Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

La prison centrale de Libreville est désormais dotée d’une bibliothèque. Baptisée « Mon livre, Mon droit », cette dernière a été inaugurée officiellement le 28 novembre 2022, informe le ministère de la Justice.

Cette bibliothèque dispose de 1500 livres offerts par l’Union des écrivains gabonais (UDEG) et s’inscrit dans le cadre du programme de réinsertion des détenus, notamment ceux qui sont scolarisés. « Ces manuels vont nous aider à réinsérer nos détenus, surtout ceux qui vont passer les examens de fin d’année », a affirmé le Colonel Jean de Dieu Ngoundou Boucka, commandant en chef en second de la Sécurité pénitentiaire.

Pour Pulchérie Abeme Nkoghe, présidente de l’UDEG, cette bibliothèque était devenue une nécessité dans ce milieu carcéral, car « de la même manière que nous faisons la promotion du livre dans les établissements scolaires et dans la cité, il était important que nous pensions aussi à nos frères et sœurs qui sont entre ces murs, parce que c’est un droit. Le seul droit qui leur est enlevé, c’est celui de la liberté. Mais bien qu’étant en prison, nous avons le devoir de continuer à les éduquer et les instruire », a-t-elle affirmé.

Cette bibliothèque sera donc bénéfique pour les nombreux détenus et les élèves qui continuent de bénéficier des programmes scolaires à la prison centrale de Libreville. Notamment les détenus inscrits en classe de 3e et de terminale. Notons qu’en 2021, tous les 21 candidats de la prison centrale de Libreville à l’examen du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) ont obtenu leur diplôme.

SG

Lire aussi :

Gestion des prisons : le Gabon s’inspire du modèle canadien

Une maison d’arrêt pour humaniser les conditions de détention des femmes à Libreville

Le conseil des ministres du 28 novembre dernier a décidé de la création d’un sanctuaire de nature du bassin amont de la Begnoung, dans la province de l’Estuaire. Cette aire protégée a pour objectif d’assurer la préservation des espèces animales et végétales, indique le gouvernement.

La création de ce sanctuaire « fait suite à la délivrance du certificat de conformité pour la construction du barrage hydroélectrique de Kinguélé-Aval ». Un barrage hydroélectrique d’une puissance de 35 MW érigé sur la rivière Mbei, en bordure du parc national des Monts de Cristal, à environ 100 km de Libreville.

« C’est une compensation écologique (Biodiversity offset) à la construction du barrage hydroélectrique de Kinguélé-Aval qui fournira environ 13% des besoins en électricité de Libreville », explique un spécialiste de la préservation de l’Environnement. Pour ce dernier, « intégrer la biodiversité dans les investissements économiques est une responsabilité dans un sanctuaire de biodiversité comme le Gabon ».  

La superficie, la situation et les coordonnées géographiques de cette aire protégée ainsi que les conditions de conservation et d’exercice des activités anthropiques n’ont pas été dévoilées par le gouvernement.

Les espèces animales protégées au Gabon (pangolin, tortue, éléphant, crocodile, hippopotame…) sont interdites d’être tuées, capturées, transportées, mangées, vendues ou gardées en captivité. Et les espèces végétales protégées sont des essences réputées pour la qualité de leur bois et leurs vertus alimentaires et médicinales pour les populations (Moabi, l’Afo, l’Ozigo, le Douka, l’Andok…).

La création d’un tel sanctuaire va en droite ligne de la politique du Gabon engagé dans la préservation de l’environnement et lutter contre l’effet de serre. Le Gabon multiplie d’ailleurs ces dernières années des actions dans le but de préserver ses forêts et séquestrer plus de carbone. Recouvert à 85% par la forêt, le Gabon séquestre annuellement l’équivalent de 140 mille tonnes de carbone, alors qu’il n’en émet que 35 mille.

