Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Dans la perspective de l’introduction de l’anglais au pré-primaire au cours de la rentrée scolaire 2022-2023, Camelia Ntoutoume- Leclercq, le ministre en charge de l’Éducation nationale, a présidé, le 23 septembre la cérémonie de fin de formation de la première cuvée d’enseignants y afférents.

Ainsi, du 16 au 23 septembre, 80 enseignants expérimentateurs pour l’introduction de l’anglais au pré-primaire et au primaire, à l’école publique de Mont-Bouet 1 ont été formés de manière accélérée par des inspecteurs pédagogiques. Cette première cuvée aura la tâche d’apprendre l’anglais aux tout petits dans un contexte où le Gabon a l’ambition d’adopter l’anglais comme deuxième langue officielle. Le français étant la première.

Le projet à terme est que les élèves qui vont bénéficier de ces enseignements expérimentaux puissent suivre un cursus où des cours d’anglais leur seront dispensés au fur et à mesure qu’ils passeront en classe supérieure. Cela permet d’établir un programme académique en langue anglaise adapté dès la petite enfance. D’où la nécessité d’une formation des enseignants pour cette catégorie d’apprenants.

Cette formation d’enseignants intervient dans un contexte où le Gabon est, depuis le 24 juin 2022, membre du Commonwealth, une organisation intergouvernementale dont l’anglais est la langue commune. Le pays devrait adopter l’anglais comme deuxième langue officielle et ainsi devenir une nation bilingue à l’image du Rwanda et du Cameroun qui sont à la fois membres de la Francophonie et du Commonwealth.

S.A.

Selon les informations du ministre de l’Énergie et des Ressources hydrauliques, Alain-Claude Bilie-By-Nze, le constructeur Snef Gabon a lancé les travaux de construction des canalisations dans le Grand-Libreville (Libreville, Akanda et Ntoum) après la levée des contraintes administratives.

Le membre du gouvernement indique qu’il a pu s’en rendre compte le 22 septembre dernier au cours d’une visite d’inspection sur site. « Accompagné de monsieur Nouridine Kane Dia, représentant résident de la Banque africaine de développement, ils ont pu constater avec satisfaction que les travaux de réhabilitation à l’identique des chaussées endommagées pour la pose des canalisations à Owendo, Libreville, Akanda et Ntoum ont bien débuté », apprend-on.

Dans les quartiers Razel, Cité de la caisse et Glass, cette réhabilitation est effective ou en cours. Idem à Bambouchine et au lieu-dit Oveng. L’entreprise Snef Gabon en charge des travaux, apprend-on, affirme pouvoir tenir les délais pour une livraison à la fin du mois de novembre 2022 si toutes les conditions sont réunies : ressources financières et climat favorable.

Le projet de réfection des canalisations vise à améliorer la desserte en eau potable du Grand-Libreville avec, à terme, 300 000 habitants supplémentaires qui en seront impactés. Jusqu’ici, les populations se plaignent depuis plusieurs années des difficultés d’approvisionnement en eau potable. Dans certains quartiers du Grand Libreville, l’eau arrive dans les robinets tard dans la nuit pour quelques heures. Une problématique que la société en charge du secteur, la SEEG, veut résoudre avec le soutien du gouvernement.

S.A.

Les propriétaires des infrastructures impactées par le projet de construction de la nouvelle route et bretelle d’accès de l’aéroport international de Libreville pourraient être indemnisées dès le 7 octobre prochain. L’assurance a été donnée par le gouverneur de la province de l’Estuaire, Marie-Françoise Dikoumba le 24 septembre dernier. C’était au cours d’une réunion d’information sur le processus d’indemnisation des populations impactées par le projet.

Les indemnisations se feront en fonction du choix fait par chaque personne impactée. Notamment, le choix d’une maison construite sur le site d’Alibandeng, ou d’un terrain nu avec titre foncier sur le même site. « Ce sont les deux cas de figure qui s’offrent aux populations impactées », précise Marie-Françoise Dikoumba.

Ceux qui vont faire le choix des maisons construites clé en main, « vont recevoir une compensation financière à titre de loyer locatif en fonction du type de maison dans laquelle ils étaient logés (logement situé sur le site du projet ndlr). Soit, un studio, une maison de deux, trois chambres… Ces frais varient de 250 000 FCFA à 400 000 FCFA/mois en fonction du type de maison », a expliqué Marie-Françoise Dikoumba. Ils percevront ces frais pour louer provisoirement un logement en attendant la clé de la maison qui leur sera construite dans le cadre de ce projet. S’agissant du début des constructions des logements, le gouverneur de la province de l’Estuaire affirme que le permis de construire sur le site d’Alibandeng est déjà disponible et les travaux vont commencer incessamment.

