Face à la crise qui perdure à la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG), concessionnaire des secteurs de l'eau et de l'électricité au Gabon, le président de la Transition gabonaise a décidé de faire appel aux banques pour injecter des fonds qui permettront de relever cette société publique et garantir aux populations un meilleur accès à l’eau et à l’électricité. « Pour vous accompagner et sauver la maison, cela fait trois jours que j’échange avec les banquiers. Ils me proposent un plan d’appui budgétaire pour la SEEG. Une enveloppe de 150 millions d’euros, soit 100 milliards de FCFA, sera disponible dans un mois et demi », a annoncé Brice Oligui Nguéma lors d’une rencontre le 12 septembre dernier avec les principaux acteurs du secteur énergétique gabonais, principalement ceux de la SEEG.
Avec cette enveloppe financière, l’administrateur provisoire de la SEEG, en poste depuis le début de ce mois de septembre, devra tenter de redresser cette structure et lui éviter la faillite. En effet, cette société fait face à plusieurs difficultés marquées par des coupures d’électricité, imputées notamment à des pannes fréquentes et une gestion défaillante des infrastructures existantes. À cela s’ajoutent des fraudes internes massives ainsi qu’un vaste système de détournement qui causent des pertes financières significatives pour l'entreprise.
Il reste donc au nouvel administrateur provisoire et à son équipe de bien gérer ces fonds quand ils seront disponibles, pour améliorer la qualité de service de cette entreprise. « Chaque employé de la SEEG doit se mobiliser pour une gestion plus transparente et plus efficace afin de garantir aux populations un meilleur service », a exhorté le président de la transition.
SG
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Sous la Très Haute Présidence de Son Excellence Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, Général de Brigade, Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Conseil des Ministres s’est réuni ce jeudi 12 septembre 2024 à 10 heures, au Palais de la Présidence de la République.
La séance a été ouverte par le rapport du Ministre des Affaires Étrangères sur la visite officielle du Président de la Transition en Chine.
En effet, du 3 au 8 septembre, à l’invitation de Son Excellence Xi JINPING, Président de la République populaire de Chine, le Président Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a participé au Forum de coopération sino-africain à Pékin, aux côtés de plusieurs chefs d’État africains.
Lors de ce sommet, la « Déclaration de Beijing sur la construction conjointe d’une communauté d’avenir partagé Chine-Afrique pour une nouvelle ère » a été adoptée par consensus. À cette occasion, la Chine a annoncé la mise à disposition de 50 milliards de dollars de financements supplémentaires pour l’Afrique, sur les trois prochaines années. Ces ressources seront principalement orientées vers le développement des infrastructures, de l’agriculture et des énergies renouvelables.
En marge de cet événement, le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’Etat, a eu un entretien bilatéral avec son homologue chinois au Palais du Peuple. Les discussions ont porté essentiellement sur le renforcement des relations politiques et économiques entre les deux pays, ainsi que sur l’élargissement d’une coopération multisectorielle mutuellement bénéfique.
La Chine a par ailleurs renouvelé son engagement à soutenir financièrement les projets prioritaires du Gabon dans les secteurs de l’agriculture, des mines et de l’hydroélectricité.
Dans le même sens, le Conseil des Ministres s’est fortement réjoui des résultats du deuxième Forum économique Gabon-Chine, qui a marqué le cinquantenaire des relations bilatérales entre les deux nations. Cette rencontre a débouché sur la signature de plusieurs accords totalisant plus de 4,3 milliards de dollars, principalement dans les secteurs des Travaux Publics et de l’Énergie.
Fort de cela, le Président de la Transition a vivement encouragé les membres du Gouvernement à élaborer avec diligence les dossiers de projets, en vue de leur soumission rapide aux partenaires chinois. L’objectif est d’accélérer la conclusion des accords et d’entamer sans délai la mise en œuvre des projets concernés.
Enfin, et sur un tout autre plan, le Président de la Transition s’est félicité de l’institution, le 9 septembre dernier, de l’Assemblée constituante, étape clé dans le processus de réforme institutionnelle en cours, et de sa convocation, prévue du 12 au 22 septembre 2024, afin d’examiner le projet de Constitution de la République gabonaise élaboré par le Comité Constitutionnel National. Il a, en outre, appelé à l’implication pleine et entière des membres du Gouvernement concernés, ou sollicités, à cette étape cruciale du processus qui nous mènera droit vers le référendum qui permettra au Gabon de se doter d’une nouvelle loi fondamentale.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
Le Conseil des Ministres a délibéré sur les Affaires suivantes :
MINISTERE DE L’AGRICULTURE DE L’ELEVAGE ET DE LA PECHE
– le projet de décret portant approbation des statuts de la Société d’Agriculture et d’Elevage du Gabon.
Le présent projet de décret, pris en application des dispositions de l’article 51 de la Constitution vise à approuver les statuts de la Société d’Agriculture et d’Elevage du Gabon (SAEG) régie par la loi n° 20/2005 du 03 janvier 2006 fixant les règles de création, d’organisation et de gestion des services de l’Etat.
L’approbation concernée permettra de finaliser l’opérationnalisation de la SAEG en vue de répondre aux attentes du Gouvernement de la Transition et des populations en matière de sécurité alimentaire, de développement socio-économique et territorial.
MINISTERE DES COMPTES PUBLICS
– le Projet de Loi de Finances (PLF) 2025.
Le présent projet de budget formalise les Très Hautes orientations du Président de la République, Chef de l’État, relatives à la refonte de la Constitution et à la restauration de nos institutions. Il traduit également le respect de nos engagements envers nos partenaires techniques et financiers.
À cet effet, les principaux objectifs poursuivis par le PLF 2025 concernent :
– le soutien à l’optimisation des recettes, à travers la mise en œuvre de mesures visant à accroître la performance des services fiscaux et à améliorer la collecte des recettes douanières ;
– la poursuite des chantiers, notamment dans les secteurs de la Route, de l’Éducation, de la Santé, de l’Eau et de l’Énergie, pour redonner la dignité à nos compatriotes.
– Les principales hypothèses sur lesquelles repose le cadrage macroéconomique et budgétaire 2025 sont arrêtées comme suit :
– un recul de la production pétrolière de 2,1 % à 11,125 millions de tonnes métriques en 2025, contre 11,640 millions de tonnes en 2024 ;
– une chute du prix du baril de pétrole gabonais de 5,1 % à 75,0 USD en 2025, contre 79,0 USD le baril dans la loi de finances 2024 ;
– une augmentation de la production de manganèse de 7,7 % à 11,08 millions de tonnes en 2025, contre 10,3 millions de tonnes en 2024 ;
– une hausse du prix de vente du manganèse de 1,2 % à 135,7 dollars US la tonne en 2025, contre 134,1 dollars US en 2024 ;
– une hausse de la production de bois débité de 3,2 % à 1,40 million de tonnes en 2025, contre 1,36 million de tonnes en 2024 ;
– une dépréciation du taux de change du dollar américain de 0,7 % à 596,4 FCFA en 2025, contre 600,6 FCFA en 2024.
Sur la base des principales hypothèses arrêtées par le cadrage macroéconomique et budgétaire, le projet de budget de l’État est équilibré en recettes et en dépenses à la somme de 4 204,9 milliards FCFA, contre 4 162 milliards FCFA dans la loi de finances initiale 2024, soit une hausse de 42,9 milliards FCFA.
Les recettes budgétaires nettes des recettes affectées aux tiers, qui comprennent les recettes du budget général et celles des comptes spéciaux, sont évaluées à la somme de 2 879,2 milliards FCFA, contre 2 729,7 milliards FCFA arrêtées dans la loi de finances initiale 2024, soit une hausse de 149,5 milliards FCFA.
Les recettes affectées aux tiers, constituées des prélèvements au profit des collectivités locales (29 058 048 393 FCFA), des organismes internationaux (16 916 481 533 FCFA) et des établissements publics (71 375 616 587 FCFA), s’établiraient à 117,4 milliards FCFA, contre 105,2 milliards FCFA dans la loi de finances initiale.
Quant aux ressources de financement et de trésorerie, elles se chiffreraient à 1 208,4 milliards FCFA, contre 1 327,1 milliards FCFA arrêtées dans la loi de finances initiale 2024, soit une baisse de 118,7 milliards FCFA, imputable à la réduction des émissions de titres publics sur le marché international.
