Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

C’est le chef du parti politique MPN Kishin Kassa, Ibrahim Yacouba qui l’annonce. Le Gouverneur de la région de Diffa (Sud-Est Niger) frontalière au Nigéria, Dan Dano Lawali (photo) a rendu sa démission.

Cette démission a été actée pour se conformer à la logique du MPN Kishin Kassa de se retirer de la mouvance présidentielle.

En annonçant la nouvelle hier, l’ancien chef de la diplomatie nigérienne (Ibrahim Yacouba) a salué la qualité de travail au service de l’Etat de son camarade politique.

Cette nouvelle montre de jour en jour la séparation complète entre ce parti arrivé en 5ème position à la Présidentielle de 2016 et le parti au pouvoir (PNDS).

Depuis la démission du ministre Ibrahim Yacouba, patron du MPN Kishin Kassa, les démissions de ses membres des instances du gouvernement s’en sont suivies. Après les ministres, les 4 députés du parti ont été exclus du groupe parlementaire auquel ils appartenaient.

Le désormais ancien Gouverneur de la région de Diffa est membre du bureau politique du MPN Kishin Kassa et Coordonnateur politique de la région de Maradi.

Guevanis DOH

 

Le président de la Commission de la Cemac, le Gabonais Daniel Ona Ondo, et le directeur du département statistique du Fonds monétaire international (FMI), Louis Marc Ducharme, ont eu une séance de travail le 18 avril, à Washington.

Il s’agissait pour le président de la Commission, de solliciter l'assistance technique du FMI dans l’élaboration et la mise à disposition de statistiques fiables et harmonisées au sein de la Cemac.

«Nous ne pouvons pas conduire des politiques économiques, budgétaires et monétaires sans des statistiques fiables. C'est donc un outil important dont nous avons besoin, pour mener à bien les réformes profondes qui vont permettre de relever l'économie de notre sous-région.», souligne Daniel Ona Ondo.

Tout en rappelant que le FMI intervient déjà en Afrique centrale à travers le projet AFRISTAT, ainsi que dans le traitement des statistiques extérieures, Louis Marc Ducharme a recommandé au président de la Commission de réviser le programme statistique de la Cemac, renforcer la coopération et d’améliorer la dissémination des données statistiques dans l’espace communautaire.

Le directeur du département statistique du FMI a également précisé que le contenu des prochaines missions du fonds en Cemac, portera sur la validation des statistiques nationales, les nouvelles directives des statistiques publiques, notamment le tableau des opérations financières des Etats, et la mise à jour des statistiques sur les indices des prix à la consommation.

Pour lui, la collaboration à venir qu’il veut fructueuse, doit surtout s’accompagner de volonté politique des décideurs de la sous-région, question de permettre aux Etats d'atteindre l'objectif 2024 du FMI sur les statistiques nationales.

PcA

Le géant pétrolier espagnol Repsol, vient d’annoncer dans un communiqué, la découverte d’une colonne d’huile de 78 mètres dans le puits d'exploration Ivela-1, au large des côtes du Gabon.

Le forage de ce puits d’exploration a été réalisé dans une zone encore vierge qui couvre 1 200 kilomètres carrés.

Le potentiel du puits Ivela-1, indique la compagnie qui travaille sur ce champ avec son partenaire australien Woodside Petroleum, est encore en phase d’évaluation. Mais des indiscrétions proches des milieux des hydrocarbures tendent à dire que cette découverte serait aussi, sinon plus importante que le champ Rabi Kunga, l’un des plus importants gisements du Gabon.

D’après la compagnie, Ivela-1 qui se trouve dans le bloc Luna Muetse (E13), à une profondeur d’eau d’environ 2 700 mètres, a été foré grâce au navire pétrolier West Capella.

Le bateau, propriété du groupe de forages pétroliers Seadrill, coté dans les bourses de Oslo et de New York, est un navire de forage dont la réputation est établie en matière d’exploration des sous-sols.

