Le Nouveau Gabon

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Au cours de l’année scolaire 2022-2023, le ministère de l’Éducation nationale va procéder à des contrôles dans les établissements scolaires publics pour traquer les responsables enclins à la majoration des frais d’inscription, selon un communiqué que vient de faire diffuser le ministre Camélia Ntoutoume-Leclercq.

« Des missions de contrôle seront effectuées tout au long de l’année scolaire par les autorités compétentes afin de s’assurer du respect scrupuleux des présentes prescriptions. Aucune majoration ne sera tolérée », déclare le membre du gouvernement. Elle précise que les frais d’inscription dans le pré-primaire s’élèvent à 3 000 FCFA ; 5 000 FCFA dans le primaire ; 10 000 FCFA dans le secondaire général et technique. Ces montants couvrent les frais de la mutuelle/coopérative, les activités pédagogiques et socio-éducatives.

Cette note ministérielle intervient dans un contexte où certains responsables des établissements scolaires publics au Gabon prennent souvent des libertés en majorant les frais d’inscription. Généralement, les montants surfacturés vont directement dans les poches de ces responsables véreux. Cette pratique rend le coût d’accès à l’école élevé alors que le gouvernement ambitionne de réduire ses frais pour que le plus grand nombre puisse avoir accès à l’éducation dans le secteur public.

Certains chefs d’établissements exigent souvent des frais supplémentaires, à l’instar des frais d’APE (Association des parents d’élèves) ainsi que les « frais d’enveloppes », les frais pour l’informatique. « Au lycée Bâ Oumar situé au quartier Bas de Guégué à Libreville, par exemple, chaque élève doit débourser la somme de 16 000 FCFA à raison de 10 000 FCFA de frais d’inscription, 5000 FCFA de frais d’APE et 1000 FCFA de frais d’enveloppe. C’est l’enveloppe qui contient le dossier de l’élève au service de la documentation. Et dans les salles d’examen, il faut ajouter 1000 FCFA pour les demi-cartes photos », explique un professeur de cet établissement scolaire public.

Il y a également des chefs d’établissement qui peuvent prendre 50 000 FCFA voire 100 000 FCFA à certains parents pour leur trouver une place au sein d’un lycée ou collège public.

S.A.

À travers un communiqué rendu public ce 25 juillet 2022, le gouverneur de la province de l’Estuaire, informe les populations du lancement des études environnementales et sociales, de la route de contournement « Owendo Bypass ». Selon le communiqué, ces études qui ont débuté le 20 juillet 2022 concernent les habitants des quartiers PK 15, Bikélé rail, Entraco, PK 13, Village Mubi Mayo, Tsuku, Bizango, Mekoma, Ayong (Melen II), Pointe claire, Passage à niveau clandos village Kota, Akournam, SNI et carrefour Setrag.

À cet effet, « seront organisées des réunions ayant pour objectif : d’informer les populations sur le projet ; délimiter l’emprise ; mener les enquêtes auprès des ménages ; procéder aux inventaires des biens des personnes affectées par le projet (PAP) », renseigne le communiqué.

La construction de cette route longue de 14 km devrait faciliter le transport des marchandises en provenance de l’intérieur du pays (principalement le bois et le manganèse) vers le port d’Owendo ; soulager la Route nationale 1 (RN1) actuellement très sollicitée par les poids lourds ; aider au développement économique du Grand Libreville.

La gouverneur Marie Françoise Dikoumba invite les populations et les autorités à réserver un accueil favorable aux équipes de travail qui seront sur le terrain et à prendre toutes les dispositions nécessaires au bon déroulement de cette mission.

Brice Gotoa

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Le gouvernement gabonais s’est engagé à réaliser un audit du secteur pétrolier. Cet engagement est contenu dans le mémorandum du Gabon sur les politiques économiques et financières (MPEF). Le document est joint à la lettre d’intention adressée par Libreville au Fonds monétaire international (FMI), pour bénéficier du financement de l’institution financière en juin dernier.

L’audit couvrira les cinq grandes entreprises du secteur à savoir : Perenco (45 champs), Total Gabon (11 champs), Assala Gabon (8 champs), Maurel & Prom (8 champs), et Vaalco Gabon (5 champs).

L’audit sera exécuté par un cabinet international « indépendant » et « spécialisé du cost-oil ». Son recrutement devrait intervenir au plus tard à la fin octobre 2022, projettent les autorités gabonaises. L’auditeur en question devra, « évaluer les conventions entre les pétroliers, l’État et les entreprises publiques ; établir le niveau de la dette croisée entre le gouvernement, les entreprises publiques et les sociétés pétrolières privées », et évaluer les coûts de production (cost-oil), précise le mémorandum.

