(Le Nouveau Gabon) - Le nouveau directeur général adjoint de la filiale gabonaise, de la Singapourienne Olam international, Théophile Ogandaga (photo), est revenu il y a quelques jours, sur les performances de ladite société en 2018, ainsi que sur les priorités de l’année 2019.
Au cours d’un entretien à la presse, il a indiqué d’entrée de jeu que « malgré un contexte économique encore fragile, la filiale locale du groupe singapourien a clôturé l’exercice 2018 sur de belles performances en termes de résultats obtenus ». Avant d’ajouter que « l’année 2019 devrait être marquée par la poursuite des grands chantiers en cours ». En clair, Théophile OGANDAGA revendique un bilan satisfaisant au cours de l’exercice 2018 pour Olam Gabon.
Par la suite, il fait savoir que les performances accomplies au bénéfice des employés ont également été notoires. Il en veut pour preuve, la contribution de l’entreprise à l’accès au logement pour les employés de Libreville, grâce à la facilitation d’octroi de crédit bancaire à des taux nettement favorables.
En matière de chantiers ou des actions prioritaires pour l’année 2019, le DGA laisse indiquer que : «la société entend poursuivre sa démarche d’excellence de toutes ses opérations. Mais tout en continuant de s’assurer de la mise en œuvre des meilleures pratiques possibles, ainsi que la prise en compte des aspects financiers, sociaux et environnementaux, dans une approche de développement durable ».
Et de poursuivre «les principales activités qui retiendront le plus notre attention, seront les travaux de mise en œuvre du système d’irrigation sur site le de Mouila visant l’amélioration des rendements de nos plantations de palmier à huile, la construction de l’usine de production de latex dans les plantations de Bitam au Nord du pays, le suivi du système de traçabilité du bois livré dans la Zone économique spécial de Nkok, afin de nous assurer de sa légalité ».
L’autre priorité d’Olam Gabon pour la nouvelle année reste le démarrage des travaux de construction du nouvel aéroport international de Libreville, dans la zone d’Ayeme –Plaine et d’Ayeme – Maritime, ainsi que les travaux d’extension des infrastructures existantes, notamment ceux des ports.
Stéphane Billé