Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Fly Gabon, la nouvelle compagnie aérienne nationale gabonaise, continue d'étendre sa flotte. Le 11 octobre dernier, elle a réceptionné son tout premier Airbus A320-232, un biréacteur immatriculé N2167, qui a atterri à l’aéroport de Libreville en provenance de l’aéroport de St Athan DGX, au Royaume-Uni.

Cet appareil, âgé de 20 ans, avait auparavant été exploité par Etihad Airways et Martinair Holland. Il a été acquis en leasing (crédit-bail), ce qui permettra à la compagnie d’élargir son réseau. En effet, l’acquisition de cet avion à grande capacité va permettre à Fly Gabon de s’étendre sur le continent africain, avec l’Afrique du Sud comme première destination prévue dès la fin de cette année. Jusqu’à présent, Fly Gabon opère uniquement sur des lignes domestiques.

L’avion, actuellement stationné à l’aéroport international de Libreville, devrait repartir prochainement vers Johannesburg, en Afrique du Sud, pour être peint aux couleurs de Fly Gabon. Ce n’est qu’après cette étape qu’il sera intégré aux opérations de la compagnie.

Pour le moment, la flotte de Fly Gabon se compose également de deux ATR (Avions de Transport Régional), acquis en France il y a quelques mois et réceptionnés en juin et juillet derniers.

Inaugurée le 29 août dernier, Fly Gabon a effectué son vol inaugural le 31 août. La compagnie ambitionne de combler le vide laissé par l’ancienne compagnie nationale, Air Gabon, qui avait fait faillite en 2006.

SG

Lire aussi:

Billets d’avion : Fly Gabon justifie ses tarifs jugés élevés par les Gabonais

Transport aérien : Fly Gabon démarre ses activités

Le transporteur Ethiopian Airlines veut entrer dans la capitale de Fly Gabon et apporter son expertise au pays

La société Africa Mining Development (AMD) et New Owendo International Port (NOIP), premier port multicargo du Gabon, ont signé le 10 septembre 2024 un contrat pour accroître le volume de manganèse produit par AMD, ont annoncé les deux structures.

Ce contrat engage le NOIP à offrir ses services portuaires et logistiques complets à AMD pour faciliter les exportations de manganèse produit par la société, basée à Lastourville. NOIP couvrira ainsi des services portuaires et maritimes, mais aussi de transit et de transport de ce produit. « Ce projet s’inscrit dans notre vision de faire du NOIP une passerelle stratégique pour le traitement d’une large gamme de cargaisons. En collaborant avec Africa Mining Development, nous contribuerons à accroître le volume national de manganèse exporté et à renforcer l’attractivité du Gabon sur la scène internationale », a fait savoir Parakram Gupta, directeur général de NOIP.

Les deux entreprises ne précisent pas quel sera l’apport de AMD dans ce partenariat.

Ce partenariat devrait permettre d’accroître le volume de manganèse exporté dans le pays, dans un contexte où les exportations de ce minerai sont en légère baisse. En effet, les exportations de manganèse ont fléchi au cours de l’année 2023, selon les données du ministère de l’Économie. Au cours de cette période, le Gabon a exporté du manganèse d’une valeur de 1 113,6 milliards de FCFA, contre 1 152,4 milliards de FCFA en 2022, soit une baisse de 3,4 % entre les deux périodes.

À noter que le manganèse est le produit qui domine le secteur minier gabonais, sa production étant assurée à près de 90 % par la Compagnie Minière de l’Ogooué (Comilog), filiale du groupe français Eramet.

SG

Après environ cinq semaines de rédaction, le projet de la nouvelle constitution du Gabon est disponible et contient plusieurs innovations par rapport à la constitution initiale de 1991, déjà plusieurs fois modifiée. Parmi les changements, le pays bascule d’un régime semi-présidentiel à un régime présidentiel, notamment en raison de la suppression du poste de Premier ministre. À la place, le président de la République, selon l’article 58 de ce projet de texte, sera assisté d’un vice-président de la République et d’un vice-président du gouvernement, tous deux nommés par le chef de l’État.

Ce régime confère beaucoup de pouvoir au président de la République. Toutefois, afin d’éviter qu'il ne devienne tout-puissant, certaines dispositions ont été prises. En particulier, le président sera responsable devant le peuple et le Parlement. Ce dernier aura le pouvoir de le destituer en cas de haute trahison, de violation du serment ou de la Constitution. Cette destitution devra cependant être votée par au moins deux tiers des parlementaires. De plus, certains articles de cette constitution sont considérés comme quasi inviolables.

Par ailleurs, pour être candidat à la présidence de la République, il faudra être Gabonais de père et de mère, avoir la nationalité gabonaise exclusive, et être marié à une Gabonaise de père et de mère. Le président de la République sera désormais élu pour un mandat de sept ans, renouvelable une seule fois, selon l’article 52 du projet de constitution. « Nul ne peut faire plus de deux mandats successifs », et aucun chef d’État en fonction ne pourra réviser la Constitution pour modifier le nombre de mandats présidentiels, sous peine de se rendre coupable de haute trahison, précise le texte. L’élection présidentielle sera à deux tours si le président n’a pas été élu à la majorité absolue des suffrages exprimés dès le premier tour.

Structuré en 12 titres et 194 articles, ce projet de constitution, qui devra être soumis à référendum à la fin de cette année, a été accueilli de manière mitigée par les Gabonais. Pour l’homme politique Pierre Claver Maganga Moussavou, du Parti social-démocrate (PSD), il s’agit d’une constitution « taillée sur mesure pour le président de la transition, Brice Nguema », excluant les autres. Il la qualifie de « discriminatoire », raison pour laquelle il votera contre lors du référendum. En revanche, plusieurs partis politiques, comme l’Union démocratique républicaine, promettent de mener campagne pour le vote du oui, estimant que la nouvelle constitution contribuera à renforcer les institutions de la République.

SG

Au cours du premier semestre 2024, le volume des échanges commerciaux entre la Chine et le Gabon a atteint 2,07 milliards de dollars (soit environ 1 229,6 milliards de FCFA), selon des données récemment communiquées par l’ambassadeur de Chine au Gabon, Ping Zhou. Le diplomate chinois a affirmé qu'avec ces résultats, il serait « possible d'enregistrer un nouveau record pour toute l'année ». Cette perspective témoigne du renforcement continu des relations économiques entre les deux pays.

Un tel record signifierait une hausse par rapport au volume des échanges enregistré en 2022. En effet, selon les données de l’administration générale des douanes de la Chine, le volume des échanges commerciaux entre le Gabon et la Chine s’élevait à 4,55 milliards de dollars (environ 2 750 milliards de FCFA) en 2022, soit une hausse de 50,8 % en glissement annuel.

Ces chiffres en constante progression renforcent les relations commerciales entre le Gabon et la Chine, cette dernière étant le principal partenaire commercial du Gabon au cours des 15 dernières années. « Nous avons décidé ensemble d’élever notre coopération au rang de partenariat stratégique gagnant-gagnant », a déclaré Régis Onanga Ndiaye, ministre des Affaires étrangères du Gabon, lors d’un récent entretien avec RFI. Le Gabon cherche ainsi à maximiser les bénéfices de sa coopération avec la Chine et à accroître encore le volume des échanges bilatéraux.

Les deux pays entretiennent des relations diplomatiques depuis 1974 et collaborent dans divers secteurs, notamment les infrastructures, l’exploitation minière et forestière, la santé, la culture, l’éducation, les énergies vertes, et la lutte contre les changements climatiques. Parmi les infrastructures financées par la Chine au Gabon figurent la route Port-Gentil-Omboué, le barrage du Grand Poubara, l’Assemblée nationale et le Sénat, la maison Georges-Rawiri, ainsi que le stade de l’amitié sino-gabonaise.

Le Gabon importe de la Chine des machines, des appareils électroménagers, des téléphones, des émetteurs et récepteurs, ainsi que des véhicules. En contrepartie, le Gabon exporte principalement du pétrole et du bois vers la Chine.

SG

Lire aussi:

Des firmes chinoises s’engagent à investir 242 milliards FCFA pour développer des projets miniers au Gabon

À Beijing, le Gabon scelle des accords de 2 555 milliards FCFA avec des investisseurs chinois

Forum Chine-Afrique : le Gabon veut attirer de nouveaux investisseurs chinois

Le Pôle national de promotion de l’emploi (PNPE) vient de mettre en place un plan d’action stratégique triennal pour la période 2024-2026, afin de faciliter l’emploi des jeunes Gabonais. Baptisé « Réinventer l’emploi », ce plan « va dorénavant fixer le cap et garantir un saut qualitatif permettant d’optimaliser les mécanismes d’employabilité liés aux attentes de la Transition », selon Puanne Paulin Moussounda, directeur général du PNPE.

Globalement, ce plan, selon le DG du PNPE, vise à rechercher, explorer et identifier des secteurs d’activités susceptibles d’augmenter significativement le nombre d'emplois à créer au sein des entreprises déjà implantées dans le pays, ainsi que celles à venir. Il s'agit spécifiquement de répertorier les entreprises et les profils qu’elles recherchent, afin de mieux orienter les jeunes vers des formations adaptées à ces besoins.

À cet effet, ce plan repose sur trois axes : « caractériser les bassins d’activités et les opérateurs économiques, générer de nouveaux emplois par l’insertion et la reconversion professionnelles, et promouvoir les bassins d’activités et les emplois générés », indique Puanne Paulin Moussounda.

Cette stratégie permettra, selon le PNPE, de réduire le taux de chômage dans le pays. « Le PNPE veut impulser une nouvelle dynamique en matière de création d’emplois, face à la montée du chômage, notamment chez les jeunes. C’est une excellente chose que le PNPE, son directeur général et ses équipes prennent ce sujet à cœur », déclare Alain Afanere Mevyann, secrétaire général du ministère du Travail et de la Lutte contre le Chômage.

D’après des données communiquées par le PNPE, 28 691 demandeurs d’emploi se sont inscrits dans ses bureaux entre le 30 août 2023 et le 2 août 2024. Selon ces statistiques, le total des demandeurs d’emploi dans l'Estuaire est estimé à 67,63 %, contre 15,01 % dans le Woleu-Ntem, 9,43 % dans l’Ogooué-Maritime, 5,65 % dans le Haut-Ogooué, 2,2 % dans l’Ogooué-Ivindo, 0,89 % dans la Nyanga et 0,19 % dans le Moyen-Ogooué.

