« L'Office national de l'emploi (ONE) devient le Pôle national de promotion de l'emploi, conformément à la Loi n° 010/2022 du 05 août 2022 portant création du Pôle national de promotion de l’emploi ». C’est l’annonce faite ce 23 août par l’organisme public en charge de la promotion de l’emploi au Gabon.
Ainsi, apprend-on, les prérogatives et les actifs dont jouissaient l'ex-Fonds d'aide à l'insertion et à la réinsertion professionnelle (FIR) et l'ex-Office national de l'emploi ainsi que leurs passifs sont transférés au Pôle national de promotion de l'emploi (PNPE). Ce qui induit que cette transformation a été votée par le parlement gabonais.
En effet, la mutation de l’ONE adoptée en conseil des ministres avait été soumise au Sénat en juin 2021. Le gouvernement avait expliqué que cette transformation apporte quatre innovations majeures. La première concerne le changement de dénomination sociale de l'Office national de l'emploi qui devient « Pôle national de promotion de l'emploi », afin de mieux prendre en compte l'extension des missions de cet organisme.
La deuxième innovation est « l'élargissement du champ d'action de l'ONE pour apporter des solutions adaptées à la problématique du chômage, afin de répondre à l'ambition du gouvernement de lutter contre la précarité, la pauvreté, et l'exclusion sociale ». La troisième nouveauté a trait à la reprise par l'ONE des actifs du FIR. La quatrième innovation est la diversification des sources de financement en vue de rendre plus attractif l'offre de service de l'ONE auprès du public et soutenir le dispositif d'aide d'accès à l'emploi pour atteindre les objectifs fixés par le Plan d'accélération de la transformation (PAT) 2021-2023.
Dans la cadre du PAT 2021-2023, la restructuration en cours de l’ONE devrait résoudre le problème selon lequel, 66 % des demandeurs d’emploi enregistrés au Gabon proviennent de l’enseignement général alors que les entreprises sollicitent plus les diplômés issus de l’enseignement technique et professionnel. Le nouveau Pôle national de l’emploi entend donc garantir l’adéquation entre la formation et le marché de l’emploi et développer l’emploi privé au Gabon.
S.A.
Suite à la promesse faite par Ali Bongo le 16 août dernier, à l’occasion de la commémoration du 62e anniversaire de l’indépendance du Gabon, le gouvernement gabonais a lancé la mise en œuvre du retour du transport scolaire gratuit dans le pays.
En prélude à la rentrée scolaire prévue le 5 septembre prochain, le ministre en charge de l’Éducation nationale, Camelia Ntoutoume Leclercq, a eu une séance de travail à son cabinet avec son collègue des Transports, Brice Constant Paillat, qu’accompagnaient les directeurs généraux (DG) des sociétés de transports Sogatra, TransAkanda et le représentant de Trans’Urb.
« Au cours de leurs échanges, il a été question, pour les deux membres du gouvernement, de voir et déterminer ensemble les modalités pratiques de la mise en œuvre de la gratuité du transport scolaire, comme annoncé par le président de la République […] Ali Bongo Ondimba, à l’occasion de son adresse à la nation le 16 août dernier », apprend-on.
Pour l’heure, les modalités d’application de cette mesure présidentielle n’ont pas encore été révélées. Mais l’on se rappelle que, dans son discours prononcé le 16 août dernier, le président Ali Bongo avait déclaré : « Afin d’accompagner les familles dans une préparation sereine de la rentrée, l’allocation de rentrée scolaire sera versée aux parents d’ici la fin du mois d’août. À cette première mesure, j’en ajoute une seconde : le retour du transport scolaire gratuit dans les toutes prochaines semaines. »
En 2020, le président de la République a instruit un plan de transport gratuit pour les élèves des classes de terminale sur l’ensemble du territoire national. L’accès aux bus de transport scolaire était conditionné soit par le port de l’uniforme scolaire ou la présentation d’une carte d’identité scolaire. Cette mesure exceptionnelle s’inscrivait dans le cadre la batterie de mesures sociales et économiques annoncées par le chef de l’État gabonais dans l’objectif d’amortir les effets de la crise liés au Covid-19 dans le pays.
