Le Conseil national de l’eau et l’électricité (CNEE) informe qu’il a lancé une « grande » opération de modernisation de l’éclairage public dans le Grand-Libreville : Libreville, Akanda et Owendo.
« En effet, depuis le 15 février dernier, les équipes techniques du CNEE sillonnent de jour comme de nuit les grandes artères des communes de Libreville, Akanda et Owendo en vue de procéder au remplacement des lampadaires de luminosité jaune par des lampadaires LED de luminosité blanche, pour donner un nouvel éclat à nos différentes rues », informe le Conseil.
Cette campagne de remplacement des anciens lampadaires de type « Saphir SHP 150 Watts » de luminosité jaune classique par des lampadaires de type télégestion LED 100 Watts a aussi des visées économiques et écologiques. Car les ampoules LED consomment moins que les précédentes. Ce qui pourrait faire baisser la facture de l’éclairage public.
Une étude des prix mondiaux réalisée par le site britannique Cable.co.uk montre que le Gabon a l’un des indices de prix d’électricité les plus élevés d’Afrique. Avec un prix moyen du kilowattheure (kWh) estimé à 0,183 dollar (105,67 FCFA), ce pays d’Afrique centrale occupe la 40e place sur 52 États africains classés. Le Gabon est donc parmi les 15 pays du continent ayant un coût moyen du kWh le plus élevé. Au niveau mondial, le pays occupe le 155e rang.
S.A.
Le déraillement du train minéralier qui a entraîné pendant deux jours (1er mars et 2 mars) la suspension du trafic ferroviaire sur le transgabonais a causé d’importants dégâts matériels selon la Société d’exploitation du Transgabonais (Setrag). L’entreprise annonce que près de 200 mètres linéaires de voie ferrée ont été endommagés à la suite de ce déraillement de 15 wagons du train minéralier n° 6612 entre les gares d’Andem et de Ntoum.
Mais, tout a été réparé et le trafic a repris depuis le 3 mars sur cette voie, informent la Setrag et l’Autorité de régulation des transports ferroviaires (ARTF). Le régulateur dit s’assurer « des mesures d’accompagnements actées par la Setrag, sur la gratuité du report des voyages et de la disponibilité des guichets de vente pour le remboursement possible des billets. Mesures consécutives dues à l’arrêt du trafic survenu dans la nuit du 1er mars 2022 ».
Toutefois, l’origine de l’incident reste inconnue. Une enquête est en cours dans le but de mettre en lumière l’origine de la défaillance qui a causé cet incident.
Cet accident du train est enregistré dans un contexte où les travaux de réhabilitation du chemin de fer gabonais sont en cours. Pour cela, le Gabon a réceptionné au mois de janvier 2022, une cargaison de 6 000 tonnes de rails de 36 mètres chacun, fabriqués en Autriche.
SG
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Lignes aériennes gabonaises (LAG), le petit poucet de l’aviation civile gabonaise, vient de lancer son offensive sur la ligne Libreville-Douala (Cameroun). Dans cette veine, LAG indique dans une note qu’elle effectue désormais deux vols hebdomadaires, les mercredis et samedis sur ladite ligne. Pour conquérir des parts de marché dans les dessertes sous-régionales les plus fréquentées, la compagnie propose des tarifs « défiant toute concurrence ». En plus de ces tarifs, la compagnie mise sur la ponctualité grâce à son Embraer 195, un jet de dernière génération.
Cette nouvelle ligne en direction du Cameroun vient s’ajouter à d’autres : Bata (Guinée équatoriale) ; São Tomé (République démocratique de Sao Tomé-et-Principe située sur l’île de São Tomé) ; Port-Gentil, Franceville et Libreville (Gabon). Ainsi, la compagnie espère gagner des parts de marché sérieusement disputées par Afrijet ou Air Sénégal qui vient d’augmenter ses fréquences en Afrique centrale, dont la destination de Libreville.
Le ciel de l’Afrique centrale est devenu très concurrentiel depuis quelque temps avec des acteurs de poids comme Asky airlines, Ethiopian Airlines, Rwandair, entre autres. Ces derniers ont la particularité d’avoir de gros aéronefs pouvant transporter un plus grand nombre de passagers. Le petit poucet de l’aviation civile gabonaise est né le 5 mars 2005. Il opère en partenariat avec Air Burkina.
S.A.
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Trois membres du gouvernement ont défendu ce 3 mars 2022, le bilan à mi-parcours des projets réalisés dans le pivot économique du Plan d’accélération de la transformation (PAT) de janvier 2021 à mars 2022. C’était au cours de la première des matinées PAT organisées par le gouvernement gabonais à cet effet. Pour le ministre de l’Agriculture et de la pêche, Biendi Maganga Moussavou, le ministre du Pétrole du Gaz et des mines, Vincent de Paul Massassa ainsi que le ministre délégué aux Eaux et forêts, Charles Mve Ella, le bilan est plutôt satisfaisant dans ce pivot économique. Ce pivot ambitionnait de mener des réformes visant à faire du secteur forêt-bois et de l’agriculture les nouveaux piliers de l’économie gabonaise tout en ralentissant la chute de la production du pétrole.