Pour ceux qui vont choisir un terrain « nu », avec titre foncier, ils percevront une compensation financière liée à leur cadre bâti (en fonction de l'investissement évalué sur leur terrain impacté), devant leur permettre de construire sur le site. « La mise à disposition de ces terrains nus se fera dès le mois de janvier. Les équipes sont en train de travailler pour la délimitation des parcelles. On prévoit de finir en début janvier 2023 », a expliqué le directeur général de l’Agence nationale de l’urbanisme, des travaux topographiques et du cadastre (Anuttc), Dexter Meye M’Obiang.

Toutefois, le gouverneur a précisé que les populations devront s’acquitter des frais administratifs avant l’obtention de leur titre foncier. Des frais qui sont d’environ 540 000 FCFA pour ceux qui choisiront les terrains et 490 000 FCFA pour ceux qui choisissent les maisons clé en main.

Cependant, malgré toutes ces assurances du gouverneur de la province de l’Estuaire, les populations impactées restent inquiètes quant au respect de la date du début des indemnisations. « Nous souhaitons que tout soit formalisé dans un document, car on nous avait déjà promis de nous indemniser à partir du 1er septembre et ça n’a pas été respecté. Nous souhaitons également que nous soient remises les fiches définitives établies à la suite des réclamations et sur la base desquelles on va nous indemniser », a indiqué l’une des personnes impactées sur le site d’Akanda.

Le chantier de construction de la voie de contournement de l’aéroport international de Libreville était prévu pour être lancé au premier semestre 2022. Mais, cette phase reste attendue. Ce chantier sera exécuté dans le cadre d’un partenariat public-privé entre l’État gabonais et Gsez Airport, concessionnaire de cet aéroport. C’est une voie qui sera construite sur six kilomètres en 2 fois 2 voies, et desservira la commune d’Akanda. Selon la liste provisoire des personnes impactées par ce projet dévoilée le 9 février dernier, 600 familles établies sur l’emprise du projet sont à indemniser.

Sandrine Gaingne

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Trente jeunes gabonais ont été admis au concours d’entrée au Centre des métiers de l’électricité (CME) de Bingerville, en Côte d’Ivoire. Ces jeunes âgés de 16 à 22 ans et détenteurs d’un baccalauréat scientifique ou technologique ont signé le 23 septembre 2022 des conventions avec la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) organisatrice dudit concours.

Selon la SEEG, ces Gabonais vont bénéficier d’une prise en charge complète de leurs frais d’étude par la SEEG. Ils seront formés dans plusieurs domaines tels que la production et le transport de l’énergie, la distribution, la commercialisation et l’automatisme - régulation-contrôle-industrielle.

Au Gabon, 851 personnes ont manifesté leur intérêt pour le concours d’entrée au CME. Mais, seuls 333 dossiers de candidatures ont été jugés éligibles à ce concours. L’initiative de la SEEG qui favorise la qualification et l’insertion des jeunes s’inscrit dans le cadre de la responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE).

La prise en charge de ces jeunes sur 2 années académiques, apprend-on, comprend les frais d’inscription et de scolarisation, de trousseau scolaire, de voyage, d’hébergement, de restauration, d’assurance ainsi que l’équipement en matériel informatique. Au sortir de leur formation, ces jeunes pourraient constituer un vivier au cas où la SEEG aurait besoin de ressources humaines qualifiées, apprend-on.

Brice Gotoa

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Après quelques années d’inactivité, la compagnie aérienne gabonaise Tropical Air Gabon reprend du service. L’information est donnée par l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC) qui a renouvelé son Certificat de transporteur aérien (CTA), pour une durée de deux ans. Ce document a été remis à ses dirigeants le 19 septembre dernier par Nadine Anato, directrice générale de l’ANAC, qui autorise la compagnie à relancer ses activités dans le pays, apprend-on.

« Après avoir passé les différentes étapes menant à la reconduction de son certificat, Tropical air Gabon a été jugée apte à s’acquitter de toutes les responsabilités inhérentes à la conduite de l’activité commerciale proposée. Elle a ainsi été certifiée conformément à la politique et aux procédures de l’ANAC ». Elle pourra donc « bientôt démarrer l’exploitation de son activité commerciale », a affirmé l’ANAC.

Le directeur général de l’ANAC a émis le vœu de voir la compagnie gabonaise travailler avec rigueur. « Nous savons que vous avez déjà exploité, et nous connaissons vos capacités. Nous vous souhaitons donc tout le bon vent qu’il faut. Nous espérons que la rigueur qui a été la vôtre durant tout le long de ce processus soit maintenue pendant toute la durée de validité du certificat », a commenté Nadine Anato.

