-sommet sous-régional, les présidents Denis Sassou Nguesso de la République du Congo, Obiang Nguema Mbasogo de la République de Guinée équatoriale, Idriss Deby Itno de la République du Tchad et les  chefs de délégation d’Angola, du Burundi, du Cameroun, de la RCA, du Rwanda, de la RDC et de Sao Tomé-et-Principe.

Stéphane Billé

 

«La problématique des avoirs extérieurs de la CEMAC et des transferts internationaux». Tel est le premier thème qui a ponctué la 10ème réunion annuelle de concertation, entre la COBAC, le régulateur du secteur bancaire dans les six pays de la CEMAC (Cameroun, Congo, Gabon, Tchad, Guinée équatoriale, et République centrafricaine), et les responsables des établissements de crédits en activité dans cet espace communautaire, organisée le 27 juin 2018 à Yaoundé.

Abordant cette thématique, souligne le communiqué officiel ayant sanctionné les travaux de la capitale camerounaise, «le directeur général des études, finances et relations internationales de la BEAC, a relevé que la position extérieure nette des pays membres de la CEMAC continue de pâtir des pratiques peu orthodoxes des établissements de crédit».

A en croire ce responsable de la Banque centrale, «pour la plupart, ces établissements s’inscrivent en marge de la réglementation applicable», en s’illustrant par des «manquements qui entachent les opérations de transferts», et brillent par le «non-rapatriement des recettes d’importation par le canal de la Banque centrale».

Pour rappel, au sortir du Sommet de crise des chefs d’Etats de la Cemac de décembre 2016, à Yaoundé, les chefs d’Etat des pays membres avaient prescrit la prise de mesures urgentes visant à arrêter la baisse drastique des réserves de change, qui exposait à une dévaluation du franc Cfa usité dans cette communauté. Aussi, la BEAC avait-elle entrepris d’être plus rigoureuse sur les conditions des transferts internationaux des fonds par les banques, au grand dam des opérateurs économiques, qui étaient alors montés au créneau ; notamment au Cameroun, où le principal importateur de poissons se plaignait de ne plus pouvoir payer ses fournisseurs à l’étranger, afin d’approvisionner le marché local.

Interpellé sur la question le 21 mars 2018, au sortir de la première session du Comité de politique monétaire de la BEAC, pour l’année 2018, le gouverneur de cette banque centrale, le Tchadien Abbas Mahamat Tolli, s’était voulu plutôt rassurant. «Notre zone monétaire dispose de normes sur le transfert de fonds. Le respect de ces normes n’est pas un obstacle à l’activité économique. Par le passé, il y avait un certain laxisme. Les normes n’étaient pas appliquées avec rigidité. Aujourd’hui, nous avons des équipes qui étudient les dossiers de transferts, et aucun dossier n’est rejeté sans notification des motifs de ce rejet par la Banque centrale.»

Afin d’inverser la tendance des banques à ignorer la réglementation en matière de transferts internationaux, la rencontre du 27 juin 2018 à Yaoundé a donné l’occasion aux banquiers et au régulateur de l’activité bancaire, d’échanger sur les délais de traitement des opérations de transfert et de rapatriement des fonds, les motifs de rejet des opérations liées aux comptes en devises des résidents, la définition de la notion des avoirs injustifiés, le besoin de formation et d’accompagnement des établissements par la Banque centrale, ainsi que le principe de création d’un guichet unique.

Brice R. Mbodiam 

Lire aussi:

11-01-2018 - Les retards dans les transferts de fonds et la hausse des coûts bloquent les importations de poissons au Cameroun

26-03-2018 - Transferts de fonds : les banques de la CEMAC se plaignent de la rigidité des procédures, la BEAC soutient avoir mis fin au «laxisme»

Au sortir des travaux du Haut conseil de l’investissement, dont la 4ème session s’articulait autour du règlement de la dette intérieure, l’amélioration de la notation du Gabon, la présentation des travaux réalisés sur l’amélioration de la compétitivité, la présentation des réformes initiées sur le renforcement de l’initiative privée et la rationalisation des contrôles, la présentation des réformes sur la parafiscalité ainsi que la présentation du cadre réglementaire et institutionnel des partenariats public-privé, la ministre de la Promotion des Investissements et des Partenariats public-privé, Madeleine Berre (photo), a annoncé que le gouvernement a déjà engagé le paiement de la dette due aux PME.

« Ce sont des tranches de 5 milliards FCFA qui sont payées ; les premières tranches sont déjà payées et les entreprises sont satisfaites. Nous travaillons avec le syndicat des PME qui s’occupe de cela. Nous n’avons pas eu de problèmes à ce niveau. Les engagements de chacune des parties sont respectés », explique la ministre à la presse.