Selon le FMI, l’audit permettra d’avoir de manière détaillée, une meilleure visibilité sur les coûts de production des produits pétroliers au Gabon pour plus de transparence dans le secteur. « On souhaiterait s’assurer que les coûts de production reflètent les dépenses qui sont engagées dans le cadre de la production du pétrole », explique Agou Gomez Gbedia, représentant résidant du FMI au Gabon.

Un autre élément qui est essentiel dans cet audit « sera de regarder les principes de compensation de la TVA », selon le représentant résident du FMI. Car, certaines entreprises ne respectent pas toujours le principe de la compensation de la TVA qui est de payer la TVA à l’administration fiscale ou douanière, et se faire rembourser par la suite par les impôts ou la douane. Or, certaines d’entre elles « se remboursent elles-mêmes la TVA en gardant par-devers elles, une partie des revenus qu’elles devraient verser à l’État. Donc, on souhaiterait qu’il y ait un audit de ce processus de compensation », poursuit Agou Gomez Gbedia. Il est question de s’assurer que l’ensemble des ressources qui devraient être versées à l’État par les entreprises pétrolières l’ont été, en totalité.

A noter que le pétrole demeure le premier contributeur au budget national du Gabon malgré la baisse de production enregistrée notamment en 2020 du fait de la crise sanitaire. Selon les données du ministère de l’Économie, les exportations de pétrole en 2021 ont enregistré une augmentation de 2,8 %, pour atteindre 2 185,8 milliards de FCFA.

Sandrine Gaingne

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Le plan de réinstallation des populations impactées par l’aménagement de la ligne hydroélectrique de Ngoulmendjim est désormais bouclé. Réalisé par le bureau international Artelia, appuyé par le bureau d’étude gabonais Géo-guide, ce plan recense 552 parcelles, 156 maisons habitées et 561 personnes impactées par les travaux. Ceux-ci consistent à la construction d’une ligne de transport de 225 kV reliant le poste de départ Ngoulmendjim (10,5 kV/225 kV) et le poste d’arrivée Ntoum 2 (225 kV/90 kV), explique Asokh Energy. C’est la société chargée de construire, gérer et exploiter l’infrastructure pendant une durée de 25 à 30 ans.

À en croire des responsables d’Asokh Energy, le budget de la réinstallation « devrait avoisiner les 14,8 millions d’euros soit 9,7 milliards de FCFA. Alors, toutes les pertes identifiées seront compensées », souligne l’entreprise qui soutient que les pertes identifiées sur le long de la ligne hydroélectrique sont évaluées à 4,1 milliards FCFA. Ces pertes concernent des maisons d’habitation, des biens agricoles, des parcelles cultivables, des arbres fruitiers, des commerces, etc.

Les personnes impactées seront réinstallées dans une zone de relogement située à Ntoum, où trois sites ont d’ores et déjà été identifiés pour leur relogement, informe Asokh Energy.

D’autres personnes pourraient rejoindre la liste des populations déjà identifiées. Car, à en croire l’entreprise détenue à 60 % par le Groupe Eranove et 40 % par le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS), seules 97 % des populations impactées figurent dans la liste déjà établie. Et actuellement, le traitement des réclamations reçues se poursuit.

Le projet de construction de la ligne de transport de l’électricité de Ngoulmendjim relie Ndouaniang à Ntoum 2 (Okolassi). Le projet est développé par le consortium Gabon Power Company (GPC), filiale détenue à 100 % par le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS), et le groupe industriel panafricain Eranove.

Le projet de construction de la centrale hydroélectrique de Ngoulmendjim (83 MW) devrait contribuer à l’augmentation de la part de l’hydroélectricité dans le mix électrique à hauteur de 7 % et créer 1 000 emplois. Les travaux devraient démarrer en mars ou avril 2023 selon Asokh Energy.

Sandrine Gaingne

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Selon un communiqué du ministère gabonais des Sports daté du 23 juillet, le trésor public fait face à des « tensions de trésorerie » pour financer la participation des compétiteurs gabonais aux 50e championnats mondiaux de scrabble prévus à Louvain-la-Neuve (Belgique) du 22 au samedi 30 juillet 2022.

Le ministère révèle à cet effet qu’en date du 24 juin 2022, la Fédération gabonaise de Scrabble a introduit une demande de financement pour la prise en charge des frais et débours (transport, hébergement, restauration et perdiems) pour sa participation à ces mondiaux en Belgique. « Cette demande a été traitée par le ministère des Sports à travers la direction générale des Loisirs qui a engagé les procédures de décaissement de fonds auprès des administrations compétentes. Malheureusement, suite à des tensions de trésorerie, les fonds nécessaires pour couvrir cette mission n’ont toujours pas été décaissés », apprend-on.