Tropical air Gabon est une compagnie aérienne de droit gabonais détentrice du CTA initial N° TR-011 délivré le 6 mai 2015. Son activité principale est le transport public de passagers et de marchandises sur Libreville, Port-Gentil, Franceville, Oyem.

SG

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Aïssatou Diallo est la nouvelle représentante résidente de la Banque mondiale au Gabon. Elle a été présentée le 22 septembre 2022 aux autorités gabonaises par le directeur des opérations Afrique centrale de cette institution financière internationale, Abdoulaye Seck. La délégation a été reçue tour à tour par le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, le ministre du Budget et des Comptes publics, Edith Ekiri Mounombi Oyouomi, et le ministre de l’Économie et de la Relance, Nicole Jeanine Lydie Roboty Mbou.

« Au regard de la bonne coopération Gabon-Banque mondiale, nous avons eu la chance d’avoir Alice Ouédraogo qui a porté ce partenariat pendant quatre années et Aïssatou Diallo va certainement poursuivre ce travail-là », a indiqué Abdoulaye Seck. Selon lui, Aïssatou Diallo qui exercera au Gabon et en Guinée équatoriale pour les prochaines années prendra officiellement ses fonctions le 1er octobre 2022.

De nationalité guinéenne, Assïatou Diallo est une économiste, avec 13 ans d’expérience professionnelle dans les institutions bancaires et les microfinances comme la Banque internationale pour le commerce et l’industrie de la Guinée (Bicigui), la Banque centrale de la République de Guinée (BCRG), Pride/Finances et First Bank International. Avant sa nomination au Gabon, Aïssatou Diallo était responsable administrative et financière de Solthis en Guinée.

Pour rappel, c’est depuis 1963 que le Gabon est devenu membre de la Banque mondiale. Depuis cette date, cette institution de Bretton Woods soutient le pays en finançant des projets dans divers secteurs.

Brice Gotoa

 

En application des orientations présidentielles portant sur l’égalité des genres au Gabon, le ministre en charge des Sports, Franck Nguema, a annoncé ce 22 septembre la création de la Ligue nationale de football féminin (LNFF).

En d’autres termes, comme les hommes, les femmes du Gabon ont désormais droit à un championnat de football qui leur est dédié. Pour matérialiser cette annonce, le ministre en charge des Sports a indiqué que la Fédération gabonaise de Football est chargée de la mise en place de la nouvelle ligue, au plus tard le 31 octobre 2022.

Dorénavant, apprend-on, la LNFF va organiser le championnat national de football féminin de 1ère et 2e division. Le déroulement de la compétition pour la saison sportive 2022-2023 est prévu après la Coupe du monde de la FIFA Qatar 2022, de janvier à juin 2023. « L’État apportera son soutien multiforme au championnat national de football féminin », a déclaré le ministre des Sports.

La création de la LNFF rentre dans le cadre de la lutte contre la discrimination et celle pour l’égalité des genres au Gabon. Cette politique du gouvernement pour redorer la place de la femme dans le pays est plutôt bien perçue. À preuve, une enquête publiée le 3 août 2022 par Afrobarometer (réseau panafricain de recherche par sondage) révèle que 56 % des Gabonais jugent « satisfaisante la performance du gouvernement dans la promotion des droits et des chances en faveur des femmes ».

Selon la même étude, 84,4 % des citoyens affirment que les femmes et les hommes ont aujourd’hui les mêmes chances de posséder des terres au Gabon ou d’en hériter. Dans la même lancée, 80 % des Gabonais pensent que les hommes et les femmes au Gabon ont les mêmes chances d’avoir un emploi qui rapporte un revenu au Gabon. Aussi, 29 % de citoyens jugent encore très insuffisant le niveau de représentativité des femmes à des postes d’influence.

S.A.

Le Gabon prépare le redéploiement de La Poste dans le secteur des nouvelles technologies, selon les déclarations du ministre de la Communication en visite, le 21 septembre dans les bureaux des communes de Libreville et d’Akanda.

Au cours de la séance de travail avec les responsables et les agents de ces structures, le ministre Pascal Houangni Ambouroue a insisté sur l’impératif pour la Poste gabonaise de se réinventer. « À l’heure des NTIC's et des nouveaux enjeux de développement de notre pays, La Poste doit se redynamiser à travers la mise en place de produits et services innovants, ainsi que d’une structure organisationnelle plus adaptée », apprend-on. Ainsi, le membre du gouvernement a annoncé qu’un Plan de redéploiement stratégique sera présenté dans les prochains jours.

