Le Président Ali Bongo Ondimba prend part à Londres, la capitale du Royaume-Uni ce 17 octobre 2022 à la cérémonie de la levée du drapeau gabonais, symbolisant l’appartenance et l’adhésion officielle du pays au Commonwealth. Ce cérémonial est la consécration de l’adhésion du Gabon à cette organisation intergouvernementale le 24 juin dernier.
Selon le ministre gabonais des Affaires étrangères, Michael Moussa Adamou, c’est une cérémonie importante et symbolique qui complète l’admission du Gabon au Commonwealth. « L’appartenance du Gabon à cette grande famille de 56 États, de plus de 2,5 milliards de populations, nous ouvre une opportunité incroyable dans un pays large et vaste avec l’accès à un marché économique énorme », a déclaré Michael Moussa Adamou. D’après le membre du gouvernement, « le Commonwealth c’est aussi 500 universités à travers le monde. C’est tout un monde qui s’ouvre à nous, un monde d’opportunité pour le Gabon et pour la jeunesse gabonaise », a-t-il ajouté.
Pour la communication présidentielle, « l’adhésion du Gabon au sein de cette grande famille confortera indéniablement sa position diplomatique, déjà forte et audible sur la scène internationale et lui permettra de poursuivre sa politique de diversification de ses partenaires », apprend-on. Le pays devrait adopter l’anglais comme deuxième langue officielle et ainsi devenir une nation bilingue à l’image du Rwanda et du Cameroun qui sont à la fois membres de la Francophonie et du Commonwealth.
Brice Gotoa
Lire aussi :
Filière bois : un accord pour accroître les investissements du Commonwealth au Gabon
L’Arcep est désormais membre de l’Organisation des télécommunications du Commonwealth
La hausse générale des prix des billets d’avions depuis plus d’un an suscite des interrogations chez les passagers gabonais qui accusent les compagnies aériennes comme Afrijet de fixer arbitrairement les prix et d’entretenir la spéculation. Notamment sur les lignes internes. Dans une interview accordée au quotidien l’Union, Marc Gaffajoli (photo), administrateur directeur général de la compagnie gabonaise, explique les raisons de cette hausse, notamment sur le marché domestique, qui ne dépend pas de l’opérateur, mais du contexte économique actuel.
« Nous sommes en effet, comme tous les acteurs économiques, confrontés à une inflation galopante chez nos fournisseurs: les pièces détachées aéronautiques ont augmenté de 7 à 10%, les coûts logistiques pour les acheminer ont explosé, la parité FCFA / dollar US a généré une augmentation de 20% de nos loyers avion et le prix du kérosène a doublé entre janvier et juillet 2022 », a-t-il expliqué.
Aussi, les taxes et redevances ont « augmenté significativement » ces dernières années. Par exemple pour financer le projet d’aérogare de Libreville, il explique que 13120 FCFA en termes de taxes ont augmenté sur le réseau domestique et 52 478 FCFA sur le réseau régional en aller-retour.
À l’en croire, « si toutes ces augmentations étaient reflétées dans nos prix (la part transporteur), croyez bien qu’ils seraient nettement plus hauts », poursuit-il.
Par ailleurs, Marc Gaffajoli se dit prêt à baisser la part du transporteur sur les billets d’avion, si « la part des redevances et taxes baisse, en particulier la TVA (Taxe à la valeur ajoutée) ».
Pour plusieurs Gabonais, c’est l’absence de concurrence sur les lignes internes qui pousse la compagnie Afrijet de fixer des prix élevés. Par exemple, sur Libreville–Port-Gentil, dont le temps de vol est d'environ 35 minutes pour une distance d'environ 150 km, certains billets sont parfois commercialisés en aller simple à 135 400 FCFA (billet du 24 octobre 2022 par exemple), voire plus. Même s’il faut reconnaitre que depuis plus d'un an, Afrijet propose pour cette même ligne, des billets à 49 900FCFA en aller simple. « Sur un billet de 49 900 FCFA entre Port-Gentil et Libreville, la part transporteur est de 8896 FCFA …Comment survivre s’il n’y avait pas des passagers pour payer sur certains créneaux horaires 120 000 ou 150 000 CFA TTC », affirme-t-il. Tout de même, il se dit ouvert à la concurrence notamment sur les vols internes. « Nous rêvons de concurrence pour pouvoir fixer les prix non pas en fonction de ce débat, mais de la réalité de nos coûts », a-t-il affirmé.
Afrijet est une compagnie 100% gabonaise, qui, d’après son administrateur directeur général, ne bénéficie d’aucun soutien financier de l’État gabonais. La compagnie dessert plusieurs lignes en interne ainsi que plusieurs pays de l’Afrique centrale et le Bénin.
SG
Lire aussi:
Transport : Le Gabonais Afrijet porte sa flotte à 6 avions avec l’acquisition d’un nouvel ATR 72-600
Sécurité aérienne : la compagnie gabonaise Afrijet renouvelle sa certification IOSA pour deux années
Pour l’année 2023, le Gabon espère produire 1,7 million de m3 de bois débité (coupé en morceaux), indique le projet de loi de finances 2023. Ce qui consacre une hausse projetée de 7 % par rapport à la production de l’année 2021. Année au cours de laquelle, le Gabon avait produit 1,57 million m3 de bois débité.
Cette hausse comme l’indique le Document de cadrage macroéconomique et budgétaire pour la période 2023-2025, pourrait résulter des différentes mesures mises en place par le gouvernement gabonais pour l’industrialisation du secteur. Notamment des mesures pour l’accélération de la politique visant la transition de l’activité vers la 2e et la 3e transformation ainsi que la promotion de la 3e et 4e transformation de bois.
Ce qui permettrait d'accroître la production du bois débité dans la zone économique spéciale de Nkok ainsi qu’au sein des nouvelles Zones d’investissement spécial (ZIS).
Cette tendance à la hausse de la production du bois débité entamée ces dernières années devrait se poursuivre au cours des prochaines années, selon les projections du gouvernement. Avec notamment, une production projetée de 1,8 millions de m3 en 2024, contre 2,08 millions de m3 en 2025.
SG
Lire aussi:
Industrie du bois : la société AEH projette d’investir 20 milliards de FCFA en 5 ans au Gabon
Léon Armel Bounda Balonzi (photo), l’ancien ministre des Travaux publics débarqué il y a quelques semaines, à la suite de la dissolution de ce ministère, vient d’être nommé comme président du conseil d’administration du Fonds autonome national d’entretien routier (Faner). L’information est contenue dans le communiqué final du conseil des ministres tenu le 13 octobre 2022 à Libreville.
Il remplace à ce poste Toussaint Nkouma Emana. Celui-là même qui depuis le 12 octobre 2022, l’a remplacé à la tête du ministère des Travaux publics. Ce ministère avait été dissous le 12 septembre dernier par le président de la République pour résultats non satisfaisants.
Comme président du conseil d’administration du Faner, Léon Armel Bounda Balonzi, travaillera sous la tutelle le ministère des Travaux publics, et devra se servir de son expérience dans le secteur des transports et des travaux publics. Avec la direction générale du Fonds, il devra également travailler à la mise en place d’un mécanisme de financement « fiable et pérenne », garantissant une disponibilité immédiate des ressources et un paiement « rapide et régulier » des entreprises engagées dans l’entretien routier.
