La Société nationale des hydrocarbures du Gabon (SNHG), plus connue sous l’appellation de Gabon Oil Compagny (GOC) lance bientôt une campagne d’entretien des puits du champ pétrolier de Mboumba. En rapport avec cette opération, l’entreprise a publié hier 31 août 2021, un avis à manifestation d’intérêt.
Cet avis à manifestation précède l’ouverture d’un appel d’offres pour la « location d’une unité Coiled tubing pour des opérations de désensablement de stimulation, la location d’une unité de contrôle de sable « Sand Trap » et la location d’échafaudages », informe-t-elle.
Dans ledit communiqué, la société d’Etat chargée de l’exploration et de la production d’hydrocarbures invite les entreprises spécialisées dans l’entretien des puits pétroliers à manifester leur intérêt avant le 3 septembre 2021. Et les entreprises présélectionnées à l’issue de l’avis à manifestation d’intérêt « recevront ultérieurement les dossiers d’appels d’offres relatifs » à l’exécution de la prestation.
Pour faire acte de candidature, les entreprises intéressées doivent remplir certaines conditions. Notamment, justifier de la disponibilité des documents nécessaires à l’exécution des prestations en local sous 45 jours maximum, avoir une expérience d’au moins deux ans sur des projets similaires dans l’industrie pétrolière, et justifier des capacités juridiques et réglementaires conformes à la législation.
Situé entre Port-Gentil et Libreville, le champ de Mboumba génère jusqu’à 1500 barils de pétrole par jour et possède un potentiel gazier intéressant. Ce gisement était exploité depuis 1980 par la filiale locale du pétrolier français Total avant sa cession à l’Etat gabonais en 2016.
S.G.
Patrick Gerenthon est le nouveau directeur général de Bolloré Gabon. C’est à lui qu’incombe désormais la tâche de superviser le développement des activités logistiques de l’entreprise dans le pays en remplacement de l’Ivoirien Serge Agnero, affecté au Cameroun. Ce dernier était à la tête de la filiale gabonaise de Bolloré depuis 2019.
Diplômé de l’école pratique de la chambre de commerce de Marseille, Patrick Gerenthon cumule une expérience de 22 années au service du groupe Bolloré en Afrique. Aujourd’hui, il dit être prêt à poursuivre l’œuvre entamée par son prédécesseur pour la modernisation des infrastructures logistiques de la structure et le renforcement de la fluidité de ses opérations, grâce à un service de qualité aux usagers.
L’une de ses missions sera de développer des partenariats et des conventions avec le département de la Formation professionnelle au ministère de l’Emploi, à travers l’Agence nationale de formation et d'enseignement professionnels (ANFEP) et l’Office national de l’emploi (ONE).
Avant sa nomination au Gabon, Patrick Gerenthon était le directeur général du Cluster corne de l’Afrique de Bolloré transport et logistique. Il dirigeait les activités du groupe dans en Ethiopie, Djibouti, Érythrée et Somalie. Il a également occupé plusieurs postes au sein de la filiale ivoirienne de Bolloré.
S.G.
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« Vol à la résidence de l’ambassadeur ». C’est l’objet de la correspondance que l’ambassadeur du Cameroun au Gabon, Ngaeto Zam Edith Félicie Noëlle épouse Ondoua, a adressée le 27 août dernier au ministre des Relations extérieures au Cameroun, Lejeune Mbella Mbella.
Dans cette lettre confidentielle, la diplomate camerounaise écrit : « j’ai été victime d’un coup de vol important hier 26 août [2021], à la Résidence. Ce forfait a été vraisemblablement perpétré par l’une des femmes de ménage, Eyenga Colette, une compatriote qui a réussi à s’échapper en trompant la vigilance des gardiens et des policiers en faction ».
Elle ajoute : « Aussitôt informées, les autorités de sécurité gabonaises se sont déportées sur les lieux pour recueillir les premiers éléments d’informations, et ouvrir une enquête. Tout élément nouveau concernant cette affaire vous sera communiqué en temps opportun ».
Pour l’heure, aucune autre information ne filtre au sujet de ce coup de vol « important ». Mais des informations de plus récurrentes font état du cambriolage d’une énorme somme d’argent dépassant le demi-milliard de FCFA. Mais aucune source officielle ne confirme ce détail ou ce montant.
S.A.
La direction générale de BgfiBank Gabon a publié le 31 août un communiqué portant sur l’entrée en application de la taxe sur les retraits conformément au journal officiel de la semaine du 24 au 30 mai 2021.
« Cette taxe dont le taux est fixé à 2% est assise sur le montant hors taxes des sommes retirées. La taxe sur les retraits est due par toutes les personnes physiques ou morales qui effectuent au cours d’un mois un ou plusieurs retraits en numéraires, pour un montant cumulé supérieur ou égal à cinq millions de FCFA, indépendamment du mode ou de la fréquence de retrait », explique la banque. En d’autres termes, tout retrait de 5 millions de FCFA en cash sera taxé à 2 %. Soit, une taxe de 100 000 FCFA à prélever lors de ce retrait.
