Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

La Caisse des dépôts et consignation (CDC) du Gabon va se lancer dans le Mobile Banking au cours de l’année 2023. Dans un communiqué rendu public le 23 novembre, l’organisme annonce qu’elle procède à l’amélioration de ses services en ligne en mettant à disposition un nouvel outil dénommé « Carthago Online Banking ». À cet effet, les clients de la Caisse ayant déjà souscrit à ce service recevront un lien qui les aidera à réinitialiser leur mot de passe sur la nouvelle plateforme.

« Notre service commercial se tient à votre disposition pour vous accompagner, soit dans la transition, soit dans la souscription, pour vous permettre une prise en charge de vos opérations. Cette refonte de grande envergure, tant dans le contenu que le visuel, reflète la volonté de notre institution à offrir à sa clientèle un service de qualité. Dans ce prolongement, nous mettrons à votre disposition à partir du mois de janvier 2023, une application “Mobile Banking” qui sera disponible sur toutes les plateformes de téléchargement en ligne », déclare la CDC.

La CDC du Gabon est une institution financière, créée sous la forme d’un établissement public à caractère industriel et commercial par l’ordonnance n° 024/ PR/2010 du 12 août 2010. La stratégie d’intervention de la Caisse est de se positionner sur les secteurs identifiés comme porteurs et prioritaires, notamment le logement et les TPE/PME/PMI d’une part. Puis d’assurer la gestion des mandats confiés par l’État dans les domaines tels que les infrastructures sociales, énergie, d’autre part. 

Sur le marché du Mobile Banking, la CDC va devoir affronter des concurrents de la banque classique comme UBA, BGFIBank, Ecobank, etc. Le « mobile banking » ou « finance mobile », à mi-chemin entre le numérique et la banque, est un moyen de paiement en plein essor au Gabon. Grâce au support d’une très large couverture téléphonique, le marché de la finance mobile s’est ainsi développé au Gabon de manière extrêmement rapide au bénéfice des populations éloignées, des commerçants et des salariés.

S.A.

Le nouveau cadre de partenariat pays (CPF) du Gabon pour la période 2023-2027 avec la Banque mondiale a été au centre des discussions le 22 novembre 2022 au cours du conseil des administrateurs du Groupe, informe l’institution de Bretton Woods.

Ce nouveau cadre vise à soutenir la transition du pays vers une croissance économique durable et inclusive après la pandémie de la Covid-19. Notamment les efforts du Gabon en faveur de la création d’emplois, dans un contexte où le pays multiplie des actions pour diversifier son économie vers des secteurs autres que l’industrie pétrolière. En effet, selon la Banque mondiale, les restrictions imposées durant la pandémie ont aggravé le taux chômage déjà élevé, qui se situe actuellement à 22 %, avec un taux de chômage encore plus important pour les jeunes, à 38 %.

Les autres secteurs dans lesquels l’institution va concentrer son appui au Gabon au cours de cette période sont notamment ceux qui permettront de renforcer le système de prestation des services publics, accroître l’accès aux services sociaux, renforcer la résilience des infrastructures urbaines, augmenter l’investissement privé dans les secteurs non pétroliers. Dans ce dernier cas par exemple, la Banque mondiale et ses filiales comptent promouvoir les emplois bleus et verts dans des secteurs essentiels comme la pêche, la foresterie et l’écotourisme. Cela passe par un soutien renouvelé au projet hydroélectrique de Kinguele Aval, et par la modernisation du réseau ferré Transgabonais.

« Le Gabon peut tirer parti de son immense potentiel de croissance dans les domaines de la foresterie, de l’écotourisme, de l’énergie verte et de l’agro-industrie pour stimuler son développement. Le secteur privé à un rôle clé à jouer pour aider à diversifier l’économie gabonaise en créant plus d’emplois et d’opportunités pour sa population, » a commenté Sylain Kakou, responsable des opérations de la Société financière internationale (IFC) pour le Gabon, le Cameroun, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine, Sao Tomé-et-Principe et le Tchad. L’institution financière précise qu’elle sera « très sélective dans son engagement au Gabon, afin d’optimiser l’efficacité des ressources du Groupe allouées au pays ».

Les appuis de la Banque mondiale au titre de ce nouveau cadre de partenariat permettront d'accroître ses ressources déjà allouées au Gabon. À noter que le portefeuille projet de la Banque mondiale au Gabon est estimé à plus de 445 milliards de FCFA.

