Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Le directeur de cabinet adjoint N°1 du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs, président d’honneur de l’ONG ‘’Dynamique Gagnant-gagnant’’, Jean Valentin Leyama, vient d’offrir des cours théoriques en vue du passage à l’examen du permis à conduire, aux jeunes de la ville de Moanda, en soutien à la lutte contre le chômage et la pauvreté des jeunes.

Grâce à cet appui, notamment financier, plusieurs jeunes de cette localité viennent de passer avec succès, l’examen du permis de conduire. Un sésame qui naturellement, va leur ouvrir le marché de l’emploi dans le secteur du transport urbain et suburbain dans la ville de Moanda.

Cette action de financement d'insertion des jeunes à la vie active, dénommé "Un jeune, un permis de conduire" s’inscrit dans la politique de soutien à la jeunesse, de l'Organisation non gouvernementale, "Dynamique Gagnant-gagnant".

Le principe consiste à prendre à son compte, les frais des cours de conduite à l’auto-école. Plus d'une soixantaine de jeunes y ont été inscrits pour suivre les cours pendant un mois, selon un chronogramme de dix jeunes par vague d'inscription par mois. Pour certains récipiendaires, le plaisir et la joie ont été énorme d’obtenir ce sésame. «Grâce à l'obtention du permis de conduire, nous allons nous mettre se mettre à notre compte dans tous les activités de ce secteur gangrené par l'usage des faux permis.», ont-ils déclaré.

Le transport urbain et suburbain constitue l’un des rares secteurs d‘activités de la ville de Moanda qui présente une véritable alternative d'emplois pour les jeunes.

Synclair Owona

Le principal objectif visé par les autorités gabonaises dans le processus d’identification des Petites et moyennes entreprises et des artisans, engagé il y a quelques jours, est, indique-t-on, de les classifier, de favoriser leur accès aux marchés publics ainsi qu’aux services des banques et établissements financiers.

Outre l’idée d’établir un fichier des Petites et moyennes entreprises (PME) et artisans opérationnels pour la sous-traitance des marchés et organisations liés à l’Organisation de la Coupe des Nations 2017, cette opération d’identification a également pour finalité, de solidifier et de permettre leur ancrage au tissu économique national.

Au-delà des avantages découlant de la sous-traitance, cette compagne d’identification s’inscrit dans une démarche de durabilité de la PME sur les marchés économiques. Des objectifs particuliers tels que la labellisation et la mutualisation sont inhérents à cette démarche.

Ce processus permettra en outre de combler les insuffisances et les aider à se muer en organisations plus productives et contribuant à la formation du Produit intérieur brut (PIB).

Dans ce cadre, il conviendrait estime le gouvernement, de voir leur accompagnement en termes de maîtrise des aspects fiscaux, de gestion de ressources humaines et du fonctionnement interne, de planification stratégique, etc.

Car, faute de données statistiques fiables sur les PME et les artisans, sur leur implantation ou leur concentration géographique, il est difficile pour les autorités d’apporter des réponses adaptées et de mécanismes de performance. Enfin, « l’identification va pouvoir encourager la mutualisation des moyens des petits opérateurs.», indiquent les responsables du ministre du Commerce.

Aujourd’hui, le nombre de PME est évalué à 12 000 entités, avec un taux de croissance moyen de 5% depuis 2010.

Synclair Owona

Il s’agit notamment de : la Contribution à la formation professionnelle (CFP); la Contribution spéciale de solidarité (CSS) et de la Taxe forfaitaire d’habitation (TFH). Selon le ministre de l’Economie, Régis Immongault, la première disposition, relative à la Contribution à la formation professionnelle vise à promouvoir la formation professionnelle et l’emploi des jeunes, afin de résorber la problématique de de l’adéquation entre la formation et l’emploi.

De manière précise, «Cet impôt qui est en charge de l’employeur était déjà en vigueur par le passé, avait été suspendu en 1997, pour des raisons de transparence dans sa gestion.», indique-t-il avant de poursuivre que : « cette taxe viendra en déduction pour la détermination du bénéfice imposable, afin de ne pas alourdir la charge fiscale des entreprises».

La seconde imposition concerne la Contribution spéciale de solidarité (CSS). Elle consiste à assurer la pérennité de la couverture sanitaire et médicale des Gabonais économiquement faibles. Elle vient ainsi à la rescousse de l’ancien mécanisme de financement de ce secteur qui reposait essentiellement sur les opérateurs de téléphonie mobiles et dont les limites ne permettaient pas de mobiliser les financements nécessaires pour une meilleure couverture de l’assurance maladie.

