Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Au Gabon, le logiciel Sydonia world, une application de dédouanement informatisé des marchandises, est désormais opérationnel sur 10 des 12 bureaux centraux des douanes que compte la direction générale des Douanes et droits indirects. Soit 83% des bureaux centraux des douanes selon une annonce du ministère de l’Economie et de la relance ce 20 septembre 2021.

L'ensemble des bureaux connectés au logiciel sont ceux du centre Libreville-Owendo, du contrôle douanier postal, du Port-môle, de Libreville aéroport, de New Owendo international port, de Nkok, de Port-Gentil port, de Port-Gentil aéroport, de Mayumba, et de Moanda. Il ne reste plus qu’à connecter les bureaux d’Oyem et de Bitam.

Mis en place dans le but d’accélérer les échanges d’information et améliorer la mobilisation des recettes, le Sydonia World a officiellement remplacé Sydonia Plus en janvier 2020. Depuis sa mise en place selon le ministère de la Promotion des investissements, ce logiciel a permis de réduire les délais et procédures de traitement des déclarations en douanes, d'accroître les recettes douanières. Il a également permis de renforcer les contrôles, ainsi qu’une meilleure gestion intégrée des exonérations.

Présenté comme une version améliorée de son prédécesseur Sydonia plus, le Sydonia world se base sur l’internet pour moderniser les processus de dédouanement afin de faciliter le commerce légal et renforcer l’efficacité des contrôles douaniers, apprend-on. Cet outil va permettre également de désengorger les ports du pays.

S.G.

 

Les prix de certains matériaux de construction flambent depuis quelques semaines à Libreville. « La hausse est presque générale et concerne presque tous les matériaux. Par exemple, la tonne du ciment qui coûtait 90 000 FCFA il y a trois mois est vendue dans certaines quincailleries à 95 000 FCFA voire 100 000 FCFA dans d’autres. Le camion de sable est passé de 50 000 FCFA à 60 000 FCFA. Le prix du rouleau d’attache qu’on se procurait à 5000 FCFA il y a trois mois environ est aujourd’hui vendu à 6000 FCFA. Les prix varient en fonction des vendeurs », explique un professionnel du bâtiment. La hausse des prix est donc de l’ordre de 11%.

Cette hausse s’explique « par une augmentation des taxes douanières comme le justifient les grossistes. Mais en réalité, chaque année au cours de la saison sèche, les prix des matériaux de construction augmentent généralement. Car, c’est pendant cette saison que plusieurs personnes lancent leurs travaux de construction. Et par conséquent, la demande devient très forte et les commerçants en profitent pour créer la pénurie et augmenter les prix », explique un quincailler à Libreville.

Pourtant, depuis quelque temps, le ministère du Commerce a décidé de passer à la vitesse supérieure s’agissant de la lutte contre la hausse unilatérale des prix des produits dans les marchés. A ce titre, un numéro vert a été mis en place par la direction générale de la concurrence et de la consommation (DGCC) pour dénoncer les abus et fraudes.

Rappelons que le secteur des matériaux de construction est en baisse d’activité au Gabon du fait du recul de la commande publique, l’arrêt de certains chantiers et la pandémie du coronavirus. Selon la note de conjoncture du ministère de l’Economie, la production de ciment à fin mars 2020 a baissé de 11% à 101 210 tonnes à fin mars en glissement annuel. Parallèlement, les ventes ont été plombées (-12%) par les dysfonctionnements liés au contexte sanitaire, induisant un recul (-11,1%) du chiffre d’affaires par rapport à la même période un an plus tôt.

A noter que le BTP (bâtiments et travaux publics) est un secteur sur lequel le Gabon compte pour accélérer la transformation de son économie d’ici 2023.

S.G.

Suite à la décision de la Banque mondiale de mettre fin à la publication de son rapport sur le climat des affaires dénommé « Doing Business », le Gabon affirme qu’il va poursuivre ses réformes. « Nous prenons acte de la décision de la Banque mondiale d'interrompre la publication du rapport annuel Doing Business. Toutefois, le Gabon reste engagé à poursuivre sa dynamique des réformes afin d'améliorer le cadre des affaires et de l'investissement », a réagi ce 17 septembre, le ministre de la Promotion des investissements, Carmen Ndaot.

Au cours du Conseil des ministres du 11 août, le pays a prévu de réaliser 32 réformes, à l’horizon 2023. Réparties dans 7 indicateurs, ces réformes incluent la création d’entreprises, le raccordement à l’électricité, le commerce transfrontalier, le paiement des taxes, l’octroi du permis de construire, le transfert de propriété et la justice commerciale. Mais déjà, le gouvernement déclare avoir réalisé 13 réformes prescrites par le Doing Business entre 2019 et 2020.

