Les Démocrates, l’un des membres les plus influents d’Alternance 2023, regroupement d’opposants créé en vue d’aboutir à une candidature unique de l’opposition à l’élection présidentielle prévue le 26 aout prochain, vient d’apporter son soutien à la candidate de l’Union nationale (UN), Paulette Missambo. L’annonce a été faite au siège du parti de Guy Nzouba Ndama.
« Hier, le Bureau exécutif national du parti Les Démocrates a tenu ses assises pour se prononcer sur la nécessité entre nos deux formations politiques d’aller ensemble à l’élection présidentielle. C’est donc à la quasi-unanimité que l’ensemble de nos responsables et de nos militants ont soutenu l’idée, que le parti Les Démocrates apporte son soutien total à madame la candidate de l’Union nationale à la présidentielle », a déclaré ce 8 aout 2023, Philippe Nzengue Mayila, Premier vice-président de Les Démocrates.
Pour formaliser ce soutien « total », les deux partis de l’opposition ont signé séance tenante un accord. « Cette alliance nous oblige chacun à donner le meilleur de nous-même pour qu’effectivement nous gagnions cette présidentielle », a affirmé Paulette Missambo qui a remercié Les Démocrates de l’avoir plébiscité.
La candidate de l’UN fait donc pas en avant en vue de sa désignation comme candidate la coalition Alternance 2023. Alexandre Barro Chambrier, dont le nom a plusieurs fois été cité comme celui qui allait représenter cette coalition à la présidentielle, n’ayant pour l’instant reçu aucun soutien public.
Comme en 2016, le parti de Guy Nzouba Ndama apporte son soutien à un autre candidat. Lors de l’élection présidentielle passée, Guy Nzouba Ndama s’était retiré en faveur de Jean Ping. À noter que le président de Les Démocrates, Guy Nzouba Ndama n’a pas pu se présenter à cette élection en raison des ennuis judiciaires auxquels il fait face depuis qu’il a été interpellé en septembre 2022, au niveau de la frontière, avec une valise contenant une somme de 1,2 milliard de FCFA. Depuis, il vit en résidence surveillée.
Sandrine Gaingne
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Le démarrage des travaux du projet de construction et de bitumage de la section de route Ndende-Doussala, sur le corridor Libreville-Brazzaville, est prévu pour avril 2024. L’annonce a été faite le 7 août par le ministre des Travaux publics, de l’Équipement et des Infrastructures, chargé de la connexion des Territoires, Toussaint Nkouma Emane, à l’ouverture de l’atelier de validation et de restitution du Plan d’action de réinstallation abrégé (Para).
Selon le ministère, la mise en œuvre des activités du Para devrait « faciliter » le démarrage desdits travaux. Longue de 276 km, la route Ndende-Doussala est un tronçon important de l’axe international qui relie le Gabon au Congo. Le projet, devant être financé par la Banque africaine de développement (BAD), vise à contribuer à la dynamisation les échanges commerciaux entre les deux pays et avec les autres États de la sous-région Afrique centrale.
« De façon spécifique, le projet vise à améliorer l’efficacité de la chaîne logistique de transport et réduire les coûts d’acheminement des produits transportés afin d’accroître leur degré de compétitivité sur le marché local, voire international ; contribuer à l’amélioration des conditions de vie et la réduction de la pauvreté dans les villes et localités situées le long de la route étudiée », indique la BAD.
Les travaux d’aménagement et de bitumage de cet axe routier s’inscrivent dans le cadre du Projet d’appui au secteur des infrastructures au Gabon (Pasig)-Phase 1. « Le Pasig-1 est un projet issu d’un vaste programme de développement et d’investissement du pays visant à améliorer le réseau routier national et garantir l’intégration sous régionale en zone Cemac, en y facilitant la libre circulation des personnes et des biens », précise le ministère des Travaux publics.
Patricia Ngo Ngouem
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Suspendu depuis le mois d’avril dernier, le transport des passagers sur le Transgabonais n’a toujours pas repris, a informé la Société d’exploitation du transgabonais (Setrag), apportant ainsi un démenti à une rumeur faisant état de la reprise du trafic des trains voyageurs sur cette ligne de chemin de fer reliant Libreville à Franceville.
« Depuis quelques jours, l’image d’un programme de circulation de train datant de 2021 circule sur les réseaux sociaux et autres voies de communication, annonçant la reprise des circulations des trains de voyageurs. Setrag dément formellement cette information et déplore vivement cet acte malveillant », a indiqué la Setrag qui soutient que la reprise de la circulation des trains de voyageurs fera l’objet d’une communication officielle par l’État.