Selon l’Organisation internationale du Travail (OIT), le Gabon possède l’un des taux de chômage des jeunes les plus élevés d’Afrique subsaharienne (36 %).

SG

Lire aussi:

Le Conseil national de la démocratie demande à l’Etat de verser une allocation chômage aux demandeurs d’emploi

L'Office national de l'emploi du Gabon devient le Pôle national de promotion de l'emploi

Trois mémorandums d’entente viennent d’être signés entre l’État du Gabon et des investisseurs chinois pour développer des projets miniers au Gabon, pour un montant global de 242 milliards de FCFA. Cela s’est passé le 3 septembre dernier, lors de la 2e édition du Forum économique Gabon-Chine.

De manière détaillée, le Gabon a signé avec l'entreprise Zhongning Mining Company Limited (ZMC) un mémorandum d’entente pour l'exploration et l'exploitation du minerai de fer du Mont Mbilan, pour un montant de 260 millions de dollars (soit 153,5 milliards de FCFA).

À cet accord s’ajoute un autre mémorandum d'entente pour l'exploration et l'exploitation, par Shanghai Milestone Technology, des ressources minérales inexploitées, notamment du minerai de fer et du manganèse à faible teneur, à hauteur de 100 millions de dollars (soit 59 milliards de FCFA).

Un protocole d'accord a également été signé pour l'aménagement global de la navigation sur le fleuve Ogooué, à travers la construction d'un port minéralier à Ndjolé, ainsi que le développement du terminal minier de Port-Gentil, pour un montant global de 50 millions de dollars (soit 29,5 milliards de FCFA). « Ces accords marquent une étape importante dans la mise en valeur des ressources minières du Gabon pour les jours à venir », a commenté le ministère des Mines.

Après la signature de ces mémorandums d’entente, des accords généraux et spécifiques devront encore être signés entre les parties prenantes avant la mise en œuvre des projets ciblés. Ces accords devraient renforcer les liens de partenariat entre la Chine et le Gabon. À noter que la Chine est le premier partenaire commercial du Gabon depuis plusieurs années. Ce pays d’Asie coopère avec le Gabon dans plusieurs secteurs, notamment dans les mines, le bois, les travaux publics et l’énergie.

Il est à noter que ces mémorandums d’entente font partie des différents accords d’une valeur totale de 4,3 milliards de dollars (environ 2 555,4 milliards de FCFA), conclus par le Gabon avec des investisseurs chinois, à la veille de la neuvième édition du Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC).

SG

Lire aussi:

À Beijing, le Gabon scelle des accords de 2 555 milliards FCFA avec des investisseurs chinois

Lors de la deuxième édition du forum économique Gabon-Chine, tenue à Beijing, la capitale de l’Empire du Milieu, le 3 septembre, le Gabon a signé des accords avec des investisseurs chinois d’une valeur de 4,3 milliards de dollars (environ 2 555,4 milliards de FCFA). « Après six tables rondes thématiques, l'événement s'est conclu par la signature de plusieurs conventions, mobilisant plus de 4,3 milliards de dollars, notamment dans les secteurs des travaux publics et de l’énergie, renforçant ainsi les relations historiques entre les deux pays », indique un communiqué du gouvernement.

La signature de ces conventions est intervenue après la présentation, par les autorités gabonaises, des opportunités d’investissement dont dispose le Gabon. Dans sa présentation, le directeur général de l'Agence nationale pour la promotion des investissements (ANPI), Ghislain Moandza Mboma, coorganisateur de cet événement, a mis en avant les « 10 raisons d'investir au Gabon », en insistant sur les atouts économiques du pays et les conditions administratives favorables à la croissance et au développement des entreprises à forte valeur ajoutée, précise l'ANPI. Ces opportunités sont notamment répertoriées dans des secteurs clés tels que l'énergie, les ressources hydrauliques, l'agro-industrie, les services, les mines et hydrocarbures, le numérique et le secteur forêt-bois.

Avec ces nouvelles conventions, la Chine, qui est déjà le principal partenaire commercial économique du Gabon, devrait renforcer sa présence et ses investissements dans le pays. Selon des données officielles, le volume des échanges commerciaux entre la Chine et le Gabon a atteint 4,55 milliards de dollars US (2 739,8 milliards de FCFA) en 2022, soit une hausse de 50,8 % par rapport à l'année précédente.

Le forum économique Gabon-Chine s’est tenu en marge du Forum sur la coopération sino-africaine (Focac). Son objectif principal était de renforcer la coopération économique sino-gabonaise et d’identifier de nouvelles opportunités économiques.

SG

Lire aussi:

Forum Chine-Afrique : le Gabon veut attirer de nouveaux investisseurs chinois

Lors du conseil des ministres du 31 août dernier, Jean Liévin Idoundou Manfoumbi a été choisi pour redresser la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG), concessionnaire des secteurs de l'eau et de l'électricité au Gabon, actuellement en difficulté. Ancien président du conseil d'administration de cette entreprise publique depuis janvier 2024, il est désormais chargé de mettre en œuvre les réformes proposées par le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) afin de sortir la SEEG de sortir de "la spirale de coupures d’approvisionnement, de délestages, et de faiblesses managériales" qui entravent son fonctionnement depuis des années. L'objectif est d'éviter la faillite de l'entreprise.

Parmi les mesures destinées à sauver la SEEG, figurent la renégociation de la dette, la digitalisation et sécurisation du système informatique, la création d’une Direction de la sécurité et de la lutte contre la fraude, ainsi que le lancement de l’opération « Un Gabonais, un compteur ». Grâce à son expérience professionnelle acquise durant 32 années au sein de cette société publique, Jean Liévin Idoundou Manfoumbi semble bien placé pour mener à bien cette mission. Comme il l’a affirmé lors de son installation comme président du conseil d’administration en janvier dernier, « la SEEG m’a tout donné pendant 32 ans ». Les Gabonais espèrent qu’il saura rendre la pareille à la SEEG en réussissant son redressement et en améliorant l’approvisionnement en eau et en électricité dans le pays.

Ingénieur à la retraite, Jean Liévin Idoundou Manfoumbi conduira cette période d’administration provisoire, dont la durée n’a pas été précisée par le gouvernement, avec une équipe composée de militaires et de civils.

SG

Lire aussi:

La SEEG placée sous administration provisoire, la désignation de l'administrateur attendue

Détournements à la SEEG : audit annoncé du concessionnaire du secteur de l'eau et de l'électricité au Gabon

Réuni en conseil des ministres le 31 aout dernier, le gouvernement a validé une modification de la loi de finances 2024. Ainsi, le budget de l’année en cours passe à 4.493,4 milliards FCFA contre 4.162 milliards FCFA, soit une hausse de 331,4 milliards FCFA.

Pour financer cette augmentation du budget, l’Etat gabonais compte s’endetter un peu plus. Dans ce cadre, il est prévu une augmentation de 196,2 milliards FCFA des ressources de trésorerie et de financement, imputable au recours à l’émission de titres publics.

Pour capter ce supplément de 331,4 milliards FCFA, le gouvernement compte également sur une augmentation des recettes internes. Plus précisément, les recettes budgétaires nettes, selon les prévisions gouvernementales, devraient connaître une hausse de 132,5 milliards FCFA, passant de 2 729,7 milliards FCFA, fixés dans la loi de finances 2024, à 2 862,2 milliards FCFA. Les recettes affectées aux tiers, constituées des prélèvements au profit des collectivités locales, des organismes internationaux et aux établissements publics s’établiraient quant à elles à 108,0 milliards FCFA contre 105,2 milliards FCFA dans la loi de finances, soit une augmentation de 2,7 milliards FCFA. L’Etat gabonais compte également sur la hausse de la production du manganèse, bois, et du pétrole entre autres.

Pour ce qui est des dépenses, les charges financières de la dette qui se décomposent en intérêts sur dette extérieure et intérieure, seraient projetées à 388,4 milliards FCFA contre 378,4 milliards FCFA dans la loi de finances initiale, soit une augmentation de 9,9 milliards FCFA. Les dépenses de personnel se stabiliseraient à 771,7 milliards FCFA.

Ce projet de budget rectificatif devra être soumis au parlement pour adoption. Cette enveloppe servira notamment au financement de la coordination du travail gouvernemental, ainsi que des réformes des institutions et la gouvernance des politiques publiques.

SG

Sous la Très Haute Présidence de Son Excellence Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, Général de Brigade, Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Conseil des Ministres s’est réuni ce samedi 31 août 2024 à 09 heures au Palais de la Présidence de la République.

Le Conseil a ouvert ses travaux par un vibrant hommage rendu au Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) ainsi qu’au Président de la Transition, président de la République, Chef de l’État, au moment où le pays a célébré avec ferveur la première Journée  nationale de la Libération.

Au lendemain de la commémoration du 64ème anniversaire de l’indépendance du Gabon, le  Conseil a revisité les événements décisifs du 30 août 2023, une journée historique qui a permis de préserver notre nation d’une nouvelle crise politique potentiellement dévastatrice.

Ce jour mémorable, marqué par l’intervention décisive des Forces de Défense et de Sécurité, a constitué un tournant majeur pour notre nation, inscrivant une nouvelle page glorieuse dans l’histoire du Gabon et plaçant notre pays sur la voie de la prospérité et du renouveau. 

La forte adhésion populaire au « Coup de la  Libération », a révélé une communion sans  précédent entre le Peuple gabonais et ses Forces de Défense et de Sécurité. En intervenant le 30 août 2023, ces forces ont non seulement répondu aux aspirations profondes de la nation, mais ont aussi  renforcé le lien indéfectible qui unit le peuple à ses  protecteurs. Cette solidarité exemplaire a permis aujourd’hui de restaurer l’espoir et de tracer  ensemble un avenir de paix et de prospérité pour le Gabon.

Ainsi, c’est en reconnaissance de cet engagement,  qu’un hommage chaleureux et solennel leur a été  rendu par le Conseil, dans la continuité des  cérémonies de décoration de l’Ordre national de la  Libération, en ouverture du défilé militaire et civil  du 30 août 2024 dans le cadre de la célébration de  cette journée historique. Cette reconnaissance a également été étendue à plusieurs compatriotes  ayant œuvré à la libération du Gabon. 