Les dépenses de l’État, nettes des affectations aux tiers, évaluées à 4 087,5 milliards FCFA, sont réparties en dépenses budgétaires (2 794,5 milliards FCFA) et en charges de financement et de trésorerie (1 292,9 milliards FCFA).
Les dépenses budgétaires, nettes des prélèvements au profit des tiers, seraient en augmentation de 225,7 milliards FCFA. Elles sont composées des dépenses du budget général, évaluées à 2 562,8 milliards FCFA, et de celles des comptes spéciaux, prévues pour un montant de 231,7 milliards FCFA.
Les dépenses du budget général, réparties entre 32 missions de politiques publiques, comprennent :
– les charges financières de la dette, qui se décomposent en intérêts sur la dette extérieure et intérieure, sont projetées à 349,4 milliards FCFA, contre un montant de 378,4 milliards FCFA inscrit dans la loi de finances initiale 2024, soit une baisse de 29 milliards FCFA ;
– les dépenses de personnel, composées de la solde permanente, des rémunérations des autres catégories de salariés, des vacations et des indemnités de sessions. Elles se chiffreraient à 825,3 milliards FCFA, contre 771,7 milliards FCFA dans la loi de finances initiale 2024, soit une hausse de 53,6 milliards FCFA. Cette situation s’expliquerait par la poursuite de la régularisation des situations administratives, les recrutements en cours et annoncés (45,5 milliards FCFA), les revalorisations des vacations du Ministère de l’Éducation nationale (2,5 milliards FCFA), les émoluments des parlementaires et des magistrats (3,6 milliards FCFA), ainsi que par les avancements en grade des agents de la Force de Défense et de Sécurité (2 milliards FCFA).
– les dépenses de biens et services connaîtraient une hausse de 33,3 %, représentant 94,5 milliards FCFA par rapport à la loi de finances initiale 2024. Elles s’établiraient à 378,6 milliards FCFA dans le projet de loi de finances 2025. Cette hausse s’expliquerait notamment par l’augmentation des dépenses liées à l’organisation des élections (28 milliards FCFA), aux remboursements de la TVA (+15,6 milliards FCFA), à la prise en charge des dépenses de souveraineté et de sécurité (+5 milliards FCFA), aux frais d’entretien et de location (+2 milliards FCFA), au financement des besoins des pouvoirs publics (+3,5 milliards FCFA), ainsi qu’à la prise en compte des primes d’assurance des nouveaux aéronefs (+2,5 milliards FCFA).
– les dépenses de transferts se stabiliseraient à 350,9 milliards FCFA, contre 352,2 milliards FCFA dans la loi de finances 2024, soit une baisse de 1,3 milliard FCFA due essentiellement à l’ajustement de la dépense des bourses, notamment celles du secondaire.
Ces trois dernières rubriques, qui composent les dépenses de fonctionnement de l’État, représentent 60,7 % des dépenses du budget général.
– les dépenses d’investissement s’établiraient à 592,6 milliards FCFA, contre 497,8 milliards FCFA dans la loi de finances 2024, soit une augmentation de 94,8 milliards FCFA. Cette hausse se justifierait par la prise en compte des projets prioritaires liés notamment aux infrastructures routières et à l’organisation des élections.
– les autres dépenses se situeraient à 65,8 milliards FCFA, contre 46,9 milliards FCFA, soit une hausse de 19 milliards FCFA par rapport à la loi de finances 2024. Cette variation s’expliquerait principalement par la réévaluation des rappels de solde (+16 milliards FCFA).
Les comptes spéciaux, regroupés en 12 missions, sont évalués à 231,7 milliards FCFA, contre 237,7 milliards FCFA dans la loi de finances initiale 2024, soit une baisse de 6 milliards FCFA.
Ils sont décomposés par titre comme suit :
– 18,5 milliards FCFA en dépenses de biens et services, en hausse de 0,8 milliard FCFA par rapport à la loi de finances 2024. Cette variation incombe essentiellement au CAS « Valorisation du patrimoine de l’État » (+1,7 milliard FCFA) ;
– 128,2 milliards FCFA en dépenses de transferts, en augmentation de 5,3 milliards FCFA tirée par le CAS « Pension » (+7,4 milliards FCFA) ;
– 85,1 milliards FCFA en dépenses d’investissement, en baisse de 12,1 milliards FCFA, due au CAS « Entretien du patrimoine routier de l’État » (-17,0 milliards FCFA), en raison de la forte baisse des recettes y relatives.
En baisse de 13,1 %, les charges de financement et de trésorerie se chiffreraient à 1 292,9 milliards FCFA, contre 1 487,9 milliards FCFA dans la loi de finances 2024. L’essentiel de ces charges est consacré à l’amortissement de la dette (1 290 milliards FCFA).
MINISTERE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE, DES SPORTS ET DES ARTS
– Projet de loi portant orientation de la Politique Culturelle en République Gabonaise.
Le présent projet de loi, pris en application des dispositions de l’article 47 de la loi n° 3/91 du 26 mars 1991 portant Constitution de la République Gabonaise, a pour objectif de sauvegarder, promouvoir et valoriser l’héritage culturel du Gabon.
À ce titre, il poursuit notamment les objectifs suivants :
– assurer la sauvegarde, la protection et la promotion du patrimoine culturel national ;
– promouvoir les langues maternelles et traditionnelles ;
– intégrer les valeurs culturelles nationales à l’éducation formelle et informelle ;
– encourager la production et la diffusion des œuvres culturelles.
Ce projet de loi établit les conditions propices à la reconnaissance et au respect des valeurs traditionnelles et modernes, tout en intégrant une approche intergénérationnelle. Il favorise également la participation active des opérateurs culturels privés et des personnes physiques ou morales spécialisées dans le domaine culturel.
Le cadre institutionnel prévu pour son application comprend :
les organes centraux ;
les collectivités locales ;
les organismes sous tutelle ;
les services médiatiques et de publicité ;
les fondations, associations et organisations
non gouvernementales à vocation culturelle.
MINISTERE DES TRANSPORTS, DE LA MARINE MARCHANDE ET DE LA MER
– Projet de loi modifiant et complétant certaines dispositions de la loi n° 023/2016 du 29 décembre 2016 portant Code de l’Aviation Civile.
Le présent projet de loi tire son fondement des recommandations de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) issues du dernier Audit effectué en République Gabonaise.
En effet, l’Aviation Civile gabonaise a été soumise à plusieurs missions de validation coordonnée (ICVM) menées par cette organisation onusienne pour homologuer le niveau du Gabon dans l’implémentation des normes et pratiques recommandées dont elle convie les Etats à se soumettre.
Ainsi, les modifications du présent projet de loi ont pour but de le rendre plus exhaustif afin de couvrir tous les écarts du point de vue de l’encadrement juridique requis ou préconisé par l’OACI et l’Union aérienne.
A ce titre, l’élaboration du présent projet de loi prend entre autres, en compte les éléments suivants :
– la redéfinition des responsabilités de l’Autorité aéronautique et de l’ANAC ;
– l’insertion de dispositions traitant du pouvoir de dérogation à titre exclusif à l’Autorité l’Aviation civile tel que voulu par l’OACI ;
– le rajout des documents aéronautiques délivrés par l’ANAC ;
– le renforcement des pouvoirs des inspecteurs de l’Aviation civile ;
– le recadrage des programmes nationaux adoptés dans le domaine de la sûreté de l’Aviation civile ;
– le rajout des dispositions relatives à la gestion de la navigabilité des aéronefs ;
– le rajout des dispositions relatives au Programme National de Sécurité ;
– l’actualisation des dispositions sur les infractions, les sanctions et les peines
– les corrections de forme jugées essentielles.
MINISTERE DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DU RENFORCEMENT DES CAPACITES
– Projet de décret fixant la procédure de recrutement des agents publics de l’Etat.
Pris en application de la loi n°001/2005 du 04 Février 2005 portant statut général la Fonction Publique et de toutes les autres dispositions en vigueur, ce projet de décret vient renforcer le dispositif de gestion des ressources humaines de l’administration dans une dynamique de gestion prévisionnelle des emplois, des effectifs et des compétences qui vise l’assainissement des modalités de recrutement à la Fonction Publique et de la masse salariale.
Ainsi, les articles 5, 6, 7, 8 et 9 stipulent que tout recrutement dans la Fonction Publique est suscité par une évaluation des besoins en ressources humaines réalisée par les services compétents des ministères et des Institutions Constitutionnelles et les Autorités Administratives indépendantes et donne lieu à l’élaboration d’un plan de recrutement validé par le Ministre responsable puis transmis au Ministre chargé de la Fonction Publique.