Avant sa nomination comme ministre des Travaux publics en 2020, Léon Armel Bounda Balonzi a occupé le strapontin de ministre des Transports et celui de directeur général du Laboratoire national du bâtiment et des Travaux publics du Gabon.
Le Faner est un établissement public créé en 2020 avec pour mission d’administrer les ressources et exécuter les dépenses relatives à l’entretien du patrimoine routier national qui compte près de 10 000 km de routes principales dont seulement 1 630 km sont bitumés.
SG
Lire aussi:
Ali Bongo réhabilite le ministère des Travaux publics après une dissolution
Le Gabon veut augmenter de 25 % son réseau routier bitumé d’ici 2025
Entretien routier : Léon Armel Bounda Balonzi veut mettre fin à « la dictature de l’urgence »
Secteur routier: Nkouma Emane le nouveau PCA du Faner prend fonction
Gabon : le gouvernement acte la création du Fonds autonome national d’entretien routier (FANER)
Selon les informations de la présidence gabonaise, à l’occasion d’une audience avec Jonathan Peter Marland, président du Conseil des entreprises et de l’investissement du Commonwealth, le 13 octobre à Libreville, le chef de l’État Ali Bongo Ondimba a signé « un accord de partenariat stratégique » pour accroître les investissements du Commonwealth dans la filière locale du bois.
« Tout en félicitant le président de la République pour l’adhésion du Gabon au sein de la grande famille du Commonwealth, monsieur Jonathan Peter Marland a exprimé sa satisfaction de pouvoir collaborer avec le Gabon et le Congo dans les domaines porteurs pour sa population et au bénéfice du Commonwealth en général », apprend-on.
Le Gabon ouvre ainsi la voie à un nouveau partenariat qui permettra de doper la filière bois. Car, ce Conseil des entreprises est une institution dotée d’un mandat octroyé par la Conférence des chefs d’État et de gouvernement du Commonwealth pour faciliter et soutenir le développement du commerce et de l’investissement dans les pays membres de l’organisation.
Le Gabon a rejoint le 24 juin 2022, le Commonwealth, une organisation intergouvernementale composée de 54 pays membres dont l’anglais est la langue commune. En rejoignant cette nouvelle entité, le pays a ainsi pris l’option de diversifier ses partenaires politiques, mais aussi économiques. La filière bois étant en plein essor dans le pays, une organisation comme le Commonwealth pourrait apporter un effet levier à la filière.
S.A.
Au conseil des ministres tenu le 13 octobre 2022 à Libreville, le gouvernement a entériné un projet de décret qui désigne le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) comme mandataire « exclusif » chargé de la commercialisation des crédits carbone appartenant à la République gabonaise.
À ce titre, le mandataire FGIS est notamment chargé, entre autres, sur le territoire national ou à l’étranger : de négocier et conclure les prix de vente des crédits carbone conformément aux règles et pratiques en vigueur, de pourvoir à l’exécution des conventions résultant de ces négociations, de constituer un portefeuille documentaire à l’exercice de sa mission.
Selon le communiqué final du conseil des ministres, le FGIS devra aussi recourir à toute expertise requise, mettre en place toute structure d’appui à l’exercice de sa mission, percevoir les ressources issues de la commercialisation des crédits carbone et les reverser conformément aux dispositions en vigueur, rémunérer tous les intervenants, prestataires ou experts mobilisés dans l’exécution de sa mission.
Dans le cadre de l’exécution dudit mandat, « le suivi est assuré conjointement par le ministre en charge de l’Économie et le ministre en charge de l’Environnement », indique le communiqué final.
Le Gabon séquestre annuellement l’équivalent de 140 mille tonnes de carbone, alors qu’il n’en émet que 35 mille. Ainsi, fort d’une différence de plus de 100 mille tonnes de carbone chaque année, le Gabon peut vendre son crédit carbone aux entreprises qui en ont besoin. Le pays vient d’être certifié au crédit carbone de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (Ccnucc) sur la période 2010-2018.
Brice Gotoa
Lire aussi:
Green Business: l’État gabonais confie la gestion des crédits carbone au FGIS
La Corée du Sud envisage d’investir dans les secteurs agricole et minier gabonais. C’est ce qui ressort de l’audience accordée par le ministre gabonais de la Promotion des investissements, Hugues Mbadinga Madiya au vice-ministre coréen des Affaires économiques, Seong Deok Yun, le 11 octobre 2022.
« Nous avons parlé des questions bilatérales avec monsieur le ministre, en particulier nous nous sommes focalisés sur deux zones : l’agriculture et le secteur minier gabonais. Ce sont les domaines sur lesquels nous souhaitons focaliser notre coopération », a déclaré Seong Deok Yun.
Pour Hugues Mbadinga Madiya, le gouvernement mène une politique de substitution des importations. Le Gabon doit s’autonomiser par rapport aux importations et la Corée par le passé, a eu à mettre en œuvre ce type de politique publique. « Nous avons échangé sur la possibilité d’attirer des investisseurs coréens pour investir au niveau du Gabon afin de faciliter la production et la transformation agricoles. Nous avons également abordé les questions liées aux mines », a expliqué le membre du gouvernement avant d’ajouter. « Récemment, nous avons eu à signer avec la partie coréenne une convention de non double imposition entre les deux pays. Ce qui a pour vocation de rassurer les investisseurs ».
La coopération entre le Gabon et la Corée du Sud date de 1962 et aujourd’hui, il est question de renforcer celle-ci notamment dans le domaine économique.
Brice Gotoa
Au cours du conseil des ministres de ce 13 octobre 2022, le gouvernement a validé un projet de budget qui s’équilibre en ressources et en charges à 3 602,3 milliards de FCFA contre 3 295,6 milliards de FCFA en 2022. Soit une hausse de 306,7 milliards de FCFA (9,3 %) résultant principalement des mesures prises afin d’augmenter les recettes fiscales.
Les prévisions gouvernementales tablent sur des recettes budgétaires (hors recettes affectées au tiers) de 2 345,2 milliards de FCFA, contre 2 239,4 milliards de FCFA arrêtés dans la loi de finances rectificative. Ce qui représente une hausse de 105,8 milliards de FCFA, résultant essentiellement de l’accroissement du niveau des recettes fiscales.
Les ressources de trésorerie et de financement quant à elles se chiffreraient à 1 152,9 milliards de FCFA contre 960,1 milliards de FCFA en 2022, en hausse de 192,8 milliards de FCFA.
Concernant les dépenses budgétaires, elles sont évaluées à 2 124,5 milliards de FCFA contre 2 102,2 milliards de FCFA dans la loi de finances rectificative de 2022. Soit une augmentation de 22,3 milliards de FCFA, imputable principalement aux charges financières de la dette.
Ce budget devrait permettre de financer notamment, les actions et projets contenus dans le plan d’accélération de la transformation de l’économie gabonaise. À ce titre, le projet de loi de finances 2023 vise un taux de croissance de 3,1 % ainsi que « l’optimisation de la mobilisation des recettes à travers l’élargissement de l’assiette fiscale, la digitalisation des services et la suppression des exonérations d’impôts, droits et taxes non-autorisés par la loi », indique le gouvernement. Il vise aussi l’amélioration de l’offre dans les secteurs de l’éducation, de la formation professionnelle, de la santé, de l’eau et de l’énergie, et la poursuite des efforts visant à développer les infrastructures routières.