Dans le même sens, le Conseil a salué l’engagement indéfectible du Chef de l’État, pour  la recherche des solutions aux problèmes qui  minent le quotidien des gabonais, et se traduisant  par le lancement de nombreux projets, dont  plusieurs ont culminé en inaugurations majeures  ces derniers jours.  

C’est fort de cette dynamique, marquée par une  adhésion populaire massive, que le Chef de l’État a  fermement exhorté le Gouvernement à intensifier  ses efforts. Il s’agit de mener à bien les projets  cruciaux qui transformeront durablement la qualité  de vie des populations, en particulier dans les  domaines essentiels que sont l’accès à l’eau, à  l’électricité, aux infrastructures routières, à  l’éducation, et à la santé. 

En outre, en prévision de la convocation  imminente du collège électoral pour le référendum,  un moment solennel a marqué ce samedi 31 août  2024 : la remise officielle du projet de la nouvelle  loi fondamentale du Gabon au Premier Ministre, Chef du Gouvernement, par le Président de la  Transition, Président de la République, Chef de  l’État.  

Cet acte symbolise non seulement la continuité de  son engagement pour un avenir démocratique,  mais aussi la volonté inébranlable de renforcer les  fondations de notre nation sous un cadre juridique  rénové. 

Enfin, au terme de cette première année de  libération du pays, le Conseil a exprimé sa  profonde satisfaction pour le soutien constant de la  communauté internationale, qui a su reconnaître et saisir les enjeux cruciaux des événements  historiques du 30 août 2023. En accueillant et en  soutenant le Président de la Transition, les  partenaires internationaux du Gabon ont démontré  leur clairvoyance et leur engagement en faveur de  la stabilité et de la prospérité du Gabon. Les  actions multiformes de soutien, en particulier  celles de la Communauté Économique des États de  l’Afrique Centrale (CEEAC), qui a levé ses  sanctions contre le Gabon dès le 9 mars 2024,  illustrent leur ferme volonté de préserver les intérêts du peuple gabonais et de contribuer  activement à la reconstruction et à la consolidation  de notre État. Cette solidarité internationale  renforce non seulement les liens diplomatiques,  mais témoigne également du respect mutuel et de  l’engagement partagé pour un avenir commun plus  prospère et sécurisé. 

AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES  LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES  

Le Conseil des Ministres a délibéré sur les Affaires  suivantes :  

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX 

∙ Projet d’Ordonnance modifiant la loi  organique n°017/2022 du 08 août 2022  portant ratification de l’Ordonnance  n°011/PR/2021 du 06 septembre 2021  portant loi organique fixant les attributions,  l’organisation, la composition et le  fonctionnement du Conseil Supérieur de la Magistrature.

La présente ordonnance modifie certaines dispositions de la loi organique n° 17/22 du 08  août 2022 concernant le Conseil Supérieur de la  Magistrature.  

Elle introduit des changements dans la composition, l’organisation, et le fonctionnement  du Conseil, notamment en matière de discipline  des Magistrats. Les Présidents de la Cour de cassation et de la Cour des Comptes présideront désormais de façon rotative.  

Le rôle du Secrétariat Permanent est renforcé,  assurant la gestion administrative, la préparation  des travaux et le suivi des décisions du Conseil.  De plus, des dispositions précisent les procédures  de saisine du Conseil de Discipline et le mode de  fonctionnement de ce dernier. L’ordonnance  prévoit également la création d’un nouvel article 21  bis pour encadrer les plaintes déposées contre les Magistrats par des personnes physiques ou morales.

∙ Projet d’Ordonnance modifiant la loi  n°040/2023 du 26 octobre 2023 portant  statut des Magistrats. 

La présente ordonnance modifie et complète  l’article 46 de la loi n° 040/2023 portant statut des  magistrats.  

Les modifications concernent la classification des  magistrats en différents groupes selon leurs  fonctions, avec une révision des postes inclus dans  les Groupes II, III, et VII.  

Parmi ces postes figurent, par exemple, les vice présidents de tribunaux, les juges d’instruction, les  présidents de tribunaux, ainsi que les hauts  responsables des juridictions supérieures comme le  Président de la Cour de Cassation et le Président  du Conseil d’État.  

MINISTERE DES COMPTES PUBLICS 

– Projet de loi de Règlement, Gestion 2022. 

En 2022, l’économie mondiale a été marquée par  un ralentissement en raison de l’inflation élevée et  des tensions géopolitiques, notamment la guerre en Ukraine. Malgré ce contexte difficile, l’économie  nationale a enregistré une croissance de +3% du  PIB réel, soutenue par les secteurs pétroliers (+3,3%) et non pétrolier (+2,9%). 

L’exécution de la loi de finances pour l’année  2022, arrêtée à 3 295,6 milliards FCFA, a montré  des résultats contrastés. D’une part, un excédent de  175,2 milliards FCFA a été enregistré sur les  opérations budgétaires, tandis que les opérations de  trésorerie et de financement ont affiché un déficit  de 311,9 milliards FCFA. Néanmoins, la  comptabilité générale a présenté un résultat positif  de 419,2 milliards FCFA, reflétant une gestion  budgétaire globalement favorable. 

Les recettes du budget général ont atteint 2  238,2 milliards FCFA, dépassant les prévisions  grâce à un taux de recouvrement de 107%. Ce  résultat a été principalement porté par les recettes  fiscales et d’autres sources de revenus, telles que  celles issues du domaine pétrolier. Les dépenses  budgétaires, quant à elles, ont été exécutées à hauteur de 2 236,2 milliards FCFA, soit 106% des  prévisions, avec une attention particulière portée  aux charges financières de la dette, au  fonctionnement et aux investissements. 

Malgré une bonne exécution des dépenses générales, les dépenses d’investissement sur ressources propres ont été moins performantes, atteignant seulement 55% des prévisions. Les projets financés par des ressources extérieures ont, pour leur part, enregistré un taux d’exécution de 73%. 

Sur le plan de la trésorerie et du financement,  les ressources mobilisées ont dépassé les attentes, atteignant 1 141,9 milliards FCFA contre une  prévision de 960,1 milliards FCFA, mais les charges correspondantes ont été exécutées à un niveau supérieur, entraînant un déficit notable. Les principales composantes de ces charges incluent  les amortissements de la dette extérieure, les prêts bancaires, et divers autres engagements financiers.

– Projet de loi de Finances Rectificative 2024. 

Le présent projet de budget qui formalise les Très  Hautes orientations de Monsieur le Président de la  Transition, Président de la République, Chef de  l’État, relatives à la refonte de la Constitution et à  la restauration de nos institutions, traduit  également le respect de nos engagements envers  nos partenaires techniques et financiers. 

Ce budget permettrait de matérialiser les axes  prioritaires de la vision de Monsieur le Président  de la Transition, Chef de l’État, le Général de  Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA.  Ainsi, les principaux objectifs poursuivis par le  PLFR 2024 concernent : 

– le soutien à l’optimisation des recettes, à  travers la mise en œuvre de mesures visant à  accroitre la performance des services fiscaux et  améliorer la collecte des recettes douanières ; 

– la réduction du train de vie de l’État par la  mise en œuvre des mesures concourant à  stabiliser la masse salariale (la prise en compte  de la renonciation au traitement de Président de  la République par le Président de la Transition, la réduction de la solde et du traitement  dévolue aux parlementaires ainsi que la  suppression de certaines structures à l’instar de  l’Autorité Nationale de Vérification et d’Audit  (ANAVEA) et du Haut- Commissariat de la  République ; 

– la lutte contre les sous-budgétisations des  dépenses inéluctables, en lien avec la volonté  du Président de la Transition de présenter un budget-vérité, améliorant ainsi la transparence  et la qualité de nos prévisions ; 

– la poursuite des chantiers notamment dans  les secteurs de la Route, de l’Éducation, de  la Santé, de l’Eau et de l’Énergie pour  redonner la dignité à nos compatriotes. 

Ainsi, les principales hypothèses sur lesquelles  repose le cadrage macroéconomique et budgétaire 2024 sont arrêtées comme suit : 

– une production pétrolière qui devrait  progresser de +3,4% à 11,4 millions de tonnes  métriques en 2024 contre 11 millions de tonnes  prévues à l’initiale ; 

– une amélioration du prix du baril du pétrole  gabonais de 9,7% à 79,0 USD en 2024 contre  72,0 USD le baril dans la loi de finances  initiale ;  

– une production de manganèse qui devrait  augmenter de 2,2% à 10,3 millions de tonnes  en 2024 après 11,1 millions de tonnes  initialement prévu ;  

– un prix de vente du manganèse en baisse de  24% à 134,1 dollars US la tonne en 2024  contre 176,5 dollars US prévu dans la loi de  finances initiale ;  

– une production de bois débité en hausse de  0,6% à 1,4 million de tonnes en 2024  comparativement aux prévisions initiales ;  

– une appréciation du taux de change du dollar  américain de 1,2% à 600,6 FCFA en 2024 par  rapport à 593,6 FCFA prévu dans la loi de  finances initiale. 

Sur la base des principales hypothèses arrêtées par  le cadrage macroéconomique et budgétaire, le  projet de budget de l’État est équilibré en recettes  et en dépenses à 4.493,4 milliards FCFA contre 4.162 milliards FCFA, soit une hausse de 331,4  milliards FCFA

S’agissant de Ressources, les recettes budgétaires  nettes qui comprennent les recettes du budget  général et celles des comptes spéciaux, sont  évaluées à 2.862,2 milliards FCFA contre 2.729,7  milliards FCFA arrêtées dans la LFI 2024, soit  une hausse de 132,5 milliards FCFA

Les recettes affectées aux tiers, constituées des  prélèvements au profit des collectivités locales  (26 384 951 566 FCFA), des organismes  internationaux (16 486 039 329 FCFA) et aux  établissements publics (65 151 481 409 FCFA)  s’établiraient à 108,0 milliards FCFA contre 105,2  milliards FCFA en LFI, soit une augmentation de  2,7 milliards FCFA

Quant aux ressources de trésorerie et de  financement, elles se chiffreraient à 1.523,3 milliards FCFA dans le projet de loi de finances  rectificative 2024 contre 1.327,1 milliards FCFA arrêtées dans la LFI, soit un accroissement de  196,2 milliards FCFA, imputable au recours à  l’émission de titres publics.