Ce redéploiement de cette structure dont l’État est l’actionnaire majoritaire intervient dans un contexte où l’entreprise Gabon Poste a formulé une demande d’agrément auprès de la Commission bancaire de l’Afrique centrale (Cobac) depuis trois ans. Cet agrément, selon les responsables de l’établissement, permettra à la Poste de pratiquer des activités bancaires. Mais cela est conditionné par la fin de la liquidation de son ancêtre la Poste Bank placée sous administration provisoire depuis le 10 novembre 2015.

La Poste Bank a été mise sous administration provisoire avec des dépôts des clients qui sont de l’ordre de 75 milliards de FCFA à l’époque pour près de 320 000 clients. En 2021, l’État a indiqué que cette créance a été réduite à 69 milliards de FCFA suite au remboursement des épargnants.

S.A.

Le gouvernement a arrêté une liste des distributeurs de l’huile de palme raffinée produite par la filiale gabonaise du groupe Olam. Selon un communiqué conjoint du ministère de l’Économie et de la Relance et du ministère du Commerce, signé le 22 septembre dernier, cette mesure vise à lutter contre la spéculation du prix observée ces derniers temps autour de l’huile de table de marque « Cuisin’Or » au Gabon.

Pour la zone du Grand Libreville, les distributeurs retenus sont  : le groupe Ceca-Gadis (CKDO, Géant-CKDO, GaboPrix et Super-Gros), Foberd Gabon, Mbolo, Espodis, l’Établissement Rawani, Codipram, Cedicom et Rolla. « Le gouvernement rappelle à tous les opérateurs économiques la nécessité de respecter la réglementation en matière de prix et de gestion de stock à tous les stades de distribution, et qu’il ne tolérera aucune spéculation sur ce produit sensible de fabrication locale », indique le communiqué.

La Direction générale de la concurrence et de la consommation (DGCC) et la Direction générale du commerce (DGC) veilleront à l’application des nouvelles dispositions. Notamment à travers leurs brigades qui vont sillonner les villes afin de sanctionner « sévèrement » les contrevenants.

Cette décision intervient dans un contexte de hausse constante du prix de cette huile, ainsi que son indisponibilité sur le marché. « Cette hausse des prix de l’huile, pratiquée en violation du cadre règlementaire et au préjudice des consommateurs, est à la fois injustifiée et inacceptable », explique le gouvernement. Il se trouve en effet que certains grossistes ont choisi « volontairement et unilatéralement » de déséquilibrer le marché par la rétention d’importantes quantités du produit, dans le seul but d’augmenter leurs marges.

Vendue il y a quelques mois à 1 000 ou 1 100 FCFA, la bouteille d’un litre d’huile Cuisin’Or coûte désormais 1500 et 1800 FCFA. Le bidon de 5 litres de cette huile de table est désormais écoulé à 9 500 FCFA, voire 10 000 FCFA, contre 4 500 FCFA il y a quelques mois. Le gouvernement invite les populations à dénoncer « systématiquement » tous les abus observés sur le marché en appelant au numéro vert gratuit 8085, ou par WhatsApp 061000193 pour la DGCC et au 1435 pour la DGC.

Brice Gotoa

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En marge de la 77e session de l’Assemblée générale de l’ONU, le Gabon, via son ministre des Affaires étrangères, Michael Moussa Adamo, a déposé son instrument d’acceptation du Traité sur le commerce des armes (TCA). L’information est donnée par Michael Moussa Adamo sur sa page Facebook.

La ratification de ce traité engage le Gabon à lutter contre la circulation non conventionnelle des armes. « En effet, à travers cette adhésion, le Gabon s’engage aux côtés de la Communauté internationale à réglementer les transferts d’armes classiques, leurs munitions, pièces et composantes, afin d’atténuer les risques liés aux transferts et aux utilisations non contrôlées des armes qui alimentent les guerres et conflits de tout genre », a-t-il indiqué.

Suite à son acte, le Gabon a été félicité par le Secrétaire général adjoint aux affaires juridiques de l’Organisation des Nations Unies Miguel de Serpa Soares, pour son engagement en faveur du contrôle des armes, a-t-on appris.

En rappel, le traité sur le commerce des armes, réglemente le commerce international des armes classiques, depuis les armes légères jusqu’aux chars de combat, avions de combat et navires de guerre. Il est entré en vigueur le 24 décembre 2014.

L’acceptation du TCA par le Gabon porte à 84 le nombre d’États ayant ratifié ce traité dans le monde.

SG

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