Le Nouveau Gabon

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Le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Guy Patrick Obiang Ndong, a saisi, le 12 septembre, les responsables des formations sanitaires pour dénoncer les blocages observés dans la délivrance des attestations et des certificats d’accouchement. Ce qui empêche souvent l’établissement des actes d’état civil et favorise le phénomène des enfants apatrides.

« Il me revient, avec insistance, que certaines formations sanitaires continuent à exercer la pratique de la rétention des documents requis pour l’établissement des actes de naissance des nouveau-nés conformément aux dispositions de l’article 169 nouveau du Code civil, au motif du non-paiement des frais d’accouchement », écrit le membre du gouvernement. Il souligne que la délivrance d’une attestation ou d’un certificat d’accouchement doit se faire sans délai et n’être soumise à aucune condition.

La dénonciation du ministre en charge de la santé et de la protection sociale intervient dans un contexte où les autorités gabonaises ont lancé la politique « zéro enfant apatride au Gabon » afin de réduire le nombre d’enfants dépourvus de nationalité. Car, ces derniers sont souvent victimes de nombreuses discriminations telles que le refus d’accès aux soins, à l’éducation ou encore aux services de protection de l’enfant. 

Pour remédier à la situation, le gouvernement gabonais a lancé, le 23 mai dernier, une campagne de distribution des actes de naissance et enrôlement à la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs) dans la province de l’Estuaire. Ce sont au total 7 018 actes de naissance d’enfants anciennement apatrides qui ont été délivrés dans les différentes mairies de la province. Cette opération est l’aboutissement du programme conjoint « citoyenneté et protection sociale », lancé par le ministère chargé des Affaires sociales avec l’appui de l’Organisation des Nations unies pour l’enfance (Unicef).

S.A.

 

A compter de cette année, le président de la République promet d’allouer une enveloppe de 2 milliards de FCFA à chacune des neuf provinces de l’État du Gabon. Selon le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, qui a rendu publique cette décision le 12 septembre 2022, ces fonds vont financer des projets de développement local.

Le chef du gouvernement précise que lesdites ressources seront gérées « exclusivement » par les Gouverneurs dans le but de promouvoir le développement du territoire sur lequel ils vivent en vue d’améliorer la situation socio-économique des populations. À cet effet, les gouverneurs présideront les Conseils provinciaux, avec pour membres les Conseils locaux.

À l’analyse, cette décision va dans le sens du « Fonds d’Initiative départementale ». Elle vient renforcer le mouvement de décentralisation. « C’est le signe que le président de la République fait confiance aux acteurs de terrain. Une bonne décision est une décision prise au plus près du terrain. Tout ne peut et ne doit être décidé, géré depuis Libreville. Cette décision va par ailleurs dans le sens de plus d’égalité des chances, entendue d’un point de vue territorial. Tous les territoires sont également dotés et se voient offrir des opportunités égales », a commenté la présidence de la République.

Les projets de développement local sont entre autres des projets d’infrastructure, agricole, la formation des populations…

SG

Dans une déclaration faite ce 12 septembre 2022, le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, annonce le lancement d’un concours national de « l’arrondissement le plus propre ». L’organisation de ce concours a été instruite par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, pour lutter contre l’insalubrité dans le pays.

« Ce concours aura lieu à Libreville, capitale du Gabon, et dans les neuf capitales provinciales. Les modalités d’organisation de cette compétition seront précisées dans les prochaines semaines. L’Arrondissement le plus propre sera primé d’une enveloppe de 500 millions de FCFA, pour la gestion de la salubrité dans sa localité », a déclaré Rose Christiane Ossouka Raponda.

À travers cette initiative, le Gabon veut inciter les arrondissements à lutter contre l’insalubrité dans leur localité. Car, depuis plusieurs années, l’État mène des actions pour des rues propres, sans grand succès. Selon les autorités, l’état d’insalubrité est « persistant et croissant » dans le Grand Libreville et d’autres provinces du pays.

« À travers cette décision, le président de la République envoie le signal que la propreté est importante et qu’elle est l’affaire de tous. Comme il l’a dit dans son discours à l’occasion de la fête de l’Indépendance, il n’y a pas l’État d’un côté, de l’autre la Société. Nous sommes tous dans le même bateau. Quels que soient les moyens mis à disposition par l’État, si les citoyens ne font pas preuve de responsabilité et de civisme, les rues seront toujours sales. Chacun doit donc s’impliquer, y mettre du sien, pour le bien de tous. C’est une forme de patriotisme », commente-t-on à la présidence de la République.

SG

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Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, a dissout ce 12 septembre 2022 le ministère des Travaux publics, de l’Équipement et des Infrastructures. L’annonce a été faite par le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, à travers un communiqué de presse.

