Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Du 10 au 16 mai dernier, le Caire, la capitale égyptienne a abrité l’Africa Code Hackathon, une compétition avait pour objectif de renforcer les compétences des jeunes femmes, afin qu’elles puissent jouer un rôle dans la résolution des problèmes de leur société grâce à la maîtrise des technologies.

Invité par l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), le Gabon était représenté par Tamarah Moutotekema Boussamba de l'Institut supérieur de technologie (I.S.T) et Marlyse Hangamalongo Mapaga de l'Institut africain d'informatique (IAI).

Au terme de la compétition, l’équipe gabonaise a remporté le 2ème prix du concours de la meilleure solution technologique, portant sur une solution de conseils et de suivi des productions vivrières appelé "Wagui".

C'est une belle victoire pour « ces jeunes filles qui ne se connaissaient pas avant de participer à ce concours, mais qui ont mis leur passion et connaissances en commun ». C'est aussi le fruit d'un travail d'équipe a indiqué Halimatou Bah, représentante de la Guinée qui a participé au montage du projet.

Au cours de cette rencontre, les participantes ont également bénéficié de cinq jours de formation et d’ateliers. Les formations dispensées par les experts portaient sur les dernières technologies numériques, permettant notamment la création de solutions numériques liées aux objectifs de développement durable.

Outre le renforcement des compétences des jeunes participantes âgées de 18 à 26 ans, cette compétition se veut être un espace de rencontres entre les participantes égyptiennes et les internationales francophones originaires du Gabon, Maroc, Tunisie, Rwanda, Sénégal, Guinée, Congo et Côte d’Ivoire.

Il est à noter que cet évènement a été porté par le ministère égyptien de la Jeunesse et des Sports et appuyé par l’OIF, en partenariat avec le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) et Microsoft.

Stéphane Billé

Le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, a consacré la journée du 20 mai 2018, à une visite d’inspection de la Nationale 1, le principal axe routier du pays, quelques jours après l’effondrement de la chaussée au niveau de la localité de Four-place. Accompagné des principaux responsables du ministère en charge des Infrastructures, Emmanuel Issoze Ngondet a pu s’enquérir de l’état d’avancement des travaux en cours sur cet axe routier, enclin à de considérables problèmes de maintenance.

Cette sortie articulée en trois temps a commencé par la station de pesage de Ndjole PK7 Ndjole − Medoumane, récemment mise en service. A ce niveau, Emmanuel Issoze Ngondet a pu s’assurer du bon fonctionnement de cette infrastructure, conformément aux textes réglementaires de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac), relatifs au respect de la charge autorisée, dont l’inobservation entraine la dégradation prématurée de la chaussée par les poids lourds.

Au niveau de l’axe Ndjolé−Bifoun, Emmanuel Issoze Ngondet a fait le constat alarmant d’une dégradation avancée de la chaussée, particulièrement au PK14,5 sujette à un éboulement. Au regard des risques divers y afférents, des instructions fermes ont été données au ministre des Infrastructures, en vue de la réhabilitation urgente de cette voie.

Quant au troisième arrêt qui concernait l’axe Four-place−Bifoun, le PM a pu vérifier l’effectivité des travaux d’urgence engagés depuis la semaine dernière. Il a, dans la foulée, procédé à la coupure du ruban symbolisant le rétablissement provisoire de la circulation sur cette voie.

Dans le même temps, il a salué la réactivité des équipes des travaux publics, de l’Agence nationale des grands travaux d’infrastructures (ANGTI) et du génie militaire, ainsi que la bonne collaboration qui a prévalu entre elles, durant ces travaux.

Stéphane Billé  

Pendant 10 jours, le gouvernement gabonais sera en séminaire gouvernemental dans la banlieue du Cap Estérias, au Nord de Libreville. Ce Brainstorming gouvernemental réparti en six ateliers, a pour principaux objectifs de rééquilibrer les finances publiques et sortir le pays de la crise économique, tandis que ses grands enjeux concernent la modernisation du pays, la redynamisation de l’économie et enfin, la réforme de l’Etat.

Pour tenir ce pari, le directeur de cabinet du chef de l’Etat, Brice Laccruche Alihanga (photo), à l’ouverture des travaux, a tracé la feuille de route qui devrait guider toutes les actions à entreprendre. Par exemple en matière d’action publique, le gouvernement est appelé à optimiser les deniers de l’Etat dépensés, conformément aux engagements pris non seulement vis-à-vis des populations, mais aussi des partenaires internationaux tels que le FMI et les autres institutions multilatérales, dans le cadre du Plan de relance économique (PRE).

