Le Nouveau Gabon

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La Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale (Cnnii) a signé le 11 mai un accord de partenariat avec le groupe Seamed France pour renforcer sa flotte et ses équipements.

« Beaucoup de choses arrivent. Nous attendons notre bateau le Sette-Cama qui doit réintégrer l’exploitation, des bateaux, des camions vont venir. Bref, toute la logistique qui accompagne la Cnnii dans la réalisation de ses objectifs sera au rendez-vous », a promis Oumarou Baba Toukour, le président du conseil d’administration de la Cnnii.

Selon la Cnnii, ce partenariat va contribuer à dynamiser l’offre publique de transport maritime de fret et de passagers au niveau national et sous régional. L’entreprise envisage par ailleurs de réactiver l’exploitation des lignes fluviales et lagunaires à l’arrêt depuis 2015. À moyens et longs termes, la Cnnii projette de développer l’ensemble des segments d’activités porteurs de croissance de la vision stratégique de la compagnie, puis mettre en place une joint-venture pour pérenniser le nouveau modèle économique et industriel de l’armement national à capitaux publics.

Ainsi, la compagnie nationale qui n’est plus rentable depuis quelques années espère atteindre un meilleur seuil d’activités. Lancée en 2013, cette compagnie est l’armement national de droit public dont l’activité principale est le transport des biens et de personnes par voie d’eau. Cette société publique assure notamment le transport des passagers et des marchandises entre Libreville et Port-Gentil. Elle a pour responsabilité le développement des activités de transport maritime et en eaux intérieures.

Cet accord avec Seamed France, spécialisé dans le développement des services liés aux activités navales, a été scellé après de longues recherches de partenaires. Et c’est finalement par l’intermédiation de la société gabonaise Malania Finances & consulting que tout a été concrétisé.

Sandrine Gaingne

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Au terme du conseil d’administration et l’assemblée générale de la Nouvelle compagnie africaine de réassurance (NCA-Ré), tenus le 12 mai à Abidjan (Côte d’Ivoire), l’on apprend que l’entreprise affiche un résultat positif de 804 millions de FCFA à fin 2021, soit une hausse de 31,9 %.

NCA-Ré, détenue à hauteur de 7 % par la Société de réassurance gabonaise SCG-Ré, affiche ainsi une performance positive dans un environnement favorable avec un chiffre d’affaires de 19,06 milliards de FCFA, en hausse de 1,69 %, selon Andrew Gwodog, l’administrateur-directeur général de la SCG-Ré et membre du conseil d’administration. Grâce à ses résultats haussiers, NCA a procédé au paiement des dividendes aux actionnaires à hauteur de 500 millions de FCFA et le mandat d’administrateur de la SCG-Ré représentée par Andrew Gwodog a été renouvelé pour 3 ans.

NCA-Ré est une société de réassurance privée de droit national ivoirien, créée à Abidjan le 17 novembre 2012. Dotée à la création d’un capital social de 7 milliards de FCFA entièrement libérés, il est passé à 11,13 milliards de FCFA en 2018. Ce capital est détenu en majorité par des sociétés d’assurances et de réassurances, d’un fonds d’investissement et des opérateurs économiques privés, du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, du Gabon, du Ghana, de Madagascar et du Togo.

S.A.

 

 

 

 

 

 

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La Fondation Sylvia Bongo Ondimba (FSBO) a procédé ce 12 mai au lancement de l’appel à candidatures pour la 10e édition de la Bourse Ozavino. « Pour la bourse de cette année, la Fondation a souhaité se concentrer exclusivement sur les jeunes souhaitant se former à un métier du handicap, qu’il soit moteur, visuel ou auditif. Psychomotricien, kinésithérapeute, physiothérapeute, ergothérapeute, auxiliaire de vie, professeur en langue des signes, les possibilités sont infinies », renseigne un communiqué de la FSBO.

Au Gabon, de nombreuses personnes vivant avec un handicap sont confrontées à la difficulté de trouver des professionnels formés pouvant leur offrir une prise en charge adaptée. « Encore mal perçu, le handicap est souvent l’objet d’une forte stigmatisation et de rejet de la société, qui exclut presque entièrement tout un pan de sa population », explique-t-on.

Depuis sa création, la Fondation s’est engagée auprès des personnes vivant avec un handicap en mettant en place diverses actions visant à les rendre autonomes et promouvoir leur insertion socio-professionnelle. « Cette Bourse spéciale marque, ainsi, une nouvelle étape dans l’engagement de la Fondation à pérenniser et professionnaliser l’aide aux personnes vivant avec un handicap », précise le communiqué.

