Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

La preuve de ces ambitions a été donnée la semaine dernière, lors de la tenue de la troisième édition de la Foire agricole de Libreville. Evénement au cours duquel, le ministère de l’Agriculture a mis en exergue l’énorme potentiel dont dispose le pays pour faire de l’agriculture, l’un des principaux moteurs de sa croissance économique.

Pour réussir cet énorme pari, lequel vise notamment à réduire d’un quart les importations alimentaires du pays par l’accroissement de la production agricole locale, à l’horizon 2020, le gouvernement a mis en œuvre, une nouvelle politique agricole.

Ce processus passe par l’encouragement des petits et moyens exploitants agricoles, ainsi que par le développement des coopératives agricoles. Cette nouvelle dynamique a été matérialisée par la récente Foire agricole de Libreville. Durant les trois jours de ce rendez-vous d’échanges agropastoraux, des prix et des médailles du mérite agricole ont été décernés à 25 coopératives et 24 exploitants agricoles individuels retenus par les neufs jurys provinciaux.

Pour soutenir ces ambitions, les nouvelles autorités en charge de l’agriculture entendent s’appuyer sur le projet GRAINE. Lequel a pour actions prioritaires, la création des plantations de bananes, de manioc, de piment, de tomate. L’aménagement dans trois provinces de nouvelles zones de production est également inscrit dans ce cahier de charges.

Synclair Owona

Dans un communiqué datant de ce 22 décembre, la Banque de l’Habitat du Gabon (BHG) invite ses débiteurs à solder leurs créances restées sans mouvement à ce jour. Faute de quoi, elle initiera des poursuites judiciaires à leur encontre près le tribunal de Libreville.

Les sommes réclamées par la BHG avoisinent 1,4 milliard de francs et sont détenues aussi bien par des entreprises que par des particuliers, indique Direct Infos Gabon.

Mise sous administration provisoire par la Commission bancaire d’Afrique centrale depuis le 10 novembre 2015, en raison de nombreuses difficultés financières, la Banque de l’Habitat du Gabon est depuis à la recherche de financements pour sa recapitalisation estimée à près de 72 milliards de francs.

Autre signe de méforme de cet institution financière, depuis le démarrage de ses activités, ses résultats sont déficitaires à l’exception du bénéfice dégagé en 2009 de 59 millions de francs CFA. Au 31 mai 2016, les pertes cumulées se chiffraient à 14,3 milliards de francs.

En août dernier, l’établissement a signé un accord de principe avec l’Africaine des Assurances S.A, numéro 1 du secteur au Bénin.

Pour sa restructuration ainsi que pour celles des deux autres banques publiques que sont la Postbank et la Banque gabonaise de développement (BGD) plongées dans la même situation, l’Etat mène actuellement des stratégies de sortie de crise, conduites par le ministre de l’Economie et de la Promotion des investissements.

Synclair Owona

Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, a félicité le nouveau champion du monde de boxe WBF dans la catégorie des lourds-légers, le Gabonais Taylor Mabika au cours d’une audience au palais présidentiel, le 21 décembre 2016 à Libreville.

Accompagné par Mme le ministre de la Jeunesse et des sports, Nicole Assélé, c’est avec fierté que le pugiliste est venu présenter au chef de l’Etat la ceinture gagnée le 17 décembre dernier face à l’ancien tenant du titre, le Franco-Algérien Zine Eddine Benmakhlouf au terme d’un combat de douze rounds. Ali Bongo Ondimba, passionné de sport et supporter du combattant, s’est dit satisfait de voir le Gabonais porter aussi haut les couleurs du Gabon dans sa discipline sportive.

Au lendemain de son sacre le 17 décembre, Taylor Mabika a émis le vœu que la tutelle règle définitivement le problème de son coach qu’il ne voit que par intermittence, faute de subvention conséquente. Le pugiliste gabonais doit remettre son titre en jeu dans 6 mois afin de gravir une à une, les marches qui mènent sur le toit du noble art mondial, respectivement dans les catégories WBC, WBO et WBA.