Sont assujetties à la CSS, les personnes physiques et morales, y compris les collectivités locales et les établissements publics. S’agissant des personnes physiques et morales, seuls ceux réalisant à titre habituel ou occasionnel des opérations imposables dont le chiffre d’affaires annuel hors taxes s’établit au moins à 30 000 000 FCFA sont redevables.

La troisième imposition quant à elle, concerne la Taxe forfaitaire d’habitat. Elle existait déjà mais n‘avait jamais fait l’objet d’un prélèvement. A la faveur de la loi de Finances 2017, sur une base constituée par les consommations d’eau et d’électricité, son taux de perception a été arrêté à 2%. Les personnes qui en sont redevables sont pour l’essentiel, des personnes physiques. Par ailleurs, le produit de cette taxe sera entièrement affecté au financement du budget des collectivités locales. Ses ressources additionnelles permettront ainsi à ces entités de mieux financer leurs missions.

Le projet de Loi des finances 2017 évalue les recettes fiscales à 1 289 076 milliards de FCFA, contre 1 412 424 milliards de FCFA en 2016, soit une baisse de 123 347 millions de FCFA.

Synclair Owona

Actuellement en visite à Singapour à l’invitation des autorités du pays, le Vice-premier ministre gabonais en charge de l’urbanisme, de l’habitat social et du logement, Bruno Ben Moubamba, a entamé le 29 décembre une journée de travail avec des personnalités singapouriennes. A l’ordre du jour : la réactivation du projet de « Grand Libreville » porté à l’époque par l’Anuttc (Agence nationale de l’urbanisme, des travaux topographiques et du cadastre).

Avec les partenaires singapouriens, le membre du gouvernement a planché sur les limites schéma directeur d’aménagement urbain qui, partant de la Baie des Rois et incluant les communes d’Akanda et d’Owendo, pourrait se projeter au-delà de Ntoum et peut-être même jusqu’à Kango. « Lorsque l’on visite Singapour, chacun peut se rendre compte que le miracle singapourien en matière d’urbanisme n’a été possible que dans le strict respect de la loi. Il y a 40 ans seulement, à peine une génération, Singapour n’était que bidonvilles, pauvreté, chômage, au même niveau que nombre de pays africains d’aujourd’hui, dont le Gabon », relève le Vice-premier ministre.

Le coût du projet « Grand Libreville » est estimé à 514 milliards de FCFA. Il est question de réaliser, entre autres, un port môle avec un plan conceptuel permettant le développement de commerces, zones de loisirs, restauration, marina, port pour petits bateaux de pêche et bateaux de plaisance et un service ferry. L’Etat veut aussi, à travers ce projet, développer un prototype conceptuel pour des habitations à loyer modéré avec comme objectif la construction de 5000 habitations dans des quartiers au Nord et à l’Est de Libreville, desservis par des transports en commun et l’implantation de services publics.

Sylvain Andzongo

Equilibré en ressources et en charges à 2447,5 milliards de FCFA, contre 2626 milliards de FCFA pour l’exercice précédent, soit une baisse de 148,5 milliards de FCFA, le projet de Loi de Finances 2017 a été adopté ce 29 décembre, par les sénateurs dans un contexte de morosité économique.

Malgré cette baisse, il traduit néanmoins la volonté du gouvernement d’accélérer le processus de densification de la croissance et de diversification de ses ressources.

Selon les indications fournies par le gouvernement, ce projet de Loi des finances marque la volonté et la détermination du gouvernement d’impulser une dynamique de sortie de crise de l’économie, avec  une accélération du processus de mutation des indicateurs économiques.

Tout comme, il devrait permettre la poursuite des efforts de matérialisation des engagements pris par le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, notamment dans son programme d’Egalité de chances, axé sur l’accès équitable de tous à l’emploi, l’éducation, la santé et la sécurité sociale. Il permettra également la poursuite de la mise en œuvre des différents volets du Plan stratégique Gabon émergent (PSGE).