Les dépenses de l’État, nettes des affectations aux  tiers (108,0 milliards FCFA), évaluées à 4.385,5  milliards FCFA, sont reparties en dépenses  budgétaires (2.818,4 milliards FCFA) et en  charges de trésorerie et de financement (1.567,1  milliards FCFA). La charge pour l’État pour ce qui concerne le service de la dette se chiffre à 1.952,2 milliards FCFA, représentant une proportion de 44,5% des dépenses de l’État nettes  des affectations aux tiers. 

Les dépenses budgétaires, nettes des prélèvements  au profit des tiers, composées de celles du budget  général évaluées à 2.588,9 milliards FCFA et des  comptes spéciaux arrêtées à 229,5 milliards FCFA 

contre respectivement 2.331,2 milliards FCFA et  237,7 milliards FCFA, sont en augmentation de  249,6 milliards FCFA.  

Les dépenses du budget général, réparties entre 31  missions de politiques publiques, comprennent : 

– les charges financières de la dette qui se  décomposent en intérêts sur dette extérieure  et intérieure, seraient projetées à 388,4  milliards FCFA contre 378,4 milliards FCFA dans la loi de finances initiale, soit une  augmentation de 9,9 milliards FCFA 

– les dépenses de personnel se stabiliseraient  à 771,7 milliards FCFA. Elles se composent  de la solde permanente, des rémunérations  des autres catégories de salariés, des  vacations et des indemnités de sessions. Cette  stabilisation s’expliquerait par le maintien des mises en solde intervenues au second  semestre 2023 des agents publics (1.000  enseignants, 1.600 gardes républicains,  personnel médical, etc.) et les 8.000  régularisations des situations administratives  prévues en 2024 ; 

– les dépenses de biens et services connaîtraient une hausse de 40% par rapport  à l’initiale, pour s’établir à 396,6 milliards  FCFA au collectif budgétaire 2024. Cette  hausse s’expliquerait particulièrement par la  forte augmentation des dépenses liées au  référendum (+27 milliards FCFA), des  remboursements de la TVA (+30,7 milliards  FCFA) et des besoins additionnels de l’Administration publique (+48,0 milliards  FCFA) ; 

– les dépenses de transferts sont projetées à  393,3 milliards FCFA contre 352,2  milliards FCFA à l’initiale, soit une hausse  de 41,0 milliards FCFA. Cette variation  s’expliquerait principalement par le  relèvement du soutien aux prix des produits  pétroliers (+35,1 milliards FCFA) et par la  prise en compte des besoins additionnels de  l’Administration publique (+6,7 milliards  FCFA). 

Ces trois rubriques qui composent les dépenses de  fonctionnement de l’État représentent 60,3% des  dépenses du budget général. 

– les dépenses d’investissement s’établiraient  à 589,7 milliards FCFA contre 497,8  milliards de FCFA en loi de finances  initiale, soit une augmentation de 91,9  milliards FCFA. Cette hausse est une  conséquence de la prise en compte dans le  budget de l’État des dépenses prioritaires du CTRI au profit des secteurs de la route, de  l’éducation, de la santé et des transports ; 

– les autres dépenses, en hausse de 2,4  milliards FCFA par rapport à l’initiale, se  situeraient à 49,3 milliards FCFA. Cette  variation s’expliquerait principalement par la  restructuration des entreprises (+2,4 milliards  FCFA). 

Les comptes spéciaux, regroupés en 12 missions,  sont évalués à 229,5 milliards FCFA dont plus de la moitié consacrée aux comptes sociaux (127,0  milliards FCFA). Ils sont décomposés par titre  comme suit : 

– 17,5 milliards FCFA en dépenses de biens  et services, en baisse de 0,1 milliard FCFA  par rapport à l’initiale. Ces dépenses sont  destinées au développement du sport (-0,3  milliard FCFA) et à la salubrité publique (- 0,7 milliard FCFA) ;  

– 120,6 milliards FCFA en dépenses de  transferts, en baisse de 2,3 milliards FCFA  essentiellement expliqués par le Compte  d’Affectation Spécial Salubrité publique ;

– 81,4 milliards FCFA en dépenses  d’investissement, en baisse de 15,8 milliards  FCFA. L’entretien routier (-17,0 milliards  FCFA), la Salubrité publique (-0,5 milliard  FCFA et la promotion du sport (-0,3 milliard  FCFA) absorbent l’essentiel de cette  variation.  

En hausse de 5,3 %, les charges de trésorerie et  de financement se chiffreraient à 1.567,1 milliards FCFA contre 1.487,9 milliards FCFA en loi de finances initiale. L’essentiel de ces  charges est consacré à l’amortissement de la dette  soit 1.563,8 milliards FCFA, dont 775,6 milliards  FCFA pour la dette extérieure. 

MINISTERE DES EAUX ET FORETS 

– Projet de décret portant autorisation et  fixant les conditions d’exploitation du Kévazingo.  

Ce projet de décret vise à instaurer un cadre  réglementaire plus strict pour l’exploitation du  kévazingo, une essence forestière précieuse et  menacée. Il limite l’exploitation à des concessions aménagées de manière durable, renforce la  traçabilité grâce à un système de géoréférencement, et exige un permis CITES pour  l’exportation des produits finis.  

En favorisant la transformation locale, le décret  stimule le développement économique des régions  forestières et crée de nouvelles opportunités  d’emploi. Il contribue ainsi à la gestion durable des  forêts gabonaises et à la protection de la  biodiversité. 

MINISTERE DE L’HABITAT, DE  L’URBANISME ET DU CADASTRE  

– Adoption du projet d’ordonnance portant  réorganisation du Fonds National de  l’Habitat. 

Le présent projet vise à réaffecter le Fonds  National de l’Habitat (FNH) au Ministère de  l’Habitat, de l’Urbanisme et du Cadastre, ministère  en charge des politiques publiques en matière  d’habitat et de logement.

Créé par l’ordonnance n° 3/73 du 12 janvier  1973, le FNH avait pour objectif de faciliter le  financement des programmes de logement  social, notamment les infrastructures associées  telles que les voiries et les réseaux divers  (VRD). Cependant, depuis le décret n°  0450/PR/MDDEPIP de septembre 2016, les  ressources du FNH ont été intégrées à celles de la  Caisse de Dépôts et Consignations (CDC), limitant  ainsi sa capacité à accomplir pleinement ses  missions initiales. 

Cette réaffectation permettra au FNH de retrouver  son rôle central dans la mise en œuvre des  politiques publiques de l’habitat et de renforcer  l’efficacité des actions menées en faveur du  logement social. 

MINISTERE DU COMMERCE, DES  PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES,  DES PETITES ET MOYENNES  INDUSTRIES, CHARGE DES ACTIVITES  GENERATRICES DE REVENUS

– Adoption du projet de décret fixant les  modalités d’application des mesures de  prévention contre le commerce illicite des  produits de tabac en République Gabonaise. 

Ce projet de décret vise à intensifier la lutte contre  le commerce illicite du tabac en République  gabonaise.  

En instaurant un cadre réglementaire strict, il  régule la chaîne d’approvisionnement, de  l’importation à la vente. Le texte impose des  licences obligatoires, crée un registre national des  distributeurs et une liste des produits autorisés,  améliorant ainsi la traçabilité et prévenant les  activités illicites.  

Ce renforcement des contrôles vise à protéger la  santé publique et à réduire les pertes fiscales liées  au commerce illégal, tout en diminuant  l’attractivité du tabagisme. 

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE :

MINISTERE DE L’EDUCATION  NATIONALE, DE LA FORMATION  PROFESSIONNELLE CHARGE DE LA  FORMATION CIVIQUE 

Sur présentation du Ministre, le Conseil a pris acte  de la tenue de l’Atelier sur la mise en œuvre de la  Politique Nationale du manuel scolaire, qui s’est  déroulé du 29 au 31 juillet 2024. 

Cet atelier avait pour objectif de définir une  stratégie globale pour l’élaboration, la production  et la gestion des manuels scolaires gabonais, afin  d’en garantir la qualité, la  disponibilité, l’accessibilité et la pertinence par  rapport aux besoins des apprenants.  

C’est dans ce cadre que le Président de la  Transition a reçu des mains du Ministre, une  collection complète des « super-efficace » qui  s’inscrit dans le cadre de la généralisation de la  méthode Approche Par les Compétences (APC) au  primaire ainsi qu’un modèle de cahier de liaison  entre les parents et les établissements.  

Par ailleurs, le Ministre a présenté le nouveau  calendrier scolaire pour l’année 2024-2025. Ce calendrier s’inscrit dans le cadre de la mise en  œuvre de cette approche, qui vise à harmoniser les  méthodes d’enseignement et d’évaluation à tous les  niveaux du système éducatif. 

Les principales dates à retenir sont les suivantes : – Rentrée administrative : 26-31 août 2024 – Rentrée scolaire : 2 septembre 2024 

– Organisation en trois trimestres : 

o Premier trimestre : 2 septembre 2024 – 30  novembre 2024 

o Deuxième trimestre : 9 décembre 2024 – 8  mars 2025 

o Troisième trimestre : 17 mars 2025 – 31  mai 2025 

∙ Examens nationaux : 27 mai – 30 juin 2025 

Ce nouveau calendrier scolaire, qui prévoit neuf mois de cours et cinq semaines d’examens  nationaux, a été élaboré afin d’optimiser le temps d’apprentissage et de permettre une meilleure évaluation des compétences acquises par les élèves.

MINISTERE DES TRANSPORTS, DE LA MARINE MARCHANDE ET DE LA MER 

Sur présentation du Ministre, le Conseil a donné son accord pour la levée des mesures  conservatoires prises à la suite du naufrage du  navire Esther Miracle, survenu le 9 mars 2023.  

Il s’agit des mesures relatives à l’interdiction de navigation de nuit des navires passagers, ainsi qu’à  l’interdiction pour un navire de transporter  simultanément des passagers et des marchandises. 

Ces mesures avaient été mises en place pour  permettre à l’administration maritime, pendant et  après l’enquête sur le sinistre, d’effectuer une revue  globale de l’état physique et de la situation  juridique de l’ensemble des navires sous pavillon  national. De plus, elles visaient à instaurer un cadre  normatif garantissant une réponse nationale  efficace en cas de sinistre en mer. 