Agriculture et pêche
Dans le secteur agricole selon le ministre Biendi Maganga Moussavou, plusieurs projets ont été réalisés dans l’optique d'accroître la production et réduire la dépendance du Gabon de l’extérieur. C’est le cas de la loi sur la politique semencière végétale au Gabon, qui a été adoptée par le parlement en mai 2021. L’objectif de cette loi est d’améliorer la qualité de la semence. Également réalisée, la création de cinq zones agricoles à forte productivité. « Nous avons cadastré et sécurisé 5 ZAP (Kango, Andem, Bifoun Abanga, Mboukou et Idemba) représentant 75 000 hectares disponibles. 2 nouvelles ZAP sont en cours de création juridique (Souba et Bitam). La commission d’attribution des terres a distribué 600 parcelles. Une entreprise a remporté l’appel d’offres pour les opérations de parcellisation », a affirmé le membre du gouvernement.
S’agissant de la pêche, Biendi Maganga Moussavou affirme avoir réalisé une étude sur les conditions économiques et techniques de la relance de l’usine de conditionnement du thon à Libreville ainsi que l’étude de remise en état du bâtiment abritant l’usine de la société industrielle et frigorifique du Gabon (Sifrigab). En arrêt d’activité depuis quelques années, cette société créée pour produire du thon et transformer le poisson-sardine en boîte pourra être opérationnelle d’ici la fin de cette année 2022 selon le ministre de l’Agriculture. Grâce à la mise en service de cette usine entre autres, le Gabon espère, d’ici 2025, parvenir à transformer localement, 25 000 tonnes de thons pêchés dans ses eaux. « Nous voulons que les produits de la pêche profitent aux nationaux en priorité. Le gouvernement veut gaboniser la pêche artisanale maritime. Nous voulons nationaliser la transformation pour que les Gabonais profitent de cette ressource. C’est notre défi actuellement », indique le ministre Biendi Maganga Moussavou. Il a par ailleurs annoncé l’entrée en fonction d’un centre de formation au cours de ce mois de mars. Un centre qui permettra de former 2600 jeunes sur cinq ans. Notamment sur les nouvelles méthodes de culture, la qualité des semences… À noter que le secteur de l’Agriculture représente 6 % du produit intérieur brut du pays.
https://twitter.com/biendimaganga/status/1499409072608759820?t=pEtA1xyMEUkgcnawsLZRAA&s=19
Pétrole
Dans le secteur pétrolier, du gaz et des mines, l’objectif était de ralentir la chute de la production du pétrole et diversifier la filière. Entre janvier 2021 et mars 2022, plusieurs décrets ont été adoptés dans ce sens. Notamment, la signature d’un décret en août 2021, portant sur le contenu local du secteur pétrolier. Par ce décret, le gouvernement veut réserver désormais certaines activités du secteur des hydrocarbures exclusivement aux entreprises détenues par des nationaux et exiger des sociétés pétrolières d’accompagner techniquement et financièrement les entreprises locales dans l’exécution des marchés à forte technicité. Ce, dans un contexte où les autorités mettent en place des stratégies pour passer du diesel au gaz dans le secteur énergétique et du transport.
Également évoquée, la remise en service de la sphère GPL (gaz de pétrole liquéfié) de la Société gabonaise d’entreposage de produits pétroliers (SGEPP) de 2 000 m3 « qui permet d’augmenter considérablement l’autonomie en gaz butane fixée à 8 jours contre 5 auparavant », explique le ministre du Pétrole Vincent de Paul Massassa. Aussi, les travaux de requalification et le revamping du centre emplisseur GPL depuis août 2021 ont permis de passer d’une production journalière 10 400 bouteilles en 12 heures à 16 000 bouteilles en 10 heures, apprend-on.
Reste en attente, l’adoption d’un code gazier, la restructuration de la Société gabonaise de raffinage (Sogara) en cours…
Forêts
Dans le secteur des Forêts, l’on note comme réalisations, le lancement de la Zone économique spéciale d’Ikolo. Le ministre délégué aux Forêts, Charles Mve Ella a également annoncé la réalisation ces derniers mois du recensement de l’ensemble des opérateurs économiques détenteurs des permis forestiers dans le but de résoudre le problème d’exploitation illégale. Cette opération a permis au gouvernement, à en croire Charles Mve Ella, de mettre en place un système de traçabilité du bois dans le pays.