Les conditions pour postuler à cet appel à candidatures sont les suivantes : pour un élève de terminale, il faut être Gabonais d’au moins 20 ans, régulièrement inscrit dans un établissement scolaire et avoir une moyenne minimale de 16/20. Pour un étudiant, il faut être un Gabonais titulaire d’un baccalauréat avec mention « bien » ou « très bien » et être en deuxième année de classe préparatoire aux grandes écoles ou être titulaire d’un diplôme universitaire.

Cette bourse prend en charge les frais d’inscription et de formation, l’inscription à la sécurité sociale et l’affiliation à une mutuelle étudiante complémentaire, les frais de vie, l’hébergement, le trousseau scolaire, l’achat d’un ordinateur portable et le transport international. Les candidats ont jusqu’au 3 juin 2022 pour déposer leurs dossiers.

La Bourse Ozavino est mise en place en 2013 pour promouvoir l’excellence et l’égalité des chances, apprend-on. C’est une bourse d’honneur visant à offrir aux élèves et étudiants brillants la chance d’intégrer des établissements supérieurs prestigieux à l’étranger et bénéficier d’une éducation performante. Ceci sans se soucier des contraintes financières et matérielles, afin de devenir de véritables acteurs du développement au Gabon.

Brice Gotoa

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Le contre-mémoire du Gabon dans le cadre du conflit frontalier qui l’oppose à la Guinée équatoriale est entre les mains des juges de la Cour Internationale de Justice (CIJ) de La Haye. Il a été déposé par la partie gabonaise.

Le document de quatre volumes, déposé le 5 mai dernier à la Cour de La Haye a également été remis au président de la République hier, 11 mai par la Commission qui défend les intérêts du Gabon dans cette procédure. La délégation était conduite par Marie-Madeleine Mborantsuo, agent de la République gabonaise.

« Nous nous sommes rendus à la Cour internationale de justice pour déposer le contre-mémoire de la République gabonaise parce que la Guinée équatoriale avait déjà soumis sa requête introductive d’instance. La Cour nous avait donné six mois pour déposer notre contre-mémoire et c’est ce que nous avons fait », a affirmé Marie-Madeleine Mborantsuo. En effet, la Guinée équatoriale devait déposer son mémoire le 5 octobre 2021 et le Gabon devait suivre avec son contre-mémoire le 5 mai 2022. Ce qui a été fait.

Après le dépôt du contre-mémoire qui renferme les éléments de défense du Gabon dans ce conflit, « il fallait que la délégation gabonaise fasse le rapport au président de la République, en présence de pouvoirs exécutif, législatif et du pouvoir judiciaire », a indiqué Marie-Madeleine Mborantsuo.

Le conflit frontalier entre le Gabon et la Guinée équatoriale date de plusieurs décennies. Les deux pays limitrophes s'opposent au sujet de la souveraineté des îles de Mbanié, des Cocotiers et de Congas dans la baie de Corisco, riche en ressources pétrolières.

Après plusieurs négociations infructueuses, les chefs d’État des deux pays ont convenu en 2016 de faire confiance à la Cour internationale de justice pour résoudre le conflit. Et le 30 mars 2021 a eu lieu la première rencontre entre les parties et la présidente de la CIJ. La procédure se poursuit à La Haye.

SG

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Le Groupe BGFIBank a lancé le 10 mai 2022 à Libreville, BBS Workers, un programme destiné à l’insertion professionnelle des étudiants de BGFI Business School (BBS) au sein des 40 plus grandes entreprises du Gabon. Ce nouveau programme place les jeunes diplômés de BBS au sein des entreprises pendant une période d’essai d’une année maximum non renouvelable.

« BBS Workers est un programme innovant, qui propose et garantit chaque année, l’intégration d’une quarantaine de diplômés de BBS au sein des quarante plus grandes entreprises exerçant au Gabon. La particularité du programme BBS Workers qui est une première au niveau de notre sous-région réside dans la prise en charge totale par la fondation BGFIBank des indemnités mensuelles allouées aux jeunes diplômés pendant 12 mois, ainsi que les frais et les charges liées aux formalités administratives et légales requises dans le cadre de cette démarche », a déclaré Henri Claude Oyima, président-directeur général du groupe BGFIBank.

Selon le PDG, le programme BBS Workers permet aux entreprises d’accéder à un vivier de jeunes professionnels « performants et opérationnels » sans contrepartie financière, avec une perspective d’embauche à leur appréciation. Il « donne à ces jeunes diplômés de BBS, l’opportunité de mettre à profit leur savoir-faire et leur savoir-être dans le processus de production des entreprises d’accueil », a-t-il indiqué.