SG

Lire aussi :

Barrage de Kinguélé aval : avec 21 milliards de FCFA de fonds propres, Asonha Énergie lance les travaux

Barrage de Kinguelé : le Gabon accorde un financement de 2 milliards de FCFA à Asonha Énergie pour l’exercice 2022

La Caisse des dépôts et consignation (CDC), à travers sa filiale Avorbam Investissements (AI), vient de publier un communiqué annonçant son désengagement dans le gardiennage des villas de la cité Magnolia.

« La SA Avobam Investissements a assuré le gardiennage des logements de la résidence de Magnolia au-delà des délais requis notamment, après la signature des actes de vente. À compter du 30 novembre 2022, chaque propriétaire est tenu d’assurer la surveillance et la sécurisa de sa villa et est seul responsable des dommages qui pourraient être causés à son bien immobilier par des individus mal intentionnés », écrit l’entreprise.

Ce désengagement intervient le dépit exprimé face à l’indiscipline de certains clients (36 au total) qui n’arrivent pas à finaliser les réservations à la cité de Magnolia. À travers un communiqué rendu public le 26 avril 2022, Avorbam a invité, une ultime fois, les réservataires à se rapprocher de leurs notaires respectifs pour la finalisation de la procédure d’acquisition de leur logement. Faute de quoi, « la CDC/AI procèdera systématiquement à l’annulation des réservations desdites villas et aux remboursements sous 15 jours de tous les réservataires concernés à partir du 4 mai 2022 », renseigne le communiqué. 

Depuis lors, l’entreprise n’a plus communiqué sur la suite de cette procédure. Mais elle estime que ce n’est plus à elle d’assurer la sécurité des domiciles même s’ils ne sont pas encore habités. Pour les habitants déjà installés, il leur revient de s’occuper désormais de leur propre sécurité.

Lancé le 16 juillet 2018, le chantier de construction de la cité « ultra-moderne » Magnolia est achevé, selon la CDC. La cité de Magnolia est un complexe immobilier s’étendant sur une zone de 10 hectares dans la commune d’Akanda, au nord de Libreville. Elle compte 200 résidences.

S.A.

Pour venir à bout des catastrophes naturelles au Gabon, le président de la République a instruit son gouvernement de mettre en place un plan d’urgence. À cet effet, Ali Bongo a convoqué le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, ce 29 novembre 2022 pour une séance de travail sur la question.

Au cours des échanges avec le Premier ministre accompagné de plusieurs membres du gouvernement, le chef de l’État « est revenu sur la nécessité de mettre en œuvre un plan d’urgence face à la recrudescence des catastrophes naturelles, notamment les éboulements et les inondations observés dans plusieurs localités du pays », informe la communication présidentielle.

En effet, les pluies qui se sont abattues ces dernières semaines sur le pays sont à l’origine de plusieurs éboulements de terrains à Libreville et à l’intérieur du pays, ainsi que des inondations dans plusieurs localités avec à la clé des dégâts matériels.

Plusieurs mesures ont été prises à la suite de ces catastrophes à l’instar de la destruction des habitations situées dans les zones à risque et le relogement des populations impactées notamment celles du PK8 à Libreville où sept membres d’une même famille ont perdu la vie.

Mais, pour le président de la République, il faut des solutions pérennes. D’où la proposition de mettre en place le plan d’urgence. Un dispositif qui permettra non seulement de prévenir ces catastrophes, mais également d’organiser des secours aux populations en cas de catastrophes.

SG

Lire aussi :

Plusieurs villes du Gabon frappées par des inondations et éboulements, le gouvernement préoccupé

Libreville : le gouvernement prévoit de détruire les habitations au relief accidenté et de reloger les populations

Éboulement à Libreville (PK 8) : de nouveaux logements pour les victimes à Bikélé

Glissement de terrain à Libreville : Ali Bongo promet un accompagnement aux familles des victimes

Le président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, effectue une visite de travail et d’amitié dans la capitale togolaise, Lomé du 30 novembre au 1er décembre 2022. Sur invitation du président togolais, cette visite s’inscrit dans le cadre du raffermissement des liens d’amitié et de coopération unissant les deux pays, informe la communication présidentielle au Gabon.

