L’élection pour le renouvellement du bureau national de la Chambre de commerce de l’agriculture, de l’industrie des mines et de l’artisanat du Gabon (Ccaimag) n’aura plus lieu le 10 juin comme elle était initialement prévue. Le ministre gabonais du Commerce et des PME, Yves Fernand Manfoumbi, l'a annoncé le 7 juin dernier au cours d’une conférence de presse.
Deux raisons principales sont à l’origine de ce report. « Je suis allé à Port-Gentil et Franceville parmi les préoccupations, les délais paraissaient toujours très courts et j’ai pensé qu’il était important de tenir compte des préoccupations soulevées par les opérateurs économiques », a déclaré Yves Fernand Manfoumbi.
Le membre du gouvernement et président de la commission électorale évoque également la situation qui prévaut au sein du patronat gabonais. Notamment à la Confédération patronale gabonaise (CPG), cet instrument qui permet de réunir les hommes d’affaires et les grandes entreprises connait en effet une crise. « Je pense que la sagesse commande qu’on en tienne compte », a-t-il ajouté.
Le nouveau calendrier électoral a été établi par le président de la commission électorale, Yves Fernand Manfoumbi. L’élection des membres de l’assemblée générale se tiendra le 4 novembre 2022 et celle du bureau national le 11 novembre 2022. Toutefois, le processus d’adhésion et la campagne suivent leur cours normal jusqu’au 31 août 2022.
En attendant la mise en place du nouveau bureau, le sortant dont le mandat a expiré depuis 7 ans va continuer à gérer la Chambre de commerce.
Brice Gotoa
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Selon le ministère de la Justice du Gabon, « toutes les dispositions ont été prises pour que monsieur Brice Laccruche Alihanga soit pris en charge ». En effet, on apprend de cette institution que l’ancien directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba, condamné à 5 ans d’emprisonnement pour faux et usage de faux, le 29 octobre 2021 par le tribunal correctionnel de Libreville, a été conduit à l’hôpital des instructions des armées. Ce transfert s’est fait, précise-t-on, en présence du directeur et du médecin de la prison centrale ainsi que de madame Tavarez du service social du consulat de France, expressément mandaté par l’ambassadeur de France au Gabon.
La même source ajoute que Brice Laccruche Alihanga a effectué une série d’examens au sein de la structure hospitalière : bilan sanguin, radiologie et scanners. Et au regard des symptômes évoqués par lui-même, les médecins lui ont proposé de faire une coloscopie. Mais le condamné aurait refusé d’effectuer cet examen d’imagerie médicale qui permet de visualiser la paroi interne du côlon. En outre, apprend-on, au regard des résultats de ces examens, les médecins de la prison centrale ont conclu que l’état de santé du détenu ne présenterait « aucune gravité particulière nécessitant une prise en charge hospitalière permanente et qu’il ne pouvait, à l’heure actuelle, déterminer s’il y a un risque de tumeur cancéreuse (en l’absence d’une coloscopie et d’une fibroscopie) ».
L’avocat de Brice Laccruche a déclaré, le 4 juin dernier, dans le Journal du Dimanche en France, que les autorités gabonaises refuseraient une évacuation sanitaire à M. Alihanga alors qu’il souffrirait de tumeur cancéreuse. Pour les autorités gabonaises, l’insistance de la défense à vouloir faire évacuer Brice Laccruche Alihanga en France ressemble à une manœuvre visant le soustraire à sa peine privative de liberté au Gabon.
En effet, jugé depuis le mois d’avril 2021 pour faux et usage de faux, Brice Laccruche Alihanga a été condamné en octobre 2021 pour avoir menti sur l’identité de son père. Selon le ministère public, l’accusé, qui bénéficie de la nationalité gabonaise du fait de la naturalisation de sa mère suite à son mariage avec Alihanga, avait saisi le tribunal de Franceville en 2004 pour ajouter le nom Alihanga à son identité, affirmant que c’est le nom de son grand-père. Pourtant, il n’en était rien. Ce stratagème visait à lui conférer la « nationalité de sang », nécessaire pour être éligible à présidence de la République au Gabon.
Des sources judiciaires indiquent que l’ancien chef de cabinet du président de la République pourrait bientôt répondre de nouveaux chefs d’accusation devant le tribunal de Libreville. Ils porteraient cette fois-ci sur des faits de détournements des fonds publics.
Sylvain Andzongo
Le président de la République est à Franceville dans le Haut-Ogooué. Il va assister au match qui oppose ce 8 juin, l’équipe nationale gabonaise de football à celle de Mauritanie, dans le cadre des éliminatoires de la CAN Côte d’Ivoire 2023.
Au cours de ce séjour, le chef de l’État a reçu mardi le onze national. « Je tenais à les féliciter très chaleureusement pour leur exploit samedi face à la RDC et à les encourager pour le match du jour face à la Mauritanie. Je serai d’ailleurs au stade ce soir pour les supporter. Je veillerai, par ailleurs, à ce que cette équipe, si valeureuse, bénéficie d’un niveau d’encadrement à la hauteur de son potentiel », a affirmé Ali Bongo Ondimba sur sa page Facebook.
Ce match va compter pour la deuxième journée des éliminatoires de la CAN 2023. Lors de la première journée, le Gabon s’est imposé face à la République démocratique du Congo sur un score étriqué de 1 but contre 0.
SG
Le gouvernement gabonais a validé ce 7 juin 2022 en conseil des ministres, un projet de loi visant à modifier la loi de finances 2022. Ce projet propose une augmentation du budget 2022 de 359 milliards FCFA. Équilibré en ressources et en charges, ce budget pourrait ainsi passer de 2936,6 milliards FCFA à 3295,6 milliards FCFA dans la loi de finances rectificative à soumettre un vote parlementaire.
Dans cette enveloppe, le gouvernement évalue les recettes budgétaires à 2239,4 milliards FCFA contre 1924,6 milliards FCFA arrêtés dans la loi de finances initiale, soit une hausse de 314, 8 milliards FCFA, résultant essentiellement des revenus du secteur pétrolier. Aussi, les recettes affectées aux collectivités locales, aux organismes internationaux et aux établissements publics augmentent de 4,4 milliards FCFA.