Sylvain Andzongo

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Le Gabon projette d'atteindre le cap de 100 entreprises installées dans Zone économique à régime privilégié (Zerp) de Nkok au 1er semestre 2022.

En effet, dans sa lettre au président de la République le 13 septembre dernier, Noureddin Bongo, ex-Coordinateur général des Affaires présidentielles, affirme que, « le rythme d’installations d’usines dans la zone industrielle de Nkok s’est fortement accéléré, avec aujourd’hui 85 usines, et 15 autres en phase d’investissement qui devraient entrer en production avant le premier trimestre 2022 et ainsi générer de nouveaux emplois ». Aussi, apprend-on, les usines de Nkok s’émancipent des secteurs traditionnels de l’industrie du bois et de la métallurgie, pour la production de médicaments, le recyclage de déchets plastiques ou encore la production de ciment.

Lancée en 2012, la Zerp de Nkok compte actuellement 85 entreprises en production dont 68 dans le secteur du bois. Si elle atteint les 100 entreprises annoncées au 1er semestre 2022, cela fera une moyenne de 10 entreprises installées par an au bout d’une décennie.

La Zerp de Nkok est issue d’un partenariat public-privé entre l’Etat gabonais et la Société singapourienne Olam International. Sur place, une Autorité administrative a pour rôle d’apporter un appui personnalisé aux sociétés installées dans la Zerp de Nkok, ou celles souhaitant y opérer en facilitant leurs formalités administratives. Son service s’articule essentiellement autour de 17 administrations représentées au sein du guichet unique.

Sylvain Andzongo

Dressant le bilan des 21 mois passés à la tête de la coordination générale des affaires présidentielles (CGAP), Noureddin Bongo Valentin a énuméré quelques projets réalisés par le gouvernement sous son impulsion. C’était dans sa récente lettre ouverte au président de la République.

D’après l’ancien patron de la CGAP, la mobilisation et le déploiement des ressources sur certains projets prioritaires, très attendus des populations, ont été accélérés au cours des 21 derniers mois. A titre d’exemple, on peut citer la réhabilitation de la route nationale n°1 (RN1) qui connecte Libreville à l’intérieur du pays et dont les travaux ont finalement démarré en août 2020. Ce, après un important retard à l'allumage, dû aux contraintes de mobilisation des ressources, et aux contraintes logistiques pour l'importation du matériel. « Désormais, toutes les conditions sont réunies pour que ce chantier majeur de votre mandat soit réalisé avant l'échéance de mi 2023 », a affirmé Noureddin Bongo dans sa correspondance.

Dans la même lancée, plusieurs travaux de voiries principales et secondaires ont été lancés dans l'agglomération de Libreville, Port-Gentil, Moanda, Fougamou, avec la particularité d'être suivis par des missions de contrôle afin que les entreprises adjudicatrices respectent leurs cahiers de charge ainsi que les délais. C’est le cas notamment du bassin versant de Nzeng-Ayong, dont les travaux ont connu de nombreux blocages avant d’être finalement réalisés.

Dans la même lettre ouverte, le fils du président Ali Bongo évoque également de son bilan du point de vue des infrastructures scolaires. Notamment avec la construction de passerelles à proximité de deux établissements secondaires du pays. Au cours de la même période Libreville et Port-Gentil ont bénéficié de 5 établissements disposant de 89 salles de classes livrés. Les travaux de construction de cinq autres établissements sont en cours et pourront être livrés en novembre 2021. A cette liste s’ajoutent des centres de formation professionnelle construits pour former les jeunes gabonais conformément aux besoins du marché de l’emploi.

Investissement

Selon Noureddin Bongo, la feuille de route adoptée par le gouvernement, sous l'impulsion de la Coordination générale des affaires présidentielles, a donné confiance et visibilité au secteur privé. Ce qui « s'est traduit par un niveau inédit d'investissements privés ».

Cet engouement des investisseurs étrangers au Gabon s’est traduit par l’accélération du rythme d'installations d'usines dans la zone industrielle de Nkok. Aujourd'hui 85 usines sont actives dans cette zone, et 15 autres sont en phase d'investissement. Ces dernières devraient entrer en production avant le premier trimestre 2022, apprend-on.

Energies

Les investissements privés au Gabon ont également été accélérés dans le secteur énergétique, avec un nouveau financement en vue pour la construction du barrage hydroélectrique de Kinguele aval. Ce projet va en effet bénéficier d’un financement du fonds d’investissement français Méridiam d’un montant de 117 milliards de FCFA.

S’agissant des projets de construction de deux nouveaux barrages hydroélectriques (Ngoulmendjim et Dibwangui) et d'une station de traitement d'eau d'une capacité de 130 000 m 3 /jour, dite « Ntoum 7 », les contrats de concession devraient être signés dans les tout prochains mois, apprend-on.