Ce projet de budget qui va être transmis au parlement pour adoption, intègre aussi l’organisation des échéances électorales à venir ainsi que les recommandations issues du débat d’orientation budgétaire de juin 2022.
Sandrine Gaingne
Lire aussi :
Le 13 octobre 2022, sous la Très Haute Présidence de Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’État, le Conseil des Ministres s’est réuni dès 10 h dans la salle habituelle au Palais de la Présidence de la République.
L’ouverture des travaux a été marquée par les vives félicitations du Conseil des Ministres au Président de la République, Chef de l’État, pour son engagement constant à faire entendre la voix de notre pays dans le concert des Nations.
En effet, prenant part à New York à l’Assemblée générale des Nations Unies dont le débat général s’est ouvert le mardi 20 septembre 2022, le Chef de l’État, dans son allocution de circonstance, a lancé un appel au multilatéralisme et au dialogue, seule voie possible de sortie des crises auxquelles le monde fait face.
En marge de cette rencontre au Sommet, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA s’est entretenu avec ses homologues du Niger et de la Serbie ainsi qu’avec le Ministre d’État des Émirats Arabes Unis.
Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres s’est réjoui de la certification du Gabon au crédit carbone, fruit des efforts déployés depuis plusieurs années par le Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, dans la protection du climat et de la biodiversité.
Cette certification, issue de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements climatiques (CCNUCC), constitue un tournant majeur pour l’économie de notre pays, lequel va désormais tirer une partie de ses ressources de la protection de son couvert forestier.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LÉGISLATIFS ET RÈGLEMENTAIRES
Le Conseil des Ministres a délibéré sur les Affaires suivantes :
MINISTÈRE DU BUDGET ET DES COMPTES PUBLICS
– Projet de loi de finances initiale 2023
Le projet de loi de finances initiale 2023 prend en compte les actions et projets du Plan d’Accélération de la Transformation (PAT) notamment l’Emploi des jeunes, l’Éducation, la Formation professionnelle, la Route et la Santé.
Ce projet intègre également les obligations constitutionnelles à savoir le Recensement général de la population, l’organisation des échéances électorales à venir ainsi que les recommandations issues du débat d’orientation budgétaire de juin 2022.
À ce titre, le projet de loi de finances initiale 2023 vise notamment :
Les principales hypothèses sur lesquelles repose le cadrage macroéconomique et budgétaire 2023 sont arrêtées comme suit :
▪ une production pétrolière à 10,9 millions de tonnes métriques, en hausse de 3,1 % ; ▪ un prix du baril de pétrole gabonais de 75 dollars US en baisse de 26 % ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 4 sur 64
▪ une production de manganèse à 10,9 millions de tonnes, en progression de 9,5 % ;
▪ un prix de vente du manganèse à 161,1 dollars la tonne, en augmentation de 2,7 % ;
▪ une production de bois débité de 1,7 million de m3, en hausse de 7,4 % ;
▪ un taux de change du dollar américain de 594 FCFA en baisse de 2,2 %.
Le projet de budget de l’État est équilibré en Ressources et en Charges à 3 602,3 milliards de FCFA contre 3 295,6 milliards de FCFA, soit une hausse de 306,7 milliards de FCFA résultant principalement des mesures prises afin d’augmenter les recettes fiscales.
Les recettes budgétaires, hors recettes affectées au tiers, seraient évaluées à 2 345,2 milliards de FCFA contre 2 239,4 milliards de FCFA arrêtés dans la loi de finances rectificative, soit une hausse de 105,8 milliards de FCFA, résultant essentiellement de l’accroissement du niveau des recettes fiscales.
Les ressources de trésorerie et de financement se chiffreraient à 1 152,9 milliards de FCFA contre 960,1 milliards de FCFA en 2022, soit une hausse de 192,8 milliards de FCFA.
En ce qui concerne les dépenses budgétaires, elles sont évaluées à 2 124,5 milliards de FCFA contre 2 102,2 milliards de FCFA dans la loi de finances rectificative 2022, soit une augmentation de 22,3 milliards de FCFA, imputable principalement aux charges financières de la dette.
Ces dépenses, hors CAS, se répartissent ainsi qu’il suit :
– Les charges financières de la dette qui s’établissent à 357 milliards de FCFA contre 330,1 milliards de FCFA dans la loi de finances rectificative 2022, soit une hausse de 26,9 milliards de FCFA liée aux engagements envers le marché financier ;
– Les dépenses de fonctionnement qui se chiffrent à 1 241,4 milliards de FCFA contre 1 247,2 milliards de FCFA dans la loi de finances rectificative 2022, soit une baisse de 5,8 milliards de FCFA ;
– Les dépenses d’investissement s’établissent à 297,6 milliards de FCFA contre un niveau de 325,7 milliards de FCFA ;
– Les autres dépenses, portant notamment sur le contentieux de l’État et les plans sociaux, sont prévues à 47,9 milliards de FCFA.
Enfin, les charges de trésorerie et de financement se chiffreraient à 1.373,6 milliards de FCFA contre 1 097,2 milliards de FCFA en 2022, soit une hausse de 276,4 milliards de FCFA consécutive à l’émission de titres publics sur les marchés financiers dans le cadre de la réalisation des opérations de gestion active de la dette.
– Projet de loi de règlement gestion 2020
Pour ce qui est du projet de loi de règlement relatif à la gestion 2020, le budget a été exécuté dans un contexte particulier aussi bien au niveau national que sur le plan international.
En effet, l’activité économique mondiale s’est caractérisée en 2020 par une décélération consécutive aux crises financière et sanitaire ainsi qu’au recul de la consommation, l’économie mondiale connaissant une récession.
Dans ce contexte, la production mondiale a chuté de 3,1 % contre +2,9 % un an plus tôt.
Au niveau national, le PIB réel a régressé sous l’effet de la pandémie. De même l’économie nationale a enregistré une récession de -1,8 % contre une croissance de +3,9 % à fin 2019.
Ainsi, l’exécution du budget en 2020 se caractérise de la manière suivante :
– les recettes budgétaires perçues se sont établies à 1 468,4 milliards de FCFA contre 1 388,8 milliards de FCFA prévues, soit un taux de recouvrement de 106,1 % ;
– quant aux dépenses, elles ont été exécutées à hauteur de 1 799,3 milliards de FCFA contre une prévision de 1 787,5 milliards de FCFA, soit un taux d’exécution de 101 % ;
– les comptes d’affectation spéciale en recettes et en dépenses, exécutées respectivement à 176,6 milliards de FCFA et 119,5 milliards de FCFA, font apparaitre un solde excédentaire de 57,1 milliards de FCFA.
Au total, l’exécution des opérations budgétaires, qui tient compte des opérations du budget général et des comptes d’affectation spéciale, s’est soldée par un déficit de 273,8 milliards de FCFA contre un déficit prévisionnel de 398,7 milliards de FCFA, soit un écart positif de 124,9 milliards de FCFA.