Selon le chef du gouvernement, cette décision est consécutive aux « très nombreuses » récriminations des populations, concernant la forte dégradation des voiries urbaines du Gabon. « Le président de la République, chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, exprime sa colère par rapport aux lenteurs, constamment observées et dénoncées par lui, dans la réhabilitation du réseau routier national », a déclaré Rose Christiane Ossouka Raponda.

Ainsi, il est créé, au sein de la primature, un département en charge des Travaux publics, de l’Équipement et des Infrastructures. Le personnel du ministère dissout est mis à la disposition de la primature. « Le fait de rattacher les travaux publics à la primature est le signe de l’importance accordée à ce secteur par le président de la République. C’est le Premier ministre en personne, qui occupe le premier rang au sein du gouvernement, qui en sera chargé », explique-t-on à la présidence de la République. « Cette décision est aussi un signe de confiance du président de la République au Premier ministre. Alors que certains spéculaient sur son possible départ, le PM est conforté à son poste », ajoute notre source du palais du bord de mer.

Cette décision intervient après plusieurs descentes d’Ali Bongo Ondimba sur le terrain en vue d’évaluer l’état d’avancement de certains chantiers routiers engagés dans la capitale gabonaise. Le chef de l’État avait observé quelques anomalies dans certains projets. Il avait instruit au gouvernement d’accélérer le rythme des travaux et de procéder aux corrections nécessaires sur certains tronçons. « Le président de la République a prévenu à plusieurs reprises, notamment en Conseil des ministres, qu’il ne tolérerait aucun retard et que, si c’était le cas, il prendrait toutes les décisions qui s’imposent. C’est le cas aujourd’hui. En homme de décision, le président a tranché », commente notre source au palais du bord de mer. 

Depuis quelques années, plusieurs axes routiers sont en travaux dans la capitale gabonaise dans le cadre du projet de réhabilitation des voiries du Grand Libreville. C’est le cas des travaux de réhabilitation du Boulevard triomphal. Lancés en mars 2021, ils devraient être livrés depuis plusieurs mois.

Brice Gotoa

Au Gabon, le concours d’entrée à l’Institut africain d’informatique (IAI) aura lieu le 4 octobre 2022 au siège de l’institut à Libreville selon un communiqué du ministère de l’Économie numérique, administrateur pays, rendu public le 10 septembre 2022. Le dépôt des dossiers est fixé du 12 au 30 septembre 2022 à l’IAI et les frais des dossiers s’élèvent à 25 000 FCFA, non remboursables.

L’édition 2022-2023 du concours d’entrée à l’IAI concerne le cycle analyste programmeur/Licence professionnelle avec un Bac C, D, E, F3 et F4 datant d’au plus 2 ans et le candidat doit être âgé de 22 ans au plus. Pour le cycle Maitrise en informatique appliquée à la gestion des entreprises (MIAGE), le candidat doit avoir un Diplôme universitaire de technologie (DUT), DEUG, une licence 2 en mathématiques, physiques, informatique ou gestion, un Brevet d’études supérieur (BTS) économie ou gestion et être âgé de 26 ans au plus. Enfin pour le cycle ingénieur, il faut avoir le DUT, le diplôme d’études universitaires générales (Deug) ou la Licence 2 en mathématiques, physiques ou informatique, une 2e année de Math sup validée et être âgé de 26 ans au plus.

Selon le communiqué, les candidats aspirant à une prise en charge de leur scolarité par l’État gabonais doivent satisfaire aux conditions d’éligibilité de l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG). Les procédures d’inscription et de payement des frais d’inscription sont détaillées sur le site de l’IAI. À ce concours, les candidats affrontent des épreuves obligatoires de mathématiques, anglais, technique d’expression, et des épreuves au choix entre l’informatique et la gestion.

Brice Gotoa

Dans une note publiée ce 12 septembre, le ministre en charge des Sports, Franck Nguema, révèle que l’État gabonais a investi 3,04 milliards de FCFA pour soutenir les fédérations sportives hors football, entre juin 2019 et juillet 2022.

Le top cinq des lignes ayant reçu les plus grosses subventions de l’État au cours de la période sous revue est : les bourses du Sport (588,3 millions de FCFA pour l’athlétisme, boxe, judo et taekwondo) ; le handball (552,8 millions de FCFA) ; les jeux Olympiques de Tokyo (380,4 millions pour l’athlétisme, le judo, la natation, le taekwondo) ; les jeux de Rabat (338,9 millions de FCFA pour l’athlétisme, le judo et la natation) et le karaté (308,8 millions de FCFA).