Sylvain Andzongo
Le gouvernement gabonais a lancé ce 23 août 2022, un avis à manifestation d’intérêt pour le recrutement d’un responsable administratif et financier pour le Projet d’appui à la diversification de l’économie gabonaise (PADEG). Les candidats ont jusqu’au 7 septembre 2022 pour le dépôt de leurs dossiers.
Le responsable administratif et financier/comptable (RAF) est responsable du volet « administration, finances et comptabilité » du projet. Il est placé sous l’autorité du chef de la cellule d’exécution projet et est chargé de la mise en œuvre des programmes budgétaires du projet, ainsi que de la gestion des ressources humaines et matérielles affectées, recrutées ou acquises pour les besoins du projet. Il devra assurer entre autres, la coordination des travaux administratifs, financiers et comptables de l’ensemble du projet ; l’élaboration et suivi de l’exécution du budget en concertation avec les autres membres de la Cellule de projet ; la tenue de la comptabilité et l’élaboration des états financiers périodiques et dont ceux nécessaires à l’audit annuel des comptes du projet ; et l’exécution de toute autre activité concourant à la mise en œuvre efficace du projet relevant de son domaine de compétence et qui lui sera confiée par le chef de la cellule d’exécution du projet.
« Toute prestation externe du responsable administratif et financier devra recevoir une autorisation préalable et sera sans rémunération additionnelle pour autant qu’il dispose d’un contrat à plein temps (100 %) avec le projet », renseigne l’avis à manifestation d’intérêt.
La cellule d’exécution du projet invite tous les consultants individuels intéressés par les services à fournir les informations pertinentes indiquant leurs capacités techniques à exécuter lesdits services. Le candidat devra être de nationalité gabonaise, être titulaire d’un diplôme universitaire en économie/gestion, finances, comptabilité (Bac +5), ou diplôme équivalent dans des domaines connexes. Il doit avoir une expérience d’au moins 10 ans à un poste de gestion administrative, comptable et finance ou de suivi financier d’un projet de développement.
Les critères d’éligibilité, l’établissement de la liste restreinte et la procédure de sélection seront conformes au « Cadre de passation des marchés pour les opérations financées par le Groupe de la Banque africaine de développement (Édition d’octobre 2015 par l’entremise de la méthode de sélection de consultants individuels) disponible sur le site web de la banque ».
Le Gabon a reçu un financement auprès de la Banque africaine de développement (BAD) afin de couvrir le coût du PADEG. Selon l’avis à manifestation d’intérêt, le pays se propose d’utiliser une partie des fonds de ce prêt pour financer le contrat de prestation de services.
Brice Gotoa
Netflix, le leader mondial du streaming et de la vidéo à la demande, met à la disposition des étudiants en cinéma et audiovisuel du Gabon entre autres, des bourses d’études financées par son fonds Netflix Creative Equity Fund (CESF).
Le programme est destiné à fournir une aide financière sous forme de bourses complètes dans des établissements d’enseignement supérieur partenaires, dont l’Institut Philippe Maury de l’audiovisuel et du Cinéma (IPMAC-Groupe EM Gabon-Université). C’est une université gabonaise dédiée à la formation initiale et continue, en présentiel et en distanciel, dans les domaines de la communication, du journalisme de l’audiovisuel et du cinéma.
Ainsi, le CESF couvrira les frais de scolarité, de logement, de fournitures et les dépenses courantes dans des écoles partenaires sélectionnées. Le but de Netflix étant « d’aider les créateurs ambitieux des pays d’Afrique » à obtenir des qualifications et des formations reconnues, indique un communiqué de Netflix.