De même, l’exécution des opérations de trésorerie et de financement s’est soldée par un excédent de cinq cent soixante-dix milliards trois cent quatre-vingt-sept millions deux cent vingt-deux mille six cent quatre-vingt-dix-huit (570.387.222.698) FCFA.
MINISTÈRE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES ET LES AUTORITÉS ADMINISTRATIVES INDÉPENDANTES
– Projet de décret complétant le décret n° 0256/PR/MCRIC du 28 avril 2015 portant création et organisation de la Direction générale des Relations avec les Institutions Constitutionnelles non Parlementaires
Le présent projet de texte vise à compléter les dispositions du décret susmentionné, afin de prendre en compte la mission de suivi et de traitement des dossiers relevant des Autorités Administratives Indépendantes.
À ce titre, ledit projet de décret est renforcé au Chapitre 2 par une nouvelle sous-section, la Section 3, qui prévoit que la Direction des Relations avec les Autorités Administratives Indépendantes est désormais chargée de :
– Faciliter et suivre les relations entre le Gouvernement et les Autorités Administratives Indépendantes ;
– Traiter les avis des Autorités Administratives Indépendantes ;
– Suivre les relations entre les Autorités Administratives Indépendantes ;
– Porter les textes initiés par les Autorités Administratives Indépendantes.
Aussi, pour son fonctionnement, la Direction des Relations avec les Autorités Administratives Indépendantes comprend-t-elle :
– Le Service Relations avec les Autorités à caractères Economique et Financier ;
– Le Service Relations avec les Autorités chargées de la Protection des libertés ;
– Le Service Relations avec les autres autorités de régulation.
MINISTÈRE DES EAUX, DES FORETS, DE LA MER, DE L’ENVIRONNEMENT, CHARGE DU PLAN CLIMAT ET DU PLAN D’AFFECTATION DES TERRES
– Projet de décret portant désignation de l’organisme chargé de la commercialisation des crédits carbone de la République Gabonaise
Le présent projet de décret, pris en application des dispositions de l’article 20 de la loi n° 002/2014 du 1er août 2014 portant orientation du développement durable en République Gabonaise, désigne l’organisme chargé de la commercialisation des crédits carbone de la République Gabonaise.
Par l’effet dudit décret, le Fonds Gabonais d’Investissements Stratégiques, en abrégé « FGIS », est désigné mandataire exclusif chargé de la commercialisation des crédits carbone appartenant à la République Gabonaise.
À ce titre, le mandataire FGIS est notamment chargé, entre autres, sur le territoire national ou à l’étranger :
– de négocier et conclure les prix de vente des crédits carbone, conformément aux règles et pratiques en vigueur ;
– de pourvoir à l’exécution des conventions résultant de ces négociations ;
– de constituer un portefeuille documentaire à l’exercice de sa mission ;
– de recourir à toute expertise requise ;
– de mettre en place toute structure d’appui à l’exercice de sa mission ;
– de percevoir les ressources issues de la commercialisation des crédits carbone et de les reverser conformément aux dispositions en vigueur ;
– de rémunérer tous les intervenants, prestataires ou experts mobilisés dans l’exécution de sa mission.
Dans le cadre de l’exécution dudit mandat, le suivi est assuré conjointement par le Ministre en charge de l’Economie et le Ministre en charge de l’Environnement.
MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DU TRANSFERT DES TECHNOLOGIES, DE LA CULTURE ET DES ARTS
– Projet de loi portant création de l’Université Numérique du Gabon.
Le présent projet de loi, pris en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, porte création dans le secteur de l’éducation d’un établissement d’enseignement supérieur dénommé
Université Numérique du Gabon en abrégé « UNG ».
L’Université Numérique du Gabon est un établissement public à caractère scientifique, d’enseignement supérieur, doté de la personnalité juridique et de l’autonomie financière. Sa mission est d’assurer la formation numérique initiale et continue à distance.
À ce titre, l’Université Numérique du Gabon est chargée, entre autres, de :
– développer et vulgariser la digitalisation des enseignements dans le système éducatif gabonais ;
– accompagner les établissements d’enseignement supérieur et de recherche dans le développement des offres de formation en ligne, notamment dans la production des ressources pédagogiques numériques ;
– promouvoir la culture de l’entrepreneuriat et de l’innovation numérique.
Aussi, l’UNG ambitionne-t-elle d’implanter des espaces numériques ouverts dans les capitales provinciales comme pôles académiques régionaux dédiés à l’enseignement universitaire bimodal, à savoir enseignement en distanciel et en présentiel.
Pour son fonctionnement, l’UNG comprend :
– le Conseil d’Administration ;
– le Conseil d’Université ;
– le Conseil Rectoral ;
– le Conseil Scientifique et Pédagogique ; – le Conseil de la Vie étudiante ;
– l’Agence Comptable.
EN MATIÈRE DE POLITIQUE GÉNÉRALE
MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DU TRANSFERT DES TECHNOLOGIES, DE LA CULTURE ET DES ARTS
Le Conseil des Ministres a pris acte de la communication relative à la soirée de remise de prix aux artistes.
En effet, dans le cadre de la recherche de programmes visant à relancer les activités culturelles, le Ministère en charge de la Culture et des Arts envisage l’organisation d’une soirée dénommée « La Nuit du Talent ».
Cette manifestation qui verra la participation de toutes les corporations artistiques, permettra de récompenser et encourager quarante (40) créateurs des œuvres de l’esprit qui se sont distingués avant et pendant la période Covid-19.
MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES AFFAIRES SOCIALES
Le Conseil des Ministres a pris acte de la communication relative à l’organisation de la campagne nationale Octobre Rose édition 2022 dédiée à l’intensification des actions de de sensibilisation, de dépistage et de prise en charge thérapeutique des cancers féminins.
La 9e édition ayant pour thématique « A vos marques, prêtes, dépistez ! » est axée sur la prévention primaire, conformément aux objectifs stratégiques déclinés dans le Plan National de Lutte Contre le Cancer. Il s’agit, d’une part, de promouvoir l’adoption des mesures hygiéno diététiques telles que la nutrition saine, et la pratique d’une activité sportive régulière, et d’autre part, d’initier la précampagne de communication sur l’introduction des vaccinations y relatives.
Aussi, est-il à noter, dans tous les secteurs d’activité, une forte adhésion et mobilisation des femmes.
AU TITRE DES MISSIONS-SÉMINAIRES-CONFÉRENCES
Au terme de la présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a marqué son accord pour l’organisation du 11e Conseil des Ministres du Commerce de la Zone de Libre Échange Continentale Africaine (ZLECAF) à Libreville du 25 au 28 octobre 2022.
La présente session fait suite à l’absence de consensus sur la validation des protocoles lors de 10e réunion du Conseil des Ministres du Commerce de la ZLECAF tenue à Accra au Ghana du 07 au 08 octobre 2022.
Ainsi, ladite session a pour objectif, entre autres, de conclure les protocoles relatifs à la phase II de la mise en œuvre de l’Accord portant création de la Zone de Libre Échange Continentale Africaine, notamment le Protocole sur la Concurrence, le Protocole sur les Investissements et le Protocole sur les Droits de Propriété Intellectuelle.