La réforme porte notamment sur l’exigence d’un plan de recrutement élaboré chaque année et transmis au plus tard la première quinzaine du mois d’avril ; l’interdiction d’établir l’attestation de prise de service ou de généré l’identifiant avant l’obtention du poste budgétaire ; l’existence d’un cadre d’expression et de validation des besoins émis par les administrations.
Au terme de son examen le plan de recrutement est soumis, pour validation, à la Conférence de Planification des recrutements qui est l’instance d’évaluation et de validation des plans de recrutement composée ainsi qu’il suit :
– Président : Ministre chargé de la Fonction Publique ;
– Vice-président1 : Ministre chargé du Budget ;
– Vice-président 2 : Ministre sectoriel
concerné ;
– Membres :
Secrétaire Général du ministère en charge de la Fonction Publique ou son Représentant.
Secrétaire Général du ministère en charge du Budget ou son Représentant ;
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Secrétaire Général de l’administration concernée ou son Représentant ;
Directeur Général de la Fonction Publique;
Directeur Général du Budget et des
Finances Publiques ;
Directeur de la Solde ;
Directeur du Recrutement.
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE : MINISTERE DE LA SANTE
Le Conseil a pris acte de la communication de Monsieur le Ministre relative aux enjeux et intérêts de la subvention GC7 du Fonds Mondial de lutte contre le VIH Sida, la Tuberculose et le Paludisme.
MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES PARTICIPATIONS
Sur présentation du Ministre, le Conseil a marqué son accord au projet de budget relatif à la contribution internationale spéciale du Gabon au financement de la réunion Ministérielle du Groupe d’Action contre le Blanchiment d’Argent en
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Afrique Centrale (GABAC) qui se tiendra le 28 septembre 2024 à Libreville.
MINISTERE DU TRAVAIL ET DE LA LUTTE CONTRE LE CHÔMAGE
Le Conseil a pris note des communications suivantes de Monsieur le Ministre :
– Visite du Directeur Général de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) : Du 30 juin au 2 juillet 2024, cette visite a suivi la 112e Conférence Internationale du Travail et l’admission du Gabon au Conseil d’Administration du Bureau International du Travail (BIT). Elle a permis de renforcer les relations entre le Gabon et l’OIT, d’affirmer notre position au sein des instances internationales du travail, et d’obtenir des recommandations essentielles pour les réformes à venir.
– Organisation des élections professionnelles : Cette communication a exposé les enjeux, objectifs et implications sociales et économiques des prochaines élections professionnelles en République Gabonaise. Ces élections offriront une plate-forme essentielle pour l’expression des employés et leur participation à la prise de décisions concernant leurs conditions de travail.
MISSIONS-SEMINAIRES-CONFERENCES
MINISTERE DE LA SANTE
Sur présentation du Ministre le Conseil a marqué son accord pour la participation du Gabon à la 79ème Assemblée Générale des Nations-Unies et la Réunion de Haut Niveau sur la Résistance aux Antimicrobiens prévues se tenir à New-York du 20 au 28 septembre 2024.
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
SECRETARIAT GENERAL
– Chargé de Mission du Président de la République :
GABON 24
DIRECTION GENERALE
– Directeur Général Adjoint : M. Cédric-Alaric
MOUBOUYI.
– Directeur de l’Information : M. Amstrong AGAYA AKEN.
– Directeur de l’Information Adjoint : Mme Thérèse BIYOGOU BAGNENDA TCHIEYA.
PRIMATURE
SECRETARIAT GENERAL DU GOUVERNEMENT
CABINET DU SECRETAIRE GENERAL DU GOUVERNEMENT
– Conseillers à la Primature :
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– Attaché de Cabinet à la Primature :
Mmes
Annia DOUSSIA MOUKASSA,
Confirmée ;
Naomie Clérosie BATABA BEYOUMA. MINISTERE DE LA REFORME DES
INSTITUTIONS
SECRETARIAT GENERAL
DIRECTION GENERALE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES NON PARLEMENTAIRES
CONSEIL D’ETAT
– Secrétaire Particulière du Président de la Chambre Sociale : Mme Alda Nadège OKOMO ESSONO.
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CONSEIL ECONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL (CESE)
CABINET DU PRESIDENT
– Contrôleur Budgétaire : M. Jean
MBADINGA MBADINGA ;
– Chef de Cabinet : Mme Rosalie LENDONGA Epse MBADOUMA ;
– Secrétaire Particulière du Président : Mme Huguette NZAMBA NZAMBA ;
– Secrétaire de Cabinet : Mme Odette EDJIEGOYE ;
– Secrétaire de Cabinet : Mme Marie Agnès NYAMANTSIENGUI ;
– Secrétaire du Directeur de Cabinet : Mme Yolande Edna DUMAIRE.
– Conseillers : MM.
Jean Euzebe NGUEMA ;
Jean Marc MINSO MI-EKOME ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 23 sur 64
Michel NDOUKOU ;
Michel BOULINGUI ;
Richelieu ZUE OBAME ;
MAVOUNGOU MAVOUNGOU ;
Euphrème OUTATA ;
Jean Louis KOMBILA ;
Kenh Baudry BOUDIANDZA DICKA ; Jean Claude NZAMBA.
Mmes
Irène Patricia MANGUILA B ; Rose LELALI Epse EKOUA ; Ralisia Gilda NDZOLA ;
Sylvie NZE BIBANG ;
Aurélie KASSAT Epse NGUEMA.
– Chargés d’Etudes : MM.
Kevin ABOGHE NGYE ; Raymond ZEBEME ;
Greg Loïc NZOGHE.
Mmes
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 24 sur 64
Stella MAMBOUNDOU MOUKETOU ;
Corine Tania MADJINOU NGADJI.
– Attachés de Cabinet : Mme Nadège
BIDJONGOU
MM.
Hardy Junior GUITSOUKIGA ;
Aristide MOUNDOUMOU ;
Alphonse MAGANGA MBADINGA ; Jean Arsène BAMIZOCK OSSELE ; Macaire BOUTAMBA MBOUMBA.
– Directeur du Protocole : Mme Clarisse Marie SOUGOU.
– Chef du Protocole : M. Claude Bertrand MOUELE.
– Agents du Protocole :
Mme Nina Emérencienne MOUTSINGA ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 25 sur 64
– Attachés de Presse :
– Chauffeurs Particulier :
MM.
Armand MAVIOGA MOUSSAVOU ; Nicaise MOUENZI ;
Gabriel ENGUIE NDONG.
– Aide de Camp : M. Thierry ADJATSIBI.
– Chef de Sécurité : M. Hycksone Sheman
NDJONA.
– Agents de Sécurité : MM.
Orus Romaire BOUNDZANGA ;
Ham-Record MOUNDOUNGA ;
MBEMBO MOUNDOUNGA
Alfieri MICHIMA-BENGA ;
Alain Pamphile MOUNGALAT ;
Djoferson OKOGHO LODA ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 26 sur 64
Hugues Martial MADOUNGOU MOUELE ;
Edgard PONGA MASSALA. – Chargés de Missions :
MM.
BOUKOUMOU BOULINGUI ;
Dominique BOUROBOU
MAMBOUNDOU ;
Théodore IBOUANGA ;
Michel MUDJABUNU ;
Anicet MACKOSSO ;
Idriss NZONDO MAGNANGA ;
MOUSSAVOU MOUSSAVOU ;
Theddy Blaise MOUANDA.
Mmes
Paule Sabrina ASSOME MATHE ;
MADJINOU MBADINGA ;
Tatiana MOUSSOUNDA ;
Ernestine MOUSSAVOU MOUKAGA ; Zita Mireille MANGA MBADINGA ;
Claude Cendra MOUITY MOUITY.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 27 sur 64
CABINET DU 1er VICE-PRESIDENT
– Chef de Cabinet : Mme Armelle Diane Flore Liétricia NZAOU Epse MOUKETOU BAYETTE.
– Secrétaire Particulière : OYANE ONDO.
– Chargée d’Etudes : M. ATOUT.
– Chauffeur : M. MOUSSOUNDA.
