En visite de travail de 48 heures au Gabon, le Premier ministre togolais Victoire Tomegah Dogbé a été reçue le 20 octobre 2021 par son homologue gabonais Rose Christiane Ossouka Raponda. Les deux personnalités ont échangé sur la préparation de la 7ème session de la grande commission mixte Gabon-Togo pour définir de nouveaux mécanismes permettant d’exploiter les opportunités d’investissement et de développement au bénéfice des populations des deux pays frères, apprend-on.
« Avec la délégation togolaise, nous avons examiné les opportunités pouvant contribuer au renforcement et à la diversification de la coopération entre nos deux nations ». Car, « l’axe Libreville-Lomé est un modèle de coopération qui matérialise ce partenariat sud-sud. Un partenariat exemplaire et dynamique » a commenté Rose Christiane Ossouka Raponda.
Le Gabon et le Togo collaborent déjà dans plusieurs secteurs d’activités. Dans le secteur bois, les relations ont été renforcées en juillet dernier avec la signature d’un mémorandum d’entente qui ambitionne de faciliter l’exportation au Togo des produits de bois ayant subi une première et une deuxième transformation au Gabon. Aussi, le Togo se positionne en 2019 comme le principal fournisseur africain du Gabon avec 7,4% des importations du pays.
A noter que c’est la première rencontre officielle entre Rose Christiane Ossouka Raponda et Victoire Tomegah Dogbé, les deux premières femmes à prendre la tête du gouvernement de leur pays respectifs. Et ce, depuis 2020.
S.G.
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Le 19 octobre, BW Energy a annoncé que les travaux de préparation du puits DTM-7H ont été achevés et qu’il est déjà raccordé aux infrastructures de production du champ Tortue au large du Gabon.
Par ailleurs, le puits DTM-6H a aussi été raccordé au FPSO BW Adolo et devrait être mis en activité dans les prochains jours.
Il convient de noter que la production, avant les deux nouveaux puits, était d’environ 11 500 barils de pétrole par jour. Ces puits étaient initialement prévus pour entrer en activité l’année dernière, mais la pandémie a ralenti les activités y afférentes.
« Le développement de la phase 2 de Tortue a été achevé sans dépasser le budget. Nous attendons avec impatience la croissance de la production après les premiers barils d’huile des deux puits », a déclaré Carl Arnet, PDG de BW Energy.
La société a planifié un webcast pour le 23 novembre prochain, au cours duquel elle fera une présentation complète sur les opérations et les projets de développement en cours, rapportent nos confrères de l’agence Ecofin.
Source : Agence Ecofin
Pour réussir sa transition énergétique, le Gabon veut au cours des prochaines années, renforcer la présence des Gabonais dans le secteur pétrolier et gazier, a indiqué le ministre du pétrole Vincent De Paul Massassa. Il s’exprimait ainsi ce 20 octobre 2021 à l'ouverture du tout premier sommet sur le pétrole, le gaz et la transition énergétique, organisé par le Gabon avec l’appui de IN-VR.
Impliquer davantage les Gabonais se fera à travers la valorisation du « local content » (contenu local), qui consiste pour les multinationales à intégrer les nationaux dans leurs activités pour le transfert de technologie. « Par le Contenu local, nous regardons surtout ici, la prise en mains de l’expertise qui doit être développée par les autochtones en vue d’assurer la continuité de l’exploitation des hydrocarbures fussent-ils des hydrocarbures moins polluants notamment le gaz naturel », explique Vincent De Paul Massassa.
Et la loi pétrolière dans sa révision de 2019 fait obligation désormais, d’une réservation aux Gabonais, de certaines activités dans le secteur des hydrocarbures, dans le domaine industriel. Cette loi fait également obligation aux industriels qui opèrent dans le pays, d’apporter leur accompagnement aux Gabonais qui veulent se lancer dans le secteur. Et « il faut que les opérateurs comprennent l’exigence et l’obligation de ce que les sociétés locales doivent participer à la chaîne de valeur et l’accompagnement nécessaire doit leur être octroyé », a affirmé Vincent De Paul Massassa.
L’accompagnement pourrait par exemple, si l'expertise n’y est pas, consister à « les accompagner pour les montages et la création des structures opérant dans le secteur des hydrocarbures et même des mines. Ces industriels doivent s’assurer que les structures nationales poussent également pour s’arrimer aux standards internationaux et surtout s’assurer que derrière, il y a une garantie de résultat et d’efficacité dans ce qui se fait. Donc, c’est un processus qui commence. C’est un processus pour le court, moyen et long terme. Il s’agira pour les industriels d’essayer d’identifier quelles sont les activités pour lesquelles les autochtones pourront se lancer dans le court terme », a expliqué le membre du gouvernement.