D’après Madeleine Berre, le paiement de cette dette qui concerne actuellement les opérateurs qui ont réinjecté les fonds dans l’économie en réalisant des investissements en contrepartie, consiste à restaurer la confiance entre l’Etat et ses partenaires traditionnels.

« Nous voulons restaurer cette confiance, nécessaire pour nous, les bailleurs de fonds qui nous accompagnent et les entreprises », assure-t-elle à la presse locale.

Cependant, annonce-t-elle, par souci d’objectivité et de neutralité, un cabinet indépendant va procéder à des vérifications d’un stock de cette dette, en dépit de l’audit réalisé par le ministère de l’Economie et la direction générale de la Dette. Une opération qui apportera plus de lisibilité dans son volume et de transparence dans son exécution.    

PcA

Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, a annoncé le maintien en fonction du contingent des troupes de l’armée gabonaise engagé dans la force multidimensionnelle des opérations de maintien de la paix en RCA «au titre de la solidarité africaine et l’excellence des relations d’amitié et de fraternité avec le peuple centrafricain».

La décision du Gabon, indique le communiqué du conseil des ministres du 4 juillet, fait suite aux multiples sollicitations et appels du président Faustin Archange Touadera, du peuple centrafricain, ainsi que du secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guttierez.

Par ailleurs, le gouvernement gabonais s’engage à participer à la réorganisation de l’armée centrafricaine en matière de formation, en accueillant des officiers de ladite armée dans les écoles militaires gabonaises, notamment l’Ecole d’état-major,  l’Ecole d’application de service de santé militaire de Libreville et des Ecoles d’officiers d’Owendo à Libreville et de Mandilou dans la Ngounie, Sud du Gabon.

Cette décision du chef de l’Etat intervient après qu’il a annoncé au mois de mars dernier, le retrait des troupes gabonaises de la Mission multidimensionnelle intégrée de stabilisation des Nations Unies en Centrafrique (Minusca).

Les 450 soldats gabonais en mission de maintien de paix en République centrafricaine, y resteront également en raison des faiblesses majeures que présente la Minusca.

D’après un rapport de l’ONG International Crisis Group paru en fin d’année 2017, un expert indiquait qu’à l’instar des autres missions onusiennes dans le monde, la Minusca est «sous-dimensionnée et sous-équipée. Face à la multiplication des points chauds, la mission est complètement débordée».

PcA

A la suite de la présidence de la République, et en application des mesures portant réduction des effectifs des cabinets des hauts responsables du pays ainsi que de la masse salariale, le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, a annoncé en Conseil des ministres, la réduction significative de plus de la moitié,  soit 50,63% du personnel en situation de solde fonctionnelle dans son cabinet.

Cette mesure, qui prend effet immédiatement, concerne 120 personnes et réduit ainsi le nombre de collaborateurs du chef du gouvernement de 237 à 117 personnes, soit un ajustement de 50,63% des effectifs en situation de solde fonctionnelle.

A l’instar des autres administrations, les fonctions de directeur de cabinet adjoint 2 et 3 du Premier ministre, celles de secrétaire général adjoint 2 et 3, ainsi que celle de conseiller adjoint à la Primature sont supprimées.

En ce qui concerne le  Secrétariat général du gouvernement, les effectifs sont ramenés de 94 à 45 agents en situation de solde fonctionnelle, soit une diminution d’un peu plus de 52%. Les fonctions de secrétaire général adjoint 2 et 3 y sont également supprimées.

PcA

C'est une distinction qui va certainement faire honneur à la Direction générale de la Société commerciale gabonaise de réassurance (SCG-Ré). En effet, selon des sources locales, Business Initiative Directions (BID) vient de décerner le prix de « l'Etoile internationale du leadership en qualité 2018 », à cette société.

Selon les mêmes sources, cette distinction a été remise à Crépin Magloire Andrew Gwodog (photo), administrateur directeur général de ladite société, le 1er juillet dernier à Paris, par le président BID, José E. Prieto.

Ce laurier indique-on, vient ainsi couronner l’engagement, la qualité et l’excellence dans le domaine de la satisfaction client, leadership, innovation et prestige de cette société. Pour Crépin Magloire Andrew Gwodog, «Ce prix est une reconnaissance internationale des efforts et du travail abattu par l’équipe de la SCG-Ré afin d’atteindre les standards internationaux, en terme de gestion technique, commerciale et financière d’une société de réassurance.»