Le transport des passagers sur l’unique ligne ferroviaire du pays avait été suspendu par le gouvernement au mois d’avril dernier, suite aux incidents survenus sur le Transgabonais dans la nuit du 1er au 2 avril 2023. Il était question, selon le gouvernement, de « prévenir toute situation d’aggravation consécutive » à ces incidents.
Cette suspension intervenait trois jours seulement après la reprise du trafic des trains voyageurs sur cette voie, suspendu le 24 décembre 2022, suite à un glissement de terrain entre les gares d’Offoué et de Booué. Cependant, le transport des marchandises, qui a été relancé le 8 février 2023 après cet incident, se poursuit sur le Transgabonais.
Sandrine Gaingne
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« La Société nationale immobilière (SNI) porte à l’attention des résidents des cités Alhambra qu’une opération d’expertise visant à évaluer l’état général des cadres bâtis s’effectuera chaque semaine, du lundi au samedi de 9h à 17h, sur les parcelles P1, P3 et P10 », indique le directeur général de la société, Hermann Kamonomono, dans un récent communiqué.
Ladite opération selon l’entreprise a pris effet le 3 aout 2023. « Pendant la durée de l’expertise, les agents s’assureront au mieux de minimiser toute perturbation dans le quotidien des résidents », rassure Hermann Kamonomono.
Cette opération est lancée au moment où une dégradation progressive des bâtiments est constatée. Des inondations, des branchements anarchiques et des conflits entre voisins font également partie des problématiques rencontrées par les locataires de la cité.
Située au quartier Angondjé dans la commune d’Akanda, les cités Alhambra ou cités turques sont présentées comme l’un des fleurons du programme de logements sociaux au Gabon. Elles ont accueilli leurs premiers occupants en 2014.
SG
Après la zone nord en août 2022, la promenade centre de la Baie des rois devrait ouvrir ses portes au public dans les jours prochains. « Toutes les équipes sont à pied d’œuvre pour finaliser les travaux de la zone centre de la Baie des Rois pour le 17 août 2023. On souhaite donner rendez-vous aux Gabonais toujours autour du 17 août », a annoncé le directeur général de la Façade maritime du champ triomphal (FMCT), Emmanuel Edane, au cours d’une récente visite sur le site situé au front de mer à Libreville.
Cette zone couvre une superficie d’environ 12 hectares. Une fois terminée, elle sera composée de kiosques commerciaux, d’un skate park, d’un terrain de basket et d’une place urbaine et culturelle pour accueillir des festivités et des concerts, indique la FMCT. Les travaux sur cette promenade sont exécutés à 80%, apprend-on.
Cette zone centre va être reliée à la zone nord où les travaux se poursuivent également avec en projet la construction d’un centre commercial et d’un complexe hôtelier entre autres. « Sur les 10 parcelles de bâtiments, 6 ont été cédées et 4 bâtiments sont en cours de construction. Le premier bâtiment qui avait été lancé est le siège du FGIS et ses filiales. C’est un bâtiment qui sera livré avant la fin de l’année. Il y a un deuxième bâtiment de logements qui est en cours de construction. Deux autres sont des bureaux développés par deux promoteurs et deux nouveaux bâtiments devraient commencer d’ici la fin de l’année sur cette zone », a indiqué le directeur général du FMCT.
La Baie des rois est un projet d’aménagement urbain intégré d’un nouveau quartier construit de manière durable à Libreville. Prévu sur 40 hectares, ce projet entend être un important levier économique régional et national, un vecteur supplémentaire de promotion et d’attractivité du Gabon qui, de plus, offre de nouvelles opportunités d’emplois et d’investissement pour les entrepreneurs. À en croire le FMCT, ce projet mobilise actuellement 50 entreprises pour 500 emplois directs et 3000 indirects.
Sandrine Gaingne
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Dans un communiqué signé le 6 août 2023 par son président Michel Stéphane Bonda, le Centre gabonais des Élections (CGE) invite les candidats à l’élection présidentielle et les candidats têtes de liste aux élections locales des provinces de l’Ogooué-Ivindo, l’Ogooué-Lolo, l’Ogooué-Maritime et du Woleu-Ntem, ou leurs représentants, à valider les « bons à tirer » des bulletins de vote. Pour cela, ils doivent « se présenter à son siège sous les 48h00 à compter du lundi 7 août 2023 à 10h30 », indique le communiqué.
La validation par les candidats des « bons à tirer » des bulletins de vote se fait à quelques jours du démarrage officiel de la campagne électorale qui est prévue le 11 août pour la présidentielle et le 16 août pour les législatives et les locales. La campagne devrait s’achever le 25 août, la veille des élections prévues le 26 août.
Cette invitation du CGE intervient dans un contexte où plusieurs acteurs politiques multiplient les appels à un report des élections suivi d’une transition à la tête du pays. Car, pour eux, le CGE n’est pas prêt. Mais, pour les autorités gabonaises, cette hypothèse n’est pas à l’ordre du jour.