Cette découverte intervient après que la compagnie espagnole a lancé au mois de mars 2017, une campagne de forage de puits de pétrole en haute mer au large des côtes gabonaises (Ultra-deep, offshore). Ce domaine est aujourd’hui considéré par les experts du secteur comme l’avenir de l’industrie pétrolière au Gabon.

Pour mémoire, Repsol détient 60 % des parts de ce champ contre 40% à Woodside Petroleum, son partenaire australien.

PcA

Entre 2015 et 2017, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)  et l’Agence d’exécution des activités de la filière Forêt et Bois (AEAFFB) ont mis en œuvre un projet intitulé « Appui à l’apiculture dans les forêts communautaires au Gabon». Cette approche s’inscrit dans le cadre des mécanismes visant à réduire la pauvreté en milieu rural par la valorisation des ressources forestières, tout en préservant leur capital naturel.

Dans une approche recherche-action, le projet d’ « Appui à l’apiculture dans les forêts communautaires au Gabon», s’est matérialisé par la mise en place d’un cadre d’initiations aux techniques de production et valorisation des produits apicoles. Les premières unités communautaires de production apicole ont été installées dans la forêt communautaire d’Ebyeng-Edzuameniène, site pilote du projet.

Le savoir-faire acquis sur ce site a été vulgarisé auprès de sept autres forêts communautaires bénéficiaires de cet appui. Au total, plus d’une cinquantaine d’hommes et de femmes apiculteurs ont pu bénéficier des formations collectives, d’un accompagnement technique de proximité, et d’outils de vulgarisation, de suivi et d’équipements.

Au terme de cette initiative qui a contribué à démontrer la possibilité d’allier développement et gestion durable des ressources forestières, plusieurs résultats satisfaisants ont été enregistrés, et ont mis en exergue le potentiel de l’apiculture et la nécessité d’organiser une activité durable autour de l’exploitation et la production du miel au Gabon.

Au regard des résultats le président de l’association A2E Ebyeng-Edzuameniène engagé dans l’apiculture juge l’expérience fructueuse. « Nous avons à travers ce projet, bénéficié d’un appui technique avancé qui nous a permis aujourd’hui, de produire une quantité de miel assez importante qui sera revendue jusqu’à la capitale. Les bénéfices tirés de cette vente, nous permettront de subvenir à nos besoins ainsi qu’à ceux de la communauté. », a-t-il expliqué.

En effet, l’apiculture permet de dégager un complément de revenus par la vente du miel et de ses produits dérivés, notamment les bougies et les produits cosmétiques réalisés à partir de la cire d’abeille. En outre, la présence de l’abeille favorise la pollinisation et améliore les rendements des plantes maraîchères et des arbres fruitiers. Ces revenus permettront de favoriser l’autonomisation des petits producteurs et de proposer une alternative à la coupe des arbres.

Stéphane Billé

Le cancer du col de l’utérus est devenu une préoccupation majeure pour la communauté médicale et scientifique internationale.

Selon la Revue d'experts sur la thérapie anti-infectieuse, «d'ici 2030, le cancer du col de l'utérus causera la mort de plus de 443 000 femmes chaque année dans le monde, la plupart en Afrique subsaharienne». Cette alerte vient d’être lancée, à quelques jours de la 8ème Semaine africaine de la vaccination, qui se célèbre, du 23 au 29 avril 2018.

Cette tendance est également confirmée par le Centre du virus du papillome humain (VPH), 2017, qui souligne que le cancer du col de l'utérus est le cancer le plus fréquent chez les femmes, au Malawi, au Kenya, en Zambie et au Zimbabwe et le deuxième cancer le plus fréquent en Afrique du Sud.

Par ailleurs, toujours selon le VPH, l'augmentation de l'incidence du cancer du col de l'utérus en Afrique, pourrait contrecarrer les progrès réalisés par les femmes africaines dans la réduction de la mortalité maternelle et de la longévité.