Les Ressources de trésorerie et de financement quant à elles se chiffrent à 960,1 milliards FCFA dans le projet gouvernemental, contre 920,3 milliards FCFA arrêtées dans la loi de finances initiale, soit un accroissement de 39,8 milliards FCFA, en lien avec les appuis budgétaires du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque africaine de développement (BAD) ainsi que l’émission de titres publics.
Pour ce qui est des dépenses, les dépenses budgétaires (hors dépenses affectées aux tiers) sont majorées de 109,7 milliards de FCFA et passent de 1992,5 milliards FCFA dans la loi de finances initiale à 2102,2 milliards FCFA. Cette hausse concerne les charges financières de la dette, les dépenses de fonctionnement, les dépenses d’investissement.
Cette proposition de loi rectificative est consécutive à la hausse des prix mondiaux des carburants et de la farine. Le Gabon espère également accroître sa production pétrolière ainsi que celle du manganèse.
Sandrine Gaingne
Le Gabon vient de relancer le projet de création d’un Centre de prise en charge des enfants autistes et trisomiques. Il s’agit ici d’enfants souffrant de troubles du développement qui se manifestent par une altération de la communication et des interactions sociales.
En effet, le gouvernement réuni en conseil des ministres le 7 juin à Libreville a adopté un projet de décret portant création, attributions, organisation et fonctionnement du Centre national de prise en charge de ces enfants malades. « Ce projet de décret, qui s’inscrit dans le cadre de la politique du gouvernement en faveur de l’inclusion sociale des couches vulnérables, vise à rendre opérationnel le Centre national de prise en charge des enfants autistes et trisomiques dénommé Centre Ndossi et Akomgha, situé dans la ville d’Akanda, chef-lieu de la province de l’Estuaire », apprend-on.
Dans la prospective, le Centre Ndossi et Akomgha est notamment chargé : d’assurer la prise en charge de l’autisme et de la trisomie au niveau éducatif, social, psychologique et médical ; de favoriser l’épanouissement et l’autonomie de l’enfant autiste ou trisomique ; d’établir des partenariats avec les administrations et organismes intéressés ; de sensibiliser sur l’existence des phénomènes d’autisme et de trisomie. Pour son fonctionnement, ledit établissement comprend : le service administratif, matériel, financier et statistique ; le service éducatif ; le service social ; le service médical et paramédical.
Il faut noter que c’est au moins la deuxième fois que le gouvernement gabonais adopte un projet de texte relatif à la création d’un Centre de prise en charge des enfants autistes. Tel avait été déjà le cas le 26 octobre 2015. Le Royaume du Maroc avait même été identifié comme partenaire du projet. Puis, l’on n’en a plus entendu parler. Pour la matérialisation dudit projet, l’étape suivante consiste pour le Parlement à voter ce projet de texte.
Sylvain Andzongo
Le gouvernement gabonais vient de statuer sur un projet de décret relatif aux centres de protection et de promotion sociale pour la prise en charge des femmes victimes de violences.
Au terme du conseil des ministres tenu le 7 juin à Libreville, les membres du gouvernement ont entériné un projet de texte qui définit désormais les missions et l’organisation des centres de protection et de promotion sociale pour la prise en charge des femmes victimes de violences au Gabon.
Parlant du fonctionnement, apprend-on, la gouvernance desdits centres est assurée par un Comité de pilotage et un Comité consultatif. Ainsi, ces lieux de prise en charge des femmes comprennent les services suivants : le service d’accueil et hébergement ; le service social ; le service assistance juridique et judiciaire ; le service formation à l’insertion ; le service de l’administration générale.
Les femmes représentent 90 % des victimes de violences sexuelles et 83 % des victimes de violences économiques au Gabon. Il existe peu de services offrant aux femmes victimes une prise en charge médicale, psycho-sociale et judiciaire. Ce constat fait par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba, a conduit le gouvernement à adopter un projet de loi portant élimination des violences faites aux femmes, pour pallier l’absence d’une législation spécifique pour l’élimination des violences subies par les femmes et d’une prise en charge sociale, sanitaire, psychologique et judiciaire. Un observatoire dédié à la cause a même été créé en 2021.
En outre, le Gabon a mis en place un numéro d’urgence « 1404 » pour les victimes de violences basées sur le genre. Huit mois après le lancement de ce numéro d’urgence, le service gouvernemental « Gabon égalité » a déclaré que 1 747 appels relatifs aux violences basées sur le genre ont été traités à fin novembre 2021. Soit une moyenne d’à peu près 218 appels par mois. Sur les 1 747 appels au secours traités et orientés, apprend-on, 68 ont débouché sur des prises en charge de victimes dans les hôpitaux publics.
Sylvain Andzongo
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L’Agence de régulation du secteur de l’eau et de l’électricité (Arsee) du Gabon a un nouveau directeur général (DG), selon le communiqué final du conseil des ministres tenu le 7 juin à Libreville.
Emmanuel Berre (photo), le nouveau DG remplace à ce poste Jules Marius Ogouebandja quitte cette fonction après un bail d’environ deux ans et demi. Il avait été nommé à la tête de l’Agence de régulation lors du conseil des ministres tenu le 27 février 2019. M. Ogouebandja est déchargé des fonctions de DG quelque six mois après sa nomination en décembre 2021 comme président du conseil d’administration de Gabon télévision.
Le nouveau DG, Emmanuel Berre officiait jusque-là comme conseiller du ministre en charge de l’Économie. Mais avant ce poste occupé depuis le 29 janvier 2021, il a été à la tête de la direction générale de la dette. Habitué des arcanes de la haute administration gabonaise, M. Berre est un ancien directeur de l’Agence nationale des bourses du Gabon, ancien secrétaire général du Groupe Bgfi, ancien directeur général adjoint de la filiale gabonaise de cette banque, etc.
Dans les nouvelles missions qui lui incombent désormais à l’Arsee, le nouveau DG devra veiller aux intérêts des usagers et des opérateurs économiques, contrôler le respect, par les entreprises de production, de transport et de distribution du secteur, les obligations qui leur incombent.
S.A.
Le conseil d’administration de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) a été dissous hier, 7 juin 2022. La décision est tombée à l’issue du conseil des ministres présidé par le président de la République, Ali Bongo Ondimba. Selon le communiqué final de cette réunion, le gouvernement a également entériné la cessation de fonctions des membres de la direction générale de la structure publique.