Le programme BBS Workers est en phase avec la politique du gouvernement gabonais en matière d’employabilité des jeunes diplômés qui peinent souvent à trouver un premier emploi. Ce programme forme dans les cycles licence et master. Les filières de formation sont : banque, finance, droit des entreprises, comptabilité, développement des entreprises, contrôle, audit, management des entreprises, assurances et développement commercial.

Après la présentation de ce nouveau programme, apprend-on, un accord de partenariat a été signé entre le ministère de l’Emploi pour le compte de l’Office national de l’emploi (ONE) et le groupe BGFIBank, en vue de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes.

Brice Gotoa

 

 

 

 

 

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Le Gabon et la société de bourse Emrald Securities Services (ESS Bourse) sont désormais liés par une convention de financement dédiée aux PME. Elle a été signée le 10 mai dernier par Hugues Mbadinga Madiya et Yves Fernand Manfoumbi, respectivement ministre de la Promotion des investissements et ministre du Commerce.

« Cette convention d’une valeur d’un milliard de FCFA vise à contribuer à la compétitivité de nos PME tout en soutenant la garantie pour le financement bancaire », indique le ministère de la Promotion des investissements. Les PME de divers secteurs d’activités sont concernées par cet appui.

L’Agence nationale de promotion des investissements (ANPI-Gabon) est chargée d’examiner les dossiers des candidats intéressés par ce guichet. Pour l’instant, les autorités gabonaises ne communiquent pas sur les modalités et les conditions d’éligibilité à ces financements.

Filiale du groupe d’établissements financiers et d’investissement Emrald Securities Services, ESS bourse est agréée à la Commission de surveillance du marché financier de l’Afrique centrale (Cosumaf). C’est cette société qui a arrangé l’emprunt obligataire « EOG 6 % net 2021-2026 », du Gabon en mai 2021. Une opération qui a permis au Gabon de mobiliser sur le marché financier, la somme de 188 milliards de FCFA, pour payer sa dette intérieure notamment.

SG

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Gérard Elle Nguema (photo), le président du Front patriotique gabonais (FPG), a servi, le 6 mai dernier, une note à l’ambassadeur de France au Gabon, pour annoncer que son parti politique va organiser une « marche pacifique » visant à protester contre la présence de l’armée française au Gabon.

Cette marche, indique-t-il, aura lieu le 24 mai 2022 à partir de 11 heures sur l’itinéraire carrefour Camp de Gaulle, entrée Allibadeng, à Libreville. Le leader du parti explique les fondements de la marche projetée dans les termes suivants : « depuis l’indépendance de notre pays, nous ne comprenons pas la raison de la présence d’une force coloniale dans notre pays (Le sixième Bima), si le Gabon est souverain. Nous voulons par ce geste marquer notre désapprobation de manière pacifique et demandons le départ et la fermeture du Camp de Gaulle ».

La marche annoncée du FPG a peu de chance d’être autorisée, car dans la forme, il ne revient pas à l’ambassadeur de France d’autoriser les marches des Gabonais au Gabon. Mais c’est le ministère de l’Intérieur. Par ailleurs, le motif de la marche peut être considéré par les autorités comme du trouble à l’ordre du public, car elle n’a pas été déclarée à l’administration en charge du secteur.

L’initiative du FPG intervient dans un contexte où au Mali, les autorités ont récemment rompu la coopération militaire avec la France. Les autorités maliennes estiment que l’appui de la France pour lutter contre les djihadistes dans le Sahel ne produit pas de résultats satisfaisants depuis plusieurs années.

Sylvain Andzongo

 

 

 

 

 

 

 

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Dans le cadre de la lutte contre la corruption, le Gabon prévoit d’implémenter la norme ISO 37001 dans toutes les administrations publiques et privées du pays. ISO 37001 est la norme internationale qui permet aux organisations de tout type de prévenir, détecter et traiter les problèmes de corruption.

Dans ce projet, le pays s’est associé à deux partenaires à savoir le cabinet de conseil et d’audit Deloitte et l’association internationale des maires francophones. Le sujet était au cœur de l’audience accordée le 9 mai dernier par le ministre en charge de la Lutte contre la corruption, Francis Nkea Ndzigue, à la Coordonnatrice du système des Nations Unies au Gabon, Savina Ammassari.

Engagé dans la lutte contre la corruption, le Gabon multiplie des stratégies pour combattre ce fléau. Le gouvernement a lancé en 2021 une campagne de sensibilisation sur les mécanismes de lutte contre la corruption dans les secteurs privé et public du pays. Selon la Commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite, le Gabon est profondément gangrené par la corruption tant dans les administrations publiques que dans les entreprises du secteur privé. Et sur la période 2012-2016, la somme de 600 milliards de FCFA a par exemple été frauduleusement payée aux fournisseurs par l’État, selon un audit de la direction générale du budget et des finances publiques.