Toutefois, tempère-t-on, le cancer du col de l'utérus reste une maladie non transmissible, potentiellement évitable et que des stratégies d'intervention visant son élimination en tant que problème de santé publique, devraient être mises en œuvre d'urgence.

Cas du Gabon

Depuis 2013, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille (FSBO) s’est fortement engagée dans la lutte contre les cancers, et en particulier ceux du sein et du col de l’utérus au Gabon. L’objectif visé est de réduire l’incidence et la mortalité de ces maladies.

Cette vision se matérialise par une stratégie de lutte contre les cancers qui s’articule autour de trois piliers: la prévention, le traitement, et l’accompagnement.

La FSBO, à travers son concept « Octobre rose », est active sur le terrain avec des actions de proximité au contact des populations. La Fondation use également de son leadership pour mener un plaidoyer actif auprès des pouvoirs publics, afin de garantir la gratuité des actes de dépistage et de la prise en charge de qualité des malades atteints du cancer, ainsi que l’accès à des traitements pour tous.

Ce combat et la valeur de ses actions en faveur des Gabonais ont été reconnus par la communauté internationale. La FSBO est désormais membre de l'UICC (Union for International Cancer Control), organisme international qui aide des acteurs du monde entier à lutter ensemble contre le cancer.

En 2018, la FSBO compte mettre en place une clinique itinérante pour renforcer les dépistages et les diagnostics des cancers féminins à travers tout le pays.

Stéphane Billé

Les quatre pays que sont le Gabon, le Cameroun, le Congo et le Tchad deviennent la sphère de compétence de Martin Che (photo), le nouveau directeur régional Afrique centrale de la banque internationale UBA. Le Camerounais, ancien directeur général de la banque au Congo, a été désigné à ce poste le 1er mars 2018, et entend œuvrer à l’expansion des activités de la banque dans cette sous-région.

« C’est un honneur de servir à travers la Cemac et c’est mon plus grand souhait que les quatre filiales que j’ai la charge de diriger puissent se développer à pas de géant », confie-t-il dans le communiqué publié par la banque, à cet effet.

Parvenir à cet objectif ne semble pas difficile pour ce banquier de métier dont les performances à  son ancien poste sont évocatrices. Sous sa direction, les capitaux propres de la filiale congolaise sont passés de 8% à 36% entre 2013 et 2015. En plus de la progression de ce taux de rentabilité,  le coefficient d’exploitation de UBA Congo est passé de 86% à 45%.

Des performances qui ont propulsé UBA Congo dans le peloton de tête des 11 filiales francophones du groupe, en matière de résultat avant impôt, de revenus bruts et de dépôts de la clientèle.

Toutes choses qui n’ont pas laissé insensible  le groupe londonien Financial Times, dont le magazine spécialisé The Banker lui a décerné deux années durant, 2016 et 2017, le prestigieux Prix de la meilleure banque au Congo.

Transfuge d’Ecobank Cameroun et de Union bank of Cameroon, celui qu’on présente comme un professionnel du développement commercial et dont le champ de compétences s’étend de la gestion des risques aux opérations bancaires, le diplômé de la Business School de l’université du Pays de Galles, mise sur les valeurs fondamentales de la banque en mettant un accent sur l’esprit d’entreprise, l’excellence et l’exécution.

« Conformément à l’objectif de UBA de se classer parmi les 3 premières banques d’importance systémique dans chacun de nos pays de présence en Afrique, j’ai hâte de travailler avec les différentes parties prenantes au Cameroun, au Congo Brazzaville, au Gabon, au Tchad et partout ailleurs, pour ajouter de la valeur et tenir haut le flambeau des activités de UBA en Afrique », souligne-t-il.

Au-delà, il est question pour lui de dépasser les attentes de la clientèle en proposant de nouvelles offres de services.