SG

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Une délégation d’acteurs du secteur minier gabonais conduite par le ministre des Mines, prend part depuis le 21 novembre dernier à la 43e édition de Québec mines énergie. Composée de la Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog), du Conseil national du Plan d'accélération de la transformation (CNPAT), de la Société équatoriale des Mines (SEM),… cette délégation compte « promouvoir la destination Gabon et son concept du Minier responsable », indique le ministre des Mines Elvis Ossindji.

Le but étant d’inciter les hommes d’affaires canadiens à investir dans le secteur minier gabonais. Un secteur riche en manganèse, en fer, en or. Le sous-sol gabonais renferme aussi des métaux comme le niobium, des terres rares, de l’uranium, du cuivre, du zinc, etc. Autant de ressources naturelles, dont plusieurs demeurent encore sous-exploitées, voire inexploitées.

Le congrès Québec mines énergies est un rendez-vous annuel ayant pour objectif de promouvoir le potentiel minéral du Québec dans une perspective de développement durable et responsable. C’est un lieu de rencontres et d’échanges qui regroupe les principaux acteurs du monde minier et énergétique venant du milieu de la recherche et de l’enseignement et des secteurs scientifique, économique et industriel, ainsi que des représentants de communautés locales et autochtones. Cette 43e édition du congrès Québec mines énergies s’achève le 24 novembre 2022.

SG

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La Société commerciale gabonaise de réassurance (SCG-Ré) vient de publier l’information selon laquelle, elle est « honorée » d'être le premier signataire de la « Déclaration de Nairobi » sur l'assurance durable dans la région CIMA (Bénin, Burkina, Cameroun, Centrafrique, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Mali, Niger, Sénégal, Tchad et Togo). Ladite « Déclaration » adoptée le 22 avril 2021 promeut, entre autres, « l’insurtech » (solutions d'assurance fondées sur la nature) pour les ménages, les entreprises et les gouvernements afin de construire des villes et des communautés résilientes ainsi que des systèmes alimentaires et agricoles durables.

« Les filiales du Fonds gabonais d'investissements stratégiques (FGIS), dont SCG-Ré, s'engagent à inscrire la préservation de l'environnement, la prise en compte des enjeux ESG et la réduction de l'empreinte carbone dans leur ADN, à travers des politiques RSE adaptées et l'adoption des principes de l'Assurance Durable (P.S.I). Nous sommes en effet alignés sur les points d'action de la Déclaration de Nairobi sur l'assurance durable et partageons les objectifs qui y sont énoncés », déclare la société.

Elle s’engage à tout mettre en œuvre pour qu'au Gabon et dans la région CIMA, les entreprises du secteur de l'assurance adhèrent à cette Déclaration, compte tenu du rôle crucial que les assureurs et réassureurs doivent jouer dans la dynamique du développement durable en Afrique. La SCG-Ré encourage par la même occasion les compagnies d'assurance et de réassurance africaines à rejoindre cette initiative bénéfique pour un avenir commun. En tant que filiale du FGIS, SCG-Ré s'inscrit dans la politique de l'État gabonais et du président de la République, Ali Bongo Ondimba, leader mondial africain de la préservation de l'environnement et du développement durable.

S.A.

Le Gabon envisage de construire une nouvelle voie ferrée pour relier le site minier de Belinga à Port-Gentil, la capitale économique du pays. Selon nos confrères de l’Union, le tracé de cette ligne ferroviaire qui permettra d’évacuer le minerai de fer a déjà été identifié. Ce chemin de fer qui partira de Port-Gentil traversera les localités de Makokou, Ovan, Koumameyong, Lalara, Ndjolé et Lambaréné.

D’après le ministère des Travaux publics et des Infrastructures, le corridor retenu a le double avantage de désenclaver les localités citées supra et de créer une liaison directe entre Libreville et le chef-lieu de la province du Moyen-Ogooué. L’autre avantage se situe au niveau du nouveau segment Ndjolé-Port-Gentil, qui offrira la possibilité à d’autres trains minéraliers et opérateurs miniers d’évacuer leurs productions par le port de Port-Gentil.

Ce projet a été présenté le 21 novembre 2022 par le ministre gabonais des Travaux publics, de l’Équipement et des Infrastructures, Toussain Nkouma Emane au Haut-commissaire de Grande-Bretagne au Gabon, Dr Christian Dennys-McClure et à Ahmed Al Zaabi du groupe émirati Trojan. C’était au cours d’une réunion de présentation des projets prioritaires pour lesquels le Gabon recherche des financements.