Ce séjour de 48 heures permettra au président Ali Bongo Ondimba et à son homologue togolais, Faure Essozimna Gnassingbe, d’échanger sur les questions bilatérales, régionales, continentales et les sujets internationaux de l’heure, à l’instar de la lutte contre les changements climatiques ou ceux liés à l’économie et à la sécurité.

Ali Bongo Ondimba et Faure Essozimna Gnassingbe saisiront également cette occasion pour faire un état des lieux de la coopération bilatérale entre le Gabon et le Togo, aux fins de la renforcer dans tous les domaines d’intérêt commun, au regard des « excellentes » relations politiques et diplomatiques qu’entretiennent les deux États.

Cette visite du président gabonais dans la capitale togolaise intervient trois mois après celle de son homologue togolais à Libreville le 19 août 2022, après leurs adhésions dans le Commonwealth. Le Gabon et le Togo sont particulièrement engagés en matière de préservation de l’environnement. Pour les prochaines années, la coopération entre Lomé et Libreville sera basée sur la conservation de la forêt et la captation du crédit carbone, a récemment soutenu Faure Essozimna Gnassingbé.

Brice Gotoa

Lire aussi:

Commonwealth : le Gabon et le Togo comptent sur leurs dynamismes pour saisir toutes les opportunités

Environnement et sécurité : le Togolais Faure Gnassingbé en visite de travail au Gabon

Au terme du conseil ministériel tenu le 28 novembre à Libreville, il ressort que le gouvernement gabonais projette de créer deux nouvelles administrations pour promouvoir et doper l’innovation industrielle au sein du ministère de l’Industrie.

Ainsi, le conseil a adopté deux projets de décret. Le premier porte création, attributions et organisation de la direction générale de l’Industrie, de la coordination et de la promotion des activités industrielles. Le second porte création, attributions et organisation de la direction générale de la compétitivité et de l’innovation. « Les textes susvisés ont pour objet de permettre au ministère de l’Industrie à travers ces deux directions générales de participer à la conception, au suivi de la mise en œuvre et à l’évaluation des politiques publiques en matière d’industrialisation dans notre pays », indique le communiqué final du conseil ministériel.

À cet effet, précise le document, la Direction générale de l’industrie, de la coordination et de la promotion des activités industrielles (Dgicpai) a, entres autres, pour missions : de concevoir les stratégies, les programmes, les plans et actions en matière d’industrie et de réglementation et de veiller à leur mise en œuvre ; élaborer les projets de textes en matière d’industrialisation ; d’orienter et encourager l’intégration du tissu industriel national ; élaborer la cartographie d’implantation des entreprises industrielles sur l’ensemble du territoire ; participer aux études prospectives spécifiques à chaque filière industrielle prioritaire ; assurer le contrôle des risques industriels.

Pour sa part, la Direction générale de la compétitivité et de l’innovation (DGCI) a pour missions : de concevoir les stratégies, les programmes, les plans et actions en matière de compétitivité et d’innovation industrielle et de veiller à leur mise en œuvre ; élaborer tout projet de texte en matière de compétitivité et d’innovation industrielle ; contribuer au développement des programmes d’enseignement d’économie industrielle et de politiques industrielles ; promouvoir la compétitivité et l’innovation des entreprises industrielles.

Le Gabon a l’intention de créer ces nouvelles directions dans un contexte où le pays vise une embellie tirée par le rebond du secteur hors-pétrole. Notamment, les activités minières, agricoles, du bois, des télécommunications ainsi que des industries de transformation. Aussi, le Gabon veut doper le secteur minier. Un secteur riche en manganèse, en fer, en or. Le sous-sol gabonais renferme aussi des métaux comme le niobium, des terres rares, de l’uranium, du cuivre, du zinc, etc. Autant de ressources naturelles, dont plusieurs demeurent sous-exploitées, voire inexploitées.

S.A.