Synclair Owona

A la faveur des travaux du Comité de pilotage de la Conférence des ministres des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN), le 22 décembre dernier à Dakar, le ministre gabonais de l'Éducation nationale et de l'Éducation civique, Florentin Moussavou (photo à droite), par ailleurs, président en exercice de cette organisation, a appelé les Etats membres, à examiner le Plan d'actions et le Budget du PASEC 2017 en vue de la mobilisation des ressources humaines et financières indispensables à l'échéance 2019. 

Au cours de ces assises, le budget prévisionnel du Programme d’analyse du système éducatif de la CONFEMEN (PASEC) 2017 a été débattu à 1 418 millions de FCFA. Il servira à financer cinq axes prioritaires.

 

Il s’agit entre autres de :

- l'évaluation des systèmes éducatifs;

- la recherche;

-la formation des enseignants et le

-le renforcement des infrastructures d'accueil des élèves ou encore

-la communication et

-la publication des supports.

 

A ces travaux auxquels, prenaient également part, par les représentants de l'Agence française de développement (AFD) et ceux des Fonds Canadien et Suisse, plusieurs postes au sein du nouveau Comité de pilotage du PASEC, nécessitant des candidatures urgentes ont été examinés par les participants, qui ont également adopté les rapports d'activités et financiers.

Pour rappel, créée en 1960, la Conférence des ministres de l’Éducation des Etats et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) réunit tous les deux ans, les ministres de 41 États et gouvernements francophones. Elle est dotée d’un Secrétariat technique permanent basé à Dakar (Sénégal) et offre un cadre d’échange et de concertation à ses 41 états et gouvernements membres sur les différents systèmes en question et leur évolution.

Elle œuvre, en étroite collaboration avec l’Organisation internationale de la Francophonie, pour l’intégration des systèmes éducatifs dans le processus de développement. Les orientations stratégiques tracées par la CONFEMEN et les analyses et études produites dans le cadre de son PASEC sont prises en compte par l’OIF dans ses actions en matière d’éducation et de formation professionnelle et technique.

 

Synclair Owona

Au cours de sa session ordinaire de décembre 2016 à Libreville, le collège de la Commission de surveillance du marché financier de l’Afrique centrale (Cosumaf) a décidé d’agréer deux fonds communs de placement du groupe Attijariwafa bank à travers ses sociétés « FCP Asca Patrimoine » et « FCP Asca Liquidité », classées respectivement dans la catégorie de fonds de type obligataire et monétaire.

Ces fonds communs de placement, reposent sur un principe simple : mettre en commun l’argent appartenant à de nombreux investisseurs (les porteurs de parts) et l’investir collectivement dans une gamme variée de titres (actions, obligations et instruments du marché monétaire).

La Cosumaf exige pour cela que la constitution définitive des fonds « FCP Asca Patrimoine » et « FCP Asca Liquidité » soit effective dans un délai de trente jours à compter de la réception de la décision d’agrément. L’organisme gestionnaire de « FCP Asca Patrimoine » et « FCP Asca Liquidité » est tenu d’informer sans délai la Cosumaf de tout fait nouveau susceptible d’avoir une incidence sur les avoirs des clients, sur la qualité des services offerts ou sur la bonne fin des opérations entreprises.

 

Sylvain Andzongo

 

Selon la FAO, le processus de transformation des produits agricoles au Gabon devrait, en principe, permettre aux producteurs situés dans différentes villes du pays, bénéficiaires de son appui, de trouver des acheteurs parmi les transformateurs. Cet appui multiforme permet également aux transformateurs de produits agricoles de réduire les pertes post récoltes et de valoriser les productions.

Convaincue du fait que les besoins en approvisionnement des transformateurs, mais également des acheteurs peuvent être pourvus par la production locale, la FAO ne cesse d’encourager les producteurs locaux à se retrouver au sein d’un cadre propice au développement de leurs activités, mutualiser leurs efforts pour faire connaître leurs produits et finalement devenir des agro entrepreneurs à succès.

Succès considérable

Ainsi, grâce à un partenariat avec cette institution onusienne spécialisée dans l’alimentation et l’agriculture, le Réseau national des transformateurs agricoles du Gabon (RENATAG) a pu voir le jour. Majoritairement constitué des femmes, il connait un succès considérable aujourd’hui. A preuve, lors de sa participation au Salon ‘’Made in Gabon’’ qui s’est tenu à Libreville du 9 au 11 décembre dernier, le RENATAG s’en est tirée avec plusieurs lauriers. Cela, grâce à sa vaste gamme de produits transformés dans différentes catégories : les cosmétiques, les aliments secs, les aliments surgelés, les produits frais et les conserves.