« L'ensemble de ces projets étaient réalisés auparavant via l'endettement de l'Etat. Ils le sont désormais grâce à des investissements privés et à la dette supportée par les projets eux-mêmes. Ces évolutions profondes contribuent non seulement à l'amélioration de la compétitivité du pays mais également à l'assainissement des finances publiques et à la soutenabilité de la dette », soutient l’ex CGAP.

Tous ces investissements contribuent aussi à générer de nouveaux emplois. L'objectif du Gabon est d'insérer professionnellement 60 000 jeunes à raison de 20 000 par an entre 2021 et 2023.

Sandrine Gaingne

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Le Gabon prépare l'ouverture d'une cellule d'analyse criminelle avec l’appui de l'Organisation internationale de police criminelle (Interpol). Cette organisation permet aux polices de 194 pays membres de travailler ensemble pour lutter contre la criminalité internationale.

A cet effet, apprend-on de la préfecture de police de Libreville, dans le cadre de la poursuite de la modernisation des unités et services de Police, une formation d’analystes criminels s’est déroulée récemment dans la capitale. « Cette formation de renforcement des capacités opérationnelles en matière d’investigations des officiers de police judiciaires, organisée par l’Oipc-Interpol, intervient en prélude de l’ouverture prochaine de la salle d’analyse criminelle. Une cellule d’analyse du renseignement criminel au sein des forces de police Nationale qui sera basée à Libreville, et en collaboration avec l’Oipc-Interpol », apprend-on.

Le projet de l’ouverture d’une cellule criminelle d’analyse criminelle à Libreville est en gestation depuis 2019. Cette année-là, Interpol a organisé du 14 au 15 novembre 2019, deux rencontres des chefs de police d’Afrique centrale, axées sur des questions sécuritaires dans la sous-région. Au terme des travaux, il a été convenu d’ouvrir des bureaux centraux nationaux afin de lutter contre la criminalité internationale. Cela permettra à Interpol et ces bureaux d’avoir une meilleure collaboration en matière de lutte contre le crime à l’international.

S.A.

L’Etat gabonais à travers le ministère des Travaux publics, de l’Equipement et des infrastructures, a lancé le 16 septembre 2021, un avis d’appel d’offres national ouvert en vue de trouver deux opérateurs pour la réalisation des travaux des voiries des villes de Lambaréné et d’Oyem.

Cet appel d’offres est réparti en deux (2) lots, dont le premier porte sur les travaux des voiries de la ville de Lambaréné avec un béton bitumeux sur un linéaire de 7 kilomètres et le second sur les travaux des voiries de la ville d’Oyem avec un béton bitumeux sur un linéaire de 11,75 kilomètres.

« Une entreprise peut soumissionner pour un (1) ou pour deux (2) lots. Dans le cas où elle soumissionne pour deux lots, elle devra présenter une offre séparée pour chaque lot en termes de personnel, de matériel, de capacité de financement et de logistique sous peine de rejet. Le marché sera attribué lot par lot », renseigne le communiqué d’appel d’offres.

Selon la même source, tous les soumissionnaires non concernés par les mesures d’exclusion et d’incapacité portant Code des marchés publics sont admis à concourir. Ils doivent justifier aux fins d’attribution du marché, de leurs capacités juridiques, techniques et financières.

Ces travaux des voiries des villes de Lambaréné et d’Oyem seront financés par l’Etat gabonais. Le coût n'est pour l'instant pas connu mais les candidats ont jusqu’au 06 octobre 2021 pour le dépôt de leurs dossiers.

La réalisation des travaux des voiries des villes de Lambaréné et d’Oyem font partie du Plan d’accélération de la transformation (PAT) qui a prévu la réalisation des voies urbaines dans plusieurs villes du pays. Entamés depuis quelques mois, plusieurs chantiers sont actuellement en cours sur l’ensemble du territoire national.

Selon le ministre gabonais des Travaux publics, Léon Armel Bounda Balonzi, le Gabon dispose d’un linéaire routier de 10 000 km, dont seulement 2000 km sont en état. Dans la loi finances 2021, un budget de 156,7 milliards de FCFA est destiné aux constructions, logements et équipements collectifs au Gabon.

Brice Gotoa

Depuis l’édition 2020, la Banque mondiale avait suspendu la publication du Doing Business aux fins de mener une enquête sur des irrégularités constatées dans la manipulation des données. Ce jeudi 16 septembre l’institution annonce l’arrêt définitif des publications.

La Banque mondiale ne publiera plus de rapport Doing Business. L’annonce vient d’être faite par l’institution dans un communiqué publié ce jeudi 16 septembre 2021. Cette décision est prise à la suite de la publication des conclusions d’une enquête diligentée sur les irrégularités révélées dans les données des éditions 2018 et 2020 du rapport.