PcA

Source: communiqué

Les limites du marché national, la multiplication des taxes et des contrôles, les coûts élevés des facteurs de production ou encore la faiblesse de l’offre domestique en termes de denrées alimentaires et de produits de première nécessité, sont entre autres éléments qui font le lit de la vie chère au Gabon. Ces éléments ont été relevés par Emmanuel Eyeghe Nze (photo), directeur général de la Consommation et de la concurrence au cours d’une conférence donnée à Libreville le week-end dernier.

Il a complété le tableau sombre de la vie chère en mettant à l’index, la faible capacité de production de l’industrie locale, le non-respect de la réglementation en matière de fixation des prix notamment le logement, et la non-utilisation des instruments de mesure pour les produits locaux.

Au-delà des mesures prises par l’Etat pour alléger le poids de la vie chère et des opérations de rétorsion des opérateurs économiques véreux sur le terrain, le gouvernement doit adresser d’autres situations qui bloquent le succès de ses missions. «Les ménages ont bel et bien ressenti le blocage des prix pendant six mois, parce que les prix ont été bloqués pour ne pas répercuter la hausse observée au niveau international, car ce sont des prix de produits importés.», confie-t-il à la presse locale.

Le blocage des prix a ainsi eu pour impact d’après lui, une perte sèche de 13 milliards FCfa sur les 167 produits exonérés des taxes et droits de douane en 2017.

Pour lui, il faut davantage de moyens, lutter contre la réticence et l’agressivité de certains opérateurs économiques ainsi que la validation tardive des grilles des prix en provinces. D’après la presse locale, le directeur général de la consommation et de la concurrence a tracé quelques pistes pouvant aider le gouvernement à contenir la flambée des prix dans certains domaines.

Dans le logement par exemple, la réduction des coûts de construction passe selon Emmanuel Eyeghe Nze par la viabilisation des terrains. Il faut aussi multiplier la délivrance des permis, question d’accroître l’offre des matériaux de carrière, régulariser les baux, bloquer la hausse des prix du loyer sur une période de cinq ans. Pour les produits de première nécessité, il faut mettre en place un mécanisme d’indexation des revenus au coût de la vie et instaurer un minimum retraite.

PcA

Les difficultés de fonctionnement de la Société gabonaise de transports (Sogatra), ont conduit le gouvernement à missionner la ministre des Transports et de la logistique, Estelle Ondo à Abidjan, le 17 avril 2018, afin de s’inspirer de l’expérience ivoirienne en matière de transport public.

Ainsi, rapporte la presse ivoirienne, Amadou Koné, ministre ivoirien des Transports et son homologue gabonaise, ont signé un partenariat qui vise à renforcer la coopération en matière de transport.

Les principaux centres d’intérêt du Gabon dans cette coopération avec la Côte d’Ivoire, portent sur la restructuration opérationnelle et financière de la Sogatra, dans un cadre juridique et organisationnel mieux défini.

Car, cette entreprise est engluée depuis des années dans un cycle interminable de tensions sociales et de difficultés managériales qui handicapent son fonctionnement et sa rentabilité. Aussi les deux parties ont-elles convenu d’œuvrer à la résolution de cette situation.

«Nous allons tout mettre en œuvre pour accompagner la Sogatra.», souligne Amadou Kone cité par la presse ivoirienne.   

La Sogatra, pour sa remise à flot, bénéficiera du soutien et de l’accompagnement des équipes de la société des transports abidjanais (Sotra), qui revendique une expérience de 58 ans dans le domaine du transport urbain.

Quant au transport maritime et aérien, les deux ministres ont également convenu de renforcer la coopération interportuaire entre le Port autonome d’Abidjan et le port d'Owendo au Gabon.

Dans le transport aérien, les deux pays, membres de l’Asecna, ont décidé de poursuivre et de renforcer leurs relations dans l’esprit de l’accord signé le 10 juillet 2013 à Abidjan. Un accord sur les services de recherche et de sauvetage, en complément d’un accord aérien qui sera conclu prochainement dans ce domaine.