Durant ces « travaux pratiques », les participants devront ainsi calibrer leurs actions, chacun dans son domaine respectif et en fonction de l’effort qui est attendu. Dans le cadre de la dépense publique, il s’agira par exemple de mettre en place, un plan de rigueur dès le second semestre 2018 avec pour objectif de : ramener la masse salariale mensuelle (hors agences) à 40 milliards FCFA en 2019 et 35 milliards en 2020 et de baisser les dépenses de biens et services de 40 % en 2019.

En matière de déficit public, l’on s’attèlera à ramener le déficit budgétaire à 1 % du PIB en 2018 et à rétablir, sur ce plan, l’équilibre des finances publiques en 2019. Et en matière d’endettement, l’objectif visé est de ramener le niveau d’endettement actuel de 59 % du PIB à 40 % d’ici 2020. Des objectifs précis et chiffrés doivent également être fixés en matière de recettes, de trésorerie et d’investissement.

Justifiant le caractère urgent et crucial de ce séminaire gouvernemental, Brice Laccruche Alihanga a indiqué que l’assainissement des finances publiques est aujourd’hui devenu plus qu’un impératif. Ce, du constat fait d’un Etat gabonais trop dépensier pour des résultats insuffisants, a-t-il précisé.

Compte tenu du contexte, il a appelé le gouvernement à changer la donne, en dépensant désormais mieux, pour des résultats satisfaisants. «C’est un effort violent, une cure d’amaigrissement sévère qui est exigé de la part de l’Etat. Mais il ne s’agit pas d’affaiblir le patient. Au contraire, il s’agit de le remettre en bonne santé en faisant disparaître son surpoids afin qu’il devienne plus efficace dans l’accomplissement de ses missions.», a-t-il souligné.

Ce qui, selon le directeur de cabinet du chef de l’Etat, « constitue une obligation de résultats. D’où la nécessité des réflexions qui devront à la fois, permettre de faire un état des lieux sans complaisance de la situation ; de faire des propositions sans tabou et des recommandations réalistes inventives, compte tenu de la conjoncture économique actuelle », a-t-il conclu.

Stéphane Billé

 

Dans la cadre de l’organisation des prochaines élections législatives, le PM, Emmanuel Issoze Ngondet (photo), vient de définir un programme de travail, afin d’accélérer le processus.

Le 18 mai dernier, en présence des ministres d’Etat Etienne Massard Kabinda Makaga de la Défense, Lambert-Noël Matha de l’Intérieur, le ministre Placide Ndong Meyo en charge du suivi des actes du Dialogue politique, et la ministre déléguée Irène Lindzondzo du Budget et des Comptes publics, il a présidé une réunion consacrée à l'organisation matérielle de ce scrutin.

Cette séance de travail constituait la première d’une série qu’il entend tenir hebdomadairement pour préparer au mieux, cette échéance. Cela, afin de lever les écueils, les ambiguïtés qui peuvent fragiliser le processus et affiner les stratégies à même de garantir la bonne tenue des élections législatives. L’objectif étant de garantir la sincérité et la transparence de ce scrutin.

Faut-il le rappeler, l’organisation des élections législatives constitue l’un des chantiers prioritaires du gouvernement. Un impératif que le président de la République, Ali Bongo Ondimba a rappelé, lors du tout premier Conseil des ministres du gouvernement Issoze Ngondet III, tenu le 4 mai dernier.

Après le Centre gabonais des élections (CGE), le dispositif relatif à ce scrutin se met progressivement en place.

Stéphane Billé

 

A la faveur du Conseil des ministres tenu ce 17 mai 2018, sous sa présidence, le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba a une fois de plus engagé le gouvernement dans le combat pour l’amélioration des conditions de vie des populations.

Cet exercice présidentiel qui s’est apparenté comme un nouveau coup de fouet pour la relance de la machine économique, a été suivi de plusieurs et importantes mesures. Lesquelles mesures dans leur ensemble, amènent le gouvernement à prendre toutes les dispositions nécessaires en vue de la satisfaction des attentes des populations.

La feuille de route prescrite à cet effet, vise en premier lieu, un meilleur assainissement et une gestion améliorée des finances publiques. Elle recommande également aux membres du gouvernement d’assumer leurs responsabilités afin de garantir le développement du pays, en tenant compte des préalables qui leur ont été communiqués pour guider leur action ministérielle.

Il s’agit de :

1- La mise à plat du système de Budgétisation par objectif de programme (BOP) ;

2- La redéfinition des missions et du périmètre d’actions des agences ainsi que leur rationalisation. A cet effet, l’action des agences publiques doit être à la fois plus pertinente et plus efficace ;

3- La réduction de la masse salariale dans la fonction publique ;

4- Une revue complète de la dette pour en garantir la soutenabilité et surtout une gestion optimale ;

5- Une plus grande rationalisation et une meilleure priorisation des investissements ;

6- La préservation des acquis sociaux et surtout la mise en œuvre, dans les plus brefs délais, des engagements du président de la République annoncés lors de son adresse à la nation le 31 Décembre 2017 sont des impératifs ;

7- Enfin, la remise à plat du code des impôts afin de le rendre plus dynamique et attractif.