De la visibilité …

Le Salon ‘’Made in Gabon’’ a ainsi permis à ces transformatrices d’obtenir de la visibilité pour leurs entreprises, mais également de nouer des partenariats de développement stratégiques. Agréablement surpris de leur organisation et de leur expertise, le ministre de la Promotion des Petites et moyennes entreprises (PME), chargé de l’Entrepreneuriat national, Biendi Maganga-Moussavou n’a pas manqué de leur couvrir d’éloges. « Je suis émerveillé de voir autant de créativité de la part des transformatrices. Chacun à son niveau peut produire des savoir-faire et créer de la richesse.», a-t-il déclaré.

… et des lauriers pour le RENATAG

Résultats des courses, les dix associations représentant le RENATAG lors de cet évènement se sont vues décerner le prix du meilleur stand par les organisateurs et le ministère des PME. En outre, les entrepreneurs ont eu l’opportunité de prendre part à plusieurs ateliers et conférences portant sur l’amélioration des techniques d’emballages, la labellisation des produits du Gabon ainsi que la gestion entrepreneuriale, entre autres thèmes qui ont été au programme de ce Salon.

Pour rappel, la création du RENATAG a été impulsée par la FAO à travers le projet GCP/SFC/001/MUL dont l’intitulé est le suivant : ‘’La sécurité alimentaire renforcée en milieu urbain en Afrique centrale grâce à une meilleure disponibilité de la nourriture produite localement’’.

Synclair Owona

Le Conseil des Ministres du mercredi 28 décembre, sous présidence du président Ali BONGO ONDIMBA, a entériné la composition des Cabinets ministériels.

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

SECRETARIAT GENERAL

  • Secrétaire général : M. Guy 
ROSSATANGA-RIGNAULT. 

  • Secrétaire général adjoint : M. Cyriaque 
MVOURANDJIAMI. 
            

MINISTERE DES INFRASTRUCTURES, DES 
TRAVAUX PUBLICS ET DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE

CABINET DU MINISTRE D’ETAT

Directeur de cabinet : M. Lucien EPIMI 
GUIA, confirmé. 


Chef de cabinet : M. Ali OYABI, confirmé. 


Conseiller chargé de la communication : M. Cyrille NGALEKOUO, confirmé. 


Conseiller juridique : M. Richard NZE NDONG DIT MBELE, confirmé. 
                        

Conseiller diplomatique : Mme Eliane EBOBOLA-TSIBAH, confirmée. 


Conseiller chargé de l’aménagement du territoire : M. Fulbert ANDZANDZI ANDJAI, confirmé. 


Conseiller chargé des voiries et de l’assainissement : M. Marcel Mamadou LIRA. 


Conseiller chargé des travaux publics et des infrastructures : Mme Aurélie NTOUTOUME, confirmée. 


Conseillers techniques : 
Mme Diane-Grace GORRA, confirmée, 
M. Ange Faustin NTOULA, confirmé.                              

Conseiller chargé de la formation et des partenaires sociaux : M. Aristide MAMFOUMBI, confirmé. 


Conseiller chargé des questions politiques : M. Jean Claude SENDZE, confirmé. 


Chargés d’études : MM. : André Mathurin IVALA OGOULA, confirmé ; 
Christian YOULA, confirmé ; 
François NDZILA, confirmé ; 
Jeff Reddy OPHOUYA OKAMBA, 
confirmé ; Joseph ONANGA RENTCHALET, 
confirmé. Secrétaire particulière : Mme Albertine OKOUROWA, confirmée.

 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA FRANCOPHONIE ET DE L’INTEGRATION REGIONALE, CHARGE DES GABONAIS DE L’ETRANGER

CABINET DU MINISTRE D’ETAT

Directeur de cabinet : M. Hervé 
BOUKAMBA. 


Chef de cabinet : M. Martin BOUDINGA. 


Secrétaire particulière : Mme Rosalie MAMBERI épouse AMBOLO LOUBA. 


Conseiller juridique : Mme Patricia Muriel DJELLA OGANDAGA épouse ONDIAS OKOUMA. 


Conseiller chargé des organisations internationales: Mme Ginette ARONDO épouse EDZANG. 


Conseiller chargé des questions administratives : Mme Gladys Peggy OBONE OWOULA épouse OBAME. 