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE SECRÉTARIAT GÉNÉRALE
– Conseiller Spécial, Chargé de Mission du Président de la République : M. Lanata MOUSSOUNDA.
– Conseillers du Président de la République : MM. :
– Attaché de Cabinet à la Présidence de la République : M. Joël MBELE ASSEKO.
HAUT COMMISSARIAT DE LA RÉPUBLIQUE
CABINET DU HAUT COMMISSAIRE GÉNÉRAL DE LA RÉPUBLIQUE
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Marie Andrée BLERALD.
CABINET DU HAUT COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE ÉRIC DODO BOUNGUENDZA
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Helene Brigitte NDAMOU.
CABINET DU HAUT COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE JEAN EYEGHE NDONG
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Georgette NGOMA.
CABINET DU HAUT COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE ZÉPHIRIN RAYITA
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mlle Aimée Clélia ADIMET OUSSOMBIE.
CABINET DU HAUT COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE LEON NZOUBA
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Charlène MOUSSOUMA MBOMBE.
CABINET DU HAUT COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE FLAVIEN NZENGUI NZOUNDOU
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Régina KOMBA épouse MOUELE.
CABINET DU HAUT COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE RAPHAEL NTOUTOUME NKOGHE
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Théophiline ONGANGA PIREVOULA.
CABINET DU COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE ROSE ALLOGO MENGARA
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : M. Eric OWONO NGOU.
CABINET DU COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE FERNAND PAULIN JOUMAS DIT-SALAMBA
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Diane Marcelle EBAYI épouse NDONG.
CABINET DU COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE PIERRE NGOUA OBIANG
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Désirée Luce Melissa NTSAME ABIAGA.
CABINET DU COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE CARLOS OKINDA
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Brigitte MEUYO.
CABINET DU COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE SIMPLICE DESIRE MAMBOULA
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : M. Jean Claude Béranger DJEME.
CABINET DU COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE MAXIME ONDIMBA
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Odette MBANG NDONG.
CABINET DU COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE JOSEPHINE ANDEME MANFOUMBI
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Annie Mathieu MINDZIE MEGNE.
CABINET DU COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE FREDERIC MASSAVALA MABOUMBA
– Secrétaire de Cabinet du Président de la République : Mme Marie Francine KOMBA.
MINISTÈRE DE L’ÉNERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES
CABINET DU MINISTRE DÉLÉGUÉ
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Corile Tania MADJINOU NGANDJI, en remplacement de Valery BILEMBI KOUMBA épouse NGOMO.
– Chargé de Missions : M. Dominique BOUROUBOU-MAMBOUNDOU en remplacement Corile Tania MADJINOU NGANDJI.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 25 sur 64
Aide de Camp : Brigadier de Police Vianey Wiley MIHINDOU en remplacement de l’Adjudant de Gendarmerie Evrard Davy BOUSSAMBA remis à son corps d’origine
CONSEIL NATIONAL DE L’EAU ET DE L’ÉLECTRICITÉ
– Directeur Technique : M. Wilfried MOUSSOUMI.
MINISTÈRE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES ET LES AUTORITÉS ADMINISTRATIVES INDÉPENDANTES
HAUTE AUTORITÉ DE LA COMMUNICATION (HAC)
– Conseiller Membre : M. Max-Olivier OBAME NDONG, en remplacement de Mme Lucie AKALANE.
MINISTÈRE DE L’INDUSTRIE
AGENCE GABONAISE DE NORMALISATION (AGANOR)
– Directeur Administratif et Financier : Mme Carine Nadia MOUTSINGA BOUKOMEY.
MINISTÈRE DE LA PROMOTION DE LA BONNE GOUVERNANCE ET DE LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION
CABINET DU MINISTRE
– Conseiller en charge des Relations avec les Partenaires au Développement : M. Marcellin NZIENGUI.
– Chargé d’Études : M. Gilchrist MESSA ONDO.
SECRETARIAT GENERAL
DIRECTION CENTRALE DES RESSOURCES HUMAINES
– Chef de Service Formation et Parcours Professionnel : Mme Blandine BAKASSA BOLA BOLA ;
– Chef de Service Acte de Gestion du Personnel : Mme Lydie BOUKANDOU MBADINGA ;
– Chef de Service Documentation et Archives : M. Mesmin Franck TOUCKOU MAYOMBO.
DIRECTION CENTRALE DES ARCHIVES ET DE LA DOCUMENTATION
– Chef de Service des Archives : Mme Axelle Elsa OKOUMA NTSILI ;
– Chef de Service de la Bibliothèque : M. Alain Serge MOUPINGA ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 28 sur 64
– Chef de Service de la Documentation : M. Norbert ESSONO.
DIRECTION CENTRALE DE LA COMMUNICATION
– Chef de Service Analyse des Médias : M. Anicet MOUYALOU.
DIRECTION CENTRALE DES AFFAIRES JURIDIQUES
– Directeur Central : M. Bruxe Novich AYOBOLO MANGOUNGOU SERRE.
DIRECTION CENTRALE DES STATISTIQUES ET DES ÉTUDES
– Directeur Central Adjoint : M. Dany’s Déonos NGOMO ;
– Chef de Service Production : M. Sylver NGOKET.
– Chef de Service Diffusion et Archivage : Mme Glwadis NTSAME NKOUME.
DIRECTION GÉNÉRALE DE LA PROMOTION DE LA BONNE GOUVERNANCE
– Directeur général : Mme Anasthasie OBONO MBA.
– Chef de Service Ressources et Moyens : M. Martial MOUKAGNI MOUELE.
DIRECTION DE LA PROMOTION DE LA BONNE GOUVERNANCE
– Directeur : M. Fabrice NKILI NDEMEZO’O ;
– Directeur Adjoint : Mme Agnès MEKAMANE.
DIRECTION GÉNÉRALE DE LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION
– Directeur général : M. Hervé ESSIMBA ;
– Directeur Général Adjoint : M. Mathurin MEYE ME NDONG ;
– Chef de Service Planification et Programmation des équipements : M. José ATOUBA.
– Chef de Service Accueil, Courrier, Archives et Documentation : Mme Béatrice KWETEVIE épouse MVE BIBANG.
DIRECTION DE LA SENSIBILISATION
– Directeur : M. Lionel Prisc EVOUE OBAME ;
– Directeur Adjoint : Mme Solange NTSAME NKOGO.
DIRECTION DE LA STRATEGIE ET DE LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 31 sur 64
– Chef de Service Conception de la Stratégie de Lutte contre la Corruption : M. Prosper DJIMBI MAKOSSO.
DIRECTION GÉNÉRALE DE L’EVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES
– Chef de Service Administratif Financier et Juridique : M. Romaric Ulrich ESSONO.
DIRECTION DE L’EVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES
– Chef de Service Evaluations : M. Marc Henri MAYOMBO.
DIRECTION DU SUIVI ET DE LA MISE EN OEUVE DES POLITIQUES PUBLIQUES
– Chef de Service Documentation et Gestion des Données : M. Auguste Fanchel NTOTO MBOUITY.