Le plan d’accélération de la transformation de l’économie gabonaise a été lancé en janvier 2021. Ce plan triennal (2021-2023) vise à hâter la transition vers l’après-pétrole, en accélérant les nouveaux moteurs de croissance et en repensant le modèle social du Gabon. Le PAT cadre avec le plan stratégique Gabon émergent 2025, un programme de réformes économiques, dont l’objectif est de moderniser l’économie gabonaise, la diversifier et permettre à chaque Gabonais d’accéder à un niveau de vie décent.
Sandrine Gaingne
La Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog) procède actuellement aux travaux de revêtement de la ville de Moanda par la pose des pavés sur les voiries secondaires de la ville, informe l’entreprise sur sa page Facebook. La première phase du chantier s’étend sur un linéaire de près 7 km, scindés en 3 axes pour un montant global d’un peu plus de 3 milliards de FCFA.
Ces travaux consistent, entre autres, à faire le revêtement en pavé trief d’épaisseur 13 cm, le lit de pose en sable de 4 cm d’épaisseur et la couche de fondation de 20 cm de latérite. Ils prennent également en compte l’aménagement des trottoirs, des ouvrages hydrauliques (buses, regards, cunettes, caniveaux), des murs de soutènement, de l’éclairage public avec l’installation de 226 panneaux solaires ainsi que la réhabilitation de 12 fontaines publiques.
Ces travaux interviennent dans le prolongement du vaste projet d’amélioration du trafic routier de la cité minière, démarré en 2019 avec la réhabilitation de son artère principale, longue de 4 km.
Financés dans le cadre de la Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) de Comilog, les travaux seront livrés le 30 mai 2022 selon les prévisions.
Brice Gotoa
L’Agence nationale de l’urbanisme, des travaux topographiques et du cadastre (Anuttc) a lancé récemment un projet de morcellement du terrain du titre foncier 22700 dans la commune d’Akanda à Libreville. L’objectif est « de permettre aux 1024 personnes (pour 256 ménages) qui s’y sont installées de devenir propriétaires du sol qui abrite leurs investissements », explique l’Anuttc.
Le site fortement mis en valeur par les populations est « très mal organisé ». À travers ce projet, l’agence se propose de restructurer la zone afin d’assurer son intégration dans le système urbain de la commune d’Akanda.
Pour devenir propriétaires, ces occupants devront régler les frais d’acquisition. Seulement, le gouvernement leur laisse la possibilité de verser ces frais en temps voulu.
Depuis quelques années, des parcelles de terrain contenues dans le titre foncier 22700 ont été occupées de manière illégale par des populations en quête de terrains constructibles. À en croire l’Anuttc, « plus de 80 % de l’assiette foncière du titre en question sont occupés et abritent des constructions de toutes sortes et les populations de toutes les couches sociales ». Pourtant, jusqu’à présent, aucun titre de propriété n’a été établi à ces occupants.
Le titre foncier 22700 est une réserve de l’Anuttc, constituée depuis 2013 pour la réalisation d’un lotissement intégré pour le compte de l’État. Cette réserve située à Marseille 2, dans le premier arrondissement d’Akanda à Libreville, couvre une superficie de 57 hectares. La zone est accessible par une voie secondaire en terre dont l’emprise projetée est de 20 mètres.
SG
Le projet de viabilisation de 385 ha de terrain de la Caisse des dépôts et consignation (CDC) à Okolassi (localité située dans le 2e arrondissement de la commune de Ntoum) vient de franchir un nouveau palier avec l’achèvement de l’évaluation du potentiel forestier de la zone.
Ainsi, l’Agence d’exécution des activités de la filière forêt-bois (Aeaffb) qui a reçu mandat de la CDC pour mener cette évaluation, déclare que les travaux se sont déroulés « selon le cahier de charge de la CDC sur une période d’environ deux mois ». Ces travaux étaient axés sur les activités suivantes : l’ouverture des limites artificielles par des layons de base autour de l’emprise et des layons secondaires en vue de délimiter l’emprise en 5 lots ; le chaînage pour obtenir le métrage exact des layons et les pentes ; le comptage, avec une grande précision, des arbres, des plantations, des cases et d’autres détails utiles tels que les tombes, les zones de biodiversité, les traces de présence animale ; la cartographie de toutes les ressources inventoriées.
En attendant de dévoiler les détails de son évaluation, l’Aeaffb indique que cet inventaire a été réalisé avec le système de traçabilité national (Stminef). Ce système de traçabilité des bois permet, entre autres, de maîtriser la production forestière nationale, réduire les pertes de ressources bois, freiner la corruption dans le secteur et la délinquance forestière, améliorer la contribution du secteur forestier dans le produit intérieur brut, optimiser la fiscalité forestière, et suivre les statistiques forestières.