Conseiller chargé de l’intégration régionale : Mme Tathiana Chimène MAGHOUYA IGA-IGA. 


Conseiller chargé des Gabonais de l’étranger : M. Jules César ASSELE LEKOULETSIALY.

Chargés d’études : MM. Rodrigue Aubin BOUNGADI NZIMA ; Gervais BOUPANA ;
Jean Danice AKARIKI ; Mmes : Prisca Sidonie OYE ;
Sonia Rachel Geneviève OLENDO ; Ornélia NDAOT ZITOMBO.

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE LA PROSPECTIVE ET DE LA PROGRAMMATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE

CABINET DU MINISTRE DELEGUE


Directeur de cabinet : M. Moussa BARRY.

Chef de cabinet : M. Alain ONDO MINKO.

Chargé d’études : MM. : Jean Maurice RASSINDINA ;
Patrick Renaud LOEMBA ;
Stevee ESSIMA NDOUTOUME ; Mmes : Amanda Elma DIOUF AMBOUGOU ANTONINI ; 
Dolinde SAPHOU ; 


Secrétaire particulière du Ministre : Mme Edna Yolande Corine DUMAIRE.

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE FORESTIERE, DE LA PECHE ET DE L’ENVIRONNEMENT, CHARGE DE LA PROTECTION ET DE LA GESTION DES ECOSYSTEMES

CABINET DU MINISTRE DELEGUE CHARGE DE LA PECHE

Directeur de cabinet : M. : Ulrich Amour N’NANG NDOUME.

Chef de cabinet : M. Claude François NKOULAVENG.

Chargé d’études : MM. : Camille IROGHOLO ; 
Jean-Christian MOUELE LOUNDOU ;
Bonaventure Isidore REMPYO 
OVENDA ; 
Claver EYA ZE ; 
Mme Paola NSA ESSONO ; 


Secrétaire particulière : Mme Sonia Christelle Gerda KOUMBA.

 

MINISTERE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI, DE LA FORMATION TECHNIQUE ET PROFESSIONNELLE ET DE L’INSERTION DES JEUNES

CABINET DU MINISTRE DELEGUE

Directeur de cabinet : M. Jean Hilaire ANGOUE MBA.

Chef de cabinet : Mme Florence Mauricette M’BOUROUKOUNDA. 


Chargés d’études : MM. : Joseph Ghislain BIYOGHE BI NDONG; 
Carl Lionel MENGARA ALLOGO ; 
François Hughes MAYOMBO ; 
Ghislain ONDO AKWE; 
Aimé Didier MAVOUNGOU. 


Secrétaire particulière : Mme Sabine GUEMBHY’T.

 

MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA POPULATION

CABINET MINISTRE

Directeur de cabinet : M. Fidèle BOUKA. 


Chef de cabinet : M. Hugues BISSAGOU. 


Conseiller diplomatique : Mme Denise 
Landria NDEMBI NZIENGUI. 
                  

Conseiller juridique : M. Emile Parfait NDONG NYINGONE. 


Conseiller en communication : Mme Marie José NDOMBI. 


Conseiller chargé des programmes de santé et des organismes internationaux : Dr Dieudonné NKOGHE. 


Conseiller chargé de la formation et des ressources humaines : M. BIYAMBOU PENDY. 


Conseiller chargé de la reproduction et de la promotion de la santé maternelle et infantile : Mme Rachel MBOUMBA épouse IBINGA KOULA. 


Conseiller chargé de l’éducation à la santé et des relations avec les partenaires sociaux : M. Jean Lambert NDOMBY. 


Conseiller chargé des questions pharmaceutiques, des laboratoires, de l’hygiène et de l’assainissement : Dr. Mwetse NYANGUI BOUSSA épouse NKOUAMBAT NDZINGA. 


Chargés d’études : Mmes : Emma Nadège MAWILI épouse NGOUALI-FILS. Fanny KOUMBA MOUCKAMBY ; Synthia DILEBOU ; 
MM. :
Paul Anicet MOUGNIENDA ; Jean Calvin MAKOUKOU NGUELE.

Secrétaire particulière : Mme Edith-Sylvie M. 


 

MINISTERE DU PETROLE ET DES HYDROCARBURES 


DIRECTION GENERALE DES HYDROCARBURES 


Directeur général : M. Jacob TSIOBA THATY. 