INSPECTION GÉNÉRALE
– Inspecteurs :
MINISTÈRE DE LA DÉCENTRALISATION, DE LA COHESION ET DU DEPARTEMENT DES TERRITOIRES
CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : M. Jea EYENE BEKALE, en remplacement de Monsieur Pierre MBENG EYENE appelé à d’autres fonctions ;
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme. Cécile Carine ANGUE NZE ;
– Secrétaire de Cabinet : Mme. Dorine Olivia EYANG MBA ;
– Conseiller Technique, de la Stratégie Nationale de Cohésion et de Territoires : M. Parfait NSA ENDAMNE ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 33 sur 64
– Agent de Sécurité : Sous-brigadier Merick Guyvens OYELE, en remplacement de Monsieur Firmin Roger MENDOU MVE admis en stage.
SECRETARIAT GENERAL
– Inspecteur Général Adjoint : M. Jean Pierre ETOUGUE MBA ;
– Secrétaire Particulière du Secrétaire général : Mme. Emmanuelle DAVIDAS SAFOU, en remplacement de Mme Valérie Sandra MAKAGA ESSONGUE ;
INSPECTION GÉNÉRALE DES SERVICES
– Inspecteur Général des Services : Mme. Marie Thérèse NGUEMA EDZANG épouse OBIANG ;
– Inspecteur Général Adjoint des Services : M. Kevin Ulrich LEKONGO KIANA ;
INSPECTEURS DE SERVICE :
– M. Thierry ELLA ONDO ;
– Mme. Fabienne MOCKOLO épouse NGALENDE ;
– M. Ghislain YOU ;
– M. Jean Noel KOUMB.
SECRÉTARIAT PERMANENT COMPTE TECHNIQUE DE LA DÉCENTRALISATION
– Secrétariat Permanent : M. YONGUI MEDOUX.
MINISTÈRE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, CHARGE DES DROITS DE L’HOMMES ET DE L’ÉGALITÉ DE GENRES
CENTRE DE PROTECTION ET DE PROMOTION SOCIALE POUR LA PRISE EN CHARGE DES FEMMES VICTIMES DE VIOLENCE DE NZENG-AYONG
– Directeur : Mme BETTY Orlane ABAGHE MESSI.
MINISTÈRE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL
– Secrétaire général : M. Jean Rodrigue BE NKOGHO BE ;
– Secrétaire général Adjoint : M. Joseph Landry DZEMBO.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 36 sur 64
DIRECTION GÉNÉRALE DE L’INSERTION ET DE LA REINSERTION
– Directeur général : Mme Flora DIABA.
DIRECTION GÉNÉRALE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE
– Directeur général : M. Lambert NDOMBI.
CENTRE MULTISECTORIEL DE FORMATION ET D’ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL DE NTCHENGUE
– Chargés d’Études :
– Chef de Service Administrateur et Comptabilité : M. Brice Landry OWONDO.
– Chef de Service Admission et Orientation : Mme Brigitte ANDEME ONDO.
– Chef de Service Documentation et Information : M. Jered Osée MABIKA.
– Chef de Service Formation Initiale : M. Valentin MBA NDONG.
– Chef de Service Formation Continue : M. Vincent LECKE.
CENTRE BTP-BOIS
– Directeur : M. Jean Félicien BADJYENDA.
– Chargés d’Études :
– Chef de Service Administratif et Comptabilité : M. BOULINGUI AZOBETI.
– Chef de Service Admission et Orientation : M. Brice Jocelyn NYAMA.
– Chef de Service Documentation et Information : Mme Linda Liliane ISSANGA. –
– Chef de Service Formation Initiale : Mme Ursula RETOUANO épouse MOUNDJIEGOUT.
– Chef de Service Formation Continue : Mme Marlyne ISSANGA MATOUMBA.
– Chef de Service Hébergement Restauration : M. Bertrand BOUAMBONDO TERI.
CENTRE TIC
– Directeur : M. Sylvestre MOMBO.
– Chargés d’Études :
– Chef de Service Administrateur et Comptabilité : Mme Amélia ILAMA MAMBOUNDOU.
– Chef de Service Admission et Orientation : Mme Valentine BILOLA.
– Chef de Service Documentation et Information : M. Stéphane EDOU NZE.
– Chef de Service Formation Initiale : M. Léonard BIYOGHE.
– Chef de Service Formation Continue : M. Serge KOUMBA MOUIRI.
MINISTÈRE DE L’ECONOMIE ET DE LA RELANCE
DIRECTION NATIONALE DES ASSURANCES
-Secrétaire Particulière du Directeur National : Mme Chantal Alexandrie AGBO.
Chargés d’études :
Mmes :
– Blanche AKONE MINKO,
-Murielle Sandra MBENG ONGOUA ANDEME.
-M. Elie Frédy MBADINGA.
DIRECTION DU CONTRÔLE DES SOCIÉTÉS D’ASSURANCE
– Directeur du Contrôle des Sociétés d’Assurance : M. Constantin Narcisse NGARI.
BRIGADES DE CONTRÔLE DES SOCIÉTÉS
– Chef de Brigade des Sociétés Vie : M. Brice Alain OYONO NDONG ;
– Chef de Brigade des Sociétés non Vie : M. Stevie Cherile KOUMBA.
DIRECTION DU CONTRÔLE DES INTERMÉDIAIRES ET EXPERTS TECHNIQUES D’ASSURANCE
– Directeur du contrôle des intermédiaires et experts techniques : Mme Michel Julie ANDEME OWONO.
BRIGADES DE CONTRÔLE DES INTERMÉDIAIRES
– Chef de Brigade du Contrôle des Courtiers : Mme. Marcia ALOUBA NTIGANTSIA ;
– Chef de Brigade des Autres intermédiaires et Experts Techniques : Mme Yvette Florence KOUMA épse BOUNGOU –TSOUMOU.
DIRECTION DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX
– Directeur de la Législation et du Contentieux : Mme Chantal KUMBA MOMBO épse ANGOUE.
CHEFS DE SERVICES
– Chef de Service Contentieux : Mme Georgette OYANE OBAME ;
– Chef de Service Réglementation : Mme Clarisse KOUONGA MIKINOU épse GUIYELIGOU ;
– Chef de Service Coopération : M. Emmanuel NZIENGUI ;
– Chef de Service Courrier Archives et Documentation : Mme Anytha Flore OLLOLO.
– Chef de Service Ressources Humaines et Moyens : Mme Ambroisine Guémaelle Sidonie AMBOUROUET.
– Chef de Service Système d’Informations, Études et Statistiques : M. Bertin NGUIA LEBANGUI.
MINISTÈRE DU COMMERCE, DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES
CABINET DU MINISTRE
– Chef du Protocole : Mme Angélina ZONG EYANG, en remplaçant de Monsieur Dan Verdier MOUSSAVOU POTOTOU.
SECRETARIAT GENERAL
DIRECTION GENERALE DU COMMERCE
– Chargé d’Études : M. Thierry NKOLO AKENDENGUE
DIRECTION DU COMMERCE INTÉRIEUR
– Directeur : Mme Laetitia Sandra ZENG.
– Directeur Adjoint : M. Edgard Playa ZOMO NDONG
– Chef de Service Commerce Intérieur : M. Cédric NGUEMAH NGUEMAH.