Le Gabon veut améliorer l’environnement des affaires en renforçant les missions du ministère en charge des Investissements, selon le communiqué du conseil des ministres tenu le 28 novembre à Libreville.

Ainsi, au cours des travaux, il a été adopté un décret portant attributions et organisation du ministère de la Promotion des Investissements, des partenariats publics-Privés, chargé de l’amélioration de l’environnement des affaires, mettant l’accent sur « le caractère transversal des missions » dudit ministère. En concertation avec les autres administrations compétentes, cette administration devrait désormais être chargée, entre autres, de : proposer tout texte législatif et règlementaire en lien avec son domaine de compétence ; veiller au respect des lois et règlements en vigueur en la matière ; promouvoir les investissements, nationaux et internationaux, sous toutes leurs formes.

Avec ces nouveaux attributs en perspective, le ministère en charge des Investissements se voit doter d’un pouvoir plus étendu pour intervenir dans toutes les autres administrations publiques, dès qu’il s’agit de l’amélioration de l’environnement des affaires au Gabon. Ce qui lui permettrait plus de mobilité et de dynamisme sans être soupçonné d’immixtion par les autres ministères. Le Gabon a ainsi l’intention de renforcer les pouvoirs de ce ministère dans un contexte où le pays a prévu de réaliser 32 réformes à l’horizon 2023.

Réparties dans 7 indicateurs, ces réformes concernent la création d’entreprises, le raccordement à l’électricité, le commerce transfrontalier, le paiement des taxes, l’octroi du permis de construire, le transfert de propriété et la justice commerciale. Pour améliorer son climat des affaires, le Gabon entend mettre en place son propre indicateur de performance, selon le Plan d’accélération de la transformation (PAT) de l’économie gabonaise. Cet indicateur national viendrait remplacer le rapport Doing Business de la Banque mondiale dont la production a été stoppée en 2021.

S.A.

Au cours du conseil des ministres de ce 28 novembre 2022, le gouvernement gabonais à travers un projet de loi, a donné son autorisation pour la ratification de l’accord sur la promotion et la avec l’Île Maurice. Un accord signé le 18 juillet 2013 à Port Louis (Capitale de Maurice).

Cet accord vise de manière spécifique, à éviter la double imposition entre les deux pays et « prévenir l’évasion et la fraude fiscales en matière d’impôts sur le revenu », indique le gouvernement. Et ainsi, inciter les entrepreneurs mauriciens et gabonais à explorer les pistes de partenariats gagnants pour leurs activités. Toute chose qui aura un impact dans les échanges entre les deux pays qui ont déjà eu à collaborer dans les secteurs de la pêche.

Avec la ratification de cet accord, le Gabon fera son entrée sur la liste des pays africains qui sont liés depuis plusieurs années déjà avec Maurice par des accords fiscaux. Entre autres, l’Afrique du Sud, le Sénégal, ou encore le Rwanda, qui, ont tous été amenés à renégocier ces accords avec l’Île Maurice, car, peu avantageux pour eux.

SG

Le ministère des Eaux et forêts du Gabon, l’Agence des parcs nationaux (ANPN) et l’organisation non gouvernementale internationale WildAid ont lancé le 28 novembre 2022 à Libreville, la campagne « Merveilles du Gabon » afin de mettre en avant la beauté des paysages et de la faune du Gabon. Selon le ministère en charge de l’Environnement, l’objectif de cette campagne est de promouvoir le Gabon en tant que nouvelle destination écotouristique de premier plan en Afrique. Cela à travers des vidéos de courtes durées diffusées à l’aéroport international Léon Mba de Libreville et relayées sur les médias sociaux à travers le monde.

« Le Gabon est un pays unique dont le patrimoine naturel est remarquablement préservé, avec de nombreux écosystèmes variés et biodiversifiés », a déclaré Lee White, ministre gabonais des Eaux et forêts. D’après lui, c’est le seul endroit au monde où l’on peut observer des gorilles, des hippopotames surfant sur les vagues, des éléphants se promenant sur la plage et des baleines le même jour. « Ce riche trésor naturel sera bientôt révélé au monde comme une nouvelle destination écotouristique », a ajouté le Pr Lee White.  