Parmi les autres sujets évoqués pendant l’audience de lundi dernier, on peut citer la Journée nationale de l’évaluation que le Gabon s’apprête à organiser.  L’événement est destiné à promouvoir les pratiques de l’évaluation au sein des administrations gabonaises. « L’évaluation est vraiment au cœur des efforts qu’il faut faire pour une amélioration continue des politiques publiques. Il est clair aujourd’hui qu’avec des fonds limités et des budgets limités, nous ne pouvons pas tout faire. Nous devons être sûrs que dans la planification stratégique, nous investissons là où nous pouvons avoir un retour sur investissement », a affirmé Savina Ammassari.

SG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Afin d’atténuer le conflit homme- faune, le gouvernement gabonais par l’intermédiaire du ministre des Affaires étrangères, Moussa Adamo et par l’entremise du ministère des Eaux et Forêts viennent de signer un accord pour la mise en œuvre de la stratégie nationale de ce fléau avec et l’ONG kenyane Space for Giants.

Le choix de l’ONG kényane n’est pas fortuit. Depuis 2016, inspiré par les méthodes kényanes, le Gabon a lancé le Plan national de gestion du conflit homme-faune. Celui-ci consiste à construire des barrages électriques autour des 11 parcs nationaux dont la présence est souvent mise en avant pour expliquer l’exacerbation du conflit homme-faune dans le pays.

Ainsi, la Banque Mondiale a mis à la disposition du Gabon un budget de 9,5 millions de dollars afin d’explorer des stratégies et des innovations visant à réduire les conflits humains-espèces sauvages, et l’État gabonais a lui-même inscrit pour la première fois une ligne budgétaire dans la loi des finances 2020 destinée à ce conflit. Dans la loi de finances 2021, un montant de 1,6 milliard de FCFA a été budgétisé pour la gestion des conflits hommes-éléphants.

Grâce à ces ressources, le Gabon a inauguré le 18 juillet 2021 la barrière électrique du village Ghietu-y-Batu, situé à 15 kilomètres de Gamba. Construit par l’Agence nationale des parcs nationaux (Anpn), cet ouvrage ceinture une superficie de 141,7 ha. Le projet a été réalisé dans le cadre du programme de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) du pétrolier Assala Gabon (filiale d’Assala Energy) au bénéfice des communautés locales, grâce à l’expertise technique de l’ONG internationale Space for Giants qui œuvre pour la préservation de la faune et de la flore.

Au Gabon, depuis de nombreuses années, le conflit homme-faune prend des proportions inquiétantes. Les plantations des communautés villageoises sont régulièrement ravagées par des éléphants, et certains villages enregistrent des incursions récurrentes de ces pachydermes. Le gouvernement avec la collaboration des organismes internationaux et certaines organisations de la société civile a entrepris de trouver des solutions pour gérer cette question.

S.A.

 

 

 

 

 

 

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Le Premier ministre gabonais, Rose Christiane Ossouka Raponda, a eu le 10 mai 2022 une séance de travail avec le ministre de la Santé, Dr Guy Patrick Obiang Ndong et les représentants de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS). Cette rencontre avait pour objectif de trouver des solutions au financement des structures sanitaires du pays.

« Il y a quelques dysfonctionnements observés dans le financement de nos formations sanitaires qui impactent aujourd’hui les prestations de soins dans ces différentes structures sanitaires. Le Premier ministre a demandé, aux membres du gouvernement, aux financiers, à la CNAMGS et au ministre de la Santé de lui faire le point et des propositions immédiates visant à pallier ce dysfonctionnement », a déclaré Dr Guy Patrick Obiang Ndong au sortir de la rencontre avec le Premier ministre.

Selon le ministre de la Santé, la CNAMGS est le principal bailleur des formations sanitaires. Il détient trois fonds : le fond des agents publics de l’État, celui du secteur privé et celui des Gabonais économiquement faibles. « Nous avons fait le point au niveau des recouvrements des cotisations de ces trois fonds. Il y a des efforts qui doivent être faits pour que nous soyons à un taux de recouvrement de 100% sur ces trois fonds pour donner une bouffée d’oxygène aux formations sanitaires et veiller également à une bonne gouvernance au niveau de ces formations sanitaires pour le bien des populations », a-t-il indiqué.  

Cette rencontre intervient quelques jours après la décision de la coalition des syndicats du secteur santé de suspendre l’utilisation des feuilles de soins et bons d’examen CNAMGS au sein des structures sanitaires publiques.

Brice Gotoa

 

 

 

 

 

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