S.A

A l'ouverture de la table ronde sur l'Economie numérique organisée par le ministère en charge du secteur les 21 et 22 décembre 2016 à Libreville, le Premier ministre Emmanuel Issoze-Ngondet, a indiqué que « le gouvernement entend compter sur un relèvement significatif de la part du secteur de l’économie numérique dans le PIB national à partir de l’année prochaine ».

Aussi, le Premier ministre a exhorté les participants à ne ménager aucune réflexion pour explorer les opportunités qu’offre ce secteur. « Vous devez sortir de cette rencontre avec des recommandations pertinentes et audacieuses, à même d’impulser notre économie à partir du secteur qui est le vôtre. Nous parviendrons ainsi à créer un nombre important d’emplois, ce qui de toute évidence contribuera à la réduction du chômage des jeunes », a déclaré le Premier ministre.

Selon le chef du gouvernement, la formation apparaît comme une dimension fondamentale. Car, d’après lui, l’économie numérique est l’un de ces rares domaines scientifiques et techniques où tous les pays de la planète ont démarré presque tous au même moment, avec plus ou moins de réussite, que l’on soit au Sud ou au Nord.

La différence de progrès entre les nations s’est donc opérée essentiellement au niveau de la formation des ressources humaines. « La recherche de cohérence et d’harmonie dans ce domaine devrait amener le Gabon à jouer un rôle majeur dans la sous-région d’Afrique centrale en raison de l’hébergement du Point d’échange Internet, point de départ et avantage indéniable pour l’émergence des TIC. », a souhaité le Premier ministre.

Pour mémoire, l’Agence nationale des infrastructures numériques (Aninf) indique que l’économie numérique a généré au Gabon depuis 2011, près de 293 milliards de FCFA. De ce fait, estime l’Aninf, ce secteur contribue à 5% du PIB national.

Sylvain Andzongo

A l’arrêt depuis 2014, pour des raisons financières, le chantier de construction des 1000 logements de la cité 3 dorades de Port-Gentil va reprendre sous la conduite du Fonds gabonais d’investissement stratégique (FGIS) au détriment de la Société nationale immobilière (SNI).

La signature du protocole de transfert s’est déroulée le 20 décembre dernier entre les directeurs généraux de la SNI, Juste Valère Okologo, du FGIS, Thierry Mickoto, et du directeur général de l’entreprise adjudicataire EGCA, Mohamed Ben Ali, sous la présence du Vice-premier ministre, Bruno Ben Moubamba.

Près de 26 milliards de francs avaient déjà été investis sur ce chantier débuté en 2012, et abandonné en 2014 pour des tensions de trésorerie.

Au terme de cette signature, Thierry Mickoto a immédiatement donné la conduite à tenir pour la reprise de ce chantier en vue de son aboutissement. « Nous allons entrer en discussion et en négociation avec les responsables de EGCA pour que nous fassions ensemble l’économie de tout ce dossier ». Autrement dit, « Savoir quel est le montant que nous devons mettre sur la table pour que tous ces logements qui ont débuté, soient terminés et que les ventes s’effectuent tel que ça avait été prévu avec la SNI. L’entreprise adjudicataire devra débuter les travaux en fin janvier si tout va bien », a-t-il annoncé.

L’immense lotissement Dorade s’étend sur 800 000 m², et compte 827 villas, dont près de 300 déjà construites et 10 immeubles de trois étages abritant 140 appartements.

Synclair Owona

La cérémonie de signature de cet accord de siège décidé à l’occasion du sommet des chefs d’Etats de la Cémac de mai 2015 à Libreville, a été actée ce mardi 20 décembre, dans les locaux du ministère des Affaires étrangères, par le ministre gabonais des Affaires étrangères, Pacôme Moubelet Boubeya et le secrétaire permanent du Groupe d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique centrale (GABAC), Désiré Geoffroy Mbock.

Pour le ministre, Pacôme Moubelet Boubeya, «en acceptant d’héberger l’une des plus prestigieuse institution de notre sous-région, nous avons voulu partager avec l’ensemble des membres de la communauté d’Afrique centrale, un aspect de l’appartenance de notre pays à celle-ci, ainsi que notre ancrage aux buts et principes qui fondent le GABAC à savoir, la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement contre les produits de crimes et du terrorisme ainsi que la prolifération des armes.», a-t-il expliqué.