Cependant, révèle cette administration, dix membres de la Fédération gabonaise de Scrabble seraient dans un pays européen, soi-disant envoyés sans frais de mission par le ministère des Sports, et vivraient des moments difficiles. Cela amène la tutelle gabonaise à rappeler que : « le ministère des Sports n’a pas envoyé en mission, à ce jour, une délégation de la Fédération gabonaise de Scrabble. Toute manœuvre tendant à en dire le contraire est inexacte, et n’engage que les auteurs de ces allégations fallacieuses ».

Selon le ministère des Sports, si des membres de la Fédération gabonaise de Scrabble se retrouvent à l’étranger, cela a été possible grâce aux moyens propres de ladite Fédération, qui est une association, et qu’au titre de la loi 35/62 du 10 décembre 1962, elle est dotée de la personnalité juridique et est constituée d’adhérents et de donateurs dont les cotisations et les contributions financières permettent la réalisation de leurs activités. L’État, lui, « n’apporte éventuellement sa contribution multiforme qu’en fonction de ses ressources disponibles », martèle le ministère.

Sylvain Andzongo

Avec le soutien de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Gabon vient de lancer la révision de sa stratégie pour une meilleure couverture vaccinale dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Covid-19.

À cet effet, les autorités sanitaires du pays ont ouvert, le 21 juillet à Libreville, la revue intra-action de la vaccination contre le Covid-19. Elle est axée sur l’identification des bonnes pratiques, des goulots d’étranglement et la formulation des recommandations. L’objectif, apprend-on, est de capitaliser les meilleures pratiques et doter le pays d’un plan d’action actualisé et orienté vers l’amélioration de la couverture vaccinale.

En attendant la conclusion des travaux, les autorités sanitaires, elles-mêmes, relèvent que le taux de couverture vaccinale dans le pays est encore faible. Selon les chiffres du Comité national de vaccination contre le Covid-19, au premier trimestre 2022, le taux de couverture vaccinale complète au Gabon est de 24,69 %, celui de la première dose est de 29,29 %. Ce qui est loin de l’objectif de 50 % de la population totale vaccinée.

Selon les autorités sanitaires, la vaccination est une mesure de prévention complémentaire des mesures barrières. Toute personne vaccinée est invitée à continuer de les appliquer scrupuleusement, afin de ne pas se contaminer et mettre en danger la vie de ceux qui ne sont pas vaccinés. Par ailleurs, la vaccination ne constitue en aucun cas un traitement contre la Covid-19.

S.A.

Le ministre gabonais de l’Éducation nationale, Camélia Ntoutoume Leclercq, a échangé le 20 juillet 2022 avec les représentants des collectifs des enseignants sortants de quatre grandes écoles des promotions 2015 à 2021. Il s’agit notamment des diplômés de l’École normale supérieure (ENS), de l’École normale des instituteurs (ENI), de l’École normale supérieure de l’enseignement technique (Enset) et de l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS).

« Nous avons été reçus par la ministre pour lui exposer les difficultés que rencontrent les différentes promotions sorties entre 2015 et 2021. Il était question d’essayer de trouver des pistes de solutions. Nous en sortons satisfaits sur certains points, bien qu’il reste encore beaucoup à faire », a déclaré Fall Bombenda, porte-parole du collectif des promotions de l’ENS.

Pour le ministre Camélia Ntoutoume Leclercq, il y a des avancées considérables sur ce sujet. « Le gouvernement est à pied d’œuvre pour que ces situations puissent être régularisées progressivement », a-t-elle rassuré.

Les difficultés que rencontrent ces diplômés des grandes écoles sont multiples. En ce qui concerne l’ENS par exemple, la promotion 2020 a été affectée sans salaires, la promotion 2021 est en attente d’affectation et les promotions 2015 et 2017 sont en attente des textes d’intégration et de titularisation, apprend-on. Du côté de l’INJS, selon le porte-parole, Serge Aboue, les promotions 2015 à 2018 ont des soucis administratifs en rapport avec la titularisation et la mise en solde. À ces situations s’ajoutent celles des lauréats de l’ENI et de l’Enset.