En dehors du Gabon, les établissements d’enseignement supérieur partenaires au Nigeria, au Bénin, au Ghana sont également concernés par ces bourses qui s’adressent globalement aux créateurs des pays d’Afrique de l’Ouest ou centrale (à l’exception de la République démocratique du Congo (RDC).
Pour être éligibles, les candidats doivent en plus d’être des citoyens et résidents de l’un des pays d’Afrique de l’Ouest ou centrale (à l’exception de la RDC), suivre des cours liés à la télévision et la cinématographie dans l’une des institutions partenaires. Aussi, ils doivent être inscrits dans l’une des institutions partenaires retenues (priorité aux étudiants qui sont à une ou deux années de l’obtention de leur diplôme), apprend-on. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 4 septembre 2022.
Le Creative Equity Scholarship Fund (CESF) a été lancé en 2021 par Netflix. L’initiative couvre les demandes à partir de l’année universitaire 2022 et s’inscrit dans le cadre des efforts de Netflix pour investir dans les industries créatives africaines et pour que des voix plus diverses et nouvelles racontent les histoires africaines.
SG
Dans ses perspectives pour l’année 2023, le Gabon mise sur une production pétrolière en hausse de 2,2 %, selon les prévisions contenues dans le document de cadrage macroéconomique et budgétaire pour la période 2023-2025. Cette production s’établirait alors à 10,99 millions de tonnes contre des prévisions de 10,7 millions de tonnes métriques en 2022 dans la loi de finances rectificative (PLFR).
Cette hausse selon le document de cadrage macroéconomique et budgétaire se ferait « sous l’effet de la mise en exploitation de nouveaux puits », lit-on dans ledit document.
Aussi, les capacités de stockage de ces produits pétroliers pourraient augmenter. Car, d’après la même source, le Gouvernement a achevé les travaux relatifs à l’aménagement du quai multiproduits à Owendo, dans le secteur de l’Aval pétrolier. Parallèlement, la construction d’un dépôt de produits pétroliers blancs (essence, gasoil, pétrole et Jet A1) entamée il y a quelques années est en voie de finition. Par ailleurs, un projet de construction des centres emplisseurs à l’intérieur du pays est en cours de réalisation afin d’améliorer l’approvisionnement en gaz butane sur le territoire national.
La hausse de la production des produits pétroliers envisagée pour 2023 aurait un impact sur le produit intérieur brut (PIB) dont le taux de croissance s’établirait à 3,2 % en 2023 d’après la même source.
En 2021, la production nationale de pétrole a atteint 10,04 millions de tonnes métriques (73,29 millions de barils) en baisse de 6,7 % par rapport à 2020. Un repli qui s’explique par l’observation des quotas OPEP+, mais également à des aléas opérationnels (avarie sur de câbles électriques alimentant les sites Anguille et Torpille) et à un faible taux de disponibilité des équipements (compresseurs, générateurs électriques, etc.) chez Total Gabon et Assala Gabon, apprend-on. Et à fin mars 2022, la production nationale de pétrole brut s’est située à 2,55 millions de tonnes métriques contre 2,48 millions de tonnes en 2021, soit une progression de 2,8 %. Une hausse s’explique par la résolution des problèmes opérationnels rencontrés certains opérateurs en fin d’année 2021.
Sandrine Gaingne
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Libreville, la capitale gabonaise accueille du 30 août au 1er septembre 2022, les états généraux du fonctionnement des institutions, organes, institutions spécialisées et agence d’exécution de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), a-t-on appris de cette institution africaine. Placée sous le thème « Consolidation des acquis et perspectives », cette rencontre vise à faire un point complet sur le fonctionnement de la communauté plus de 15 ans après le Programme de réformes institutionnelles.