Ainsi, la CNSS est placée sous administration provisoire pour une période de 12 mois. Christophe Eyi, l’administrateur nommé à cet effet est chargé « d’assurer l’administration, la gestion et la réforme de la CNSS », indique le communiqué final du conseil des ministres.
Dans la même veine, le gouvernement institue un Comité de surveillance et de contrôle. Il s’agit d’un organe d’appui à l’exercice du pouvoir de contrôle de l’État sur les actes de gestion des organismes de protection sociale, apprend-on.
Ces projets de textes « qui s’inscrivent dans le cadre de la réforme de la mission gouvernementale de protection sociale et de la préservation du bien-être des populations en général et des assurés sociaux en particulier, résultent de la récurrence des profonds dysfonctionnements dans l’accomplissement de la mission de service public exécutée par le Conseil d’administration et la Direction générale de la CNSS », explique le gouvernement.
En effet, ces dernières semaines, la CNSS fait face à une crise. L’entreprise peine à respecter les délais de paiement des salaires de ses agents et de versement des pensions de retraite. Selon l’ex-directeur général de la CNSS, Patrick Ossi Okori, la situation financière de la caisse est plombée par les effectifs pléthoriques, la dette de l’État estimée à 89 milliards de FCFA. Pour tenir ses engagements, la CNSS recourt systématiquement aux prêts bancaires pour payer les pensions, salaires et primes faramineuses des dirigeants de la caisse…
Les décisions du conseil des ministres interviennent quelques jours après la rencontre entre les ministres en charge des Affaires sociales et du Budget et le chef de l’État. Le 27 mai dernier, Ali Bongo Ondimba a instruit le gouvernement, de procéder « dans les meilleurs délais » au paiement de l’ensemble des prestations de la CNSS ainsi que des salaires des employés. Les retraités devraient d’ailleurs passer à la caisse à partir du 10 juin prochain, a annoncé la CNSS, le 4 juin dernier.
Sandrine Gaingne
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La Société équatoriale des mines (SEM) a récemment sollicité le ministère des Eaux et forêts pour l’évaluation du niveau de conformité de ses sites miniers. À cet effet, un protocole d’accord a été signé le 3 juin dernier entre la société minière gabonaise et la Direction générale de l’environnement pour matérialiser cet accompagnement.
« En tant qu’opérateur national, nous souhaitons montrer l’exemple dans la gestion de l’environnement, liée à nos activités. L’activité minière touche l’écosystème. Donc, il nous revenait de faire appel à l’expertise de l’administration de l’environnement dans le cadre de l’accompagnement de nos activités pour un développement durable », a expliqué le directeur général de la SEM, Wesbert Moussounda Ngoumba.
La SEM devra faciliter cet exercice en mettant à la disposition de l’administration l’ensemble des informations nécessaires au déroulement des missions que vont effectuer les équipes du ministère des Eaux et forêts sur les sites miniers de la SEM.
La seconde partie de cet accord concerne le renforcement des capacités du personnel de la SEM. « Sur la base des non-conformités relevées lors de la campagne d’inspection des sites de la SEM, des thématiques de formation seront définies mutuellement pour renforcer les capacités des ressources humaines de la SEM. Parallèlement, cette immersion au cœur des activités minières au sein des sites de la SEM, permettra aux agents publics de mieux appréhender les enjeux associés à ce secteur d’activité », affirme-t-on au ministère des Eaux et forêts.
La Société équatoriale des mines a pour objectifs de prendre une part active au développement du secteur minier au Gabon en contribuant notamment à la promotion des opportunités d’investissement dans ce secteur stratégique.
SG
Le mardi 07 juin 2022, sous la Très Haute Présidence de Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’État, le Conseil des Ministres s’est réuni dès 10h dans la salle habituelle au Palais de la Présidence de la République.
L’ouverture des travaux a été marquée par les vives félicitations du Conseil des Ministres au Président de la République, Chef de l’État pour son engagement constant à faire de notre pays une destination de choix pour les investisseurs.
C’est à ce titre que le Chef de l’État a reçu en audience le 31 mai 2022, Monsieur Mupparavu VENKAIAH NAIDU, Vice-Président de la République de l’Inde, à la tête d’une importante délégation composée d’entrepreneurs et d’investisseurs dans le cadre d’une visite de prospection économique.
Au cours de leur rencontre au Sommet, le Chef de l’État et son Hôte ont évoqué les opportunités économiques qu’offre le Gabon ainsi que la situation sécuritaire qui prévaut sur le continent et à l’international.
Au terme des différentes activités menées, un mémorandum d’entente a été signé entre les deux parties pour fixer le cadre collaboratif qui servira aux futurs accords économiques entre les deux pays.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LÉGISLATIFS ET RÈGLEMENTAIRES
Le Conseil des Ministres a délibéré sur les Affaires suivantes :
MINISTÈRE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES ET LES AUTORITÉS ADMINISTRATIVES INDÉPENDANTES
– Le projet de loi autorisant le Président de la République à légiférer par ordonnance pendant l’intersession parlementaire.
Pris en application des dispositions de l’article 52 de la Constitution, le présent projet de loi d’habilitation autorise le Président de la République, Chef de l’État, à légiférer par ordonnance pendant l’intersession parlementaire.
– Le décret portant attributions et organisation du Ministère des Relations avec les Institutions Constitutionnelles et les Autorités Administratives Indépendantes.
Le présent projet de décret procède à une actualisation des missions traditionnelles dévolues au département des Relations avec les Institutions Constitutionnelles.
Ainsi, les missions dudit Ministère sont élargies aux Autorités Administratives Indépendantes pour lesquelles il joue un rôle de facilitation et d’accompagnement entre le Gouvernement et lesdites entités.
Pour son fonctionnement, le Ministère comprend :
– le Cabinet du Ministre ;
– l’Inspection Général des Services ;
– le Secrétariat Général ;
– les Directions Générales ;
– les Etablissements et Organismes sous tutelles
MINISTÈRE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, CHARGE DES DROITS DE L’HOMME ET DE L’ÉGALITÉ DES GENRES
– Le projet de décret relatif aux centres de protection et de promotion sociale pour la prise en charge des femmes victimes de violences.