Directeur général adjoint, chargé de l’aval : M. Bernardin MVE ASSOUMOU.                            

Directeur général adjoint, chargé de l’amont : M. Edgard MBINA KOMBILA. 


Directeur des affaires économiques, juridiques et fiscales : M. Gilles YENO. 


                         

SOCIETE NATIONALE DES HYDROCARBURES, « GABON OIL COMPANY » 


Président du Conseil d’administration : M. Serge Thierry MICKOTO. 


                      

MINISTERE DES TRANSPORTS 
CABINET DU MINISTRE 


Directeur de cabinet : Professeur MENGUE BIDZO, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant chercheur.

Chef de cabinet : M. Durand ANGONE ELLA.

Conseiller chargé de l’aéronautique : M. Laurent ABESSOLO MVE. 


Conseiller juridique : M. Ludovic Edgar MOUNDOUNGA. 


Conseiller financier : M. Sosthène MAVIOGHA. 


Conseiller technique, chargée des questions administratives : Mme Adèle Mireille AKELE ONDO. 


Conseiller diplomatique : Mme Rita NDINDO. 


Conseiller chargé des transports terrestres : M. Cyprien NDONG. 


Conseiller chargé des relations avec les sociétés et organismes Fernand EPIGAT.

Conseiller technique : M. Jean Pierre LENDOYE. 


Chargés d’études : MM. 
Judicaël MOUPOUNGUIDI ; Guy-Romuald EKOME ;  Igor NGUEMA ALOMPIE ; Mmes : 
Bénédicte Sandy BOUKANGA EDO ; 
Jessica Giresse ZANG EBANG. 


Secrétaire particulière du Ministre : Mme Hélène Jacqueline OSSEY épouse EBANG ESSONO.

 

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE ET DE L’HYGIENE PUBLIQUE, DE LA DECENTRALISATION ET DU DEVELOPPEMENT LOCAL

CABINET DU MINISTRE DELEGUE

Directeur de cabinet : M. Fabien Omer NDIMINA-DABOU. 


Chef de cabinet : M. Alexis Alain Guy Godefroy FAUSTHER. 


Chargés d’études : MM. : Jean-Patrick OLELE NGOMA ; 
Glendy Charles ADIAHENOT DOWE ; 
Charles MANGOUBA, confirmé; 
Yannick Jocelyn ATENDE SOUNGOUYET TOLAKA, confirmé ; 
Mme Diane-Audrey MEHOUZA.

Secrétaire particulière du Ministre : Mme Paola AVANDJET HARB GOURVANE.

C’est ce qui ressort de l’Assemblée générale des employés de cette société pétrolière, tenue le 21 décembre dernier, indique la presse locale. Selon le procès-verbal référencé DP-SG-21/12/2016-007 du comité de négociations des employés de Shell, ce mouvement, poursuit la source, concernerait notamment, les employés des sites de Libreville, Toucan, Rabi, Koula, Port-Gentil et Gamba, qui auraient décidé, après discussions de rentrer en grève illimitée au plus tard dans une semaine.

La rumeur du départ de Shell après plus de 50 ans au Gabon sème le trouble chez les employés. Ainsi, face à cette inquiétude, un comité de négociations a été mis en place pour discuter avec la direction générale de l’entreprise. Après des journées de négociations, les parties ne sont pas tombées d’accord. Concernant les propositions de la direction générale qui n’ont pas été mentionnées dans le procès-verbal, l’assemblée s’est toutefois offusquée en les qualifiant de « dérisoires ».

De plus, l’entreprise pétrolière Shell a décidé de suspendre les négociations avec ses employés jusqu’à la signature du contrat entre Shell et le nouveau repreneur d’actifs. En effet, c’est la signature effective de ce contrat qui va légalement lier les deux parties et spécifier toutes les conditions de la transaction.

La signature va également sceller le sort des employés en ce sens que le nouveau repreneur pourra décider du nombre à transférer ou licencier, proposer des départs volontaires ou négociés, etc., chose que le comité n’aimerait pas voir arriver.

Voyant ce qu’ils qualifient de « mauvais jeu » de la direction générale, et les risques que ce contrat pourrait engendrer, les employés « ont estimé que l’absence de signature de contrat ne constituait point un élément bloquant les négociations » et ont par la suite « décidé d’aller en grève générale illimitée sur l’ensemble des sites de Shell-Gabon».

Synclair Owona

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