Mme Chantal Yannick ZOKO Jean Donald
CABINET DU 2ème VICE-PRESIDENT
– Chef de Cabinet : Mme Noëline ONDENO ;
– Secrétaire Particulier : Mme Annick Joëlle BIOGHE NZAOU ;
– Chargé d’Etudes : M. Max Yvan Sherry MAKAYA MAKAYA ;
– Chauffeur : M. Jospin Jean Baptiste MAYI.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 28 sur 64
CABINET DU 1er SECRETAIRE
– Chef de Cabinet : M. Jean François NDONG EBE ;
– Secrétaire Particulière : Mme Anne Mardèle MBANA ESSONGUE ;
– Chargé d’Etudes : M. Prosper DJIMBI MAKOSSO ;
– Chauffeur : M. Boniface NZENGUE. CABINET DU 2ème SECRETAIRE
– Chef de Cabinet : M. Dieudonné MOUCKETOU.
– Secrétaire Particulière : Mme Laure Murielle ONTSIA ESSOULA.
– Chauffeur : M. Dieudonné MILAME. CABINET DU 1er QUESTEUR
– Chef de Cabinet : M. Sylvestre EMANE NSOUKUI ;
– Secrétaire Particulière : Mme Leïla Nancy BICKOTA ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 29 sur 64
– Chargé d’Etudes : M. Gyscard OBAME NDONG ;
– Chauffeur : M. Jean Gérard ASSOUMOU NGUEMA.
CABINET DU 2ème QUESTEUR
– Chef de Cabinet : M. Arsène NZUE EDOU ;
– Secrétaire Particulière : Mme Penelope Annissa ABEMEGOMO NGUEMA ;
– Chargé d’Etudes : M. Jerdal OBINDJI LAKOUNGOU ;
– Chauffeur : Adjudant-Chef Major Fleury Fabrice IBITI MASSALA.
HAUTE AUTORITE DE LA COMMUNICATION (HAC)
CABINET DU CONSEILLER MEMBRE FELICIENNE NYANGONO
– Attaché de Cabinet : Mme Mandy Indra MENGUE MBIKA ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 30 sur 64
– Secrétaire Particulière : Mme Joséphine ANTONIO ;
– Chauffeur Particulier : M. Edouard NDZOGO NSOLO.
CABINET DU CONSEILLER MEMBRE HENRI GEORGES ISSEMBE
– Attaché de Cabinet : M. Arthur ONDONDONG ;
– Secrétaire Particulière : Mme Minette Olga OBONE NKOULOU ;
– Chauffeur Particulier : M. Hugues Martial MOUEYI.
CABINET DU CONSEILLER MEMBRE ROGER MEBANG MENZE
– Attaché de Cabinet : M. Dimitry ANGIE ENGO ;
– Secrétaire Particulière : Mme Mirna BILEMBA ITA Epse IRANGA ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 31 sur 64
– Chauffeur Particulier : M. Pierre Alain MINKO BILOGHE.
CABINET DU CONSEILLER MEMBRE AIME MFOULA NGHANGUY
– Attaché de Cabinet : M. René MOUNGAMBA ;
– Secrétaire Particulière : Mme Rudy MOUTSINGA GUIVIGOU ;
– Chauffeur Particulier : M. Geoffroy NZANIANGA.
CABINET DU CONSEILLER MEMBRE JANVIER NGUEMA MBOUMBA
– Attaché de Cabinet : M. TSOUBOU ;
– Secrétaire Particulière : Mme HOMBOUIRY NZIENGUI MOUBOGHA ;
Maurice
Patricia Epse
– Chauffeur Particulier : M. Marius MBAKI.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 32 sur 64
CABINET DU CONSEILLER MEMBRE ALEXANDRE LEWOBI-LENDENDJI
– Attaché de Cabinet : Mme Jonnika Christ MBOULOUNGOU BOUNDENE ;
– Secrétaire Particulière : Mme Alice MBOODY BIVAINE.
CABINET DU CONSEILLER MEMBRE JEAN FRANCOIS MOUWAKA NGONGA
– Attaché de Cabinet : M. Faustin LETADI ;
– Secrétaire Particulière : Mme Rêve Elza
Noëla LEBAKA-MIPAKA Epse TONDA ;
– Chauffeur Particulier : M. Martinien LITSIMBI.
CABINET DU CONSEILLER MEMBRE JEAN CLAUDE FRANCK MENDOME
– Attaché de Cabinet : M. Brice Anicet DIMBOMBI DYA DIMBOMBI ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 33 sur 64
– Secrétaire Particulière : Mme Marie- Christine NZE AKOGHA Epse OYEGHE ;
– Chauffeur Particulier : M. Lord Dusmond MOUKASSA.
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA FORMATION CIVIQUE
AGENCE NATIONALE DE FORMATION ET D’ENSEIGNEMENT PROFESSIONNELS (ANFEP)
DIRECTION GENERALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Guy
Roger EKAZAMA.
DIRECTION DE LA COMMUNICATION – Directeur : M. Abel TATY.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 34 sur 64
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE L’INNOVATION TECHNOLOGIQUE
CABINET DU MINISTRE
– Conseiller Technique : M. Aimé TONDA MANDJEGUI ;
– Chargée de Missions : Mme Gisèle Nina AVOUNE Epse NZE.
SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général Adjoint : M. Jean Bruno PENDI PENDI.
DIRECTION GENERALE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
– Chargée d’Etudes : Mme Charlène Kady IGNANGA MOUYOMBI.
DIRECTION CENTRALE DES AFFAIRES JURIDIQUES
– Directeur : M. Georges WORA
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 35 sur 64
UNIVERSITE OMAR BONGO
RECTORAT
– Conseiller en charge des Affaires Académiques :
– Conseiller Financier : Mme Karen Fiona MBICKA Epse ONDIGUI ABULE.
– Chargée d’Etudes : Mme Filde B BOUKEBE NGOSSANGA.
– Gestionnaire Comptable : M. Jean SIMA EKOGHANE.
SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général Adjoint : M. Marcellin NKOGHE ONDO.
DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES
– Directeur :
NDONG.
Présidence de la République SCM
Communiqué final Page 36 sur 64
– Chef de Service des Engagements : Mme Margueritte EYEANG MINTSA.
BIBLIOTHEQUE UNIVERSITAIRE CENTRALE
– Directeur : M. Elie YOUMBA. UNIVERSITE DES SCIENCES ET
TECHNIQUES DE MASUKU
RECTORAT
DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES
– Directeur : M. Patrick Hervé IMBONDAH MATHOUMBOU.
INSTITUT UNIVERSITAIRE DES SCIENCES DE L’ORGANISATION SOPHIE NTOUTOUME EMANE (IUSO-SNE)
DIRECTION GENERALE
– Assistante Particulière du Directeur Général:
Mme. Clarisse YOMBO ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 37 sur 64
– Chargées d’Etudes : MMES
o Brigitte Carole OYANE EYEGHE ; o Nina Jennipher MAMFOUMBI ;
– Gestionnaire-Comptable : M. Jean Pierre BABIKA ;
DIRECTION DES ETUDES CHARGE DU CYCLE MASTER
– Directeur des Etudes : M. Hervé ESSONO MEZUI.
SERVICE DE LA SCOLARITE
– Responsable de la Scolarité : M. Guy Aimé
MINONGO.
DEPARTEMENT SIC
– Chef de Département : M. Pierre Ghislain
MABICKA.
DEPARTEMENT STT
– Chef de Département : Mme. Marina Audrey
MOUTSINGA MANFOUMBA.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 38 sur 64
DEPARTEMENT SM
– Chef de Département : M. Oscar MEGNE
M’ELLA.
DEPARTEMENT SJA
– Chef de Département : Mme Vanessa Pauline
NTSAME MINTSA SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général : M. Olivier MBOUMBHAT ;
– Chef de Service Informatique : M. Sébastien OLAGOT ;
– Chef du Personnel : Mme. Adélaïde AVOME ABOGHE ;
– Chef de Service Bibliothèque : Mme. Marie Claire BOUANGA ;
– Chef de Service Archives : M. Bill Salomon MEDZEGUE ME MBEGHA ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 39 sur 64
INSTITUT NATIONAL DES SCIENCES DE GESTION (INSG)
– Directeur des Etudes 1 : M. ASSOUMOU ONDO ;
– Directeur des Etudes 2 : Mme. OYAYA KALITOU Epse MADOUNGOU ;
– Conseiller du Directeur Général : M. Louis Bernard AVELE OBAME ;
– Chargé d’Etudes : M. Louis Bertrand MOSSIE
SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général : M. Patrick NDONG ;
– Gestionnaire Comptable : M. Steeve Franck KOUMBA ;
– Chef du Personnel : M. Charles ENGONE METEGHE ;
– Chef de Service Relations Entreprises : Dr. Djeneric SAKA ALANDJI.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 40 sur 64
DEPARTEMENT MARKETING ET AFFAIRES INTERNATIONALES
– Chef de Département : Mme Jacqueline OBONE NDONG Epse OVONO EDZANG.