Il s’agira entre autres de comprendre les enjeux nouveaux du fonctionnement de la Commission de la Cemac, d’évaluer l’efficacité et l’efficience des nombreuses institutions spécialisées, de déterminer les conditions d’amélioration du fonctionnement du mécanisme autonome de financement actuel de la communauté, et d’identifier les sources de financements alternatifs de la communauté. Ces états généraux connaîtront la participation des États, des acteurs du système institutionnel de la Cemac et des partenaires internes et externes du processus d’intégration de la sous-région.
« À travers l’initiative des états généraux, la communauté veut tirer les enseignements reçus des 15 années d’expérience de mise en œuvre des réformes institutionnelles d’une part, et optimiser son système institutionnel face aux défis majeurs qui l’interpelle désormais d’autre part », indiquent les organisateurs. La Cemac se déploie notamment pour la viabilité budgétaire des Institutions communautaires ; la rationalisation des deux communautés économiques d’Afrique centrale et des Institutions spécialisées de formation (ISF) de la Cemac ; les sources alternatives de financements de la communauté.
À l’issue des travaux, plusieurs résultats escomptés sont attendus, notamment l’élaboration des propositions pour l’amélioration du fonctionnement harmonieux des institutions communautaires en vue de la réalisation concrète des objectifs fixés par le traité de la CEMAC ; la création d’un comité ad hoc chargé de la réflexion, du suivi et de la mise en œuvre des sources alternatives de financement, inspirées des autres communautés ; l’amélioration de l’appropriation des objectifs d’intégration sous régionale au travers des institutions communautaires.
Rappelons que les réformes institutionnelles de la Cemac sont devenues opérationnelles suite aux conclusions de la session ordinaire de la Conférence des chefs d’État des 16 et 17 janvier 2010 à Bangui, République centrafricaine. Les chefs d’État ont mis fin au consensus de Fort-Lamy et institué le principe de la rotation, par ordre alphabétique des États membres, au niveau de toutes les institutions, organes et institutions spécialisées de la Communauté.
Brice Gotoa
Le groupe African Guarantee Fund, institution financière non bancaire s’est porté garant des crédits octroyés par le groupe bancaire gabonais BGFIBank aux PME. À cet effet, Henri-Claude Oyima, président-directeur général du Groupe BGFIBank et Jules Ngankam, directeur général du groupe African Guarantee Fund, ont signé le 12 août 2022 à Libreville, une ligne de garantie de portefeuille d’un montant total de 50 millions d’Euros (32,5 milliards de FCFA), destinée à couvrir les crédits alloués aux PME, informe la banque gabonaise dans un communiqué.
Cette convention selon le communiqué permettra au Groupe BGFIBank d’accélérer l’accès au financement des PME. Une clientèle qui a encore du mal à accéder aux financements.
« Cette nouvelle convention témoigne de notre volonté de continuer à soutenir les PME, acteurs majeurs de la création d’emplois en Afrique », a déclaré Jules Ngankam. Par ailleurs, « nous considérons l’entrepreneuriat féminin comme un pilier de la croissance économique. Ainsi, grâce au programme Afawa Guarantee for Growth, mis en œuvre par l’AGF en partenariat avec la Banque africaine de développement (BAD), les filiales du Groupe BGFIBank soutiendront avec des conditions plus avantageuses les PME de l’entrepreneuriat féminin », poursuit-il.
Créé par le gouvernement du Danemark, African Guarantee Fund a pour objectif entre autres de promouvoir le développement économique en fournissant aux institutions financières des solutions de garantie et un appui au renforcement des capacités, spécifiquement destinés à soutenir les PME en Afrique. Le groupe AGF et le Groupe BGFIBank collaborent depuis huit ans.
SG
En visite de « travail et d’amitié » au Gabon le 19 août dernier, le président togolais, Faure Gnassingbé, a annoncé que son pays est en coopération avec le Gabon en vue de faire baisser le coût local des services internet jugés exorbitants.