PcA

Dans son rapport 2017, la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) fait le point sur le compte d’opérations auprès du Trésor français. Il en ressort que le Cameroun détient près de 61% du total d'un montant de 2 551,8 milliards FCFA, au cours de la période sous revue.

Les avoirs auprès du Trésor français se répartissent comme suit entre les Etats membres de la Cemac et la Banque centrale : la BEAC dispose de 441,609 milliards FCFA. Le Cameroun, 1 579,571 milliards FCFA. Le Congo, 138,338 milliards FCFA. Le Gabon, 383,667 milliards FCFA. La Guinée équatoriale, -50,809 milliards FCFA et le Tchad a aussi un solde négatif de -118,421 milliards FCFA.

La BEAC fait observer que la forte hausse du niveau des avoirs déposés au compte d’opérations sur l’année 2017 (+ 120,7 %) comparativement à 2016 (la Cemac disposait de 1 155 milliards), « est principalement liée à la cession partielle et aux tombées d’échéance enregistrées sur le portefeuille d’investissement de la Banque centrale ».

Pour rappel, le compte d’opérations est celui ouvert par la Banque des Etats de l’Afrique centrale au service de contrôle budgétaire et comptable ministériel du ministère des Finances et des Comptes publics de la France. La Banque centrale, d’après ses conventions, doit impérativement y déposer 50% de ses avoirs extérieurs. Toutefois, la convention du 3 octobre 2014 stipule que cette quotité peut être abaissée en deçà de 50% mais, sans être inférieure à 40%.

Sylvain Andzongo

Dans le cadre du financement du projet pour la promotion des investissements et la compétitivité au Gabon, (PPIC), la Banque mondiale vient d’apporter son appui à la formation de jeunes entrepreneurs gabonais, à travers la deuxième édition du Concours national de plan d’affaires - grand prix de l’excellence 2018 (CNPA).

En présence du Premier ministre, Emmanuel Issozet Ngondet, et de plusieurs membres du gouvernement gabonais, les 47 nouveaux entrepreneurs lauréats de cette compétition ont été primés, ce 15 avril 2018, au terme d’une compétition qui a vu la participation de 482 candidats, après 10 mois de compétition.

Organisé sous l’égide du ministère de la Promotion des investissements privés, de l’Entrepreneuriat national, des PME, et piloté par l’Agence nationale de promotion des investissements (ANPI), le CNPA a permis de former les candidats cette année, sur un certain nombre de secteurs jugés stratégiques.

Il s’agit entre autres de : l’élaboration de business plan, la prise de parole à l’élaboration d’un modèle économique viable, la réalisation d’étude de marché fiable et la réalisation d’un financier complet dans la perspective d’une présentation à des investisseurs potentiels.

Les formations, quant à elles, ont été assurées avec l’appui des incubateurs, JA Gabon et Ogooué-Lab, ainsi qu’avec ATACE-Handi, une association spécialisée dans la formation et l’accompagnement spécifique des entrepreneurs vivant avec un handicap.

La singularité de cette édition 2018 aura été la participation de personnes vivant avec un handicap. Cela, dans le but de contribuer à la lutte contre l’exclusion sociale, en offrant les mêmes chances de réussite à tous les postulants.

Le jury constitué de 15 membres, était composé d’experts en marketing et communication, banque d’investissement, en informatique, management et stratégie, agronomie, gestion de projets, finances et comptabilité et en accompagnement de start-up.

Outre des lauriers remis en termes de dizaines de millions empochés, la promotion 2018 bénéficiera également d’un accompagnement post-compétition pour permettre aux nouveaux entrepreneurs de gérer leur intégration commerciale via, un compte bancaire et renforcer leur capacité de gestion des entreprises.

Précisons que le Concours national de plan d’affaires a été initié par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, en 2014. Il vise la promotion de l’entrepreneuriat chez les jeunes et les femmes.

Stéphane Billé

Pour nous contacter: c o n t a c t [@] lenouveaugabon . c o m

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