Né de la volonté des chefs d’Etat de la CEMAC d’inscrire la sous-région dans la dynamique internationale de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, le 14 Décembre 2000, le GABAC coordonne, dynamise et évalue les actions entreprises au sein des Etats dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

Mais si l’objet du groupe est la lutte acharnée contre le blanchiment d’argent, elle ne se concentre pas uniquement sur les méthodes illégales de transactions financières ou sur les moyens à travers lesquelles des tiers acquièrent des marchés. Le combat consiste également à suivre les différentes traces, ou sources de financements illégaux qui contribuent à faire émerger la criminalité transfrontalière. Car, le GABAC bien que circonscrit, s’inscrit dans la dynamique internationale de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.

Pour Désiré Geoffroy Mbock, « en Afrique et particulièrement en Afrique centrale, la contrebande et la corruption figurent au centre des préoccupations du moment et les actions pour y mettre un terme peinent à être efficaces. Réprimandées par les autorités de la sous-région, ces pratiques participent à alimenter des réseaux informels où les gains récoltés participent à renforcer les actions des groupements terroristes comme Boko Haram par l’achat d’armes ». D’où l’intérêt du groupe dont le travail consiste à faire des recommandations fortes à l’endroit des Etats membres en matière de bonne gouvernance. « Nous ferons du mieux de nos capacités pour être utile à la sous-région » a promis le secrétaire permanent, Désiré Geoffroy Mbock.

Synclair Owona

 

Le gouvernement gabonais a livré sa réponse aux propos du directeur général de la SEEG, Antoine Boo, parus dans la presse ce 21 décembre, faisant allusion des créances de l’Etat de l’ordre de 65 milliards de FCFA et celles des particuliers à hauteur de 60 milliards de FCFA, et qui selon lui, seraient la cause d’une crise que traverse la SEEG, pouvant entrainer des délestages et autres interruptions de services.

Le ministre d’Etat en charge de l’eau et de l’Energie, Guy-Bertrand Mapangou, a marqué son étonnement quant à ce nouveau mode de communication de la SEEG qui, pourtant, est un partenaire de l’Etat depuis bientôt 20 ans.  Pour les autorités gabonaises, depuis la signature du contrat entre les deux parties, les discussions se déroulent dans un cadre établit contractuellement. Et cela, «n’a souffert jusqu'à présent, d’aucune contestation des parties malgré les insuffisances relevées dans la qualité du service de la SEEG. », indique-t-on

A quelques mois du terme du contrat en cours, alors que toutes les parties sont en négociation et examinent l’ensemble des problématiques relatives à la délégation du service public d’eau et d’électricité, et donc de la dette de l’Etat vis-à-vis de la SEEG, le gouvernement déclare ne pas percevoir l’opportunité de cette sortie médiatique du DG de la SEEG. « Alors que ces négociations sont en passe d’aboutir à des solutions satisfaisantes et pérennes, le gouvernement s’interroge également quant à l’objectif poursuivi par Antoine Boo, en cette période post-électorale marquée par des incertitudes économiques liées à la conjoncture internationale ». Pour ce faire, le gouvernement annonce qu’il prendra les responsabilités et exigera des précisons du Groupe Véolia, suite à cette déclaration.

Synclair Owona   

 

DROIT DE RÉPONSE DU GOUVERNEMENT

À L’INTERVIEW DU DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA SEEG

Le gouvernement de la République Gabonaise a pris connaissance de l’interview du Directeur général de la SEEG, paru dans le quotidien L’Union du 20 décembre 2016. Dans cet article, la SEEG indique un niveau d’impayés de l’Etat de l’ordre de 65 milliards de francs CFA et de des arriérés des particuliers de 60 milliards de francs CFA. Cette situation serait la cause d’une crise que traverserait la SEEG et il serait envisageable que cette dernière mette la clé à la porte. Cette intervention a par la suite été relayée dans les médias internationaux. 