Au cours des six prochains mois, apprend-on, toutes les personnes qui sillonneront l’aéroport Léon Mba pourront découvrir les nombreuses merveilles naturelles que le Gabon a à offrir et notamment découvrir l’actualité environnementale à travers dix écrans répartis dans cet édifice. « De la plus grande population d’éléphants au plus grand site d’activité de ponte des tortues luths, en passant par les forêts les plus intactes du monde, l’Agence nationale des parcs nationaux protège sans relâche la valeur exceptionnelle de ses parcs, aussi bien pour le bien-être des populations gabonaises que celui de la planète entière », a indiqué Christian Tchemambela, secrétaire exécutif de l’ANPN.

Le Gabon dispose de 13 parcs nationaux (dont deux sites inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco) qui représentent 11 % du territoire national. Aujourd’hui, 21 % des écosystèmes terrestres du Gabon sont protégés et les parcs nationaux sont parmi les plus riches d’Afrique. Le Gabon compte également 9 parcs marins et 11 réserves aquatiques, couvrant 27 % de l’espace marin. Cette biodiversité fait partie de la fierté du pays, de l’histoire et de la culture de son peuple, explique le gouvernement. La campagne « Merveilles du Gabon » contribue à promouvoir la richesse du patrimoine naturel que le Gabon a su préserver, et souligne l’urgence de la préserver et d’agir maintenant pour s’assurer qu’elle soit transmise aux générations futures.

Présente au Gabon depuis 2015, WildAid est une organisation à but non lucratif dont la mission est de protéger les espèces animales menacées du commerce illégal et d’autres menaces imminentes. Ce, en réduisant la consommation mondiale de produits issus de la faune sauvage grâce à un réseau mondial de partenaires médiatiques et d’ambassadeurs célèbres.

Brice Gotoa

Lire aussi :

L’ANPN veut mettre en place un cadre de développement d’écotourisme pour valoriser les parcs nationaux

Écotourisme : l’intermédiaire Corridor présente une base de données d’investisseurs turcs intéressés par le Gabon

Le Fonds gabonais d’investissements stratégiques veut valoriser le potentiel de l’écotourisme

L’Institut national de la poste, des technologies de l’information et de la communication (Inptic) du Gabon pourrait bientôt bénéficier d’un accompagnement de l’entreprise chinoise Huawei pour former ses étudiants dans le numérique. Les deux structures envisagent en effet de signer un partenariat dans ce sens, a-t-on appris au ministère de l’Économie numérique Gabon qui a présidé une séance de travail, le 25 novembre 2022 avec les deux parties.

« Huawei par le biais de son concept “ICT Academy” entend proposer à l’Inptic des modules de formation en ligne par la signature d’un partenariat qui sera matérialisé en amont par un protocole d’accord sur les curricula », indique le ministère de l’Économie numérique. Le programme Huawei ICT Academy a été lancé en 2013 dans le but de préparer les étudiants aux défis technologiques et de créer un pont entre le monde académique et celui de l’entreprise, apprend-on.

La société chinoise travaille déjà avec le gouvernement gabonais dans le secteur du numérique et envisage d’ailleurs de renforcer cette coopération en accompagnant le pays dans la digitalisation de ses services publics et le transfert de compétences.

Créé en 1977, l’Inptic est une École professionnelle et scientifique opérant dans le domaine de la poste et des télécommunications. Elle assure la formation initiale des personnels destinés aux carrières des postes, télécommunications et des technologies de l’information et de la communication.

SG

Lire aussi:

TIC: l’Inptic veut étendre son cycle de formation aux masters professionnels

TIC : le Gabon et le Maroc s’associent pour la formation des jeunes

Pour nous contacter: c o n t a c t [@] lenouveaugabon . c o m

Please publish modules in offcanvas position.