Le membre du gouvernement relève que ces ressources ont été débloquées alors que de mars 2020 à mars 2022, toutes les activités sportives étaient suspendues sur le plan national, suite aux mesures restrictives anti-Covid. Par conséquent, précise-t-il, cet effort financier considérable démontre à suffisance « l’importance de la pratique du sport amateur, élite et professionnel, en dehors du football, pour les plus hautes autorités du pays et le gouvernement, alors même que le Gabon et le monde subissent de plein fouet une très forte crise socio-économique due à la Covid-19 et maintenant à la crise Russie-Ukraine ».

La publication de ce compte d’emploi par le ministre en charge des Sports intervient dans un contexte où, certaines fédérations sportives se plaignent de ne pas bénéficier des ressources de l’État au détriment de celle du football. Pis, les autres sports semblent être considérés comme mineurs et ne bénéficient pas de la même attention que le secteur du football. Que nenni, répond Franck Nguema. Pour lui, le gouvernement n’a pas abandonné les autres disciplines sportives. Au contraire.

S.A.

ut handball gabon

Le Gabon a favorisé la création de plus de 15 990 entreprises en deux ans d’utilisation du Guichet numérique de l’investissement (GNI), informe les informations du ministère de la Promotion des investissements, des Partenariats public-privé.

Dans le détail, apprend-on, cette solution numérique qui permet de faciliter les démarches dans le secteur a permis la création de 12 812 entreprises individuelles et 3 178 sociétés. De manière synthétique, le secteur primaire (agriculture, élevage) compte à peu près 8 % des entreprises créées ; le secteur secondaire (BTP, industrie) en compte 12 % ; et enfin le secteur des services (le commerce…) est le plus important avec à peu près 80 % des entreprises créées.

À l’analyse, le nombre d’entreprises comptabilisées par le ministère de la Promotion des investissements cette année 2022 a quasiment doublé comparativement aux 7 146 entreprises répertoriées en 2021. Ce qui démontre qu’avec le GNI, le Gabon a davantage facilité la création des sociétés. Un point qui était sa faiblesse dans les classements Doing Business de la Banque mondiale. Car, malgré les réformes réalisées par les autorités entre 2019 et 2020, il n’y a véritablement pas eu l’impact escompté sur le classement 2020 du Doing Business, puisque le Gabon s’est maintenu à la 169e place sur 190 pays évalués comme dans le classement précédent.

Mais grâce au GNI, la facilité de créer des entreprises au Gabon est en train de prendre corps. D’autant plus que les avantages de cet outil numérique à Libreville sont nombreux. Outre les gains de temps et la réduction des procédures, il permet également de disposer entre autres, de statistiques sur les formes d’entreprises créées, les secteurs d’activités et la nationalité des promoteurs. Il permet aussi de réduire les interactions entre les promoteurs et les services administratifs, ainsi que de lutter contre la corruption et le secteur informel.

S.A.

Le port d’Owendo est dans le viseur d’un nouvel investisseur en la personne du PDG du Groupe Burkinabè Ebomaf, Mahamadou Bonkoungou, selon les informations des autorités portuaires qui l’ont accueilli en compagnie d’Oswald Séverin Mayounou, le ministre de la Pêche et de l’Économie maritime.

« Le but de cette visite était d’explorer le potentiel commercial au Gabon, en particulier dans le secteur de la pêche au thon. Le terminal de pêche d’Owendo étant une plaque tournante stratégique pour cette activité, la visite a également été l’occasion de réaffirmer l’engagement d’Arise Ports & Logistics à soutenir les efforts du gouvernement pour promouvoir les investissements dans ce secteur et contribuer au processus de suffisance alimentaire au Gabon », apprend-on.

Déjà actif au Burkina Faso, au Togo et en Côte d’Ivoire, Ebomaf plus connu dans le secteur du Bâtiment & Travaux publics (BTP) dans la sous-région ouest-africaine semble ainsi vouloir se diversifier en investissant dans la filière thonière en Afrique centrale, notamment au Gabon dont l'objectif, est de parvenir à transformer localement, 25 000 tonnes de thons pêchés dans ses eaux.

En effet, les autorités gabonaises ont l’ambition de parvenir à la production de sardines made in Gabon avec du poisson pêché dans les eaux nationales. Ce qui permettra d’après, les autorités, de développer une industrie de transformation et de mettre en place des usines de transformation de ces produits halieutiques. Car pour l’instant, l’usine qui existe dans le pays n’est pas fonctionnelle et la transformation du poisson est beaucoup plus artisanale.