Aussi, le Gouvernement marque tout son étonnement quant au nouveau mode de communication de la SEEG qui est un partenaire de l’Etat depuis bientôt vingt ans. Depuis la signature du Contrat entre les deux parties, les discussions se font dans un cadre établi contractuellement. Et cela n’a souffert jusqu’à présent d’aucune contestation des parties.

L’opinion nationale et internationale peut reconnaitre :

-       la mauvaise fourniture de la de l’eau et de l’électricité notamment en terme de continuité sur toute l’étendue concédée à la SEEG :

-       la vétusté de nombreux ouvrages de production, de transport et de distribution de l’eau et de l’électricité ;

-       la mauvaise qualité de l’accueil des usagers dans les différentes agences de la SEEG ;

-       un logiciel de gestion de la clientèle qui ne satisfait nullement les clients qui se retrouvent avec des factures dont le montant évolue en dent de scie et toujours à la hausse ; etc.

Toutes ces insuffisances qui sont naturellement connues par la tutelle de la SEEG, sont examinées par les services techniques du Ministère de l’Eau et de l’Energie, de la Société de patrimoine du secteur, de l’Agence de régulation du secteur et de la SEEG dans un cadre défini contractuellement, sans que les divergences ne soient portées à l’attention de l’opinion nationale et internationale.

C’est dans ce cadre que l’Etat a notamment pris l’initiative de porter les investissements du secteur dans la mesure où la SEEG n’arrivait plus à répondre à la demande en eau et en électricité. Parmi les investissements, nous pouvons citer :

-       la centrale à gaz d’Alénakiri ;

-       la nouvelle centrale à gaz de Port-Gentil, qui fournit déjà près de 15 mW dans le réseau public ;

-       les travaux réalisés en milieu rural dans le domaine de la production et de la distribution d’eau potable et d’électricité ;

-       les travaux de la canalisation DN 1000 entre PK9 et le PK6 ;

-       les travaux de la canalisation DN 1000 entre PK6 et le Camp de Gaulle ;

-       les travaux du réservoir du PK9 de 7.5000 m3 ;

-       les travaux de la canalisation DN 1200 entre Ntoum et Libreville ;

-       les travaux de sécurisation du réseau de transport d’énergie de Libreville ; etc.

Toutes ces actions ont été menées en concertation entre l’Etat et l’actionnaire majoritaire de la SEEG (Véolia) sans que cela ne remette en cause le partenariat en cours, les parties ayant toujours pour objectif principal la préservation du service public.

A quelques mois du terme du contrat en cours, alors que toutes les parties sont en négociation et examinent l’ensemble des problématiques relatifs à la délégation du service public d’eau et d’électricité, et donc de la dette de l’Etat vis-à-vis de la SEEG, l’Etat ne perçoit pas l’opportunité de l’interview du Directeur général de la SEEG à L’Union.

Cet article remettrait elle en cause le Protocole d’Accord portant sur les négociations signé par la SEEG et l’Etat, alors que nous sommes en passe d’aboutir à des solutions satisfaisantes et pérennes ?

Quel est l’objectif poursuivi par le Directeur général de la SEEG en cette période postélectorale marquée par des incertitudes économiques liées à la conjoncture internationale ?

Le Gouvernement prendra ses responsabilités et exigera des précisions du groupe Veolia suite à la déclaration du Directeur général de la SEEG.

 Le Ministre d’État, Ministre de l’Eau et de l’Énergie
               Guy Bertrand MAPANGOU

 

Le 16 décembre 2016 a marqué la deuxième phase du programme de scolarisation et d'accompagnement des enfants défavorisés au Cameroun, notamment dans la ville de Douala.

Financé par la Fondation BGFIBank, en partenariat avec l'association Women of Africa (WOA), ce sont plus de 350 enfants orphelins et enfants vulnérables qui ont bénéficiés de ce programme lancé en 2015.