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE 

CABINET DU PRESIDENT DE LA  REPUBLIQUE 

– Conseillers Spéciaux du Président de la République :  

Mmes  

Marie-Annie Flore ZOUGA NGUEMA  Epse EYEGHE NDONG 

Yolande ABESSOLO Epse  NTOUTOUME EMANE 

– Attaché de Cabinet à la Présidence de la  République : 

  1. Walter Eldridge MEYE M’ONDO 

Il est mis fin aux fonctions du Colonel Albert WORA MOUSSOUNDA, précédemment  Conseiller du président de la République qui est  remis à la disposition de son administration d’origine.

SECRETARIAT GENERAL 

– Conseiller du Président de la République :  

Mme Marie Noeline HOUNDY Epse  ANGUILET. 

CONSEIL NATIONAL DE SECURITE 

– Conseiller du Président de la République : M.  Serge Robert MOMBEY 

– Attaché de Cabinet : Adjudant-Chef Major  NGOUNDA Brice. 

Par ailleurs, il est mis fins aux fonctions des  personnes dont les noms suivent et elles sont remises à la disposition de leur administration d’origine : 

– M. Freddy Hans Sacha NZE EKEKANG,  précédemment Conseiller du Président de la  République. 

– Commandant Gildas NYAMA FOUITY,  précédemment Secrétaire de Cabinet du  Président de la République.

VICE-PRIMATURE, MINISTERE DE LA PLANIFICATION ET DE LA PROSPECTIVE 

CABINET DU MINISTRE 

– Chargé d’Etudes : M. Rodney MBENG  EKOREZOK, en remplacement de M. Anicet OWOULA NGUI 

– Chargé de Missions : M. Jean Charles  NGOMBETSIA, en remplacement de M.  Thierry NZUE MINKO 

– Agent de Sécurité : M. Yannick MAMBENDA MOUPENDE 

INSPECTION GENERALE DES SERVICES 

– Inspecteurs des Services :  

Mmes 

Espérance METHE M’AUBAME 

Patricia MANGUILA BOUSSAMBA  

Fabienne Estaire MIKOLO Epse  NGALENDE

Mirabelle Nina MOUANDJOURI  KENGUE  

  1.  

Raoul NKOGHE MBA 

Paul MAPESSI 

– Chargés d’Etudes : Mme Djenny  MBELOMOYE 

MM 

Jean Robert KOUMBA 

Elvis MESSA ONDO 

SECRETARIAT GENERAL  

– Chargé d’Etudes : M. Yvan Albert MBABIRI 

DIRECTION CENTRALE DES RESSOURCES HUMAINES 

– Directeur : Mme Elvire Gwenaël REVAZA  ADJENDJA 

– Directeur Adjoint : M. Peggy Luigi  MINTO’O MI ESSONO

– Chef de Service Politique Sociale : Mme  Claude Ursul Helena SAO DJEMBO 

DIRECTION CENTRALE DES AFFAIRES JURIDIQUES 

– Directeur : M. Parfait Severin EDZANG  MINKO 

– Directeur Adjoint : M. Rodolphe ABESSOLO 

DIRECTION CENTRALE DE LA COMMUNICATION 

– Directeur : M. Bernicien BUSHEDY 

– Directeur Adjoint : M. Cédrick OBALA  OBOUNA 

DIRECTION CENTRALE DES SYSTEMES D’INFORMATION 

– Directeur : M. Thierry NKOROUNA 

– Directeur Adjoint : M. Firmin MENGUE M’ENGO

DIRECTION CENTRALE DES  STATISTIQUES ET DES ETUDES 

– Directeur Central : M. Maurice IGOUWE 

– Directeur Central Adjoint : M. Clotaire  BABENANGO 

SERVICE CENTRAL DU COURRIER – Chef de Service : Mme. Lauriane Flore  ABENG OBIANG 

DIRECTION GENERALE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE 

– Directeur Général Adjoint : M.  ONDOSSEKO Anicet-Cyr 

– Secrétaire Particulière : Mme Flore  MOUNGUENGUI 

– Chargés d’Etudes : 

Mme 

Emeline OBONE ONIANE 

  1.  

Jean Paul TSAMBI 

Wilfred OGNIAMI 

DIRECTION DES ETUDES ET DES  STATISTIQUES 

– Directeur des Etudes et des Statistiques : M.  Brice Alain ELEMY 

DIRECTION DES AMENAGEMENTS 

– Directeur : M. Eugène EMBO 

– Chef de Service des Aménagements : Mme  Emma Monique GOUIDA Epse  MAMAMPOUGOU  

– Chef de Service Cartographie : M. Macaire  MVONO EDZO 

– Chef de Service Contrôle : M. Gagnon  AMENOUDJI MESSAN 

DIRECTIONS PROVINCIALES

DIRECTION PROVINCIALE DE  L’ESTUAIRE 

– Directeur : Mme Virginie ZUE MOTO née  ZANG ESSONO 

– Chef de Service des Aménagements : Mme  Tatiana ESSENG ZOGO 

– Chef de Service Administratif et Financier : M.  MABIKA MBADINGA 

DIRECTION PROVINCIALE DU HAUT OGOOUE 

– Directeur : M. Jean Baptiste KARA  MAGNOUMBA 

– Chef de Service des Aménagements : M. Juste  OWOUMI OMBENA 

– Chef de Service Administratif et Financier :  Mme Ornella Erika MPRILOUO  OSSIADOUGOU  

DIRECTION PROVINCIALE DU MOYEN OGOOUE

– Directeur : M. Thierry Davy  BOUSSOUGOU 

– Chef de Service des Aménagements : Mme  DIBOUNGA NZATSIMBOU Epse  BOUSSOUGOU 

– Chef de Service Administratif et Financier :  Mme Angèle ADA EDOU 

DIRECTION PROVINCIALE DE LA  NGOUNIE 

– Directeur : M. Serge Masper MABOUMBA 

– Chef de Service des Aménagements : M. Eric  AKOUANGOU 

– Chef de Service Administratif et Financier :  Mme Marielle Corine BENDOME  ENGONE Epse MOUSSADJI 

DIRECTION PROVINCIALE DE LA  NYANGA 

– Directeur : Mme Mélina Audrey MAVIOGA  Epse BONDZANGA BWA BODINGA

– Chef de Service des Aménagements : M.  BONDZANGA BWA BODINGA 

– Chef de Service Administratif et Financier : M.  Paul Aimé MEZUI 

DIRECTION PROVINCIALE DE  L’OGOOUE-IVINDO 

– Directeur : M. Ernest Dewahou NZOUMBA  MOUEDY 

– Chef de Service des Aménagements : M.  Albert NTSOUORI 

– Chef de Service Administratif et Financier : M. Philippe NZAMBE 

DIRECTION PROVINCIALE DE  L’OGOOUE-LOLO 

– Directeur : M. Pierre Landry  NTOUTOUME 

– Chef de Service des Aménagements : M.  Christian Gaétan MANGOLO 

– Chef de Service Administratif et Financier : M.  Emile KAYI

DIRECTION PROVINCIALE DE  L’OGOOUE-MARITIME 

– Directeur : M. François d’Assisse  IBOUANGA 

– Chef de Service des Aménagements : M. Willy  MBABA BONGUI  

– Chef de Service Administratif et Financier : M.  Lewis MESSA NGUEMA 

DIRECTION PROVINCIALE DU WOLEU NTEM 

– Directeur : M. Parfait ONDO EDOU  

– Chef de Service des Aménagements : Mme  Aminata EBIMI SOUMARE 

– Chef de Service Administratif et Financier : M.  Armand MOULOMBA 

CENTRE DE DOCUMENTATION 

– Directeur : M. Aubert MINTSA MI-NDONG 

DIRECTION GENERALE DE LA PROSPECTIVE

– Chargés d’Etudes :  

  1.  

Jean Martin KOUNDA KIKI 

Cédrique MOUELY MOUELY  

Mme 

Estina Brindat ENGUINGORI EYINA 

– Secrétaire Particulière du Directeur Général :  Mme Fleur MAWORA  

– Secrétaire Particulière Directeur  Général Adjoint : Mme Zitha Lauriane  MOUNGOMO 

SERVICES D’APPUI 

– Chef de Service Règlementation : Mme  Pulchérie MENGUE MBENG Epse  NDONG  

– Chef de Service Ressources Humaines : Mme  Angéla Stéphanie ONGUID’AVOUMA Epse  BOUKOUANGOU 

– Chef de Service Courrier : Mme Promie  Hermine DJABESSA 

DIRECTION DES ETUDES  EXPLORATOIRES 

– Directeur : M. Augustin BOUASSA BU NZIGOU  

– Directeur Adjoint : M. Alain BOUSSOUGOU  NZAMBA 

– Chef de Service Prospective de la  Gouvernance : M. Chrysostome YIMI 

– Chef de Service Prospective Sociale : Mme  Mireille Benoite ABESSOLO 

– Chef de Service Prospective Territoriale et  Environnement : M. Charles Luiz  MAKOSSO RAPI 

– Chef de Service Prospective Economique et Financière : Mme Marina TENDA 

DIRECTION DU DEVELOPPEMENT

– Directeur : Mme Joane Fabienne OBIANG  NDONG  

– Directeur Adjoint : M. Jean Bosco Grant  MOUBECKA 

– Secrétaire Particulière : Mme Larissa  ANDJEMBE AMIRI  

– Chef de Service Suivi et Evaluation : M.  Steave NDZENG EDZO 

– Chef de Service Définition des Stratégies :  Mme Lise Flore ANZUE MIHINDOU  KOMBILA 

– Chef de Service Consultation et Concertation :  Mme Yolande MENGUE BEKOUNG Epse  MEYE MBA 

– Chef de Service Coopération au  Développement : Mme Alida RAPONO  ANTCHOUET 

DIRECTION DE LA PREVISION 

– Directeur : M. Charles Eric EMANE BIE 

– Directeur Adjoint : Mme Lessile  MOUSSODJI

– Chef de Service Veille Stratégique : M. Ulrich.  J MOUGOULA KOUMBA 

– Chef de Service Méthode et Modélisation : M.  Nathaniel Steve M’BEMI ABESSOLO 

– Chef de Service Analyse et Synthèses : Mme  Marys BOUSSOUGOU  

DIRECTION GENERALE DE LA  STATISTIQUE 

DIRECTION DE LA COMPTABILITE  NATIONALE 

– Directeur : M. Franck Armel MBA EYENE 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES,  CHARGE DE L’INTEGRATION SOUS REGIONALE ET DES GABONAIS DE L’ETRANGER 