Le présent projet de texte, pris en application des dispositions de l’article 26 de la loi n° 006/2021 du 6 septembre 2021 portant élimination des violences faites aux femmes, définit les missions et l’organisation des centres de protection et de promotion sociale pour la prise en charge des femmes victimes de violences.
Dans le cadre du fonctionnement, la gouvernance est assurée par le Comité de Pilotage, le Comité Consultatif et les Centres.
Ainsi, les centres de protection et de promotion sociale des femmes victimes de violences comprennent les services suivants :
– le Service d’Accueil et Hébergement ; – le Service Social ;
– le Service assistance juridique et judiciaire ; – le Service formation à l’insertion ;
– le Service de l’administration générale.
MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES AFFAIRES SOCIALES
– Le projet de décret portant dissolution du Conseil d’Administration et cessation des fonctions des membres de la Direction Générale de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale.
– Le projet de décret instituant une administration provisoire de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale.
– Le projet décret instituant le Comité de surveillance et de contrôle des organismes de protection sociale
Les trois projets de textes indiqués, qui s’inscrivent dans le cadre de la réforme de la mission gouvernementale de protection sociale et de la préservation du bien-être des populations en général et des assurés sociaux en particulier, résultent de la récurrence des profonds dysfonctionnements dans l’accomplissement de la mission de service public exécutée par le Conseil d’Administration et la Direction Générale de la CNSS.
Aux termes des dispositions desdits textes, les mesures suivantes sont entérinées :
– dissolution du Conseil d’Administration de la CNSS ;
– cessation de fonctions des membres de la Direction Générale de la CNSS ;
– mise en place d’une administration provisoire chargée d’assurer l’administration, la gestion et la réforme de la CNSS sur une période de douze (12) mois ;
– institution d’un Comité de Surveillance et de Contrôle en tant qu’organe d’appui à l’exercice du pouvoir de contrôle de l’État sur les actes de gestion des organismes de protection sociale.
– Le projet de décret portant création, attributions, organisation et fonctionnement du Centre National de prise en charge des enfants Autistes et Trisomiques.
Ce projet de décret, qui s’inscrit dans le cadre de la politique du Gouvernement en faveur de l’inclusion sociale des couches vulnérables, vise à rendre opérationnel le Centre National de prise en charge des enfants Autistes et Trisomiques dénommé Centre NDOSSI et AKOMGHA, situé dans la ville d’Akanda, chef-lieu de la province de l’Estuaire.
Le Centre NDOSSI et AKOMGHA est notamment chargé :
– d’assurer la prise en charge de l’autisme et de la trisomie au niveau éducatif, social, psychologique et médical ;
– de favoriser l’épanouissement et l’autonomie de l’enfant autiste ou trisomique ;
– d’établir des partenariats avec les administrations et organismes intéressés ; – de sensibiliser sur l’existence des phénomènes d’autisme et de trisomie.
Pour son fonctionnement, ledit établissement comprend :
– le Service administratif, matériel, financier et statistiques ;
– le Service éducatif ;
– le Service social ;
– le Service médical et paramédical.
– Le projet de décret portant attributions, organisation et fonctionnement du Centre des Opérations d’Urgence de Santé Publique.
Pris en application des dispositions de la loi n°20/2005 du 03 janvier 2006, le présent projet de décret porte création, attributions, organisation et fonctionnement du Centre des Opérations d’Urgence de Santé Publique, en abrégé COUSP.
Pour son fonctionnement le COUSP comprend : – un Comité de Pilotage ;
– un Conseil Scientifique ;
– une Coordination Technique Nationale.
MINISTÈRE DU BUDGET ET DES COMPTES PUBLICS
– Projet de loi de finances rectificative 2022.
Le présent projet de loi de finances rectificative (PLFR) de l’année 2022 vise, à l’étape actuelle d’exécution de la loi de finances initiale (LFI), à prendre en compte, pour la suite, les facteurs conjoncturels tels que le contexte économique international fortement marqué par les effets du conflit russo-ukrainien, les engagements avec les partenaires techniques et financiers ainsi que la poursuite de la mise en œuvre du Plan d’Accélération de la Transformation (PAT) par le Gouvernement.
Ce budget révisé a pour principaux axes :
– l’augmentation de la prise en charge de l’assurance maladie au profit des Gabonais Economiquement Faibles (GEF) ;
– le soutien aux prix des carburants et de la farine ;
– la poursuite des travaux de la Transgabonaise dans le cadre du PAT ;
– la poursuite de la prise en charge des coûts de restructuration des entreprises et établissements publics.
Ainsi, les principales hypothèses sur lesquelles repose le cadrage macroéconomique et budgétaire sont arrêtées comme suit :
– une production pétrolière de 10,7 millions de tonnes métriques, en recul de 2,1 % par rapport à la loi de finances initiale ;
– un prix du pétrole gabonais à 80 USD, en hausse de 33,3 % par rapport à la loi de finances initiale 2022 ;
– des exportations de manganèse de 9,70 millions de tonnes, en hausse de 4,9 % par rapport à la loi de finances initiale ;
– un prix moyen de vente de la tonne de manganèse à 143,7 USD, soit une hausse de 20,3 % par rapport à la loi de finances initiale ;
– un taux de change du dollar américain à 591,8 FCFA, en augmentation de 8,9 % par rapport à la loi de finances initiale.
En tenant compte de l’ensemble des hypothèses arrêtées, le taux de croissance projeté est de 2,8 %.
Le projet de budget de l’État est équilibré en Ressources et en Charges à 3295,6 milliards FCFA contre 2936,6 milliards FCFA, soit une hausse de 359 milliards de FCFA.
S’agissant des Ressources, les Recettes budgétaires seraient évaluées à 2239,4 milliards FCFA contre 1924,6 milliards FCFA arrêtés dans la loi de finances initiale, soit une hausse de 314,8 milliards FCFA, résultant essentiellement des revenus du secteur pétrolier.
Les recettes affectées aux collectivités locales, aux organismes internationaux et aux établissements publics s’élèvent globalement à 96,1 milliards FCFA, en hausse de 4,4 milliards FCFA.
Les Ressources de trésorerie et de financement se chiffreraient à 960,1 milliards FCFA contre 920,3 milliards FCFA arrêtées dans la loi de finances initiale, soit une hausse de 39,8 milliards FCFA, en lien avec les appuis budgétaires du FMI et de la BAD ainsi que l’émission de titres publics.