Comme accompagnement, des multinationales présentes au Gabon à l’instar de Total Gabon ont créé des écoles afin de former des ingénieurs spécialisés. D’autres compagnies envoient des étudiants, à travers des partenariats, dans des écoles à l’étranger, apprend-on. Aussi, selon le ministre du Pétrole, des infrastructures sont en train d’être construites afin de donner des moyens au Gabon pour davantage impliquer les nationaux dans les hydrocarbures. Selon le membre du gouvernement, « des efforts sont faits. Nous n’avions pas d’infrastructures. Aujourd’hui, il y a des infrastructures qui sont construites », par les entreprises étrangères et l’Etat gabonais. Les autorités veulent ainsi qu’à moyen terme, il y ait au moins une société gabonaise qui ait pignon sur rue dans le secteur, au même titre que les entreprises étrangères qui contrôlent actuellement le secteur des hydrocarbures dans le pays.
Le tout premier sur le pétrole, le gaz et la transition énergétique se tient en présentiel et en visioconférence du 20 au 22 octobre 2021 à Libreville sur le thème « Révéler, valoriser et exploiter le potentiel gazier du Gabon ». Soutenu par le Plan d’accélération de la transformation (PAT), ce sommet « est non seulement l’occasion de faire un point sur les questions relatives à la transition énergétique, mais également de nous projeter dans le futur, avec des objectifs clairs à atteindre à l’horizon 2023 et au-delà», soutient le ministre du pétrole. L’objectif visé par la transition énergétique et la monétisation du gaz, étant de réduire l’indépendance du Gabon sur l’importation des produits finis et amorcer le basculement vers une énergie propre.
Sandrine Gaingne
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Le directeur général de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), Alain Patrick Kouma recommande aux entreprises d’électricité d’Afrique la mutualisation des moyens et le développement des énergies renouvelables pour faire face au déficit énergétique sur le continent. C’était à la 13e réunion consultative du Forum des pools énergétiques régionaux africains de Saly, tenue du 12 au 16 octobre 2021 à Dakar au Sénégal.
« 600 millions d’Africains sur les 950 millions n’ont toujours pas accès à l’électricité. Pour répondre à cette demande croissante, la région devra augmenter considérablement sa capacité de production installée et apporter des améliorations importantes à ses réseaux électriques », a déclaré Alain Patrick Kouma.
Selon le directeur général de la SEEG, le développement du continent quel que soit le secteur repose sur la fourniture de l’électricité. « Les pays africains de façon individuelle possèdent des potentiels énormes, mais ces potentiels ne peuvent pas suffire en termes de rentabilité à satisfaire rien que les besoins nationaux. Il est important que dans le cadre de l’investissement de pouvoir valoriser ces potentiels et les partager au niveau de l’ensemble des pays de l’Afrique », a-t-il indiqué.
Ce plaidoyer de la SEEG intervient dans un contexte où ce concessionnaire du secteur de l’eau et l’électricité au Gabon a du mal à satisfaire la demande des populations. Sur l’ensemble du territoire national les clients se plaignent de la qualité du service rendu. Plusieurs localités et quartiers souffrent du manque d’eau et d’électricité.
Mais depuis 2020, la SEEG a lancé un plan d’urgence d’investissement d’un montant de 11 milliards FCFA pour apporter des solutions durables à ce problème et satisfaire les besoins de base. Aussi, l’Etat gabonais a prévu, avec le soutien de ses partenaires, d’investir plus de 300 milliards de FCFA d’ici 2023 afin d’améliorer l’accès des populations à l’eau potable et à l’électricité sur l’ensemble du territoire national.
Organisée à l’initiative de l’Association de sociétés d’électricité d’Afrique (ASEA), la 13e réunion consultative du Forum des pools énergétiques régionaux africains de Saly, avait pour but de partager et capitaliser les différentes expériences des principaux acteurs du secteur. Outre la mise en place de la plateforme de suivi, apprend-on, des performances des sociétés africaines d’électricité, les questions liées aux défis énergétiques auxquels le continent est confronté ont été évoquées.
Brice Gotoa
Au cours d’une séance travail tenu le 18 octobre dernier à Libreville, le ministre de la Santé, Guy Patrick Obiang Ndong, a levé la suspension d’activité qui frappait depuis quatre jours les agences de transport terrestre « Major transport » et « Transporteur voyages » aux motifs, entre autres, du non-respect des mesures gouvernementales contre la Covid-19; notamment le non-respect du nombre de passagers à bord, le transport des passagers sans test PCR et/ou disposant des fausses cartes de vaccination
« Tout en les appelant à une franche collaboration, le ministre a répondu favorablement à la requête de ses interlocuteurs en autorisant la reprise des activités tout en maintenant la mesure de mise en demeure de ces agences. Il les a invités à la mise en application des différentes mesures gouvernementales liées à la lutte contre la Covid-19. Par ailleurs, le ministre a réitéré la volonté du gouvernement à accompagner les opérateurs économiques. Pour lui, l’objectif principal est d’éviter que les transports en commun ne soient des vecteurs de transmission de la Covid-19 à leurs différents passagers », apprend-on au terme de la rencontre.