Selon le Conseil des ministres, ce sont différents points énoncés qui devraient former un dispositif cohérent en vue d’aboutir à des décisions et à des mesures plus fortes en faveur des populations.

Stéphane Billé

Plus d’une vingtaine d’élus locaux et régionaux des pays d’Afrique ont pris part, le 15 mai dernier, à la cérémonie de lancement des préparatifs de la 8eme édition du Sommet Africités prévue du 20 au 24 novembre 2018 à Marrakech, au Maroc.

Au terme de cette cérémonie dont le thème était axé sur : « La transition vers des villes et des territoires durables : le rôle des collectivités locales et régionales d’Afrique », les participants ont tous placé leur espoir, quant au nouveau départ que devrait insuffler cette 8eme édition du Sommet Africités, en vue de la transition vers les villes durables.

A l’instar de ses collègues, Rose Christiane Ossouka Raponda (photo), maire de Libreville, par ailleurs, Vice-présidente de Cités et gouvernement locaux unis d’Afrique (CGLU Afrique), a dit toute sa conviction et l’espoir qui sont portés sur cette rencontre de Marrakech.

«Marrakech 2018 marquera d’une pierre blanche la trajectoire vers la transformation structurelle de l’Afrique prônée par l’Agenda 2063 de l’Union africaine (UA).», a-t-elle indiquée

Se voulant plus prospective et inclusive, l’édile de Libreville a lancé une invite à toutes les collectivités du monde, et en particulier celles d’Afrique, à venir participer à cette réflexion qui sera amorcée sur la transition vers des villes et des territoires durables et résilients, a-t-elle lancé.

Stéphane Billé

L’Ecole africaine de la météorologie et de l’aviation civile (EAMAC) de Niamey, au Niger, vient de livrer une nouvelle cuvée. Cette année, ce sont 28 nouveaux contrôleurs de la circulation aérienne issus de 10 pays africains, dont trois Gabonais, qui sont sortis de ses moules.

La remise des parchemins de fin de formation intervient au terme de 15 mois de formation, qui auront suffi à ces nouveaux aiguilleurs du ciel africain, pour apprendre les bases du contrôle aérien, sous la houlette du Tchadien, Nagassou Rawa, le chef de promotion et par ailleurs instructeur au sein dudit établissement.

Les 28 récipiendaires, dont sept femmes, sont issus du Congo Brazzaville, de la Côte d’Ivoire, des Comores, du Gabon, de la Guinée équatoriale, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Sénégal et du Tchad. Ces nouveaux contrôleurs attendent désormais leur intégration au sein de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA), où ils feront valoir leurs compétences.

Pour rappel, l'Ecole africaine de la météorologie et de l'aviation civile basée à Niamey, au Niger, a été créée en 1963. Elle est spécialisée dans la formation initiale et continue dans les domaines de la navigation aérienne, du transport aérien, de la météorologie et de l’électronique et informatique des installations de la sécurité aérienne. C’est un établissement public à caractère administratif, qui fait partie des trois écoles de l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA), et est placé sous la tutelle de la Direction Générale de l'Agence à Dakar.

Stéphane Billé

Dans l’industrie chocolatière mondiale, l’on retrouve plus de fèves de cacao en provenance des pays africains que des producteurs d’Amérique du Sud. Parmi les plus gros producteurs africains, l’on retrouve la Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de fèves, le Ghana arrive en seconde position et le Cameroun troisième producteur mondial.

Lors de la 4ème édition du forum des fonds souverains de la Banque islamique de développement tenue à Libreville, les fonds d’investissements agricoles ont plaidé pour une implication progressive du continent dans l’industrie chocolatière afin de tirer davantage de dividendes de la transformation des fèves. Car, ces pays exportent 70% des fèves, mais ne tirent que 3% des revenus globaux issus du commerce des produits de l’industrie chocolatière.

« La transformation dans notre agriculture est notre challenge: les 3 pays africains qui exportent 70% du cacao brut dans le monde, ne perçoivent que 3% des revenus générés par le chocolat », regrettait le ministre de l’Agriculture, Biendi Maganga Moussavou.

Selon les chiffres de l’ICCO, l’industrie chocolatière mondiale génère 100 milliards de dollars ; les pays producteurs ne captent que 6% de cette somme tandis que les paysans, producteurs directs de fèves, ne profitent que de 2% de cette manne.

La Côte d’Ivoire est classée parmi les principaux pays producteurs de cacao avec une production qui représente plus de 35% de la production mondiale de cacao, au cours des dernières années passées.