En ce qui concerne les Dépenses, les dépenses budgétaires (hors dépenses affectées aux tiers), sont évaluées 2102,2 milliards FCFA contre 1992,5 milliards FCFA dans la loi de finances initiale, soit une hausse de 109,7 milliards de FCFA.
Ces dépenses se répartissent ainsi qu’il suit :
– les charges financières de la dette qui s’établissent à 330,1 milliards FCFA contre 316,9 milliards FCFA dans la loi de finances initiale, soit une hausse de 13,2 milliards FCFA ;
– les dépenses de fonctionnement qui se chiffreraient à 1247,2 milliards FCFA contre 1161,9 milliards FCFA dans la loi de finances initiale, soit une augmentation de 85,2 milliards FCFA ;
– les dépenses d’investissement s’établissent à 325,7 milliards FCFA contre un niveau de 326,5 milliards FCFA adopté initialement, soit une diminution de 0,25 % ;
– les autres dépenses, portant notamment sur le contentieux de l’État et les plans sociaux, enregistreraient une hausse de 10,7 milliards FCFA par rapport à la loi de finances initiale pour s’établir à 47,2 milliards FCFA.
Les dépenses des comptes d’affectation spéciale et de commerce s’élèvent à 152 milliards FCFA contre 150,7 milliards FCFA, soit une augmentation de 1,3 milliard FCFA.
Concernant les dépenses liées aux collectivités locales, aux organismes internationaux et aux établissements publics, ceux-ci s’élèvent globalement à 96,1 milliards de FCFA, en hausse de 4,4 milliards FCFA.
Pour ce qui est des charges de trésorerie et de financement, elles se chiffreraient à 1097,2 milliards FCFA contre 852,4 milliards FCFA dans la loi de finances initiale, soit une hausse de 244,8 milliards FCFA.
– le Projet de décret portant abrogation du décret n° 428/PM/MER/MBCP/MPGM du 24 décembre 2020 fixant les modalités d’évaluation et d’attribution de l’intéressement spécifique servi aux agents des administrations des Douanes, des Impôts, du Trésor et des Hydrocarbures.
– le Projet de décret modifiant et complétant certaines dispositions du décret
n° 429/PM/MER/MBCP/MPGM du 24 décembre 2020 instituant une Prime à la Performance Budgétaire.
La prise des projets de décrets ci-dessus mentionnés émane de la volonté du Gouvernement et des partenaires sociaux d’assurer la pérennité de la prime à la performance servie aux agents des services collecteurs.
A cet effet, les dispositions des articles 3, 4, 5, 8, 12, 15 et 16 du décret n° 429/PM/MER/MBCP/MPGM du 24 décembre 2020 instituant une Prime à la Performance Budgétaire (PPB) sont complétées et modifiées, aux fins de tenir compte, entre autres :
– du financement des primes par des amendes et pénalités ;
– de la révision des clés de répartition entre l’État et les administrations concernées ;
– de la prise en compte de la quote-part affectée aux services collecteurs ;
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– du maintien du principe de la récompense de la performance.
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE
CABINET DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
– Conseillers du Président de la République : • Mme Raïssa Delphine YEBE NDEMA • Jowill Chaima MIHINDOU HINDET • M. Axel Clyde NZE DOUMINGOU
– Attachés de Cabinet à la Présidence de la République
MM :
– Chargé de Missions du Président de la République : M. Joachim Patrick MPOUAME
MAISON MILITAIRE
– Conseiller du Président de la République : Lieutenant Colonel Kevin Cedrick ONA NDONG
MINISTÈRE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES ET LES AUTORITÉS ADMINISTRATIVES INDÉPENDANTES
CABINET DU MINISTRE D’ÉTAT
– Directeur de Cabinet : M. Eric LEMBE MOUSSINGA.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 18 sur 60
– Secrétaire Particulière du Ministre d’État : Mme Joselyne NTSAME OVONO.
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Annie Myriam BISSEYE.
– Secrétaires de Cabinet :
Mmes :
– Conseiller en Communication : Mme Nupsia Jenniffere MAYOMBO.
– Conseillers Techniques :
– Chargés d’Études :
MM :
– Chargé de Missions :
– Chargé du Protocole : Mme Erlia BANGA DZOMBA.
CONSEIL NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CABINET DU PRÉSIDENT
– Directeur de Cabinet : M. Jean de Dieu YEMBIT.
– Conseiller en Communication : M. Jules Dirck NGOMA.
– Secrétaire de Cabinet : Mme Charlayne Enjolivover NEYET.
– Chargé du Protocole : M. Yvon NGOWET D’ALMEIDA.
– Chargés de Mission :
MM :
MINISTÈRE DE L’ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES
CABINET DU MINISTRE D’ÉTAT
– Directeur de Cabinet : M. Moïse OKORE ; – Secrétaire Particulière du Ministre d’État : Mme Flavienne AVOMO BEKOUNG ;
– Secrétaire Particulier du Directeur de Cabinet : M. Léonce OSSAVOU ;
– Secrétaires de Cabinet : Mmes
– Conseiller en Communication : Mme Fany Huguette ATSAME ELLA ASSA épouse AMVANE MEYO ;
– Conseiller Juridique : Mme Fany Léatitia MILANG MANYANA ;
– Conseillers Techniques : MM.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 21 sur 60
– Conseiller Chargé des Energies Renouvelables : M. Tony Didier Mohamed Ben NGNARE ABEIGNE ;
– Chargés d’Études :
– Chargés de Missions : MM.
– Chef du Protocole : M. Fabien Archange MENIE MENZOUGHE
– Aide de Camp : Adjudant Jenky-Junior AKOMO ANKISSA
– Agents de Sécurité :
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 22 sur 60
– Chauffeur Particulier du Ministre d’État : M. Jean Dénis OBIANG NGUEMA.
AGENCE DE RÉGULATION DU SECTEUR DE L’EAU ET DE L’ÉLECTRICITÉ (ARSEE)
DIRECTION GÉNÉRALE
– Directeur Général : M. Emmanuel BERRE
MINISTÈRE DE L’INDUSTRIE
CABINET DU MINISTRE D’ÉTAT
– Directeur de Cabinet : M. Christian MONDZO.