SG
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La société Maurel & Prom affirme avoir signé en juillet 2023 avec l’État du Gabon un protocole pour recouvrement de sa créance due par la Société gabonaise de raffinage (Sogara), unique raffinerie du pays. Cet accord prévoit un apurement via un mécanisme d’imputation sur les coûts récupérables d’Ezanga sans perte économique, indique l’entreprise pétrolière française dans son rapport semestriel, sans plus de précision. La production d’huile en part M&P (80%) sur le permis d’Ezanga, son principal champ, s’élève à 15 779 b/j pour le premier semestre 2023, en augmentation de 2% par rapport au second semestre 2022.
Selon le même document, rendu public le 4 aout 2023, la Sogara cumule au 30 juin 2023, une dette de 24 millions $ (14,2 milliards de FCFA, à la valeur actuelle du dollar) envers la société Maurel & Prom. Cette dette est en hausse et a eu un impact sur les activités de la compagnie pétrolière française. « Du point de vue des flux de trésorerie, le flux généré par les opérations, avant variation du besoin en fonds de roulement au premier semestre 2023, s’élève à 127 millions $ (75,5 milliards de FCFA, NDLR). La variation du besoin en fonds de roulement a eu un impact négatif de 40 millions $ sur la période, en raison notamment d’une augmentation des créances sur la Sogara », indique Maurel & Prom.
Maurel & Prom n’est pas la seule société pétrolière à qui la Sogara doit de l’argent. C’est à cause des dettes de cette société publique, dont le montant n’a pas été révélé, que le ministre du Pétrole, Vincent de Paul Massassa, a rencontré le 1er février dernier les sociétés pétrolières fournisseurs de brut et l’Union pétrolière gabonaise (Upega). Le but étant de trouver une solution afin que ces dettes n’impactent pas sur la quantité de pétrole brut livrée par ces sociétés à la Sogara. Ce, afin d’éviter les pénuries de carburant dans le pays. Au cours de cette rencontre, les producteurs que sont Perenco, Total, Assala… avaient promis de continuer à ravitailler la Sogara.
La Sogara, qui traite en moyenne 1 million t/an de brut, est en proie à des difficultés financières depuis quelques années. Selon les données de la note de conjoncture du ministère de l’Économie, cette société a enregistré une baisse de son chiffre d’affaires de 15,3% entre 2019 et 2020. Il est en effet passé de 219,6 milliards de FCFA en 2019 à 185,6 milliards de FCFA en 2020. Mais, en 2021, ce chiffre d’affaires a connu une hausse de 127,2 %.
Sandrine Gaingne
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Jean Boniface Assélé, président du Cercle des libéraux réformateurs (CLR), ne fera pas partie des candidats qui affronteront Ali Bongo à l’élection présidentielle prévue le 26 aout prochain. Et pour cause, sa candidature a été rejetée par la Cour constitutionnelle, a-t-il affirmé dans une vidéo parvenue à notre rédaction le 7 aout.
D’après l’oncle du président sortant Ali Bongo, sa candidature a été rejetée en raison de sa démission au mois de juin dernier, de la Majorité républicaine et sociale pour l’émergence, un regroupement de partis politiques qui soutient le président de la République. La Cour constitutionnelle ayant estimé qu’il ne peut être candidat étant donné que sa démission est intervenue moins de 4 mois avant l’élection présidentielle.
« La Cour constitutionnelle a retenu que le groupement de partis politiques est une formation politique assimilée à un parti politique et que par conséquent le respect des 4 mois en cas de démission s’applique aux personnes physiques et également aux partis politiques ou membres du regroupement », a expliqué Jean Boniface Assélé parlant de la décision de la Cour constitutionnelle. Une interprétation qu’il ne partage pas. « Ce n’est écrit nulle part », a-t-il affirmé.
Malgré cette décision de la Cour, Jean Boniface Assélé, âgé de 84 ans, ne compte pas lâcher prise. « La bataille ne fait que commencer. J’irai jusqu’au bout », a-t-il promis sans en dire plus. Il demande néanmoins à ses militants de rester « calmes ».
Rappelons que Jean Boniface Assélé avait déposé un recours devant la Cour constitutionnelle il y a quelques jours après le rejet de sa candidature par le Centre gabonais des élections (CGE). Ce sont au total 19 candidats qui ont été retenus par le CGE pour la présidentielle.