Dans ce segment du marché, Ebomaf trouvera de la concurrence. Car, la Société frigorifique du Gabon (Sifrigab) est en train de relancer ses activités dans l’optique de traiter chaque année 10 000 tonnes de thon. En arrêt d’activités depuis quelques années, cette société créée pour produire du thon et transformer le poisson-sardine en boîte pourra être opérationnelle à l’horizon 2023.

S.A.

Le Gabon et l’Inde ont récemment procédé au lancement de Gabon India Business Council, un organisme chargé de booster les relations commerciales et les investissements entre les deux pays, informe l’organisation India Africa Trade Council. Le mémorandum d’entente pour le lancement de cet organisme a été signé par la Chargée d’Affaires de l’ambassade du Gabon en Inde, Joséphine Patricia Ntyam-Ehya et le président de l’Organisation indienne du commerce, Dr Asif Iqbal.

À travers cette structure, l’Inde qui est déjà présente au Gabon dans des secteurs tels que les mines, les infrastructures, la transformation de bois, les hydrocarbures, la santé, veut intensifier ses investissements dans l’agriculture, l’élevage de volailles, la transformation de la viande et d’autres secteurs manufacturiers.

« Cela sera également utile pour identifier les partenaires commerciaux, les collaborations, les alliances, pour la mise en place d’unités industrielles, l’affichage des produits et services indiens et d’autres activités commerciales connexes, ainsi que pour saisir les autorités concernées », indique India Africa Trade Council.

Le Conseil devra aussi mettre en place des mécanismes pour tirer un meilleur profit de l’accord de coopération économique entre les deux pays et organiser diverses activités pour créer un climat d’affaires propice au secteur indien des investisseurs, apprend-on.

« En tant que président de l’organisation, mon objectif est de construire des relations bilatérales atteignant de nouveaux sommets entre l’Inde et la République du Gabon et notre délégation ira au Gabon au mois d’octobre 2022. L’accent sera mis sur l’approfondissement et la diversification de la relation en identifiant de nouveaux domaines synergiques de coopération et de collaboration » a déclaré le Dr Asif Iqbal.

L’Inde est présente au Gabon depuis plus de 30 ans. Le commerce bilatéral entre les deux nations a atteint 1,12 milliard de dollars (729 milliards de FCFA) entre 2021 et 2022. L’Inde se positionne aujourd’hui comme la deuxième plus grande destination des exportations gabonaises.

SG

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Dans les établissements publics du Gabon, chaque parent d’élève débourse désormais 1000 FCFA et 2000 FCFA au titre de frais d’Association des parents d’élèves (APE). Le premier montant est en vigueur pour les cycles pré-primaire et primaire, et le deuxième pour le secondaire. Dans l’enseignement privé laïc et confessionnel, ces frais ne peuvent excéder 5000 FCFA par parent, informe le ministre de l’Éducation nationale Camélia Ntoutoume Leclercq, dans un communiqué signé le 9 septembre 2022. En dehors des coûts fixés, la particularité avec cette décision est que ces frais seront également payés par parent et non plus par enfant comme par le passé.

« J’attache du prix au respect des présentes dispositions », précise le membre du gouvernement.

Ce communiqué du ministre de l’Éducation fait suite à « de nombreux dysfonctionnements des APE observés ces dernières années » et qui « ont conduit peu à peu à la perte de crédibilité de cette association », a déploré Camélia Ntoutoume Leclercq. Une situation qui est à l’origine des plaintes des parents d’élèves depuis la rentrée des classes sur le paiement de ces frais qui d’après eux « ne servent à rien ». Et surtout que les montants de l’APE jusqu’ici, variaient d’un établissement à l’autre.

D’après le ministère de l’Éducation, ces cotisations annuelles des parents sont prélevées par le bureau de l’Association lors des inscriptions ou réinscriptions. Puis, doivent être déposés dans un compte bancaire ouvert au nom de l’association, et fonctionnant selon la règle de la double signature du président du bureau et de trésorier, précise le membre du gouvernement. Ces fonds doivent par la suite être utilisés selon un plan préalablement adopté par l’assemblée générale, apprend-on.

Cette décision tombe alors que certains parents ont déjà versé leurs frais d’APE pour le compte de l’année scolaire 2022-2023, qui a démarré le 5 septembre dernier. Cependant, les populations espèrent que ces nouvelles instructions seront respectées dans les établissements scolaires.

D’après le ministère de l’Éducation, l’Association des parents d’élèves accompagne la direction des établissements dans l’amélioration du cadre de vie des apprenants en fonction des besoins. Elle a également pour missions, la défense devant les instances compétentes des intérêts des élèves et de l’établissement aux plans matériel, professionnel et moral, ainsi que la sensibilisation auprès des parents sur le suivi du travail scolaire des apprenants…

SG

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