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Rosalie MAMBERI épouse AMBOLO LOUBA.
– Secrétaire de Cabinet : Mme Patricia MOUSSOUNDA.
– Conseiller Juridique : M. Augustin Lobelle YEMBI.
– Conseiller en Communication : Mme Dina KOUSSOU.
– Conseillers Techniques :
Mmes :
– Chargés d’Études :
– Agents de Sécurité : M. Clyd Godwill OKOUMBA.
– Chauffeur Particulier du Ministre : M. Brice Amour MOUBOCKOUNOU.
SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général : M. Jean François YANDA.
MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : M. Pamphile SANGOMA.
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Naïké MBA NDONG.
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Sylvana Fanny NDOUBANY DHOZZAT.
– Secrétaires de Cabinet :
– Chargés d’Études :
– Conseiller en Communication, Ambassadeur Itinérant : Mme Jennyfer Mélodie SAMBAT. – Conseiller Technique, Chargé des Questions
Administratives et des Relations avec les Organismes Internationaux : Mme Josée Wildine LEWOBI ANDOUO épouse LETSINA EPIE.
– Conseiller Technique, Chargé du Suivi des Questions du Conseil de Sécurité des Nations Unies : M. Alexis MOUNGARA MOUSSOTSI.
– Chef du Protocole : M. Awal MOHAMED. SECRETARIAT GENERAL
DIRECTION GÉNÉRALE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES
DIRECTION DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
– Chef de Division des Nations Unies : M. Luther Teddy NGARI MOUTSOKO.
DIRECTION GÉNÉRALE DES AFFAIRES JURIDIQUES INTERNATIONALES
DIRECTION DU CONTENTIEUX DU DROIT INTERNATIONAL
– Ambassadeur Directeur : M. Paul-Valaire MORO OBIANG.
– Chef de Division de la Codification Internationale et du Conseil Juridique : M. Alban GUIBOUANGA NTSAMBI.
DIRECTION GÉNÉRALE DES AFFAIRES CONSULAIRES
DIRECTION GÉNÉRALE
– Chargés d’études du Directeur Général : MM.
– Franck Alexis TSAMBA
– Ale-Jandro OKOUONI LEBIRIGUI.
– Ambassadeur Directeur des Gabonais à l’Etranger : Mme Virginie KOUMBA. – Chef de Division de l’Assistance des Gabonais à l’Etranger : Mme Marina SIETY épouse KISSIEDOU.
– Chef de Division de la Réinsertion : Mme Myriam AZIZET SANOH.
DIRECTION GÉNÉRALE DE LA FRANCOPHONIE
– Ambassadeur Directeur Général : M. Théophile AKUE OVONO.
– Ambassadeur Directeur Général Adjoint : M. Roland MATONDZI.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 28 sur 60
DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA FORMATION
– Directeur du Développement Durable et de la Formation : M. Registe Ulrich NGUEMA.
DIRECTION GÉNÉRALE DU DROIT DE LA MER
DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DU CONTENTIEUX MARITIMES
– Chef de Division du Contentieux Maritime Internationale : M. Rodolphe BOUNGAGHAN.
DIRECTION DES RELATIONS INTERNATIONALES ET DE LA COOPERATION MARITIME
– Chef de Division du Suivi et des Evaluations des Accords : Mme Aimée Nadège NZENGUE.
– Chef de Division des Relations avec l’Autorité Internationale des Fonds Marins et le Tribunal International du Droit de la Mer : Mme Françoise NGONOGHA épouse MOMBEH.
DIRECTION DE LA DELIMITATION ET DE LA VALORISATION DES ZONES MARITIMES
– Chef de Division de la Délimitation des Zones Maritimes : Mme Marie-Jocelyne MBENGA OBIANG épouse NDJOGHAS IROGOLO.
– Chef de Division de la Valorisation des Zones Maritimes : M. Fernand Pierre OSSOUBITA.
– Chef de Division de la Protection des Zones Maritimes : M. Steve MALILI.
AMBASSADE DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE PRÈS LA RÉPUBLIQUE ITALIENNE, REPRÉSENTATION PERMANENTE AUPRÈS DE LA FAO, DU FIDA ET DU PAM
– Conseiller chargé de la Chancellerie et de la Coordination du Secrétariat de l’Ambassadeur : Mme Nadège MASSOUNGUE-MA MAROGUE ;
– Conseiller chargé de la Coopération Multilatérale : M. Gislain MOUSSAVOU ;
AMBASSADE DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE AU CANADA
Est rappelé, Monsieur Roger NLOME NZE, précédemment Conseiller Economique et Social
MINISTÈRE DE LA PROMOTION DE LA BONNE GOUVERNANCE, DE LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION
CABINET DU MINISTRE
– Conseiller en Communication : M. Cyril Kevin ESSONE MFOLO.
– Conseiller Technique : M. Olivier MOULENGUI.
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE NATIONALE CABINET MILITAIRE DU MINISTRE
– Conseiller Financier : Colonel de l’Armée de l’Air Brice Arnaud LENDOYE, en remplacement du Général de Brigade Aérienne Laurent NTOUTOUME NGUEMA, appelé à faire valoir ses droits à la retraite.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 32 sur 60
– Aide de Camp : Lieutenant de la Garde Républicaine Martin Vandrick BOGUIKOUMA GNASSANGOYE.
– Chef de Sécurité : Adjudant-Chef-Major de la Garde Républicaine Rigobert OSSALA.
– Chef de Sécurité Adjoint : Adjudant de la Garde Républicaine Gauthier TSOUARIS.
– Chauffeur Particulier : Sergent-Chef-Major de la Garde Républicaine Renaud MBOUMBA MBOUMBA.
CABINET CIVIL DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet Civil : M. Dany Arnaud ALANDJI ;
– Conseiller en Communication : M. Jean Baptiste Gaétan OSSIE OTOUNGA ; – Conseiller Technique 1 : Mme Michelle Vanessa MBADOU épouse ABOUNA ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 33 sur 60
– Conseiller Technique 2 : M. Aristide LENDJIGA ;
– Conseiller Technique 3 : M. Ghislain OPAGA NKOUGHOU ;
– Conseiller Technique 4 : Mme Rudy Ursulla HOMBENET ;
– Secrétaire de Cabinet : Mme Anouchka DIARA MOUIDA ;
– Chargé d’Études : M. Joseph MASSESSEY ; – Chargé d’Études : M. Ismaël OKOGO MPIGA ;
– Chargé de Misions : Mme Céfora NTSELE ; – Chargé de Misions : M. Olifé Mohamed AMPASSI ANGWANDA.