DEPARTEMENT GESTION APPLIQUEE
– Chef de Département : Mme Alexise NKENE
NDONG Epse MEYE.
INSTITUT SUPERIEUR DE TECHNOLOGIE
DIRECTION GENERALE
– Conseiller du Directeur Général : Mme
Laurence MAPEBA.
MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES PARTICIPATIONS
FONDS GABONAIS D’INVESTISSEMENTS STRATEGIQUES (FGIS)
DIRECTION GENERALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Yves
Boris INDOUMOU.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 41 sur 64
MINISTERE DU PETROLE
SOCIETE GABONAISE DE RAFFINAGE (SOGARA)
DIRECTION GENERALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Sylvain
Giscard ELLA MOTO ELLA.
GAB’OIL
DIRECTION GENERALE
– Directeur Général : M. Jean François
OWONO MESSIE.
MINISTERE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME ET DU CADASTRE
SOCIETE NATIONALE IMMOBILIERE (SNI)
DIRECTION GENERALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Michel
Léandre DELBRAH NDASSY.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 42 sur 64
MINISTERE DU TRAVAIL ET DE LA LUTTE CONTRE LE CHOMAGE
CABINET DU MINISTRE
– Conseiller Technique : M. Jean Baptiste BE-
ENGOGAH.
– Chargés d’Etudes :
o Mme Bermelia AYIE NZOLA ;
o M. Mesmin KOMBILA KOMBILA.
– Secrétaires de Cabinet : Mmes
o Andrée Laurène Kisslène BIE ;
o Quetia EVOUNG ABELE.
– Chef de Protocole : M.
LEBOUMBA.
OMOGHE
Elie Brice
– Chargés de Missions :
o Mme Ida Christelle
N’DZAMBA o M. Rolland Saturnin BIE ENGONE.
ISSANGA ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 43 sur 64
– Agents de Sécurité : MM.
o Brigadier Julio Cardin MBAMA ;
o Sous-Brigadier Dimitri Venceslas
ESSOE MBA.
– Aide de Camp : Brigadier-chef de Police Gildas Pradhas KOUMBA KOUMBA.
INSPECTION GENERALE DES SERVICES
– Inspecteur Général : M. Alain Jules MONANGZE ;
– Inspecteur Général Adjoint : Mme Viviane MILINGUI KASSA ;
– Inspecteur des Services :
MM.
o OBIANG OVONO, Confirmé ;
o Lucien BOULEPALT, Confirmé ; o Serge MBA BIYOGO.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 44 sur 64
SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général : M. Alain Didier
AFANERE MEVYANN, Confirmé ;
– Secrétaire Général Adjoint : Mme Emilie
Léocady MIKAMBI Epse MOUSSADJI.
DIRECTION GENERALE DU TRAVAIL, DE LA MAIN D’ŒUVRE ET DE L’EMPLOI
– Directeur Général : M. Luc AGONDJO ;
– Directeur Général Adjoint : M. Claude
Thibault BALOGHI, Confirmé.
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE LA
REGLEMENTATION
– Directeur : Georges Malo MAPANGOU
MALEKOU ;
– Directeur Adjoint : Mme Annie Ghislaine MIGHIAMA Epse MBELE.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 45 sur 64
INSPECTION SPECIALE DU TRAVAIL CHARGEE DU SECTEUR PETROLIER
– Inspecteur Spécial : M. Therance MBADINGA MOUSSAVOU, Confirmé ;
– Inspecteur Spécial Adjoint : M. Denis Phégor MAGANGA BIDONGA.
INSPECTION SPECIALE DU TRAVAIL CHARGEE DU SECTEUR MINIER
– Inspecteur Spécial : M. Hugues WORA DEVEDY, Confirmé ;
– Inspecteur Spécial Adjoint : Mme Chantal MBOUMBA, Confirmée.
DIRECTION PROVINCIALE DU TRAVAIL DE L’ESTUAIRE
– Directeur NGOUABE.
Provincial : M. Sylvestre
Présidence de la République SCM
Communiqué final Page 46 sur 64
INSPECTION DEPARTEMENTALE DU TRAVAIL DE LIBREVILLE
– Chef de Service Départemental : M. Serge POUDRET.
INSPECTION DEPARTEMENTALE DU TRAVAIL DU KOMO-MONDAH (NTOUM)
– Chef de Service Départemental : Mme Chantal EFFIRE NGUEMA.
DIRECTION PROVINCIALE DU TRAVAIL DU MOYEN-OGOOUE
– Directeur Provincial : M. Mohamed Loick NGUEMA FANE.
DIRECTION PROVINCIALE DU TRAVAIL DE L’OGOOUE-MARITIME
INSPECTION DEPARTEMENTALE DU TRAVAIL DE BENDJE (PORT-GENTIL)
– Chef de Service Départemental : M. Accel Bruno BYE ANGO.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 47 sur 64
DIRECTION PROVINCIALE DU TRAVAIL DU WOLEU-NTEM
– Directeur Provincial : M. Brice Clément EBA ONDO.
DIRECTION GENERALE DE L’EMPLOI
– Directeur Général : M. Jean François TOMO
EYENE, confirmé ;
– Directeur Général Adjoint : M. Guy IKAPI,
confirmé ;
– Directeur du Suivi-Evaluation et de la Prospective : M. François Hugues MAYOMBO.
DIRECTION GENERALE DE LA SECURITE ET DE LA SANTE AU TRAVAIL
– Directeur Général : Dr. Nothurge DITENGOU, confirmé ;
– Directeur Général Adjoint : M. Jean Bosco OBAME NDONG.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 48 sur 64
MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE ET DE LA PECHE
SOCIETE POUR L’AGRICULTURE ET L’ELEVAGE DU GABON (SAEG)
DIRECTION GENERALE
– Conseillers du Directeur Général :
o M. Serge NDONG OBAME o M. Jean AMPARI
– Directeur Administratif et Financier : M. MBOUROU REMBENE Christian Roger ;
– Directeur Juridique : M. Augustin Lobelle YEMBI.
MINISTERE DES TRANSPORTS, DE LA MARINE MARCHANDE ET DE LA MER
TRANSURB
DIRECTION GENERALE
– Conseiller du Directeur Général : M.
TCHEMAMBELA Christian
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 49 sur 64
CONSEIL GABONAIS DES CHARGEURS (CGC)
DIRECTION GENERALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Ismaël OYABI ;
– Chargé d’Etudes : M. BIYOGHE.
MINISTERE DE
NUMERIQUE ET DES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION
CABINET DU MINISTRE – Chargés d’Etudes :
MM.
o Pierre Romuald OMBIGATH ; o Luther MOIZHOU.
– Secrétaire de Cabinet 2 : Mme Rebecca Idène AMMA, en remplacement du Sous-Brigadier Maider Suinela NZEKO remise à la disposition des Forces de Police Nationale.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 50 sur 64
Joël BEKALE
L’ECONOMIE NOUVELLES
– Chauffeur Particulier du Ministre : M. MEKANDAKOPANGOYE
SECRETARIAT GENERAL
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES – Directeur : M. Alain MOUSSAVOU.
AGENCE NATIONALE DES INFRASTRUCTURES NUMERIQUES ET DES FREQUENCES (ANINF)
DIRECTION GENERALE
– Directeur Général : M. Alberto Wenceslas
MOUNGUENGUI MOUDOKI, Confirmé ;
– Directeur Général Adjoint : Mme Maryse
MADIBA ILOUMBOU ;
– Conseiller Technique : M. ONGBWA OLLOMO ;
Armel Onas
– Conseiller Administratif : M. Hugues Maixent MBA MVET ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 51 sur 64
– Conseiller Juridique : Mme Christelle Raiza MBA ESSONO ;
– Directeur des Applications : M. Steave Gaël IVOMBO ;
– Directeur de la Communication et du Marketing : Mme Julie LUNGANGA TOMO.
Les personnes dont les noms suivent sont démises de leur fonction. Il s’agit de :
MM.