DIRECTION DES INSPECTIONS ET DU CONTENTIEUX
– Directeur : Mme Nathalie Huguette KOUMBA, confirmée.
– Directeur Adjoint : Mme Marina NYINGONE.
DIRECTION DU COMMERCE EXTERIEUR
– Directeur : Mme Horpy Chancia OBONE ASSOUMOU, confirmée.
– Directeur Adjoint : Mme Elvire KOMBA YEMBA.
SERVICE TERRITORIAUX
DIRECTION PROVINCIALE DU MOYEN OGOOUÉ :
– Directeur : M. Wulfran Gaël REMBENDAMBYA AVANDJO.
DIRECTION PROVINCIALE DE LA NYANGA – Directeur : M. Andru Lug ONTSAGA. Confirmé
DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUÉ IVINDO
– Directeur : M. Charles Arnaud MINTSA MI ONGONE
DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUÉ LOLO
– Directeur : M. Achille IGNANGA.
DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUÉ MARITIME
– Directeur : M. Gildas EKOMIE NDZONG.
DIRECTION PROVINCIALE DU WOLEU NTEM
– Directeur : M. Rodrigue MOUANDA.
DIRECTION GÉNÉRALE DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES
– Directeur général Adjoint : M. Nathanaël NGUEMA MINTSA.
– Chargée d’Études du Directeur général : Mme Rachel NKIYEME épouse MEYE ME NDONG.
– Directeur de la Promotion et Incitations : M. Lilian Armand Simon AKUE.
– Directeur Adjoint de la Promotion et Incitations : M. Jean Jocelyn NKOGHE MBA.
– Directeur de la Micro-Entreprise : Mme Mylarise Carole MABICKA BOUSSOUGOU.
– Directeur Adjoint de la Micro-Entreprise : Mme Clémence Vivette NZAMBA IKOUMA.
– Directeur du Développement des PME : Mme Inès Liady DICKA MBOYI.
– Directeur Adjoint du Développement des PME : M. Charlie NZIENGUI VICA.
DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ARTISANAT ET DU DEVELOPPEMENT DES SERVICES
– Directeur général : M. NZATSI MOUSSAVOU.
– Directeur Général Adjoint : Mme Annick Murielle MADJIDZA BIGNOUMBA. Confirmée
– Directeur de l’orientation et de l’Assistance à l’Artisanat : M. Germain ENDENG OLE
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 48 sur 64
– Directeur de l’Encadrement et du Renforcement des Capacités : Mme. Suzy Dorel MATOUMBA MATOUMBA
– Directeur du Développement des Services : Mme. Rosalie ASSA épouse OLAGOT AKANDA.
DIRECTION GÉNÉRALE DE LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ
– Directeur général : M. Roger MOULOUNGUI
– Directeur général Adjoint : M. Davy MOUTSOUETADY. Confirmé
– Directeur des Stratégies de Réduction de la Pauvreté : M. Guy- Serge BOUSSOUGOU.
– Directeur des Études, des Diagnostics et des Statistiques : M. Saturnin ABOGHE.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 49 sur 64
– Directeur des Stratégies de réduction de la Pauvreté : Mme Arielle MENGUE M’OBAME.
– Directeur de la sensibilisation et de la formation : M. Anicet MBOUMBA.
– Directeur de l’évaluation et du Suivi : M. Freid Delanay
DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ECONOMIE SOCIALE
– Directeur général : Mme Diane Glwadys BIMBOUNDZA née MBADINGA
– Directeur Général Adjoint : M. Joe Francis DEMBA. Confirmé
– Directeur du Développement des Organisations de l’Economie Sociale : M. Mathurin BOUSSENGUE MBEMBO.
– Directeur de l’Encadrement des Acteurs de l’Economie Sociale : Mme Nadia Briselle MAPAGHA LITSILIMA épouse KOUAMBA.
– Directeur des Études, Vulgarisation et Documentation : M. Martial ENGO EBOZOGHE.
– Directeur de la Prospective, Information et Modernisation : M. Simon Stéphane ELLA NGUEMA.
MINISTÈRE DU PÉTROLE ET DU GAZ
DIRECTION GÉNÉRALE DES ÉTUDES ET LABORATOIRES
– Directeur général : Mme Elise MAPEMBA MOULAKOU épouse BOUDIALA.
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE ET DE L’INSTRUCTION CIVIQUE
PROVINCE DE L’ESTUAIRE
LYCÉE PUBLIC DE BIKÉLÉ
– Censeur chargé de la Pédagogie II : M. ABOGHE MEBIAME AMADOU
LYCÉE TECHNIQUE DE BIKÉLÉ
– Surveillant général : Mme. Marie-Louise MBOUMBA.
– Surveillant général Adjoint : Mme. Marie Edwige ABENDANG NKIZOGHE.
COMPLEXE SCOLAIRE DE BIKÉLÉ
– Surveillant général : Mme. Alda Fernande MAKITA TSINGA.
LYCÉE SPÉCIFIQUE A EFFECTIF RÉDUIT DIBA-DIBA
LYCÉE JEAN-BAPTISTE OBIANG ETOU GHE
– Surveillant général Adjoint 1 : Mme Roquise MENGUE EVINI.
– Censeur chargé de la Pédagogie II : M. NGOMA Serge.
LYCÉE MARCELLIN NDONG BIE (KANGO)
– Surveillant général : Mme Caroline NGUETSA.
CES Georges MABIGNATH
– Surveillant général Adjoint 4 : Mme Edith NGOLY
CES d’OWENDO
– Surveillant Adjoint 1 : M. Léo ONDO MESSI – Intendant : Mme Madelaine MEYANE ONIO
CES AKANDA
– Surveillant général Adjoint :
CES DAMAS
– Directeur des Études chargé de la Pédagogie : Mme Jeanne OYE
CES RAYMOND BOUKAT
– Censeur chargé de la Pédagogie :
CES DE NDZONG
– Directeur des Études chargé de la Vie scolaire : M. Jean Gabin ONDO
CES PLAINE NIGER
– Directeur des Études chargé de la Pédagogie : Mme Jean Michel KOUMA MEBIAME.
CES BATAVEA
– Surveillant général Adjoint 2 : Mme Marie Claire KOUMBA MOUELY.
PROVINCE DU HAUT- OGOOUÉ
LYCÉE TOUSSAINT PITTY (AKIENI) – Censeur Vie scolaire Il : M. Brice SEGHOU
CES EUGENE MIKOTO (NGOUONI)
– Directeur des Études chargé de la Pédagogie : Mme Stinsy ISSANGA
PROVINCE DU MOYEN- OGOOUÉ LYCÉE CHARLES MEFANE (LAMBARENE)
– Surveillant général Adjoint 3 : M. Lindric Prince BOUCHEDI LITONANGOYE
– Surveillant général Adjoint 4 : M. Didier BIKOUKOU
LYCÉE AGRICOLE DE LEBAMBA – Proviseur : M Guy Roger DOUKAGHA.