Quand le projet sera à son terme, la CDC pourrait commercialiser ses parcelles tout en préservant les essences dans la zone du projet. Ce dernier baptisé « Movingui », porté par la CDC, est constitué d’une parcelle d’une superficie de 385 hectares, qui sera divisée en 5 lots, dont 4 de 50 ha, et un lot de 185 ha pour les besoins de viabilisation des parcelles constructibles.
S.A.
Le maire de la commune de Libreville, Christine Mba Ndutume Mihindou a signé ce 3 mars 2022 avec le directeur général des impôts (DGI), Gabin Otha-Ndoumba, un protocole d’accord de partenariat. Cet accord devrait permettre à la DGI d’accompagner la mairie de Libreville dans l’optimisation du recouvrement des taxes locales et d’apporter une formation aux agents municipaux.
« L’assistance que la DGI pourra apporter au titre de la formation des agents municipaux et des réformes des services en charge de la gestion fiscale locale permettra d’améliorer leur expertise pour mieux asseoir, liquider et recouvrer les taxes locales dont la commune de Libreville assure l’administration directe », a déclaré Gabin Otha-Ndoumba.
Selon le directeur général de la DGI, ce partenariat s’inscrit dans la volonté des plus hautes autorités de mutualiser les moyens et les compétences pour une administration performante.
La DGI s’est fixée pour mission, apprend-on, l’atteinte des objectifs sur les impôts d’État afin d’assurer les ressources budgétaires pour la prise en charge des dépenses publiques et des investissements. Elle veut optimiser les recettes fiscales sur les impôts et taxes affectés aux collectivités locales. Le but étant de relever le niveau des ressources propres des communes, des départements et des structures de coopérations intercommunales.
Brice Gotoa
Une coalition contre la fraude sur le fret est en gestation entre le Conseil gabonais des chargeurs (CGC) et Owendo Container Terminal (OCT), opérateur du terminal à conteneurs du port d’Owendo.
A cet effet, apprend-on, Pierre Moïse Mba, directeur général (DG) du CGC et Laurent Goutard, DG de l’opérateur du terminal à conteneurs, ont tenu une réunion le 28 février pour élaborer une stratégie commune et efficace afin de mieux sécuriser les recettes de l’État. « Aussi, le CGC sollicite l’implication de l’OCT afin de l’aider à mener à bien les missions régaliennes qui lui sont dévolues à savoir : l’encadrement du trafic de fret multimodal et la gestion des droits de trafic de fret national et international multimodal », renseigne le Conseil gabonais des chargeurs.
La même source souligne que cette collaboration permettra ainsi au Conseil gabonais des chargeurs de jouer pleinement son rôle de régulateur du trafic de fret sur le plan national et de lutter contre d’éventuelles fraudes sur ce pan du commerce extérieur. « Un contrat de partenariat est en phase d’être élaboré et signé dans les tout prochains jours », annonce le CGC.
Principale voie d’entrée maritime du pays en périphérie sud de Libreville, le port d’Owendo a régulièrement été au centre des attentions des autorités dans le cadre de la sécurisation des recettes liées au commerce maritime et extérieur. En 2017 déjà, le gouvernement avait lancé une opération baptisée « Aigle-Douane », dont le but était « d’optimiser les recettes douanières et de protéger les consommateurs des produits et trafics illicites en tous genres ».
« On est parti de constats, comme la baisse des recettes douanières ou l’augmentation (de la présence dans le pays) de marchandises prohibées », avait expliqué à l’époque l’ex-porte-parole de la présidence, Ike Ngouoni Aila Oyouomi.
S.A.
Effectif au Gabon depuis le 28 février 2022, le service de procréation médicalement assistée (PMA) par la fécondation in vitro (FIV) n’est pas à la portée de toutes les bourses. Les couples en difficulté de procréation devront débourser en moyenne 3 millions de FCFA pour avoir un enfant.
Les prix peuvent varier d’un patient à un autre, et pour un même patient, d’une tentative à une autre. « Dans la prise en charge, il faudra compter le coût des médicaments qui gravite autour de 1,5 million. La partie technique composée des examens et autres s’élève à plus d’un million à 2 millions selon les indications. En gros, la FIV s’élève à 2,8 millions pour une FIV normale, à 3,5 millions quand elle nécessite une technique supplémentaire », explique le Pr Jean François Meye, gynécologue et coordonnateur du projet de la PMA au Gabon.
Le taux de réussite de ce service disponible au Centre hospitalier universitaire mère-enfant fondation Jeanne Ebori de Libreville reste faible au Gabon. Selon le Dr Opheelia Makoyo Komba, responsable du laboratoire PMA, les taux officiels sont de 30 %. C’est-à-dire que sur 10 personnes, on va avoir trois qui vont tomber enceintes. En rappel, les assurances ne prennent pas en charge tout traitement lié à l’infertilité.
Brice Gotoa
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