– Jean Philippe MEYE ;
– Benjamin NZANDOU ;
– Michel Alain IGOWA ;
– Lin François MADJOUPA ;
– Sosthène AGNOUGA ;
– Yves Boris INDOUMOU.
Mmes
– Rachel LISSENGUET ;
– Clara NGOUNDOU ;
– Léila Carla NOMBO NWENGNANDJI ;
– Majdeline AYOUNE.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 52 sur 64
DIRECTIONS CENTRALES DES SYSTEMES D’INFORMATION
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE ET MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE
– Directeur Central des Systèmes d’Informations : Mme Monique ATEME OWONO ;
– Directeur Central Adjoint : M. Serge Alexis MOUKAGA MANGABOULA ;
– Chef de Service Exploitation : M. Aymar ASSELE ;
– Chef de Service Infrastructure : M. Romaric MBEMBO ;
– Chef de Service Logistique et Moyen : Mme Cynthia Rosemonde IQUAQUA, confirmée.
PRIMATURE ET SECRETARIAT GENERAL DU GOUVERNEMENT
– Directeur Central des Systèmes d’Information : M. Dorian MOUKET.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 53 sur 64
– Directeur Central Adjoint : Mme Marie Auxiliadora MOUKITA épouse MFOUBOU.
– Chef de Service Exploitation : Mme Anne Michèle NSENG MENDOME.
– Chef de Service Infrastructures : M. Bertrand Lorrys POATY KAMA.
– Chef de Service Logistique et Moyen : M. Hemery ENGONGA OBAME.
MINISTERE DE LA REFORME DES INSTITUTIONS ET MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, CHARGE DE L’INTEGRATION SOUS-REGIONALE ET DES GABONAIS DE L’ETRANGER
– Directeur Central des Systèmes d’Information : M. Judicaël BOUBALA FOUAFOUA.
– Directeur Central Adjoint : Mme Trifaine MOUSSIROU.
– Chef de Service Exploitation : M. Rufin MEZUI.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 54 sur 64
– Chef de Service Infrastructures : Mme Idelette OBONE NDONG.
– Chef de Service Logistique et Moyen : M. Cédric Martial ALEVINAT.
MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DE LA SECURITE ET MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX
– Directeur Central des Systèmes d’Informations : M. Hyacinthe NZIGOU MAMADOU.
– Directeur Central Adjoint : M. Roland Leger NDJILA.
– Chef de Service Exploitation : M. Albert Stéphane ROGOMBE.
– Chef de Service Infrastructures : M. Yannick Dénis BOUANGA.
– Chef de Service Logistique et Moyen : Mme Christine Rebecca ONFOUYA.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 55 sur 64
MINISTERE DE LA SANTE, MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET MINISTERE DES TRANSPORTS, DE LA MARINE MARCHANDE ET DE LA MER
– Directeur Central des Systèmes d’Information : Mme Nina Rézilia OMPOUMA épouse AGANDA.
– Directeur Central Adjoint : M. NZIENGUI MBADINGA MOUANDA.
– Chef de Service Exploitation : M. Jean Claude FOUITY.
– Chef de Service Infrastructures : M. Josty Armel BISSIELOU.
– Chef de Service Logistique et Moyen : Mme Sandra Nadine NGARI.
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA FORMATION CIVIQUE ET
MINISTERE SUPERIEUR,
Présidence de la République SCM
DE L’ENSEIGNEMENT DE LA RECHERCHE
Communiqué final Page 56 sur 64
SCIENTIFIQUE ET DE L’INNOVATION TECHNOLOGIQUE
– Directeur Central des Systèmes d’Information : Mme Miriame OYENI OPRAH Epse NGUEMA.
– Directeur Central Adjoint : M. Rodrigue Donstane MESSIE.
– Chef de Service Exploitation : M. Jacques Stéphane Ernest DIOUF.
– Chef de Service Infrastructures : M. Cheickna AWORET.
– Chef de Service Logistique et Moyen : Mme Nadège NZIENGUI épouse LENDOYE.
MINISTERE DU TRAVAIL ET DE LA LUTTE CONTRE LE CHOMAGE, MINISTERE DE LA COMMUNICATION ET DES MEDIAS ET MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L’INNOVATION
– Directeur Central des
Systèmes
MBANG
d’Informations : NZE.
Présidence de la République SCM
Mme Huguette
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– Directeur Central Adjoint : M. Rodrigue Bertrand YALANZELE.
– Chef de Service Exploitation : Mme Arlette PEKOUET IGOUE épouse EYA MEFANE.
– Chef de Service Infrastructures : M. Eddy Brice MOULOUNGUI MABIKA.
– Chef de Service Logistique et Moyen : Mme Nadège NGNINGONE LENTSIDJA Epse MEYEKET.
MINISTERE DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DU RENFORCEMENT DES CAPACITES ET MINISTERE DES COMPTES PUBLICS
– Directeur Central des Systèmes d’Information : Mme Martine ANTAYI.
– Directeur Central Adjoint : M. Gelas MAROGA MOUNGUENGUI.
– Chef de Service Exploitation : M. Louison Joël Fuller NVEME.
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– Chef de Service Infrastructures : M. Cédric NZIENGUI NZIENGUI.
– Chef de Service Logistique et Moyen : Mme Laure Prisca IGNANGA.
MINISTERE DES TRAVAUX PUBLICS ET MINISTERE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME ET DU CADASTRE
– Directeur Central des Systèmes d’Informations : Mme Clémentine Marie AKOGHET.
– Directeur Central Adjoint : M. Gaston OWOULAWOULA MINTSA.
– Chef de Service Exploitation : M. Yvon Noël BOLA BOLA.
– Chef de Service Infrastructures : M. Thierry Georges BEKALE.
– Chef de Service Logistique et Moyen : M. Jean-Hilaire ZAZOUBABI.
MINISTERE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE, DES SPORTS ET DES ARTS,
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 59 sur 64
MINISTERE DU COMMERCE, DES PME-PMI, CHARGEE DES ACTIVITES REMUNERATRICES DE REVENUS
ET MINISTERE DU TOURISME ET DE L’ARTISANAT
– Directeur Central des Systèmes d’Informations : Mme Flore MASSOUNGA NZAMBA.
– Directeur Central Adjoint : Mme Tatiana Alix BOUKANDOU TAPO.
– Chef de Service Exploitation : M. Félix MVE NKILI.
– Chef de Service Infrastructures : Mme Léonie NKARE ZUE.
– Chef de Service Logistique et Moyen : Mme Josiane DENGUE.
MINISTERE DES EAUX ET FORETS, MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT, DU CLIMAT ET DU CONFLIT HOMME-FAUNE ET MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE ET DE LA PECHE
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– Directeur Central des Systèmes d’Informations : Mme Annie Rose MBONGO Epse ITSITSA BOUSSENGUE.
– Directeur Central Adjoint : M. André Olivier SOUNGUE ORIGUINOWE
– Chef de Service Exploitation : M. Armel Davy EDZO MVE.
– Chef de Service Infrastructures : M. Joslyn TSALAMBOGHO.
– Chef de Service Logistique et Moyen : Mme Tina Audrey M’POUAGNE VASCO.
MINISTERE DE LA PLANIFICATION ET DE LA PROSPECTIVE, MINISTERE DU PETROLE
ET MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES PARTICIPATIONS
– Directeur Central des Systèmes d’Informations : M. Hughes LISSENGUET ROKISSI.
– Directeur Adjoint : M. Hans Siegfreed OLAGO ETENO.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 61 sur 64
– Chef de Service Exploitation : M. Jens Pernell DIALIBENGUE MOUELET.
– Chef de Service Infrastructures : M. Venance Evrard YEBET MOUPOUNDZA.
– Chef de Service Logistique et Moyen : M. Rodolphe Jean Ulrich EKOMIE.
MINISTERE DE L’ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES, MINISTERE DES MINES ET MINISTERE DE L’INDUSTRIE
– Directeur Central des Systèmes d’Informations : M. Thierry EKOGA.
– Directeur Central Adjoint : M. Donald KOMBILA EKANG.
– Chef de Service Exploitation : Mme Joséphine KANGA.
– Chef de Service Infrastructures : Mme Lyne OBOUMADZOGO KEKELEBO.