« Il y a aussi une forte collaboration ; une forte coopération entre les deux autorités de régulation [gabonaise et togolaise] pour avoir des services téléphoniques et internet beaucoup plus efficaces, mais à moindre coût. Un des problèmes que nous avons c’est que nos prix sont élevés à Lomé. Mais je pense qu’en travaillant avec l’Arcep [l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes] du Gabon nous nous inspirerons de comment on arrive à mettre la pression sur les opérateurs pour s’assurer que les consommateurs et les utilisateurs de téléphonie mobile paient le juste de prix », a déclaré le président togolais.
Les forfaits téléphoniques data mobile et voix au Togo sont parmi les plus chers de la zone Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), selon une analyse comparative des tarifs des opérateurs de télécommunication, publiée en février dernier par l’Autorité togolaise de régulation des communications électroniques et des postes. Dans le détail, concernant les forfaits 100 % data mobile, le Togo se positionne parmi les tarifs les plus élevés de la zone avec des tarifs jusqu’à 25 fois plus chers que le meilleur tarif de la zone, précise l’Arcep. Sur le segment des forfaits 100 % voix, les tarifs pratiqués au Togo font partie des plus élevés de l’Union, jusqu’à 4 fois plus chers que le meilleur tarif de la zone.
S.A.
Pour les prochaines années, le Gabon veut davantage favoriser la création d’entreprises individuelles. À cet effet, le président de la République a demandé au gouvernement de réfléchir à un dispositif qui « n’a pas vocation à créer quelques dizaines, voire quelques centaines d’emplois », mais « de créer plus de 100 000 auto-entrepreneurs », a-t-il prescrit ans son adresse à la nation le 17 août dernier.
D’après le chef de l’État, il est question à travers ce dispositif de permettre aux Gabonais méritants et volontaires de devenir financièrement indépendants. « Ce dispositif n’a rien de cosmétique… Il est grand temps, en effet, de changer de braquet et de passer à la vitesse supérieure », a-t-il insisté.
Depuis son accession à la magistrature suprême, Ali Bongo met l’accent sur l’emploi. Car, « l’emploi, c’est la clé de voûte de mon projet, mon absolue priorité. Car tout le reste, ou presque, en découle », explique-t-il. En effet, dans un discours prononcé en 2016, Ali Bongo a promis de créer 20 000 emplois par an au Gabon. Cette ambition de départ avait été revue à 10 000 par an en 2018 dans un autre discours à la nation.
SG
Le ministre gabonais de la Justice, madame Erlyne Antonela Ndembet Damas, s’est entretenue le 19 août 2022 à Libreville avec la secrétaire générale du Commonwealth, Patricia Scotland. Les échanges ont porté sur l’organisation de la réunion des ministres de la Justice des pays membres du Commonwealth prévue du 23 au 25 novembre en Île Maurice. Cette rencontre portera sur le Plan stratégique de développement du Commonwealth.
Au cours de l’entretien, la secrétaire générale du Commonwealth a remis au ministre de la Justice le rapport comportant les idées relatives au plan stratégique de développement du Commonwealth, dont le Gabon devrait s’inspirer. Bien que les détails de ce rapport n’aient pas été évoqués, Patricia Scotland a également indiqué que son organisation est disponible à accompagner le Gabon sur des questions qu’il lui plairait de présenter à ses équipes.
Aussi, la secrétaire générale du Commonwealth s’est dite honorée d’inviter le Gabon à la réunion des ministres de novembre prochain, indique le ministère de la Justice. Elle a appelé l’ensemble des représentants des pays à s’approprier la documentation concernant la Charte du Commonwealth signée en 2019.
Pour sa part, le ministre Erlyne Antonela Ndembet Damas a rassuré Patricia Scotland, de la présence du Gabon en novembre prochain en Île Maurice. Se félicitant de l’adhésion du Gabon au Commonwealth, elle a dit l’intérêt du gouvernement gabonais et plus précisément des acteurs de l’administration judiciaire de s’approprier ledit rapport, apprend-on.
Brice Gotoa
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