En 2017 par exemple, le pays a produit 2,01 millions de tonnes de cacao sur une production mondiale estimée, selon l’ICCO, à 4,7 millions de tonnes. Le pays a tiré 2 013 milliards FCFA de revenus, soit environ 3,350 milliards de dollars, lors de la campagne cacaoyère 2016-2017 sur le commerce des fèves, quand les compagnies chocolatières américaines généraient des ventes de l’ordre de 22 milliards de dollars en 2017.

Le Ghana, avec une production de 882 175 tonnes, et le Cameroun (380 000 tonnes), en 2017, trinquent face à cette réalité.

PcA

Le deuxième conseil des ministres du nouveau gouvernement a livré des nouvelles qui bousculent le landerneau économique du pays. Après avoir réitéré au gouvernement les missions qui lui sont dévolues dans la résolution des attentes légitimes des populations, le président de la République a pris de nouvelles mesures qui visent à impulser l’action publique.

Celles-ci, d’après Ali Bongo Ondimba (photo), visent à garantir le développement du pays en tenant compte des préalables.

En premier lieu, il y a la mise à plat du système de Budgétisation par Objectif de Programme (BOP). «Ce système, assure le chef de l’Etat, n’a pas pu prouver son efficacité dans le cadre de son application au sein de l’administration. Car, dans le contexte économique actuel, la dépense publique doit être maîtrisée et optimisée.»

Pourtant, l’option du budget programme adopté par l’Etat en 2014 et entré en vigueur en 2015, a suscité de réels espoirs dans la gestion des finances publiques. Fruit de la réforme 2013 voulue par les institutions communautaires, la budgétisation par objectifs de programmes a accouché de plusieurs initiatives dont l’efficacité reste aujourd’hui problématique.

En plus de la remise à plat de ce système qui va marquer le retour à une gestion budgétaire axée sur les moyens, question de coller à la conjoncture, aux défis du plan de relance économique ainsi qu’à l’accord de Facilité élargie de crédit conclu avec le Fonds monétaire international, le chef de l’Etat demande au gouvernement de mettre un bémol sur le système d’imposition des contribuables en remettant à plat le code des Impôts, afin de le rendre plus attractif.

En plus, il demande aussi la redéfinition des missions et du périmètre d’actions des agences gouvernementales ainsi que leur rationalisation. «L’action de nos agences publiques doit être à la fois plus pertinente et plus efficace.», recommande-t-il.

Du côté des finances publiques, la masse salariale dans la fonction publique doit être «impérativement» réduite. Pour le président de la République, «il y va de la bonne santé de nos finances publiques et de l’amélioration du service public aux usagers».

Le gouvernement doit également réaliser une revue complète de la dette pour en garantir la soutenabilité et surtout une gestion optimale. De même, il recommande «une plus grande rationalisation et une meilleure priorisation des investissements», ceci en vue d’éviter des déperditions de ressources.

Dans le domaine social, le gouvernement est appelé «impérativement» à la préservation des acquis sociaux et surtout la mise en œuvre, dans les plus brefs délais, des engagements du président de la République annoncés lors de son adresse à la nation, le 31 Décembre 2017.

PcA

Permettre la consommation à moindre coût du poulet et favoriser la production locale, tels sont les objectifs poursuivis par la société indienne L7H Life Resources qui a décidé de réaliser un investissement de 200 millions d’euros dans la production de la viande de poulet au Gabon.

L’investissement colossal que l’opérateur indien vient de consentir dans le domaine agropastoral vise à aider le pays à s’émanciper des importations de viande de poulet et à transformer localement la chair de ce gallinacé en d’autres produits dérivés.

Le projet qui sera développé sur trois sites, vise la production annuelle de 36 000 tonnes de viande de poulet dans les provinces de l’Estuaire et de la Ngounie.

Dans la zone économique spéciale de Nkok, où L7H Life Resources bénéficie d’une concession de 22 hectares, la société développe le conditionnement et la transformation de la viande de poulet sur 11 hectares.

En plus de la zone économique spéciale de Nkok qui est une zone sous-douane, L7H va aussi s’installer dans le Sud du Gabon, notamment à Ndende dans la province de la Ngounie sur les installations autrefois utilisées par la défunte société Agro Gabon, afin de produire du maïs et du soja pour la production d’aliments pour volaille.

Sur un autre site situé à Ntoum, dans la périphérie nord de Libreville, l’opérateur indien va développer l’élevage proprement dit de la viande de poulet de chair.

La production locale du poulet à grande échelle contribuera à limiter les importations de cette viande qui en 2016, étaient pondérées à 87,7 millions de tonnes.

Il y a une semaine, le ministre de la Promotion des Investissements indiquait que le Gabon continue d’importer chaque année 1,5 milliard de dollars de denrées alimentaires.

PcA

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