SG
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A l’occasion de la commémoration du 63e anniversaire de l’indépendance du Gabon le 17 août prochain, le ministère de la Culture et des Arts a décidé d’organiser un festival axé sur la valorisation du territoire national. Il s’agit du tout premier festival organisé pour l’accession du Gabon à la souveraineté internationale, baptisé « Festival de l’indépendance ». Il est prévu du 10 au 17 août 2023 à la Baie des Rois de Libreville, la capitale, et du 14 au 17 août sur le reste de l’ensemble des provinces, indique le ministère dans un communiqué publié vendredi.
« En magnifiant le rassemblement de la nation dans un esprit de concorde et de fierté nationale, le “Festival de l’indépendance” vise à cultiver et à renforcer le sentiment d’appartenance à la patrie par la promotion de notre diversité culturelle », peut-on lire dans le document. Une diversité culturelle qui s’illustre dans l’art culinaire, l’habitat, les traditions, l’artisanat ou encore le folklore et qui sera mise en avant au cours de cette semaine de célébration à travers diverses activités au programme.
« L’indépendance, bien plus qu’un simple événement historique, est l’étape cruciale qui a façonné l’identité de notre pays et de notre peuple. Au cœur de cette célébration réside l’opportunité de se rassembler en tant que nation, de transcender nos différences individuelles et de renforcer le tissu social qui nous unit. Malgré les différences culturelles, ethniques ou religieuses, nous sommes avant tout Gabonais. Nous partageons une patrie commune, une histoire commune et des aspirations communes pour un avenir meilleur. En dépit des turbulences du passé et les défis du présent, l’unité est notre atout le plus précieux », soutient le ministère.
Élections générales
L’organisation de ce festival intervient à la veille des élections générales prévues le 26 août prochain au Gabon. Pour la première fois de son histoire, le pays organise un triple scrutin présidentiel, législatif et local. En ce moment, les appels se multiplient pourtant pour demander le report des élections suivi d’une transition à la tête du pays. Les auteurs de ces appels estiment que le Centre gabonais des élections (GCE) - l’organe en charge de l’organisation du scrutin - n’est pas prêt. Mais le gouvernement exclut tout report et se dit prêt à accompagner le processus électoral pour des élections pacifiques.
Le Premier ministre, Alain-Claude Bilie-By-Nze, multiplie ces derniers jours les rencontres avec les institutions et entités impliquées et/ou concernées par le processus électoral. « Au cours des échanges (…), j’ai rappelé la volonté maintes fois exprimée par le président de la République de voir se tenir dans notre pays des élections aux lendemains apaisés », a déclaré le chef du gouvernement, à l’issue d’une audience accordée jeudi dernier au Conseil national de la démocratie (CND).
Les autorités ne souhaitent en effet pas revivre les violences postélectorales survenues en 2016 après la réélection du président Ali Bongo Ondimba, candidat à un troisième mandat à la tête du pays. Les organisateurs du « Festival de l’indépendance » affirment que l’événement mettra en lumière l’esprit patriotique des Gabonais et présentera le pays comme une nation unie et forte, au moment où les citoyens sont appelés à aller aux urnes.
Patricia Ngo Ngouem
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Le ministère de l’Économie veut implémenter une solution complète de contrôle de facturation électronique de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) à la direction générale des impôts (DGI). À cet effet, un appel à manifestation d’intérêt vient d’être lancé dans le but de recruter un cabinet qui va mettre en place ladite solution.
Selon le ministère de l’Économie, le prestataire retenu devra concevoir, développer et mettre en œuvre cette solution au moyen d’un dispositif de certification des facturations qui permettront d’un côté à l’administration fiscale de collecter, traiter, analyser, vérifier les données provenant desdits dispositifs et d’un autre côté aux contribuables d’enregistrer ou de certifier des factures en ligne. Ce, sur la base des documents de référence actualisés, notamment le Code général des impôts, les lois de finances, etc.
Le prestataire devra également installer les logiciels, indiquer les éventuels changements requis au niveau des procédures et de l’organisation pour permettre un fonctionnement optimal de la nouvelle solution, puis, former à Libreville, les acteurs sur son utilisation. Financée grâce à un prêt de la Banque africaine de développement (BAD) dans le cadre du projet d’appui à la diversification de l’économie gabonaise (Paged), cette prestation va durer trois mois. Les dossiers de candidatures doivent être déposés au plus tard le 15 septembre 2023.
Pour postuler, le cabinet doit avoir une expérience de 10 ans dans l’appui aux administrations fiscales engagées dans des réformes visant la mise en œuvre d’un système de contrôle de facturation électronique. Il doit aussi avoir réalisé au moins deux prestations similaires dans un pays de la sous-région dont au moins une dans un pays Ohada à fiscalité d’essence française.
Cet appel à manifestation d’intérêt est lancé dans un contexte où le Gabon travaille à digitaliser les processus de l’administration fiscale afin de faciliter le recouvrement des taxes.
SG
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