INSPECTION GÉNÉRALE DES FORCES ARMEES
– Inspecteur Général des Forces Armées : Commissaire Général de Brigade de l’Armée de Terre Sylvie NGUEMBITH.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 34 sur 60
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL
DIRECTION CENTRALE DE
L’ADMINISTRATION FINANCIERE
– Directeur Central d’Administration Financière : Colonel de l’Armée de Terre Jean de Dieu MIKALA.
– Chef de Service Gestion : Capitaine de la Gendarmerie Nationale Fabiola NGAKOURA.
– Chef de Service Courrier : Adjudant-Chef Major de l’Armée de Terre Sosthène OKANGA.
– Chef de Service Archives : Adjudant-Chef de la Garde Républicaine Marius MANDJOKA NGADI.
– Chargé d’Études : Adjudant de l’Armée de Terre Romuald ONTCHOUMA.
MINISTÈRE DE LA COMMUNICATION
INSTITUT GABONAIS DE L’IMAGE ET DU SON
DIRECTION GÉNÉRALE
– Conseiller du Directeur Général : Mme Chancela LAMINA GNINGUI LEMBE.
AGENCE GABONAISE DE PRESSE (AGP) DIRECTION GÉNÉRALE
– Directeur Général : M. Sébastien NTOUTOUM BEKALE.
MINISTÈRE DES EAUX, DES FORÊTS, DE LA MER, DE L’ENVIRONNEMENT, CHARGE DU PLAN CLIMAT ET DU PLAN D’AFFECTATION DES TERRES
CABINET DU MINISTRE DÉLÉGUÉ
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 36 sur 60
– Directeur de Cabinet : M. Cyriaque Didier KOUMA.
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Roight Diana OLOMO MIHINDOU épouse NDJOGHA.
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Grâce Ornella MESSIE BICKET NGONE.
– Secrétaires de Cabinet :
– Chargés d’Études :
– Chargés de Missions :
– Chef du Protocole : Mme Nina Sylvaine Carmela LOUEMBET.
– Aide de Camp : Adjudant Loïc Kevin TOUMI. – Agents de Sécurité :
– Chauffeur Particulier du Ministre Délégué : M. Antoine Emeric Gabin NGAMAMBA.
MINISTÈRE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE
CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : M. Jean Joseph EKOUARA GOMEZ.
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Myriam Nanette MAGANGA MOULOUNGUI.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 38 sur 60
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Georgette ONIVI.
– Secrétaires de Cabinet :
– Conseiller Juridique : M. Yves Brice BOUSSOUGOU.
– Conseiller en Communication : Mme Achille MOUANDA.
– Conseillers Techniques :
MM :
– Chargé de Missions :
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– Chargé du Protocole : Mme Sainte Jye MAKAYA-MAKAYA.
– Aide de Camp : Brigadier Chialle Bangelier MBOUMBA.
– Agents de Sécurité :
Maréchaux des Logis-Chef :
– Chauffeur Particulier du Ministre : M. Ulrich Kevin MOMBO.
SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général : M. Rodrigue NDOUMADIAMBA.
SOCIÉTÉ DE PATRIMOINE DES INFRASTRUCTURES NUMÉRIQUES (SPIN)
DIRECTION GÉNÉRALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Moïse ONDO TEME.
MINISTÈRE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES PARTENARIATS PUBLICS-PRIVES, CHARGE DE L’AMÉLIORATION DE L’ENVIRONNEMENT
CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : M. Lévi Martial MIDEPANI ;
– Secrétaire Particulière du Ministre d’État : Mme. Raïssa ANGE BIKO épouse LOUEMBET ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 41 sur 60
– Secrétaire Particulier du Directeur de Cabinet : Mme Lucile Hélène NTSAME OBIANG épouse AKOGHE ;
– Secrétaires de Cabinet : Mmes
– Conseiller Juridique : Mme. Gislaine NGOUA OBIANG épouse APANGA.
– Conseiller en Communication : M. Aimé Sancerre NZIENGUI.
– Conseiller Financier : M. Yann Steeve MEFANE.
– Conseiller Technique en Charge de la Promotion des Investissements et de l’Amélioration du Cadre des Affaires : M. Arthur LONDO PANGO.
– Conseiller Technique en Charge des Partenariats Privés Publics : M. Jeff MIGOLET.
– Chargés d’Études :
– Chargés de Missions :
– Chargé de Protocole : M. Lilian Hulrich MOUANDZA.
– Aide de Camp : Sergent-Chef Major Yannick MEYO ME NDONG.
– Agents de Sécurité :
– Chauffeur Particulier du Ministre : M. Pamphile EYI MEZUI.
AGENCE NATIONALE DE PROMOTION DES INVESTISSEMENTS (ANPI)
DIRECTION GÉNÉRALE
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 43 sur 60
– Conseiller du Directeur Général : M. Cédric RATANGA
MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES AFFAIRES SOCIALES
CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : M. Jean Noël BIYOGHO.
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Elvie Rosine MUNIEVY.
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Fleur BISSQUE.
– Chef du Protocole : M. Jean Jacques EYOUNGOU EBENGUE.
– Secrétaire de Cabinet :
Mme :
– Conseiller Juridique : M. Steeve OBIANG
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 44 sur 60
– Conseiller en Communication : Mme Lionnel NDONG EYEGHE.
– Conseillers Techniques :
MM :
– Chargés d’Études :
– Chargé de Missions :
CABINET DU MINISTRE DÉLÉGUÉ
– Directeur de Cabinet : Mme Victoire Madeleine AMOGHO MITSINGOU épouse MATOPE.
– Secrétaire Particulière du Ministre Délégué : Mme Lucrèce NGOMBI.
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Lise Marjorie SIANGANI.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 45 sur 60
– Secrétaires de Cabinet :
– Chargés d’Études :
– Chargés de Missions :
– Aide de Camp : M. Léandre Swayze KANINGUI.