CABINET DU MINISTRE

– Ambassadeur Itinérant : M. Jacques Fernand  BINENI YAKAYE 

COMMISSARIAT A L’INTEGRATION  REGIONALE 

– Directeur des Investissements Intégrés : M.  Clément MASSALA MANDONGAULT  

DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES  ETRANGERES 

– Chef de Division Europe Centrale et Orientale :  Mme. Lucette Angèle ZOKAMBA 

– Chef de Division Union Européenne : Mme.  Natacha OBONE ANGOUE 

DIRECTION GENERALE DE LA COOPERATION INTERNATIONALE 

– Ambassadeur, Directeur de la Coopération  Décentralisée, Institutionnelle et Humanitaire :  M. Lionel Arnaud MPAGA ROGOMBE

DIRECTION DE LA LOGISTIQUE DIPLOMATIQUE  

– Ambassadeur, Directeur de la Logistique  Diplomatique : Mme. Marie Céline  ANTSIENE 

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES DU JAPON 

– Premier Conseiller : Mme. Nanice TSIGUI 

– Conseiller Economique et Commercial : Mme.  Gilbert BOUKANI Epse BADJAME  

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LA REPUBLIQUE DE  CÔTE D’IVOIRE 

– Conseiller chargé des Affaires Consulaires et  Académiques : Mme. Vanessa Stéphanie  Simone PING APOQUE  

– Deuxième Conseiller, chargé du Secrétariat  Particulier de l’Ambassadeur : Mme. Arielle  Nany BIACEL Epse MWAMBI, en remplacement de Madame Carole Joséphine  OBISSA 

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LA REPUBLIQUE  DEMOCRATIQUE DU CONGO  

– Deuxième Conseiller chargé du Secrétariat  Particulier de Monsieur l’Ambassadeur :  Mme. Valérie MINKUE MI MBA 

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LA REPUBLIQUE  ARABE D’EGYPTE  

– Conseiller, chargé des Affaires Scientifiques,  Techniques, Institutionnelles et de la  Francophonie : M. Fabrice MOUGNAGA 

HAUT-COMMISSARIAT DE LA  REPUBLIQUE GABONAISE PRES LA  REPUBLIQUE FEDERALE DU NIGERIA 

– Deuxième Conseiller, chargé des Affaires  Economiques et Commerciales : M. Rodrigue Francis MBA, en remplacement M. Noël  TOMBI, Deuxième Conseiller, chargé des Affaires Consulaires et de la Chancellerie,  rappelé 

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LA REPUBLIQUE  D’AFRIQUE DU SUD  

– Conseiller chargé des Affaires Economiques :  M. Albert GOBY KAKO, en remplacement  de Monsieur Rodrigue Francis MBA, muté 

– Deuxième Conseiller chargé de la Chancellerie : Mme. Pricylle MINZEYE 

– Premier Secrétaire chargé du Secrétariat de  l’Ambassadeur : Mme. Dalya Astride NGONDE KENGUE 

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LA REPUBLIQUE  ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET  POPULAIRE

– Premier Conseiller : Mme. Antoinette  BOUANGA, en remplacement de Monsieur  Abel MOUKAYI, muté  

– Conseiller chargé de la Chancellerie : M.  Francis ODOUMOU  

HAUT-COMMISSARIAT DE LA  REPUBLIQUE GABONAISE PRES LA  REPUBLIQUE TOGOLAISE  

– Deuxième Conseiller, chargé du Secrétariat  Particulier de l’Ambassadeur : Mme. Nathalie  NSA NDONG  

AMBASSADE DU GABON PRES LA  REPUBLIQUE FEDERALE  DEMOCRATIQUE D’ETHIOPIE ET  REPRESENTATION PERMANENTE  AUPRES DE L’UNION AFRICAINE, LA CEA  ET LE PNUE 

– Ambassadeur, Représentant Permanent  Adjoint 1 : M. Sébastien NZIGOU  

– Conseiller Juridique : Mme. Barnesse ADA  NGUEMA 

– Conseiller Politique, Paix et Sécurité : Mme.  Prudence Simone MANDEME  MOUKENZA Epse ROZOUNGUET, en  remplacement de Monsieur Willy Leonel  SOUO, promu  

– Deuxième Conseiller chargé des Partenariats :  M. Didier Dimitri MOUYAMBA, en  remplacement de Madame Edith ESSONGUE  ADJHANOPOLO, mutée 

– Deuxième Conseiller chargé du Secrétariat de  l’Ambassadeur : Mme. Blanche Rachelle  MASSALANGHA 

MISSION PERMANENTE DU GABON  AUPRES DES NATIONS UNIES / NEW  YORK  

– Ambassadeur, Représentant permanent Adjoint  2, de la République Gabonaise auprès de  l’Autorité Internationale des Fonds Marins : Mme. Patricia Muriel DJELLA  OGANDANGA Epse ONDIAS OKOUMA

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LES ETATS UNIS  D’AMERIQUE / WASHINGTON DC 

– Premier Conseiller : M. Pierre ONIANE  NGUEMA  

– Conseiller Economique chargé de la  Chancellerie : Mme. Ghislaine REGNONGO  Epse BRAHIME 

– Deuxième Conseiller chargé de la  Chancellerie : M. Pierre Wilfried  AGONDJOT 

– Deuxième Conseiller chargé des Affaires  Consulaires et Culturelles : Mme. Maguy  OBOUNA OLOUO Epse LETSINA  OYOUMI 

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LA REPUBLIQUE  FERDERALE D’ALLEMAGNE  

– Deuxième Conseiller chargé des questions  culturelles : Mme. Marguerite Ghislaine  BOURDETTE, en remplacement de Monsieur Jean Félix EMBEDJAKOUA, remis à la  disposition de son administration d’origine  

MISSION PERMANENTE DE LA  REPUBLIQUE GABONAISE AUPRES DE  L’ONU A GENEVE (SUISSE)  

– Ambassadeur, Représentant Permanent  Adjoint 1 : Mme. Edwige KOUMBY  MISSAMBO 

– Ambassadeur, Représentant Permanent  Adjoint 2 : M. William Rodrigue NYAMA 

– Premier Conseiller : M. Luther Theddy  NGARI MOUTSOKO 

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LE ROYAUME  D’ARABIE SAOUDITE  

– Premier Secrétaire chargé de la Chancellerie :  M. Christian Jocelin MOSSALA DIPAGA

– Conseiller de l’Ambassadeur : M. Lewis NZENG OBAME  

– Conseiller Economique : M. Louis Stéphane  AUNOUVIET NZINGA  

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LE ROYAUME DE  BELGIQUE  

– Conseiller Economique : Mme. Marie  Augustine Cynthia MOMBO  

– Conseiller, chargé de l’OEAC et de la  Communication : M. Olivier MAKANGA  MAKANGA 

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LA REPUBLIQUE  TUNISIENNE  

– Conseiller, chargé des Affaires Consulaires et  de la Chancellerie : Mme. Inès Elvire  MBOUMBA DIBOUKA, en remplacement de Monsieur Marcel MOUANDZA MOMBO,  rappelé  

– Conseiller chargé des Affaires Culturelles : M.  Ulrich Casimir BITEGHE BI-NDONG, en  remplacement de Monsieur Franck AUBAME  ONDZAGHA, remis à la disposition de son  administration d’origine  

AMBASSADE DE LA REPUBLIQUE  GABONAISE PRES LA REPUBLIQUE  D’ANGOLA  

– Deuxième Conseiller chargé des Affaires  Economiques : Mme. Mariella Alda EFFIRE  EKOMIE  

CONSULAT DU GABON A NEW YORK  – Premier Vice-Consul : Mme. Julie  MOUNDOUBE MANFOUMBI  

CONSULAT DU GABON AU MALI 

– Consul Général : M. Jean-Clair ABIAGA  NDONG  

– Premier Vice-Consul : Mme Annie Françoise  MBIRA 

– Deuxième Vice-Consul : Mme. Fernande  BOUGHEMBE 

CONSULAT GENERAL DU GABON A BATA  (GUINEE EQUATORIALE) 

– Premier Vice-Consul : Mme. Judith NSE  BITEGHE 

– Deuxième Vice-Consul : Mme. Marlyse Ghislaine Nadège KONGO Epse  BITSINDOU  

CONSULAT GENERAL DU GABON EN ESPAGNE 

– Secrétaire : Mme. Marie Stella PANZOU  

MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE 

CABINET DU MINISTRE

CABINET CIVIL 

– Conseiller Diplomatique : M. Eugène William  MESSAN 

– Conseiller Communication : Mme Carline Sheilie LEMONO 

– Conseillers Techniques : 

Mme 

Ambroisine Guemaelle Sidonie AMBOUROUET 

  1.  

Bertin YANGA NGARY 

Rostand LEPONDO 

Saint Thomas Tholeck LECKOGO EKOUNDA 

Christel Donald ABESSOLO  METHOGO 

Damas KAKOUDJA 

Hans Paterne OKINGUI EBOULI 

Jean OSSIE OTOUNGA 

Henri-Charles BABONNEAU 

Aristide Saturnin LOUMBANGOYE 

François Hans MEYE ANGO

Jed Brandon Waren Omniamy  ONANGA 

Albert GOBY KAKO 

– Chargés d’Etudes 

Mme 

                 o Clarisse Cinthia KADIDJA MEYOUGA 

  1.  