– Chef de Service Logistique et Moyen : Mme Nadine BAILUA NKITA Epse GAUDONG MBETHE.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 62 sur 64
MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT, DU CLIMAT ET DU CONFLIT HOMME-FAUNE
INSPECTION GENERALE DES SERVICES
– Inspecteur Général des Services : M. Jean
François ALLOGHO SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général Adjoint : Dr Jean Félix MABIALA
DIRECTION GENERALE DE L’ENVIRONNEMENT
– Directeur Général Adjoint : M. Judicaël Léonce Eugène ANVANE OBAME.
DIRECTION GENERALE DU CONFLIT HOMME-FAUNE
– Directeur Général : M. Serge Aimé MIBAMBANI NDIMBA.
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES SECRETARIAT GENERAL
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 63 sur 64
DIRECTION GENERALE DE LA PREVOYANCE SOCIALE
– Directeur Général : Colonel Solange GNOUNDOU MASSINGA.
CAISSE NATIONALE DE SECURITE SOCIALE (CNSS)
DIRECTION GENERALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Guy Joël
BOUROBOU MAVOUROULOU.
CAISSE NATIONALE D’ASSURANCE MALADIE ET DE GARANTIE SOCIALE (CNAMGS)
DIRECTION DU RECOUVREMENT ET DU CONTENTIEUX
– Directeur Adjoint : M. Edmond Fabrice GOUANDEGNO LOPEZ.
Fly Gabon, la nouvelle compagnie aérienne nationale gabonaise, continue d'étendre sa flotte. Le 11 octobre dernier, elle a réceptionné son tout premier Airbus A320-232, un biréacteur immatriculé N2167, qui a atterri à l’aéroport de Libreville en provenance de l’aéroport de St Athan DGX, au Royaume-Uni.
Cet appareil, âgé de 20 ans, avait auparavant été exploité par Etihad Airways et Martinair Holland. Il a été acquis en leasing (crédit-bail), ce qui permettra à la compagnie d’élargir son réseau. En effet, l’acquisition de cet avion à grande capacité va permettre à Fly Gabon de s’étendre sur le continent africain, avec l’Afrique du Sud comme première destination prévue dès la fin de cette année. Jusqu’à présent, Fly Gabon opère uniquement sur des lignes domestiques.
L’avion, actuellement stationné à l’aéroport international de Libreville, devrait repartir prochainement vers Johannesburg, en Afrique du Sud, pour être peint aux couleurs de Fly Gabon. Ce n’est qu’après cette étape qu’il sera intégré aux opérations de la compagnie.
Pour le moment, la flotte de Fly Gabon se compose également de deux ATR (Avions de Transport Régional), acquis en France il y a quelques mois et réceptionnés en juin et juillet derniers.
Inaugurée le 29 août dernier, Fly Gabon a effectué son vol inaugural le 31 août. La compagnie ambitionne de combler le vide laissé par l’ancienne compagnie nationale, Air Gabon, qui avait fait faillite en 2006.
SG
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La société Africa Mining Development (AMD) et New Owendo International Port (NOIP), premier port multicargo du Gabon, ont signé le 10 septembre 2024 un contrat pour accroître le volume de manganèse produit par AMD, ont annoncé les deux structures.
Ce contrat engage le NOIP à offrir ses services portuaires et logistiques complets à AMD pour faciliter les exportations de manganèse produit par la société, basée à Lastourville. NOIP couvrira ainsi des services portuaires et maritimes, mais aussi de transit et de transport de ce produit. « Ce projet s’inscrit dans notre vision de faire du NOIP une passerelle stratégique pour le traitement d’une large gamme de cargaisons. En collaborant avec Africa Mining Development, nous contribuerons à accroître le volume national de manganèse exporté et à renforcer l’attractivité du Gabon sur la scène internationale », a fait savoir Parakram Gupta, directeur général de NOIP.
Les deux entreprises ne précisent pas quel sera l’apport de AMD dans ce partenariat.
Ce partenariat devrait permettre d’accroître le volume de manganèse exporté dans le pays, dans un contexte où les exportations de ce minerai sont en légère baisse. En effet, les exportations de manganèse ont fléchi au cours de l’année 2023, selon les données du ministère de l’Économie. Au cours de cette période, le Gabon a exporté du manganèse d’une valeur de 1 113,6 milliards de FCFA, contre 1 152,4 milliards de FCFA en 2022, soit une baisse de 3,4 % entre les deux périodes.
À noter que le manganèse est le produit qui domine le secteur minier gabonais, sa production étant assurée à près de 90 % par la Compagnie Minière de l’Ogooué (Comilog), filiale du groupe français Eramet.
SG
Après environ cinq semaines de rédaction, le projet de la nouvelle constitution du Gabon est disponible et contient plusieurs innovations par rapport à la constitution initiale de 1991, déjà plusieurs fois modifiée. Parmi les changements, le pays bascule d’un régime semi-présidentiel à un régime présidentiel, notamment en raison de la suppression du poste de Premier ministre. À la place, le président de la République, selon l’article 58 de ce projet de texte, sera assisté d’un vice-président de la République et d’un vice-président du gouvernement, tous deux nommés par le chef de l’État.
Ce régime confère beaucoup de pouvoir au président de la République. Toutefois, afin d’éviter qu'il ne devienne tout-puissant, certaines dispositions ont été prises. En particulier, le président sera responsable devant le peuple et le Parlement. Ce dernier aura le pouvoir de le destituer en cas de haute trahison, de violation du serment ou de la Constitution. Cette destitution devra cependant être votée par au moins deux tiers des parlementaires. De plus, certains articles de cette constitution sont considérés comme quasi inviolables.
Par ailleurs, pour être candidat à la présidence de la République, il faudra être Gabonais de père et de mère, avoir la nationalité gabonaise exclusive, et être marié à une Gabonaise de père et de mère. Le président de la République sera désormais élu pour un mandat de sept ans, renouvelable une seule fois, selon l’article 52 du projet de constitution. « Nul ne peut faire plus de deux mandats successifs », et aucun chef d’État en fonction ne pourra réviser la Constitution pour modifier le nombre de mandats présidentiels, sous peine de se rendre coupable de haute trahison, précise le texte. L’élection présidentielle sera à deux tours si le président n’a pas été élu à la majorité absolue des suffrages exprimés dès le premier tour.
Structuré en 12 titres et 194 articles, ce projet de constitution, qui devra être soumis à référendum à la fin de cette année, a été accueilli de manière mitigée par les Gabonais. Pour l’homme politique Pierre Claver Maganga Moussavou, du Parti social-démocrate (PSD), il s’agit d’une constitution « taillée sur mesure pour le président de la transition, Brice Nguema », excluant les autres. Il la qualifie de « discriminatoire », raison pour laquelle il votera contre lors du référendum. En revanche, plusieurs partis politiques, comme l’Union démocratique républicaine, promettent de mener campagne pour le vote du oui, estimant que la nouvelle constitution contribuera à renforcer les institutions de la République.
SG
Au cours du premier semestre 2024, le volume des échanges commerciaux entre la Chine et le Gabon a atteint 2,07 milliards de dollars (soit environ 1 229,6 milliards de FCFA), selon des données récemment communiquées par l’ambassadeur de Chine au Gabon, Ping Zhou. Le diplomate chinois a affirmé qu'avec ces résultats, il serait « possible d'enregistrer un nouveau record pour toute l'année ». Cette perspective témoigne du renforcement continu des relations économiques entre les deux pays.
Un tel record signifierait une hausse par rapport au volume des échanges enregistré en 2022. En effet, selon les données de l’administration générale des douanes de la Chine, le volume des échanges commerciaux entre le Gabon et la Chine s’élevait à 4,55 milliards de dollars (environ 2 750 milliards de FCFA) en 2022, soit une hausse de 50,8 % en glissement annuel.
Ces chiffres en constante progression renforcent les relations commerciales entre le Gabon et la Chine, cette dernière étant le principal partenaire commercial du Gabon au cours des 15 dernières années. « Nous avons décidé ensemble d’élever notre coopération au rang de partenariat stratégique gagnant-gagnant », a déclaré Régis Onanga Ndiaye, ministre des Affaires étrangères du Gabon, lors d’un récent entretien avec RFI. Le Gabon cherche ainsi à maximiser les bénéfices de sa coopération avec la Chine et à accroître encore le volume des échanges bilatéraux.
Les deux pays entretiennent des relations diplomatiques depuis 1974 et collaborent dans divers secteurs, notamment les infrastructures, l’exploitation minière et forestière, la santé, la culture, l’éducation, les énergies vertes, et la lutte contre les changements climatiques. Parmi les infrastructures financées par la Chine au Gabon figurent la route Port-Gentil-Omboué, le barrage du Grand Poubara, l’Assemblée nationale et le Sénat, la maison Georges-Rawiri, ainsi que le stade de l’amitié sino-gabonaise.