Et de poursuivre «Nous le dédions au président de la République Ali Bongo Ondimba, qui, dans le cadre du PSGE pilier Gabon des services, a eu l’ingénieuse idée de créer cette société en partenariat avec les assureurs gabonais; puis d’en confier la gestion aux jeunes pionniers de la réassurance au Gabon dont je suis un des représentant».

Au-delà des résultats de cette politique managériale, l’ADG a par ailleurs indiqué que «ce prix est également dédié à cette jeunesse professionnelle et dynamique qui permettra à la SCG-Ré d’atteindre son ambition africaine». Avant de conclure que « c’est enfin, une énorme responsabilité et un engagement pour le Management et la Team de la SCG-Ré, sous la supervision active et rigoureuse de notre PCA, Edouard-Pierre Valentin, de maintenir ces performances dans le temps et pérenniser cette entreprise, pour en faire l’une des meilleures sociétés de réassurance d’Afrique.»

Le « Prix international de l'Etoile du Leadership en Qualité 2018 », est une distinction qui existe depuis en 1986. Les lauréats viennent des cinq (5) continents. Quant aux cérémonies, elles sont organisées dans les plus grandes villes du monde comme New York, Londres, Paris, Genève, Francfort, ... Plusieurs trophées sont distribués dans les catégories Or, Platine et Diamant.

Pour rappel, créée en février 2012, sur initiative de l’Etat gabonais et des sociétés d’assurances du Gabon, la SCG-Ré est une filiale du Fonds gabonais d'investissements stratégiques (FGIS). Symbole du nouveau partenariat public-privé au Gabon, elle est aujourd’hui l’un des leaders du marché de la réassurance en Afrique subsaharienne.

La SCG-Ré a pour mission de gérer, au nom et pour le compte de l’Etat gabonais, la cession légale sur les primes et cotisations des sociétés d’assurance exerçant au Gabon. Elle est également chargée de recevoir les acceptations en réassurance autant commerciales que conventionnelles (facultatives et traités).

Pour l’exercice 2017, elle a réalisé un chiffre d’affaires de 12,265 milliards FCFA contre 11,3 milliards FCFA un an plus tôt. Mieux encore, elle a enregistré un résultat net en hausse de 112% à 1,205 milliards FCFA sur la période, en plus d’un résultat technique chiffré à 3,569 milliards FCFA.

Stéphane Billé

Selon les données du Global Passport Power Rank de 2018, compilées par le Cabinet de conseil Arton Capital, établissant les passeports qui sont ceux les plus puissants du monde, le sésame gabonais arrive en tête en Afrique centrale tandis que sur l’échiquier mondial, il pointe à la 152e position au plan individuel, sur les 199 pays répertoriés.

Selon ce classement, il donne accès à 59 pays, dont 26 sans visas et 33 dont le visa est octroyé à l’arrivée. Il est suivi au niveau de la sous-région par celui du Tchad qui occupe le 167e rang individuel, avec 55 destinations, dont 23 visas gratuits et 32 à l’arrivée.

Ceux du Cameroun 175e et du Congo 176e dans la même catégorie, avec 50 destinations chacun, ferment ce classement au niveau sous-régional, avec respectivement 20 destinations sans visas et 30 à l’arrivée ; et 17 sans visas et 33 à l’arrivée sur les 199 pays listés.

Au plan mondial, c’est le passeport singapourien qui détient la palme d’or. Il reste le plus puissant du monde en 2018, avec la possibilité qu’il offre de se rendre sans visas dans 166 pays dont 127 gratuits et 39, une fois à l’arrivée.

Dans ce classement, le passeport allemand arrive au deuxième rang, avec 164 destinations dont 126 sans visa et 38 avec obtention du visa à destination. Ensuite arrivent ceux du Danemark, de la Suède et de la Finlande, qui donne accès à 126 pays, avec 126 visas gratuits et 37 à l’arrivée.

Ensuite suivent les passeports luxembourgeois, français, américain, danois, suédois, norvégien, hollandais, espagnol, de la Corée du Sud et du Japon, qui ouvrent les portes de 163 pays sans visas.

Quant aux passeports belge, canadien, grec, autrichien, portugais, malaisien et irlandais, ils ouvrent les portes de 162 pays sans trop de soucis. Tandis que ceux de la Suisse, du Royaume-Uni, de la Hongrie ainsi que de la République Tchèque, figurent sur cette liste des passeports les plus puissants du monde, avec une ouverture sans visas sur 161 pays.

Avec un rang de 199e  au classement individuel, c’est le passeport afghan qui ferme la queue de ce classement avec seulement, 30 destinations sans visas dont, 5 gratuits et 25 à l’arrivée.

Stéphane Billé

 

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