Pour leur part, les partenaires sociaux ont salué l’initiative du ministre qui, démontre une fois de plus la volonté du gouvernement à privilégier le dialogue social avec les partenaires. Ils ont affirmé qu’ils sont prêts à accompagner les autorités sanitaires pour apporter leur contribution à la sensibilisation dans le cadre de la campagne nationale de vaccination contre la Covid-19 afin de susciter l’adhésion massive des Transporteurs d’une part et d’autre part, de la population.
Pour mémoire, sur 408 personnes contrôlées par les agents de la Brigade mixte du Copil-Coronavirus depuis le début de ce mois d’octobre dans ces deux agences, 142 voyageurs ont été contrôlés munis d’un faux test PCR ou d’une fausse carte de vaccination. Ce qui met en danger la santé des populations et accroît le risque de contamination des usagers.
S.A.
Dans un communiqué diffusé le 19 octobre, la filiale gabonaise du pétrolier français Total informe que sa production est actuellement affectée de manière significative par une avarie sur un câble électrique sous-marin alimentant les champs en mer d’Anguille et Torpille (au large de Port-Gentil) survenue depuis le 18 septembre 2021.
« Cet incident devrait entraîner un manque à produire estimé à environ 8 000 barils par jour sur le dernier trimestre 2021, soit environ 2 000 barils par jour en moyenne sur l’année 2021 », informe la société pétrolière. Elle précise que cette panne de son câble électrique sous-marin « n’a pas eu d’impact sur la sécurité et l’environnement », indique Total Gabon.
Pour l’heure, apprend-on, les équipes de la compagnie travaillent dans l’optique d’un retour progressif de la capacité de production dans le courant du mois d’octobre 2021. En parallèle, des travaux sont planifiés en novembre pour restaurer définitivement l’alimentation électrique des plateformes.
La plateforme d’Anguille a été construite à Fos-sur-Mer en 2010 et 2011, et installée au Gabon au cours du premier trimestre 2012. Les opérations de forage ont démarré en mai 2012.
De ce que l’entreprise a produit en 2020, elle a vendu 10,2 millions de barils de volumes de brut contre 11,9 millions de barils en 2019. Ce qui consacre une baisse de 14%. Présent au Gabon depuis plus de 80 ans dans le domaine de l’exploration-production, Total rassure qu’elle reste engagée comme acteur de l’industrie pétrolière du pays.
Sylvain Andzongo
Dans un communiqué rendu public ce 19 octobre 2021, le ministère de la Justice prévient les candidats au concours d’entrée à l’Ecole nationale de la magistrature sur le caractère punissable du monnayage pour leur admission au concours.
« Toutes manœuvres de monnayage pour leur admission de quelque origine que ce soit sont non avenues et punissables », informe le communiqué du ministère de la Justice qui poursuit : « D’autres parts, les offres payantes de formation pour la préparation aux épreuves n’émanent pas du ministère. En conséquence, le ministère de la Justice dégage toute sa responsabilité auprès des éventuelles victimes desdites manœuvres ».
Selon le code pénal gabonais de 2019 dans son article 321, quiconque commet une fraude dans un examen ou concours public ayant pour objet l’entrée dans une administration publique ou l’acquisition d’un diplôme officiel… est puni d’un emprisonnement de cinq ans au plus et d’une amende de 5 millions de FCFA au plus, ou de l’une de ces deux peines seulement.
Cette mise en garde du ministère de la Justice est faite quelques semaines avant la tenue du concours d’entrée à l’école de la magistrature dont les épreuves écrites d’admissibilité auront lieu les 6 et 7 novembre prochain à l’Université Omar Bongo de Libreville. 100 magistrats, 20 conseillers adjoints de greffes et 50 greffiers principaux devront être recrutés au terme de ce concours qui est organisé après quatre années d’attente. Car, depuis quelques années, le Gabon a décidé de geler les recrutements exceptés dans les secteurs prioritaires (santé, éducation, armée) afin de maîtriser sa masse salariale.
S.G.
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Le Gabon vient de bénéficier d’un appui de 10 000 doses de vaccin antirabique (contre la rage) de la part de l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) pour l’organisation prochaine de sa campagne de vaccination contre cette maladie. L’information a été donnée le 18 octobre 2021 au cours de la réunion de préparation de cette campagne de vaccination entre le ministre de l’Agriculture, Biendi Maganga Moussavou et les médecins vétérinaires du pays.