PROVINCE DE LA NGOUNIE
– Chef de service de la Carte scolaire : M. Pamphile Vessey MIHINDOU BIVIGOU
– Chef de service Patrimoine et Equipements : M. Joël TSAMBA
LYCÉE DE L’EXCELLENCE MBOMBEY AGNANGUET DE MOUILA
– Censeur Pédagogique II : M. Jean Bruno NGUIMBI en remplacement de DONA Eric Admis en stage.
LYCÉE DANIEL DIDIER ROGUET DE LEBAMBA
– Proviseur : M. Phransie MOULOUNGUI
Censeur Pédagogique I : M. James MOMBO MIKOLO
LYCÉE TECHNIQUE NYONDA MAKITA DE MOUILA
– Directeur des Études chargé de la Formation Initiale : M. Serge Patrick MOUITY
– Chef des Travaux cycle Technologique : M. Ines PENDY
Chef des Travaux Cycle Professionnel : M. MOUENGUI MOUBAGOU Audrey
LYCÉE TECHNIQUE DE FOUGAMOU – Surveillant général : M. MADUMBA Arcade
LYCEE LEON MBOUMBA (FOUGAMOU) – Surveillant général Adjoint 3 : M. Jean Pierre TOUANGA
LYCÉE JEAN JACQUES BOUCAVEL (MOUILA)
– Intendant : M. MOUSAVOT Eric Yves
LYCÉE TECHNIQUE AGRICOLE DE LEBAMBA
– Proviseur : M. MOUKAGA Guy Roger
– Directeur des Études chargé de la Formation Initiale : MOUSSOYI Xavier
– Directeur des Études chargé de la Vie scolaire : M. WABA KOUMBA Jean Bruno
– Chef des Travaux Cycle Technologique : M. NZIENGUI Line épse YEMA
– Chef des Travaux Cycle Professionnel : M. MBAMBA Rodrigue
– Intendant : M. MONDJOT BOUCKAT Roland Gauthier
CES DE GUIETSOU
– Directeur des Études Pédagogiques : M. NGUELE Casimir en remplacement de IRONGOU MOUSSOUNDA
PROVINCE DE LA NYANGA
DIRECTION D’ACADÉMIE PROVINCIALE
– Chef de service Enseignement secondaire : BOUTOTO MAGANGA Guy Thierry
– Chef de service Patrimoine et Équipement : KOUMBA MOUZEO
– Chef de service : Pré-Primaire : LOUEMBE Nazaire
CIRCONSCRIPTION NYANGA NORD – Chef de Service : BOULINGUI Bruno
LYCEE ETIENNE KOUMBA NZIENGUI (Tchibanga)
– Censeur Vie scolaire II : M. Kevin Igor MATIBA MOUTY
– Surveillant général Adjoint : Mme Annie Flore TCHIBINDA
CES de MABANDA
– Principal : NOMO NOMO Philippe en remplacement de MAPAGA Jean Olivier admis en stage
– Directeur des Études pédagogiques : NGUE NGUEMA Stéphane
– Directeur des Études Vie scolaire : EKIKI Douglas
PROVINCE DE L’OGOUE IVINDO LYCÉE DANIEL N’NAH EKAMKAM (OVAN) – Censeur Pédagogique I : M. Sosthène MAHANGAMAHIYA
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 60 sur 64
PROVINCE DE L’OGOOUE-LOLO DIRECTION D’ACADÉMIE PROVINCIALE
– Chef de Service Enseignement secondaire : Joe Francis DEMBA
PROVINCE DE L’OGOOUÉ MARITIME DIRECTION D’ACADÉMIE PROVINCIALE LYCÉE ROGER GOUTEYRON (GAMBA)
– Intendant : KASSA Exupère
– Surveillant général :
PROVINCE DU WOLEU NTEM
DIRECTION D’ACADÉMIE PROVINCIALE – Chef de Service Examens et Concours : METOULOU ALLOUMA Thierry ;
– Chef de Circonscription Centre (Oyem) : M. Charly Clément ONGONE OBIANG ;
– Chef de Circonscription Nord (Minvoul) : M. Justin ASSOUMOU.
LYCÉE AMBROISE OBAME NDONG (ME DOUNEU)
– Censeur Vie scolaire II : NKOGHE ONDO Michel
– Censeur Vie scolaire I : NDONG SIMA Elias
C.E.S DE BOLOSSOVILLE
– Directeur des Études Vie scolaire : EKANG NGOMO Daniel
MINISTÈRE DU BUDGET ET DES COMPTES PUBLICS
DIRECTION GÉNÉRALE DE LA COMPTABILITÉ PUBLIQUE ET DU TRÉSOR
– Directeur des Ressources Humaines : Mme Gisèle Pascale SIMANGOYE épouse BEKALE.
MINISTÈRE DES TRAVAUX PUBLICS, DE L’ÉQUIPEMENT ET DES INFRASTRUCTURES
LABORATOIRE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS (LNBTP)
CONSEIL D’ADMINISTRATION
– Président du Conseil d’Administration : M. GAFAR SAFOU.
FONDS AUTONOME NATIONAL D’ENTRETIEN ROUTIER (FANER)
CONSEIL D’ADMINISTRATION
– Président du Conseil d’Administration : M. Léon Armel BOUNDA BALONDZI.
MINISTÈRE DES TRANSPORTS
AUTORITÉ DE RÉGULATION DES TRANSPORTS FERROVIAIRES (ARTF)
CONSEIL DE RÉGULATION
– Chargé d’Études : M. Hermann MBOULA.
MINISTÈRE DES MINES
SUBDIVISION TERRITORIALE DE L’OGOOUE-MARITIME
– Directeur Provincial : Mme Eugenia LIYAMA NZENGUE épouse EWE.
Je vous remercie.
Dans le rapport Country Brand Ranking Trade édition 2022-2023, que vient de publier le cabinet de conseil espagnol Bloom Consulting, le Gabon est classé comme le 13e pays d’Afrique le plus attractif pour le commerce. Le pays d’Afrique centrale gagne ainsi six places dans le classement par rapport à l’année précédente avec une mention « très bien » sur sa progression.
Ce qui signifie d’après certains analystes que les mesures mises en place par le Gabon ont permis d'accroître l’attractivité du pays sur le plan commercial. Car, le rapport Country Brand Ranking combine les performances économiques, la stratégie de Nation Branding (dont l’objectif est de rendre un pays attractif) et la présence en ligne des pays sur les sujets liés au commerce pour évaluer leur attractivité dans le domaine.
Sur le plan mondial, le Gabon est classé 97e sur près de 200 États, tandis qu’il est le premier dans l’espace Cemac. Dans la zone, le Gabon est suivi du Cameroun qui se positionne comme le 20e pays africain le plus attractif et le 116e dans le monde devant le Congo (29e en Afrique et 139e mondial), le Tchad (40e en Afrique et 159e mondial), la Guinée Équatoriale (49e en Afrique et 187e mondial) et la Centrafrique (53e en Afrique et 192e mondial).
Sur le continent, le top 5 des pays les plus attractifs est occupé par le Nigeria (36e mondial), Afrique du Sud (39e mondial), Ghana (48e mondial), Maroc (50e mondial), l’Égypte (51e mondial).
Rappelons que le Gabon ne figure pas dans le « Country Brand Ranking Tourism Edition 2022–2023 » qui mesure l’attractivité des pays pour les touristes,
SG
Classement