Brice Gotoa

Le Gabon vient de conclure un accord de partenariat avec le groupe indien OAM International. Il a été signé le 20 juillet 2022 par le ministre gabonais de la Promotion des investissements, en marge de la 17e édition du Conclave Inde-Afrique tenu les 19 et 20 juillet derniers à New Delhi en Inde. Le nouvel accord vise à établir un cadre de coopération bilatérale focalisé sur le développement des zones agricoles à forte productivité (ZAP).

Cette signature « va permettre de valoriser la zone à forte productivité agricole d’Andem » dans la province de l’Estuaire, explique-t-on au ministère de la Promotion des investissements. L’implémentation de cet accord contribuera également à « créer des emplois directs et indirects, mais aussi de réduire les importations à plus 50 % ».

La zone agricole à forte productivité d’Andem a été créée en 2020 par le gouvernement avec quatre autres zones, dans le but de développer l’agriculture sur la base d’un foncier organisé autour des bassins de production à travers le pays. Il s’agit des terres cadastrées disponibles pour promouvoir l’agriculture.

À l’horizon 2025, le Gabon projette de produire localement plus de 50 % de sa consommation alimentaire. Ce qui permettra au pays d’accroître la part de l’agriculture dans son produit intérieur brut. Ce secteur représente actuellement moins de 5 % du PIB.

SG

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Le ministère gabonais de la Jeunesse et des Sports et le bureau du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) au Gabon recherchent deux consultants (international et national) pour l’évaluation de la politique nationale de la jeunesse au Gabon. Un appel à candidatures y relatif a été lancé ce 22 juillet 2022 à Libreville.

« L’objectif de l’évaluation de la politique de la jeunesse du Gabon est d’apprécier les résultats de la mise en œuvre au cours de la période 2012-2021 afin de permettre aux acteurs clés de disposer d’informations sur les progrès réalisés, les contraintes et les leçons apprises pour réorienter les actions et interventions de la prochaine (nouvelle) politique nationale de la jeunesse », indique le communiqué de l’appel à candidatures.

Le consultant international qui sera assisté d’un consultant national doivent tous les deux avoir un niveau d’étude minimum de Bac+5 dans les domaines du droit, de la sociologie, des sciences humaines ; des sciences sociales, ou tout autre domaine connexe. « Les consultant(e)s devront avoir une bonne connaissance de l’environnement sociopolitique et associatif du Gabon ; avoir déjà effectué un travail similaire dans un contexte comparable serait un avantage », précise le communiqué. Le dépôt des candidatures se fera en ligne sur le site de l’Unicef, la date limite du dépôt n’a pas été indiquée.

Le Gabon a pris des engagements internationaux en faveur de la jeunesse. Notamment, l’Agenda 2030 des Nations unies, l’Agenda 2063 de l’Union africaine, la stratégie des Nations unies pour la jeunesse, la Charte africaine de la jeunesse, la Stratégie jeunesse de la francophonie 2015-2022. Cette évaluation vise à apprécier l’impact de la politique nationale de la jeunesse du Gabon, élaborée il y a près d’une décennie. Elle devra déboucher, à terme, sur la mise en place d’une stratégie actualisée consacrée aux jeunes du Gabon, apprend-on.

Brice Gotoa

La compagnie aérienne gabonaise Afrijet va augmenter sa flotte d’un nouvel avion acquis auprès de l’aviateur franco-italien ATR. Ce nouvel appareil de type ATR 72-600 « de dernière génération », sera livré avant la fin de l’année 2022, informe la compagnie dans un communiqué publié par l’Agence Ecofin.

Cette commande portera à six ATR la capacité totale de la flotte d’Afrijet d’ici 2023, ce qui permettra dès lors d’ouvrir de nouvelles lignes régionales et d’augmenter ses fréquences des vols. « La connectivité régionale a un impact significatif sur les économies locales et l’intégration régionale. Pour être efficace en Afrique, un avion doit être rentable, fiable et polyvalent. De plus, le territoire spécifique sur lequel Afrijet opère comprenant notamment la forêt équatoriale - la deuxième plus grande forêt tropicale du monde après l’Amazonie - constitue une raison d’autant plus forte de choisir l’avion le plus responsable du marché pour ces connexions essentielles », a commenté Marc Gaffajoli, administrateur d’Afrijet.

Basé à Libreville, le transporteur gabonais dessert actuellement les villes de Yaoundé et Douala au Cameroun, Malabo et Bata en Guinée Équatoriale, ainsi que Sao Tomé (São Tomé et Príncipe) et Cotonou au Bénin.

La compagnie lancée en 2005, avait opté pour des ATR d’occasion dans un premier temps, puis pour des ATR 72-600 loués en 2020. Aujourd’hui, la compagnie a ses propres avions.

SG

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