Igor Germain KAKOUA 

Ted Hotland Walden NDJILEKISSA  NDIMBA 

– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet  Civil : Commandant MOUSSOUNDA  KOMBI Sidonie 

– Chef du Protocole : M. Frey Aldo MOUSSAVOU 

CABINET MILITAIRE 

– Directeur de Cabinet : Général de Division Aérienne KOYI Félicien 

– Chef de Cabinet : Lieutenant-Colonel MYINDU Louis Ghislain

– Conseiller chargé de la Coordination Inter  Forces : Général de Brigade NGOUONI  Macaire 

– Conseiller chargé des Affaires Juridiques :  Général de Brigade NYNGOMANDA  RENOMBO Elisabeth 

– Conseiller chargé de la Sécurité Civile :  Général de Brigade MBADINGA Marius 

– Conseiller chargé de la Stratégie Militaire :  Général de Brigade DELICAT ANSELME  Léopold 

– Conseiller chargé des Affaires Sociales et de la  Condition Militaire : Général de Brigade  OBAME TATY Jean-Claude 

– Conseiller chargé de la Sécurité Intérieure :  Colonel ZUE EDZANG Ernest 

– Conseiller Santé des Forces de Défense :  Médecin Colonel GUEDON MBETE Guy  Lionel 

– Conseiller chargé des Affaires Financières :  Colonel LENDOYE Brice

– Conseiller chargé des Grands Projets :  Commandant MANIONY MANGAMA  Théodore 

– Secrétaire Particulière du Ministre :  Commandant LENDOYE Justine 

– Secrétaire Particulière du Directeur de  Cabinet Militaire : Capitaine MOUCKAGNI  Anouchca Gisèle 

– Chargés d’Etudes : 

Lieutenant NGUEMBI MBADINGA  Acheley Yorick 

Lieutenant LEKOGHO Vincent  

Lieutenant GNAMALENOUNGOU  Edna Channa 

Lieutenant MICKOTO MPIGA  Marisca Dorothy 

ETAT-MAJOR GENERAL DES FORCES  ARMEES 

– Chef d’Etat-Major Général des Forces Armées  Adjoint, chargé des Opérations : Général de Brigade MBONDO Landry, Confirmé

– Chef d’Etat-Major Général des Forces Armées  Adjoint, chargé des Personnels et de la  Logistique : Général de Brigade Aérienne  FERRAO Hugues, Confirmé 

– Inspecteur des Services Administratifs et  Financiers : Commissaire Général de  Brigade NGAMAMBA Guy Georges 

MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DE LA  SECURITE 

DELEGATION SPECIALE DE LA  COMMUNE DE LIBREVILLE 

CABINET DU DELEGUE SPECIAL – Conseiller : M. Christian ENGOH 

GOUVERNORAT DU WOLEU-NTEM

 – Conseiller du Gouverneur : Mme Bernadette  AYINGONE ASSOGO 

– Secrétaire Général de Province : M.  Hyacinthe EYI NDONG

– Secrétaire Général de Préfecture : M.  Victorien NGUEMA ONDO 

CLEAN AFRICA 

DIRECTION GENERALE 

– Directeur Général Adjoint : M. Olivier MEBIAME ASSAME 

MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES PARTICIPATIONS 

UNION GABONAISE DE BANQUE (UGB) 

– Directeur Général Adjoint : Mme Gisèle OKOME EBANEGA 

MINISTERE DES TRAVAUX PUBLICS 

FONDS AUTONOME NATIONAL D’ENTRETIEN ROUTIER (FANER) 

DIRECTION GENERALE

– Directeur Général Adjoint : M. Jean Pierre  BINGOUE 

MINISTERE DE L’ENERGIE ET DES  RESSOURCES HYDRAULLIQUES 

SOCIETE D’EAU ET D’ENERGIE DU  GABON (SEEG) 

ADMINISTRATION PROVISOIRE 

– Administrateur Provisoire : M. Jean Liévin  IDOUNDOU 

– Représentant du CTRI en charge du suivi du  Plan Transfo 25 : Général de Brigade ASSEKO BEKOGO Jean-François 

– Inspecteur Général des Services Audit et Contrôle : Mme Anouchka EKOME 

– Directeur Technique : M. Arna NDOUTOUME MINTO’O 

– Directeur Technique Adjoint 1 en charge de l’Electricité : M. Wenceslas KOUMBA

– Directeur Technique Adjoint 2 en charge de  l’Eau : M. Roland MAVOUNGOU 

– Directeur Financier et Comptable : Colonel  NZE NDONG Stéphane 

– Directeur des Systèmes d’Information et de la  Digitalisation : M. Sébastien MBOT 

– Directeur de la Sécurité des Infrastructures et  Fraudes : Colonel Félicien MOUKETOU 

– Directeur Juridique et Contentieux : Mme Olivia DJOUASSA 

– Directeur Clientèle et Ventes : M. Georges  TIGOUE 

– Directeur des Ressources Humaines : Mme  Auriane Joséphine AUNOUVIET POUA  Epse MBUY IBOUTSI 

– Directeur Commercial et Marketing : Mme Reine NINGA 

– Directeur Qualité, Hygiène, Sécurité et  Environnement : M. Yan Yelnick  NDJOUNGUE

MINISTERE DES EAUX ET FORETS 

INSPECTION GÉNÉRALE DES SERVICES 

– Inspecteur Général des Services : M. Félicien Joël BODINGA 

– Inspecteur Général Adjoint : Mme Clémence ELLA ASSA 

SECRETARIAT GENERAL 

– Secrétaire Général Adjoint : Mme Nina Calista SAMAKE épouse KABOUBI WANIYELE 

– Secrétaire Particulière : Mme Rose Marthe  OSSOUKA ANDJEMBET 

– Chargé d’Etudes : Mme Charlène Nica DIMA  DIBOUNGA épouse NDIMBANGOYE 

DIRECTION GENERALE DES FORETS 

– Secrétaire Particulière du Directeur Général :  Mme Fernande MANGA.

– Chargé d’Etudes :  

Mmes 

Ina AYISSATOU 

Anastasie MOUNANGA  BOUDZANGA épouse INDJIELEY  

Cathy BELLA épouse MANGUEDJI 

M. Pamphile MBOULOU ASSOUMOU 

DIRECTION DU DEVELOPPEMENT DES FORETS 

– Directeur du Développement des Forêts : M.  Jacques KAMFOUGA 

– Chef de Service Aménagement et Certification : M. Thérence Teddy EDOU 

– Chef de Service des Permis Forestiers : M.  Freddy NGUEMA ALLOGHO 

– Chef de Service des Mécanismes du  Développement Propre : M. Franck-Fernand  NGOUA ESSONO

– Chef de Service Inventaires Forestiers : M.  Dany Junior TONG 

– Chef de Service Régénération : M. Ulrich  Thibaut BACHOYI NDJOUMBI 

DIRECTION DES FORETS  COMMUNAUTAIRES  

– Directeur des Forets Communautaires : Mme  Eléonore ADA NDOUTOUME épouse  EKANG 

– Chef de Service Agroforesterie : M. Anicet  Wulfran MAVOUNGOU 

– Chef de Service de Développement des Forêts  Communautaires : M. Thibault LEVINDA 

– Chef de Service des Inventaires Multi Ressources : Mme Patricia MANOMBA  MBINA épouse MBOUTSOU MATOKA

– Chef de Service de la Promotion de  l’Agroforesterie : M. Clarence Sydney  NANG 

– Chef de Service du Personnel et des Affaires  Administratives : Mme. Chagryne d’Amour  ANGUEZOME MVE. 

– Chef de Service Financier et Comptable : M.  Serge Julot NGUEMA ASSEKO 

DIRECTION DES ETUDES, DE LA  PROGRAMMATION DE LA  REGLEMENTATION ET DE LA  COMMUNICATION 

– Directeur des Etudes, de la Programmation de  la Réglementation et de la Communication : M. Jean-Claude MATIBA 

– Chef de Service de la Réglementation et du  Contentieux : M. Eurol Luce MAPAHA 

– Chef de Service Cartographie : M. Freddy  MAKILOUTILA

– Chef de Service Etudes et Programmation: M.  Boris Cabral WAKONGO NZAMBA 

– Chef de Service Documentation et  Communication : Mme Emeline  BIGNOUMBA BINGUIBE épouse  ASSOUMOU 

DIRECTION GENERALE DES INDUSTRIES 

– Directeur Général Adjoint des Industries :  Mme Natacha Ermence NSI BENGONE  épouse ABIAGA 

– Secrétaire Particulière du Directeur Général :  Mme Alice BIBINA 

– Chargés d’Etudes : Mme Prudence EYA  EKO 

  1.  

∙ Jérôme INENGUE 

∙ Maurice Steed MVE AKUE  

∙ Serge KABOUBI WANIYELE

DIRECTION DES INDUSTRIES ET DU  COMMERCE DU BOIS 

– Directeur des Industries et du Commerce du  Bois : M. Paulin Franck MBENE  OTSAGHA 

DIRECTION DE LA VALORISATION DES  REBUTS INDUSTRIELS DU BOIS ET DE LA  PROMOTION DES BIOENERGIES 

– Directeur de la Valorisation des Rébus  Industriels du Bois et de la Promotion des  Bioénergies : M. Idris Jendry OBISSA 

– Chef de Service des Normes et de la  Classification du Bois : M. Alyas Aimé  LIBESHY MOUDENDA 

– Chef de Service de la Classification des Rébus  Industriels du Bois et de la Promotion des  Bioénergies : Mme Nadia  SOULOUNGANGA épouse NGAMA

DIRECTION DE LA VALORISATION DES  PRODUITS FORESTIERS AUTRES QUE LE  BOIS D’ŒUVRE  

– Directeur de la Valorisation des Produits  Autres que le Bois d’Œuvre : Mme Florence  AMIA épouse MINKO 

– Chef de Service du Commerce, de la  Promotion de la Valorisation des Produits  Forestiers autres que le bois d’œuvre : Mme  Félicité ABONZOK EFFONE épouse  BEKALE 

– Chef de Service des Normes et Classifications  des Produits Forestiers autres que le bois  d’œuvre : Mme Darmelia MOUGUIAMA 

– Chef de Service des Inventaires des Produits  Forestiers autres que le bois d’œuvre : Mme  Sergaty Elsa TSANGUILA SOUVI 

DIRECTION DES ETUDES, DE LA  PROGRAMMATION DE LA  REGLEMENTATION ET DE LA  COMMUNICATION

– Directeur des Etudes, de la Programmation de  la Réglementation et de la Communication : M. Jean-Christophe IGABOUGHI  MOUDOUMA 

– Chef de Service des Etudes, de la  Programmation : M. Michel ELLA MVE 

– Chef de Service du Personnel et des Affaires  Administratives : Mme Charielle OSSIMANTOH Epouse KIMINA  BILONGO 

– Chef de Service Financier et Comptable : M.  Trésor LAWSON OGOULA 

– Chef de Service Etudes : M. Rose Vana  LEIDJET KAMBOULOU 

DIRECTION PROVINCIALES,  CANTONNEMENTS ET BRIGADES 

ESTUAIRE (DP1)

– Directeur Provincial de l’Estuaire : M. Martial  EYI AKWE. 

– Directeur du Commerce des Produits  Cynégetiques : M. Léopold OBAME  NGUEMA. 