Le Gabon importe de la Chine des machines, des appareils électroménagers, des téléphones, des émetteurs et récepteurs, ainsi que des véhicules. En contrepartie, le Gabon exporte principalement du pétrole et du bois vers la Chine.
SG
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Le Pôle national de promotion de l’emploi (PNPE) vient de mettre en place un plan d’action stratégique triennal pour la période 2024-2026, afin de faciliter l’emploi des jeunes Gabonais. Baptisé « Réinventer l’emploi », ce plan « va dorénavant fixer le cap et garantir un saut qualitatif permettant d’optimaliser les mécanismes d’employabilité liés aux attentes de la Transition », selon Puanne Paulin Moussounda, directeur général du PNPE.
Globalement, ce plan, selon le DG du PNPE, vise à rechercher, explorer et identifier des secteurs d’activités susceptibles d’augmenter significativement le nombre d'emplois à créer au sein des entreprises déjà implantées dans le pays, ainsi que celles à venir. Il s'agit spécifiquement de répertorier les entreprises et les profils qu’elles recherchent, afin de mieux orienter les jeunes vers des formations adaptées à ces besoins.
À cet effet, ce plan repose sur trois axes : « caractériser les bassins d’activités et les opérateurs économiques, générer de nouveaux emplois par l’insertion et la reconversion professionnelles, et promouvoir les bassins d’activités et les emplois générés », indique Puanne Paulin Moussounda.
Cette stratégie permettra, selon le PNPE, de réduire le taux de chômage dans le pays. « Le PNPE veut impulser une nouvelle dynamique en matière de création d’emplois, face à la montée du chômage, notamment chez les jeunes. C’est une excellente chose que le PNPE, son directeur général et ses équipes prennent ce sujet à cœur », déclare Alain Afanere Mevyann, secrétaire général du ministère du Travail et de la Lutte contre le Chômage.
D’après des données communiquées par le PNPE, 28 691 demandeurs d’emploi se sont inscrits dans ses bureaux entre le 30 août 2023 et le 2 août 2024. Selon ces statistiques, le total des demandeurs d’emploi dans l'Estuaire est estimé à 67,63 %, contre 15,01 % dans le Woleu-Ntem, 9,43 % dans l’Ogooué-Maritime, 5,65 % dans le Haut-Ogooué, 2,2 % dans l’Ogooué-Ivindo, 0,89 % dans la Nyanga et 0,19 % dans le Moyen-Ogooué.
Selon l’Organisation internationale du Travail (OIT), le Gabon possède l’un des taux de chômage des jeunes les plus élevés d’Afrique subsaharienne (36 %).
SG
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Trois mémorandums d’entente viennent d’être signés entre l’État du Gabon et des investisseurs chinois pour développer des projets miniers au Gabon, pour un montant global de 242 milliards de FCFA. Cela s’est passé le 3 septembre dernier, lors de la 2e édition du Forum économique Gabon-Chine.
De manière détaillée, le Gabon a signé avec l'entreprise Zhongning Mining Company Limited (ZMC) un mémorandum d’entente pour l'exploration et l'exploitation du minerai de fer du Mont Mbilan, pour un montant de 260 millions de dollars (soit 153,5 milliards de FCFA).
À cet accord s’ajoute un autre mémorandum d'entente pour l'exploration et l'exploitation, par Shanghai Milestone Technology, des ressources minérales inexploitées, notamment du minerai de fer et du manganèse à faible teneur, à hauteur de 100 millions de dollars (soit 59 milliards de FCFA).
Un protocole d'accord a également été signé pour l'aménagement global de la navigation sur le fleuve Ogooué, à travers la construction d'un port minéralier à Ndjolé, ainsi que le développement du terminal minier de Port-Gentil, pour un montant global de 50 millions de dollars (soit 29,5 milliards de FCFA). « Ces accords marquent une étape importante dans la mise en valeur des ressources minières du Gabon pour les jours à venir », a commenté le ministère des Mines.
Après la signature de ces mémorandums d’entente, des accords généraux et spécifiques devront encore être signés entre les parties prenantes avant la mise en œuvre des projets ciblés. Ces accords devraient renforcer les liens de partenariat entre la Chine et le Gabon. À noter que la Chine est le premier partenaire commercial du Gabon depuis plusieurs années. Ce pays d’Asie coopère avec le Gabon dans plusieurs secteurs, notamment dans les mines, le bois, les travaux publics et l’énergie.
Il est à noter que ces mémorandums d’entente font partie des différents accords d’une valeur totale de 4,3 milliards de dollars (environ 2 555,4 milliards de FCFA), conclus par le Gabon avec des investisseurs chinois, à la veille de la neuvième édition du Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC).
SG
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Lors de la deuxième édition du forum économique Gabon-Chine, tenue à Beijing, la capitale de l’Empire du Milieu, le 3 septembre, le Gabon a signé des accords avec des investisseurs chinois d’une valeur de 4,3 milliards de dollars (environ 2 555,4 milliards de FCFA). « Après six tables rondes thématiques, l'événement s'est conclu par la signature de plusieurs conventions, mobilisant plus de 4,3 milliards de dollars, notamment dans les secteurs des travaux publics et de l’énergie, renforçant ainsi les relations historiques entre les deux pays », indique un communiqué du gouvernement.
La signature de ces conventions est intervenue après la présentation, par les autorités gabonaises, des opportunités d’investissement dont dispose le Gabon. Dans sa présentation, le directeur général de l'Agence nationale pour la promotion des investissements (ANPI), Ghislain Moandza Mboma, coorganisateur de cet événement, a mis en avant les « 10 raisons d'investir au Gabon », en insistant sur les atouts économiques du pays et les conditions administratives favorables à la croissance et au développement des entreprises à forte valeur ajoutée, précise l'ANPI. Ces opportunités sont notamment répertoriées dans des secteurs clés tels que l'énergie, les ressources hydrauliques, l'agro-industrie, les services, les mines et hydrocarbures, le numérique et le secteur forêt-bois.
Avec ces nouvelles conventions, la Chine, qui est déjà le principal partenaire commercial économique du Gabon, devrait renforcer sa présence et ses investissements dans le pays. Selon des données officielles, le volume des échanges commerciaux entre la Chine et le Gabon a atteint 4,55 milliards de dollars US (2 739,8 milliards de FCFA) en 2022, soit une hausse de 50,8 % par rapport à l'année précédente.
Le forum économique Gabon-Chine s’est tenu en marge du Forum sur la coopération sino-africaine (Focac). Son objectif principal était de renforcer la coopération économique sino-gabonaise et d’identifier de nouvelles opportunités économiques.
SG
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Lors du conseil des ministres du 31 août dernier, Jean Liévin Idoundou Manfoumbi a été choisi pour redresser la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG), concessionnaire des secteurs de l'eau et de l'électricité au Gabon, actuellement en difficulté. Ancien président du conseil d'administration de cette entreprise publique depuis janvier 2024, il est désormais chargé de mettre en œuvre les réformes proposées par le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) afin de sortir la SEEG de sortir de "la spirale de coupures d’approvisionnement, de délestages, et de faiblesses managériales" qui entravent son fonctionnement depuis des années. L'objectif est d'éviter la faillite de l'entreprise.
Parmi les mesures destinées à sauver la SEEG, figurent la renégociation de la dette, la digitalisation et sécurisation du système informatique, la création d’une Direction de la sécurité et de la lutte contre la fraude, ainsi que le lancement de l’opération « Un Gabonais, un compteur ». Grâce à son expérience professionnelle acquise durant 32 années au sein de cette société publique, Jean Liévin Idoundou Manfoumbi semble bien placé pour mener à bien cette mission. Comme il l’a affirmé lors de son installation comme président du conseil d’administration en janvier dernier, « la SEEG m’a tout donné pendant 32 ans ». Les Gabonais espèrent qu’il saura rendre la pareille à la SEEG en réussissant son redressement et en améliorant l’approvisionnement en eau et en électricité dans le pays.
Ingénieur à la retraite, Jean Liévin Idoundou Manfoumbi conduira cette période d’administration provisoire, dont la durée n’a pas été précisée par le gouvernement, avec une équipe composée de militaires et de civils.
SG
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