Découvert en 1955, le gisement de fer de Belinga couvre une superficie de 4500 km2 avec des réserves estimées à 1 milliard de tonnes pour une teneur d’environ 65 %. La phase d’exploration a été officiellement lancée le 16 octobre dernier à Makokou par L’Australienne Fortescue Metals Group. Cette phase qui va nécessiter un investissement de 90 millions $ (environ 58,8 milliards de FCFA) va durer trois ans.

Brice Gotoa

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Le ministre de la Communication Pascal Houangni Ambouroue a eu une séance de travail ce 22 novembre 2022 avec Youness Ali et Serge Curtis Apendo, respectivement directeur administratif et financier, et directeur marketing de l’entreprise Satcon.

« Les échanges ont essentiellement porté sur la problématique liée au piratage de certaines chaînes de télévision. Le ministre a tenu à rappeler ses hôtes à leur responsabilité et au respect strict des textes en vigueur en matière de droits de diffusion », indique le ministère de la Communication.

Cette séance de travail intervient après la mise en garde faite le 14 novembre dernier par l’opérateur beIN Media Group à Satcon contre la diffusion de la coupe du monde 2022 qui a débuté au Qatar depuis quelques jours.

En effet, l’opérateur Satcon a plusieurs fois été accusé par beING, ainsi que le groupe Canal+ et d’autres opérateurs de diffuser de manière frauduleuse les chaînes de leur bouquet. Et suite à une plainte de ces opérateurs, Satcon avait été condamnée le 10 mai 2021, par la Haute autorité de la communication (HAC), à payer une amende de 20 millions de FCFA pour violation de la loi gabonaise sur le droit d’auteur et les droits voisins.

SG

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L’association JA Gabon vient de lancer à Franceville, la sélection des startups en quête de renforcement des capacités dans les secteurs de « Cleantch » (produits ou les services ayant une valeur ajoutée environnementale et qui s’accompagne d’une réduction systématique de la toxicité ou des déchets) et « Agritech » (mélange savoir-faire agricole et de la puissance d’innovation technologique).

« L’appel à candidatures concerne le programme de pré-incubation startup 1 qui vise à renforcer les capacités et l’attractivité des projets à capter un financement via un programme d’accompagnement spécifique d’une durée de quatre mois. Pendant cette période, des appuis multiformes sont proposés par l’intervention d’experts, de coaches, de facilitateurs et de mentors afin de donner toutes les chances aux porteurs de projets de décrocher un financement », explique JA Gabon.

Les critères d’éligibilité sont : avoir un projet à développer ou une idée innovante ; être Gabonais et résider à Franceville ; avoir un âge compris entre 18 et 35 ans (obligatoire uniquement pour le porteur de projet) ; avoir un niveau d’étude terminal au minimum et en fin d’études (justificatif à fournir) ; être disposé à consacrer au moins 80 % de son temps pour le projet pendant 4 mois. Les candidatures sont attendues au plus tard le 12 décembre 2022.

L’apport de JA Gabon vaut son pesant d’or. Car, pour les banques au Gabon, les projets des startups constituent des investissements à risque, avec un taux d’échec particulièrement élevé dans les projets d’innovation. Raison pour laquelle le programme de JA Gabon apporte son expertise pour que les startups puissent présenter des projets bancables. Ainsi, elles pourront contribuer au projet du chef de l’État qui a promis lors du sommet « TransformAfrica » de Kigali en 2013 de faire du Gabon la référence continentale de l’économie numérique.

S.A.

Pour renforcer ses exportations vers les États-Unis, le Gabon a mis en place une stratégie nationale de l’African Growth and Opportunity Act (AGOA) 2022-2025. Cette stratégie présentée le 22 novembre 2022 à Libreville est évaluée à 13 milliards de FCFA.

« Le financement de cette stratégie passera par les partenaires financiers multilatéraux et bilatéraux et bien entendu par des financements directs de ressources de l’État. Le coût de cette stratégie est estimé pour la période 2022-2025 à environ 13 milliards de FCFA et les activités programmées chaque année devront faire l’objet d’ajustements et de programmation en cas de nécessité permettant ainsi d’accroître les exportations vers les États-Unis d’Amérique le Gabon », a affirmé le ministre du Commerce, Yves Fernand Manfoumbi (photo).

Le Gabon veut à travers cette stratégie, tirer un meilleur profit des échanges avec les États-Unis avant la fin de l’AGOA fixée en 2025. L’AGOA est entrée en vigueur en 2000 pour 15 ans, puis prorogée en 2015 pour 10 ans jusqu’en 2025. C’est une loi américaine qui permet aux pays de l’Afrique subsaharienne d’exporter plus de 6400 produits sur le marché américain en franchise totale des droits de douane sans limites de quota.