– Chef de Cantonnement de Kango : M.  Christophe Harris RAPONDA. 

– Chef de Cantonnement de Cocobeach : M.  Henri Paul MOUYEBESSI. 

– Chef de Brigade de Contrôle des Produits  Forestiers de Ntoum : M. Marc Alain  ENGANGOYE MBUNGU 

– Brigade de Nkok, Chef de Brigade : M.  Efferol MACHOPO 

– Brigade de la M’voum, Chef de Brigade : M.  Eric Sylver YAMBIMBI BELANGOYE

– Brigade d’Ekouk, Chef de Brigade : M. Ruffin  EBOUMOUTO 

– Brigade de Ndouaniang, Chef de Brigade : M.  Justin BOBEBE OTSAGA 

– Brigade de Komo Océan, Chef de Brigade : M.  Agaton Sylvain BOULONDO MAKITA 

– Brigade Sud Komo, Chef de Brigade : Mme  Audrey LEYISSIKA YOUGALEMI 

HAUT-OGOOUE (DP2) 

– Directeur Provincial du Haut-Ogooué : M.  Léonard BOUNGUEMBE. 

– Chef de Cantonnement de Moanda : M.  Joachim AKONO NDONG 

– Chef de Cantonnement d’Okondja : M. Didier  MBADINGA

– Chef de Cantonnement de Boumango : M.  Yves NDOUMOU 

– Chef de Cantonnement de Léconi : Mme  Patricia Josiane AKOTA DOWE 

– Chef de Cantonnement de Bakoumba : M.  Cédric DOUCKAGA DOUCKAGA 

– Chef de Brigade de Contrôle du Port Sec : M.  Guy Noé NDOGOU 

MOYEN-OGOOUE (DP3) 

– Directeur Provincial : M. Victor  MAMFOUMBI

– Chef de Cantonnement de Ndjolé : Mme  Frédérique Françoise MEZENE-ME NDONG 

– Chef de Brigade des Lacs du Sud : M. Junior  PEME 

NGOUNIE (DP4) 

– Directeur Provincial : M. Louis Sosthène  NDONG OBIANG 

– Chef de Cantonnement de Fougamou : M.  Landry NGUIMBI 

– Chef de Cantonnement de Mandji : M.  Yannick FAUSTHER AWORET 

– Chef de Cantonnement de Nzenzelé : M.  Calixte Aurel BOBO TSAMBA

– Chef de Cantonnement de Lébamba : M.  Nogaret MVE ELLA 

– Chef de Cantonnement de Malinga : M. Armel  OKOTA AKOYET 

– Chef de Cantonnement de Ndende : M. Alban  NDO’O MBA MINTSA 

NYANGA (DP5) 

– Directeur Provincial : M. Didier ATOME  BIBANG 

– Chef de Cantonnement de Mayumba : M.  Mathias MALOUMBI 

– Chef de Cantonnement de Moabi : M. Fabrice  Anicet ONANANTSOUORI 

– Chef de Cantonnement de Mabanda : M.  Jacques Régis Anselme KASSELE

– Chef de Cantonnement de Moulingui-Binza :  M. Etienne Junior MENGARA 

OGOOUE-IVINDO (DP6) 

– Directeur Provincial : M. Donatien  MOUNGALA 

– Chef de Cantonnement de Booué : M. Serge  Morel MANEMBE 

– Chef de Cantonnement de Mekambo : M.  Gislain MAKITA INDZANDO 

– Chef de Cantonnement d’Ovan: M. Raymond  PENDI 

OGOOUE-LOLO (DP7)

– Directeur Provincial : Mme Ingrid  ONTOULA 

– Chef de Cantonnement de Lastourville : M.  Ronny Axel LITONA BOUBEYA 

– Chef de Cantonnement d’Iboundji : M.  Bertrand NZARIKOKE 

– Chef de Cantonnement de Pana : M. Arnaud  Martial MBOUTSOU MATOKA 

– Chef de Brigade Port Sec de Lastourville : M.  Viannet MIHINDOU 

OGOOUE-MARITIME (DP8) 

– Directeur Provincial : M. Victor Shirley  MAMFOUMBI 

– Chef de Cantonnement d’Omboué : M.  Honore NKOUELI MABIKA

– Chef de Brigade Port Sec de Port-Gentil : M.  Jean Jacques MOUNANGA 

– Chef de Brigade Gamba : M. Josélite Malot  ONDO 

– Chef de Brigade d’Iguéla : M. Casimir  MOUKAGNI 

WOLEU-NTEM (DP9) 

– Directeur Provincial : M. Thierry NDONG  NSO 

– Chef de Cantonnement de Mitzic : M. Gildas  Claude YABA. 

– Chef de Cantonnement de Bitam : M. Ange  Bertrand FAMA OYONO.

– Chef de Cantonnement de Medouneu : M.  Georges GUIBINGA. 

– Chef de Cantonnement de Bolossoville: M.  Patrick Arnaud EVOUNA ANGO BILIE 

– Chef de Cantonnement de Minvoul: Mme  Anasthasie BILO’O B’ONDO épouse EYA 

– Chef de Brigade de Lalara/ Viafe : M. Etienne  MOULENZI BAGAFOU 

AGENCE D’EXECUTION DES ACTIVITES DE  LA FILIERE FORET-BOIS 

– Conseiller Technique : M. Alain Fernand  SAUTTAH 

– Directeur des Etudes : M. Idriss Roméo  EMANE

– Chargés d’Etudes : 

  1.  

∙ Axel Joffrey MAVOUNGOU en remplacement de M. BIONG Sylvestre ∙ Guy Landry NKOLA EDOWIZA 

– Chef de Service Aménagement à l’Agence  d’Exécution des Activités de la Filière Forêt Bois : Mme. Valérie Olympia EYENBIANG  NDONG épouse MBOUMBA MOUSSAVOU 

– Chef de Service Relations Publiques et  Extérieures : M. Romaric-Ulrich ESSONO 

– Chef de Service Informatique : Mme Béatrice  ADJHANOPOLO 

– Agent de Sécurité : Adjudant-Chef  KENGUELE MIVILA Lié Merlin

AGENCE NATIONALE DES PARCS NATIONAUX 

– Secrétaire Exécutif Adjoint : Mme Lucrèce BADJINA DOUKAGA épouse AFANE 

– Conseiller en Système d’Informations : M.  Fulbert WORA 

– Conseiller en Organisation et Management :  Mme Anny Florence MAROGA  

– Conseiller Audit et Contrôle Internes : M. Jean Remy NSO AMIENG 

– Directeur Adjoint des Ressources Humaines :  M. Farel OLAGHOU AUDRY 

– Directeur Financier Adjoint : M. Wilfried de  SOUZA MBOUTSOU 

– Directeur de la Communication : M.  Christophe MABIKA

– Directeur Adjoint de la Communication : M.  Zéphir AMAEL 

– Conservateur, Directeur du Parc et  Gestionnaire du Site RAMSAR des Monts  Birougou : M. Gildas Aimé  LENDJOUNGOU, en remplacement de M.  Gildas Gaël OBAME ESSONO 

– Conservateur, Directeur du Parc National des  Plateaux Batéké: M. Yves MIHINDOU en remplacement de Monsieur Hermann YOBO  NZENGUE 

– Conservateur, Directeur du Parc National de  l’Ivindo, Gestionnaire du site Patrimoine  mondial UNESCO et du site RAMSAR des  chutes et rapides de l’Ivindo: M. Hermann  Willy MAGANGA BANDJOUTSI 

– Conservateur, Directeur du Parc National de  Mayumba, chargé du Parc Marin de  l’embouchure de la Banio et de la Réserve  aquatique du Grand Sud du Gabon: M. Cédric  Féréol MOULOUNGUI, en remplacement de  M. Gilbert MOUKANGA

– Conservateur, Directeur du Parc National de  Loango, chargé des Parcs marins des  embouchures d’Iguéla et de Sette-Cama, des  Réserves Aquatiques de Koumandji et de  Tchatamba, Gestionnaire des sites Ramsar de  Sette- Cama et de Petit Loango: M. Stecy  Brice MOUELE BOUCKA, en remplacement  de M. Wynand Freidirick WILJOEM 

– Conservateur, Directeur du Parc National de  Mwagna: M. Guy IBINGA SANA, en  remplacement de M. Symplice OKOYE  

– Conservateur, Directeur du Parc National de  Minkébé: M. Gildas Gaël OBAME  ESSONO, en remplacement de M. Christian  REMBEYO 

– Conservateur, Directeur du Parc National de  Waka: Mme Andréa MINKUE épouse  BIONG, en remplacement de M. Guy IBINGA  SANA 

– Conservateur, Directeur du Parc National de la  Lopé, Gestionnaire du site Patrimoine mondial  UNESCO et des ensembles historiques : M. 

Clément MBOUMBA MBADINGA, en  remplacement de M. Guy Modeste MENGUE  M’EKO 

– Conservateur, Directeur du Parc National des  Monts de Cristal: M. Josué EDZANG  NDONG 

– Conservateur, Directeur du Parc Marin du Cap  Lopez, des Embouchures d’Ozouri et d’Olende  et des Réserves aquatiques du Delta de  l’Ogooué, de Mandji-Etimboué et des Canyon  du Cap Lopez : M. Luc Patrick EVEZO’O,  en remplacement de M. Karl Stecy  DITENGOU. 

– Conservateur, Directeur du Parc National de  Pongara, chargé du Parc Marin de la Pointe  Denis : M. Stéphane MBOUMBA  LOUEMBET 

– Conservateur, Directeur du Parc National  d’Akanda, chargé du Parc Marin de l’ile  Mbanié et des Réserves Aquatiques du Cap- Estérias et du Caillou : M. Nestor BOUENGUE, en remplacement de de M. Luc Patrick EVEZO’O

–  Gestionnaire de l’Arboretum Raponda Walker : Mme Antoinette ISSEMBE OWANGA.

–  Gestionnaire du Site RAMSAR du Bas Ogooué : M. Guy Philippe SOUNGUET.

MINISTERE DES TRANSPORTS, DE LA MARINE MARCHANDE ET DE LA MER

DIRECTION GENERALE DE LA MARINE MARCHANDE

– Directeur

Général : M. Jean Cruz LESSAGUI.

Je vous remercie.

Pour nous contacter: c o n t a c t [@] lenouveaugabon . c o m

Please publish modules in offcanvas position.