– Agents de Sécurité :
– Chauffeur Particulier du Ministre Délégué : M. Joël LIBIMBI.
CAISSE NATIONALE DE SECURITE SOCIALE
– Administrateur Provisoire : M. Christophe EYI
MINISTÈRE DU COMMERCE, DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES
CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : M. Yvon Fabrice MOMBO.
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme KOMBA DIKONGO épouse BABISSA. – Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Pépita Jessika MALAMBA YELOME. – Secrétaires de Cabinet :
Mmes :
– Conseiller Juridique : M. MBIE-NTSEME. – Conseiller en Communication : M. Lié José MOUNDOUNGA.
– Conseillers Techniques :
Mmes :
– Chargés d’Études :
– Chargés de Missions :
– Chef du Protocole : M. Dan Verdier MOUSSAVOU POTOTOU.
– Aide de Camp : Sergent-Chef Rodrigue MOUGNANGA.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 48 sur 60
– Agents de Sécurité :
– Chauffeur Particulier du Ministre : M. Jean Baptiste NGODJO-MAPAGA.
SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général Adjoint : Mme. Lucresse BADJINA.
DIRECTION GÉNÉRALE DU COMMERCE
– Directeur Général : Mme Zéphirine ETOTOWA.
MINISTÈRE DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS
OFFICE NATIONAL DU DÉVELOPPEMENT DES SPORTS ET DE LA CULTURE
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CONSEIL D’ADMINISTRATION
– Président du Conseil d’Administration : M. Jérôme ONGOUORI.
DIRECTION GÉNÉRALE
– Directeur Général Adjoint : M. Axel Thierry OLIVEIRA
MINISTÈRE DE L’HABITAT ET DE L’URBANISME
CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : M. Maurille Nicaise N’ZAO-MABIKA, confirmé ;
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Claude Stanicia MAGANGA GOUIN ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 50 sur 60
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme. Daizy YITA MILA épouse BEKALE , confirmée ;
– Secrétaires de Cabinet :
Mmes
– Conseiller Juridique : M. Emmanuel NGOMO AYO MBIAME, confirmé ;
– Conseiller en Communication : M. Octave DIOBA, confirmé.
– Conseillers Techniques :
– Chargés d’Études :
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 51 sur 60
– Chargés de Missions :
– Chef du Protocole : M. Jean Servin MEBALEY – Aide de Camp : Adjudant de Gendarmerie Marie René Léon MOREAU ANTCHOUET ; – Agents de Sécurité :
– Chauffeur Particulier du Ministre : M. Roméo ANGOUE BIYI, Confirmé.
MINISTÈRE DU PÉTROLE ET DU GAZ
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 52 sur 60
SOCIÉTÉ GABONAISE DE RAFFINAGE (SOGARA)
CONSEIL D’ADMINISTRATION
– Président du Conseil d’Administration : M. Jean Richard SYLONG
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, CHARGÉ DE LA FORMATION CIVIQUE
CABINET DU MINISTRE DÉLÉGUÉ
– Chef du Protocole : M. Budélu Teddy PAMBO BOUANGA en remplacement de Monsieur Patrick MABIKA MABIKA.
– Aide de Camp : Sergent-Chef Landry MAVOUNGOU en remplacement du Brigadier de Police Hugues Ulrich Christ NYDOU.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 53 sur 60
MINISTÈRE DU BUDGET ET DES COMPTES PUBLICS
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL
DIRECTION GÉNÉRALE DE LA COMPTABILITÉ PUBLIQUE ET DU TRÉSOR
– Trésorier Central : M. Ulrich MBADINGA
DIRECTION DE LA DEPENSE
– Directeur : Mme Maryvonne NGOSSO MOUSSOSSA
AGENCE COMPTABLE DU CONSEIL GABONAIS DES CHARGEURS
– Agent Comptable : Mme Marie Chantal MEDZA NGOUA.
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 54 sur 60
MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION
CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : M. Charles Théodore NDOUTOUMOU.
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Sylvie Nadège OKOMO NGOMO.
– Secrétaire du Directeur de Cabinet : Mme Francine MESSE M’ELLA.
– Secrétaires de Cabinet :
Mmes :
– Conseiller Juridique : M. Jean Sylvère MVE MINTO’O.
– Conseiller en Communication : Mme Marie Gabrielle RATANGA.
– Conseillers Techniques :
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 55 sur 60
– Chef du Protocole : M. Michel Ismaël NGOYO MOUSSAVOU.
– Chargés de Missions :
– Chargés d’Études :
– Aide de Camp : Lieutenant de Police Yves Daniel MADOUMA.
– Agents de Sécurité :
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 56 sur 60
– Chauffeur Particulier du Ministre : M. Urmand NKA OBIANG.
MINISTÈRE DES TRAVAUX PUBLICS, DE L’ÉQUIPEMENT ET DES INFRASTRUCTURES
CABINET DU MINISTRE
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Tatiana AMVAME EMANA. Confirmée – Secrétaire du Directeur de Cabinet : Mme Anouchka BONGO. Confirmée
– Secrétaires de Cabinet :
Mmes :
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 57 sur 60
– Chargés d’Études :
– Conseillers Techniques :
– Conseiller en Communication : M. Yves Ghislain MITOUMBA. Confirmé
– Chargés de Missions :
– Chef du Protocole : M. Emile Pitchou MOUNGUEKA NZIGOU. Confirmé – Chauffeur Particulier du Ministre : M. Bruno Serge MBEGA.
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MINISTÈRE DES TRANSPORTS
OFFICE NATIONAL DE SURETÉ ET DE LA FACILITATION DES AÉROPORTS DU GABON
CONSEIL D’ADMINISTRATION
– Président du Conseil d’Administration : M. Emmanuel Jean Didier BIYE.
MINISTÈRE DES MINES
CABINET DU MINISTRE
– Conseiller Technique : M. Justin AKUE SECRETARIAT GENERAL
– Secrétaire Général Adjoint : Mme Corine Edwige MOUTOU PITTIE.
SOCIETE EQUATORIALE DES MINES (SEM)
DIRECTION GENERALE
– Directeur des Opérations : M. Fabrice NZIENGUI ;
– Directeur de la Géologie et de l’Exploitation : M. Tanguy BAYISSI