Les exportations du Gabon vers les États-Unis sont principalement constituées des combustibles fossiles, des minerais, scories et cendres (manganèse), le caoutchouc, le bois et les produits du bois et les objets d’art et antiquités.

SG

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Au cours d’une rencontre avec le ministre de la Santé, Guy Patrick Obiang Ndong, le 22 novembre à Libreville, la Fédération des entreprises du Gabon (FEG) à apporter un démenti à la rumeur selon laquelle, elle aurait procédé à la privatisation de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), actuellement sous administration provisoire.

« Contrairement aux allégations mensongères diffusées dans une certaine presse faisant état de la privatisation de la CNSS par la FEG, le Conseiller stratégique du président a formellement démenti cette fausse information qui est, selon lui, l’œuvre des personnes mal intentionnées. Face à la situation qui prévaut à la CNSS, les responsables de la FEG ont exprimé tout leur soutien et leur compassion à l’agent auditrice de cette institution qui a été violenté dans l’exercice de ses missions. Ils ont condamné avec la dernière énergie cet acte jugé odieux et inacceptable », apprend-on.

Dans le but de sauver la CNSS, apprend-on, le ministre a invité la FEG à s’impliquer dans le processus de réforme des Organismes de protection sociale (OPS) en cours. Cette implication passe par l’intégration des membres de la FEG au sein du Comité de surveillance et de contrôle des organismes de protection sociale institué le 30 juin 2022 par décret du président de la République ainsi que de l’administration provisoire de la CNSS. Il s’agit notamment des comités techniques en charge des réformes paramétriques, de la restructuration de la dette bancaire, de la réforme organisationnelle et maîtrise des charges et de l’Audit et fiabilisation du système informatique.

Pour le ministre de la Santé, cela permettra « une meilleure coordination du processus de réforme engagée au niveau des organismes de protection sociale et ainsi répondre aux instructions du président de la République […] Ali Bongo Ondimba et surtout aux attentes des populations qui doivent à court et moyen termes, ressentir les effets des réformes ».

Au cours de la dernière assemblée générale de la FEG, le 10 octobre dernier, le président Henri-Claude Oyima avait émis le vœu de voir la gestion de la CNSS, être confiée au secteur privé gabonais. Aujourd’hui, la principale organisation patronale du pays promet d’apporter son soutien au programme de restructuration en cours par sa totale collaboration. La CNSS a été placée sous administration provisoire pour une période de 12 mois, le 7 juin dernier, après plusieurs mois de crise.

S.A.

Le groupe américain Concentric by Ginko est intéressé par le marché gabonais de la biosécurité, selon ce qui ressort d’une audience accordée ce 22 novembre à Libreville, à Tim Lyden, Vice- président de cette firme, par le ministre de la Santé, Guy Patrick Obiang Ndong.

« Convaincu de ce que l’avenir de la recherche médicale est dans la relation homme-animal, le ministre s’est montré très intéressé par l’offre du groupe américain qui s’inscrit dans un esprit de partenariat gagnant-gagnant offrant ainsi la possibilité d’un transfert de compétence avec l’arrivée en terre gabonaise, des laborantins américains pour des travaux de recherche », apprend-on. Au cours de la rencontre, le groupe américain s’est présenté comme une firme collaborant déjà avec le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC) et certains pays du continent.

Si sa proposition d’opérer au Gabon prospère, Concentric by Ginko va trouver sur place le dispositif local d’analyse de microorganisme notamment à travers les laboratoires P4 (Cirmf) et P3 (Carmel). Mais il y a de place sur ce marché gabonais, car, selon le ministre Guy Patrick Obiang Ndong, le pays ambitionne d’être un hub en matière de biosécurité. Ce qui permettra au Gabon de mettre en place des stratégies de prévention des risques biologiques, notamment ceux liés au développement des biotechnologies (génie génétique, cultures transgéniques, OGM…).

Pour l’heure, le Gabon a encore mal à sa biosécurité. Le pays figure dans la liste noire des pays interdits d’exporter certains fruits (mangues, papayes, goyaves, poivrons, aubergines, tomates) vers l’Union européenne (UE). Selon l’Agence gabonaise de sécurité alimentaire (Agasa), « la présence du Gabon sur cette liste restrictive se justifie par le fait que certains organismes nuisibles de quarantaine identifiés par la Commission de l’Union européenne sont également sur notre territoire ». Mais l’Agence précise que même si ces organismes nuisibles sont sur son territoire, elle n’exporte pas encore de fruits sur le marché européen. Car, le Gabon est un pays qui est encore sur la voie de l’autosuffisance alimentaire en matière vivrière.

S.A.

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