Le financement additionnel alloué à ce programme au titre de la rentrée académique 2016-2017 par la Fondation, a permis à 200 élèves supplémentaires de poursuivre une scolarité normale et complète, à travers notamment la fourniture des kits scolaires, des bourses scolaires, de l'équipement des établissements concernés en table-bancs, de l'aménagement des espaces ludiques et de l'organisation des activités extra scolaires.

Ce partenariat qui constitue pour la Fondation une initiative majeure en faveur de l'éducation des enfants, a pour objectif de lutter contre la déperdition et l’abandon scolaires au Cameroun, notamment dans les bidonvilles de Ndogsimbi, Ndogpassi, Logbaba II et Bilonguè à Douala, d'une part en s’attaquant aux obstacles financiers qui les empêchent de se rendre à l'école et, d'autre part, en aidant à renforcer la qualité de l'enseignement par la formation des enseignants.

Le Comité de politique monétaire (CPM) de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) a tenu sa quatrième réunion ordinaire le mardi 20 décembre à Yaoundé (Cameroun), au cours de laquelle le CPM a indiqué que la croissance de la Communauté économique des Etats de la Cemac (Cemac) va se situer à 1,0% en 2016, un taux en baisse comparé au 1,7% annoncé en octobre et au 1,8% prévu en juillet 2016.

« Au niveau sous-régional, le CPM a noté une décélération de la croissance, plus prononcée qu’initialement prévu, en liaison avec les effets dépressifs de la morosité du secteur pétrolier sur la demande intérieure et sur le secteur non pétrolier », a expliqué Lucas Abaga Nchama.

Le CPM a par ailleurs relevé une reprise des pressions inflationnistes, avec un taux d’inflation se situant au niveau de la norme communautaire de 3,0%, la persistance du déficit budgétaire à 7,9%, un repli du déficit extérieur courant et une situation monétaire qui se solderait par un taux de couverture extérieure de la monnaie d’environ 50%.

Tenant compte de ces analyses, le Comité de la Beac a décidé de maintenir inchangé le taux d’intérêt des appels d’offres (2,45%). Idem pour ce qui concerne les taux d’intérêt sur placements des banques (0,00%). Le principal taux directeur de la Beac reste inchangé à 2,45% pour des raisons de stabilité monétaire et financière.

S.A

Les chiffres publiés par la filiale gabonaise de la singapourienne Olam en cette fin d’année sont prometteurs. Outre le volet de l’emploi où la société se positionne désormais comme l’un des plus grands employeurs du pays, la firme a également rencontré un réel succès.

Dans le secteur du palmier à huile, de l’hévéaculture et des cultures vivrières, Olam a développé respectivement 58 000, 12 000 et 1110 hectares de surfaces cultivées. La masse salariale pour ces activités s’est élevée à plus de 86 milliards FCFA, pour les 31 000 employés recensés par la société depuis son implantation dans le pays. Soit 7,4 % des 1163 milliards FCFA, des prévisions allouées durant toute la durée du projet.

Toujours dans le cadre de l’agriculture l’entreprise est également partie prenante dans le programme GRAINE qui a déjà, à ce jour, engagé 15 704 personnes à travers 775 coopératives agricoles.

Dans le volet social, l’entreprise a développé ses activités en tenant compte des besoins des populations des zones impactées pas ses projets. Près de 51 villages ont pu bénéficier de la responsabilité sociétale d’Olam Gabon. Dans ce cadre, la société revendique la construction de  7 dispensaires, 100 pompes hydrauliques, 19 écoles dotées de 160 tables-bancs et 3000 kits scolaires, 21 logements pour instituteurs et infirmiers, 1500 lampadaires de rue et 900 panneaux solaires individuels.

A ces investissements s’ajoutent également la réhabilitation et la création de 251 kilomètres de routes rurales. La firme envisage d’en construire 3000 kilomètres dans les années à venir.

Pour les autorités gabonaises, le partenariat avec la filiale singapourienne Olam est multiforme et porteur à plus d’un titre. Surtout dans le secteur agricole qui a été placé au centre de la stratégie de diversification de l’économie.

Synclair Owona

 

 

Pour nous contacter: c o n t a c t [@] lenouveaugabon . c o m

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