« La confiance dans les travaux de recherche du Groupe de la Banque mondiale est d’une importance capitale. Ces travaux guident les actions des décideurs politiques, aident les pays à prendre des décisions mieux éclairées et permettent aux parties prenantes de mesurer les progrès économiques et sociaux avec plus de précision » a indiqué l’institution de Bretton-Woods dans son communiqué.

Et d’ajouter : « Après avoir examiné toutes les informations disponibles à ce jour sur le rapport Doing Business, y compris les conclusions d’examens et audits antérieurs et le rapport rendu public aujourd’hui par la Banque au nom du Conseil des Administrateurs, la direction du Groupe de la Banque mondiale a pris la décision de mettre un terme à la publication du rapport Doing Business ».

Moutiou Adjibi Nourou

La Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) veut accompagner le Gabon pour la réalisation des projets prioritaires du Plan d’accélération de la transformation (PAT). C’est le but de l’audience accordée par le ministre gabonais de l’Economie et de la relance, Nicole Jeanine Lydie Roboty Mbou à une délégation de cet établissement bancaire.

« Le Gabon ici a créé le Plan d’accélération de la transformation sur les trois années et qui permet à ses partenaires au développement de venir nous accompagner sur un certain nombre de projet qui sont identifiés, les projets qui sont à réaliser aussi bien au niveau du secteur public que par le secteur privé », a déclaré Nicole Jeanine Lydie Roboty Mbou.

Selon le membre du gouvernement, la banque présente au Gabon essaie de rencontrer les acteurs qui permettent de mettre en œuvre un certain nombre de projets pour le bien des économies en développement. « Nous venons pour écouter d’abord les principales priorités du gouvernement pour nous informer sur des projets prioritaires, et à la lumière des priorités qui seront définies par le gouvernement, la Badea entamera des processus d’évaluation et de financement », a indiqué Dr Sidi Ould Tah, manager général de la Badea.

Le Gabon est lancé à travers le PAT dans la relance de ses activités économiques affaiblie par la crise économique et la crise sanitaire de la Covid-19.  Ce plan repose sur trois piliers dont les piliers économique, social et transversal. Et il s’évalue à 3 000 milliards de FCFA sur 3 ans (2021-2023) selon le ministre de l’Economie et de la Relance. Cette enveloppe globale est financée partiellement par l’Etat gabonais sur la base de ses ressources propres, soit 33%. Les 67% restants devant être financés entre autres par les ressources extérieures et les mécanismes de financement innovants tels que les partenariats publics privés qui sont en train d’être mis en place.

La Badea est une institution financière, financée par les États membres de la Ligue des Etats Arabes signataires de l’accord portant création de la banque le 18 février 1974. Elle vise à contribuer au développement de la coopération économique, financière et technique arabo-africaine, concrétisant ainsi la solidarité arabo-africaine basée sur l’égalité et l’amitié. Son siège permanent est à Khartoum, capitale du Soudan.

Brice Gotoa

Le Nouveau port international d’Owendo (NOIP) a un nouveau directeur général en la personne de Kumar Mohan. L’information a été donnée le 15 septembre 2021 sur linkedin par Arise ports & logistics, la filiale d’Olam qui gère le NOIP. « Arise Ports & Logistics est heureux de vous présenter Kumar Mohan, qui a récemment été nommé directeur général du Nouveau port international d’Owendo. En plus de son poste de directeur commercial de GSEZ – Gabon special economic zone, il prend maintenant la tête des équipes du Nouveau port international d’owendo au Gabon. Nous sommes ravis de l’accueillir à bord », indique Arise ports & logistics.

Agé de 33 ans, le nouveau directeur général cumule déjà plusieurs années d’expérience au sein de la société Arise et Olam international. Chez Olam, maison mère d’Arise, il a notamment été directeur financier dès 2012, avant de rejoindre Arise en 2018 comme directeur commercial. C’est d’ailleurs ce poste qu’il occupait jusqu’à sa nomination comme directeur général.

A la tête du nouveau port international d’Owendo, Kumar Mohan devra œuvrer pour attirer plus d’investisseurs au Gabon. Ce qui consistera notamment à mettre en œuvre les stratégies déjà en place au sein de cette place portuaire. A savoir, la réduction des coûts de prestations et l’acquisition d’une nouvelle zone de stockage pour permettre de simplifier les activités de transit (import/export).

Le NOIP a été lancé en 2017. Cet espace portuaire est considéré comme un outil majeur de la diversification de l’économie gabonaise qui devra aider à réduire la dépendance du pays vis-à-vis des recettes pétrolières. A noter qu’à fin 2020, l’activité au port sous douane d’Owendo, a enregistré des résultats en hausse. Au cours de cette période, le volume global des marchandises manipulées a progressé de 15,8% à 9,8 millions de tonnes selon la note de conjoncture du ministère de l’Economie.

S.G.

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