« Nous avons pour la première fois l’Organisation mondiale de la santé animale qui a répondu à une requête du gouvernement et qui nous a envoyé 10 000 vaccins que nous avons réceptionnés et stockés. Nous allons communiquer après cette concertation avec les médecins vétérinaires sur l’organisation de la prochaine campagne de vaccination ouverte au grand public » a déclaré Biendi Maganga Moussavou.
Selon le membre du gouvernement, la dernière fois que le Gabon avait organisé une campagne de vaccination contre la rage c’était en 2011. L’OIE avait mis à la disposition du pays 1 000 doses de vaccin. La rage reste présente au Gabon probablement du fait de la présence des chiens errants, mais aussi de la cherté et la rareté du vaccin antirabique dans les officines, limitant ainsi les mesures préventives.
Le ministre Biendi Maganga Moussavou souhaite l’implication de tous les vétérinaires pour la réussite de cette campagne dont l’objectif est de mettre en œuvre le plan de lutte contre la rage au Gabon.
A noter que pour protéger la population contre les morsures des chiens, certaines mairies à l’instar de celle de Libreville ont par le passé organisé des campagnes d'abattage des chiens errants.
Brice Gotoa
La directrice générale de l’Agence national de formation et d’enseignement professionnels (Anfep), Nadine Patricia Anguile Obame, vient d’annoncer la tenue le 6 novembre prochaine du concours d’entrée dans les différents centres de formation professionnelle, session inter-stage 2021-2023 sur l’ensemble du territoire national.
« A cet effet, les candidats doivent être âgés au minimum de 16 ans et au maximum de 27 ans à la date du concours pour être éligibles à la bourse, avoir un niveau d’étude minimum de classe de 5ème année primaire et maximum de terminale des lycées et collèges », renseigne un communiqué de l’Anfep rendu public le 18 octobre 2021.
Selon Nadine Patricia Anguile Obame, les inscriptions ont débuté le 13 octobre 2021 et se poursuivront jusqu’au 30 du même mois, au Complexe Basile Ondimba, pour Libreville. Pour l’intérieur du pays, dans les centres de formation et de perfectionnement professionnels (CFPP), au Lycée Nguema Mboumba Janvier de Lambaréné et au Lycée technique Nyonda Makita de Mouila.
Ce concours d’entrée dans les centres de formation professionnelle du Gabon intervient dans un contexte où les autorités gabonaises veulent adapter la formation professionnelle aux besoins des opérateurs économiques et être en phase avec le marché de l’emploi.
Depuis novembre 2020, plusieurs établissements professionnels ont été créés et réhabilités au Gabon. Ces établissements forment les jeunes dans plusieurs domaines notamment le génie mécanique, le génie industriel et électronique. L’objectif du pays est de parvenir à créer 10 000 nouveaux emplois chaque année pour résorber le problème du chômage.
Brice Gotoa
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Selon le « test prévisionnel de conjoncture », un document trimestriel de nature prospective que la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) vient de publier, la filière portuaire gabonaise pourrait connaître des perturbations au 4è trimestre en cours.
D’après la Banque centrale, même si le dynamisme de cette filière devrait être constant comme en début d’année, au cours du quatrième 2021, l’activité portuaire au Gabon « pourrait être freinée suite à des contraintes logistiques (manque de containers) et la détérioration des conditions sécuritaires en liaison avec la présence des pirates au large des côtes gabonaises ».
La Beac ne précise pas ce qui serait à l’origine du manque de containers annoncé. Encore moins ce qui explique l’état d’aggravation des actes de piraterie maritime au large des côtes gabonaises. Mais depuis septembre dernier, les autorités gabonaises, elles-mêmes, ont entrepris de renforcer la sécurité sur les côtes linéaires du Gabon afin de faire face aux menaces de piraterie maritime. A cet effet, une task force de défense et de sécurité a été annoncée dans le but de lutter contre ce fléau qui touche les côtes gabonaises d'un linéaire d'environ 950 kilomètres. Les autorités ont alors rassuré de la mise en place d’un dispositif de sécurité de la façade maritime qui sera activé dans les prochains jours.
A fin juin 2021, indique le ministère de l’Economie, l’activité portuaire au niveau des quais gérés par Olam GSEZ (Cargo et terminal minéralier) a enregistré des résultats en dents de scie. En effet, les mouvements des bateaux ont progressé de 8,3% pour un volume total des marchandises de 2,7 millions de tonnes (+1,9%). Cette évolution est imputable essentiellement à la manutention des autres marchandises (+18,6%). Par contre sur le plan commercial, le chiffre d’affaires a baissé de 6,7% à 35,1 milliards de FCFA en lien avec le recul des exportations de manganèse.
S.A.