Toutefois, indique BgfiBank, sont exonérés de ladite taxe : les retraits inférieurs à 500 000 FCFA ; les sommes supérieures ou égales à 500 000 FCFA retirées en numéraire par les employeurs en vue de payer les salaires de leurs employés et justifiées par la production de l’état des paies du mois concerné ; les sommes supérieures ou égales à 500 000 retirées en numéraire par un tiers bénéficiaire au moyen d’un chèque ; les sommes supérieures ou égales à 500 000 FCFA retirées en numéraire par une personne physique ou morale auprès de plusieurs établissements de crédit sans que ces sommes n’aient constituées un minimum de 500 000 FCFA pour chacun des établissements concernés.
Selon les explications du ministère de l’Economie, « les transactions basées sur la monnaie physique sont difficiles à contrôler et favorisent l’économie informelle. (…) L’objectif de cette taxe est donc d’accélérer le changement d’habitude des usagers, en les incitants économiquement à privilégier les transactions numériques ou traçables (via chèque, virement bancaire, cartes de paiement ou encore mobile money) ».
Sylvain Andzongo
Les agents de l'Office national de sûreté et de facilitation des aéroports du Gabon (Onsfag) ne grèveront pas la semaine prochaine. A la suite d’une séance de travail le 30 août 2021, entre le ministre des Transports, Brice Constant Paillat et le comité de direction de l’Onsfag, le gouvernement a obtenu de ces agents, une annulation de cette grève qui visait à réclamer trois mois arriérés de salaires.
Des solutions immédiates ont été annoncées par le membre du gouvernement pour ne pas suspendre, comme prévu par les agents de l’office, les activités dans les aéroports de Libreville, de Port-Gentil et de Mvengué à Franceville.
« Au courant de cette semaine, un mois de salaire sera payé. Une programmation a déjà été convenue avec le service compétent du ministère du Budget. Et nous avons bon espoir que d’ici les deux semaines qui viennent, les trois qui sont réclamés seront apurés », a déclaré Brice Constant Paillat
Ce retard de payement des agents de l’Onsfag est lié à l’impact de la Covid-19 sur le fonctionnement de l’autorité aéroportuaire. La Covid-19 a mis en hibernation toutes les ressources de l’Etat mais les autorités gabonaises travaillent à maintenir en équilibre les secteurs d’activités.
Le membre du gouvernement a également saisi l’opportunité de cette rencontre pour inviter l’office au respect du décret 87 signé par le président de la République Ali Bongo Ondimba pour encadrer la rémunération des dirigeants de tous les services publics personnalisés. L’objectif étant d’abréger certaines charges financières jugées secondaires.
Brice Gotoa
BGFIBank Gabon, la filiale de BGFI holding corporation projette de fusionner avec la société Loxia un établissement de microfinance de 2e catégorie, qui est également une filiale du groupe bancaire gabonais. L’information est donnée par le cabinet de notaire maître Anne Gey Bekale dans une annoncé légale publiée ce 31 août 2021 dans le quotidien l’Union.
Les raisons de la fusion absorption de cette microfinance au capital de 2,5 milliards de FCFA n’ont pas été données. Mais, le cabinet du notaire maître Anne Gey Bekale, soutient que « la fusion absorption de Loxia, société absorbée, par BGFIBank Gabon, société absorbante, n’emportera pas d’augmentation de capital par apport en nature et ou stipulations d’avantages particuliers ». Par ailleurs, « la valeur totale de l’actif apporté est évaluée à 9,4 milliards de FCFA correspondant à la somme des biens apportés. Et la valeur du passif transmis est évaluée à 8,3 milliards de FCFA ».
Et dans le cadre du processus de cette fusion, une expédition notariée du dépôt du projet du traité de fusion du 26 mars 2021, une expédition du dépôt du procès-verbal du conseil d’administration de la société BGFIBank Gabon (au capital de 100 milliards de FCFA), une expédition du dépôt du conseil d’administration du 25 mars 2021 de la société Loxia, ont été déposées au greffe du tribunal de commerce de Libreville, le 24 août 2021, apprend-on.
Filiale du groupe BGFIBank, la microfinance de 2e catégorie Loxia a été créée en avril 2009 dans le but d'accroître l’inclusion financière dans le pays. Ce, en offrant des produits et services financiers de proximité accessibles à des personnes exclues du service bancaire classique. La structure est détenue à 100% par BGFI holding corporation.
S.G.
L’on en sait un peu plus sur la décision de la United Bank for Africa (UBA) au Gabon annonçant le 25 août que : « tous les paiements par GAB [Guichet automatique de banque] et TPE [terminaux de paiement électronique] à l’international seront bloqués à partir du 31 août 2021 sous réserve d’une autorisation préalable de la banque ».
En effet, dans une interview publiée le 30 août dans le quotidien gabonais L’Union, Eugenia Onyekwelu, la DG de la filiale gabonaise d'UBA explique les motivations de la banque. « Comme rappelé par l’instruction N°008/GR/2019 relative aux conditions et modalités d’utilisation à l’extérieur de la Cemac des instruments de paiement électronique, les moyens de paiement électronique ne peuvent être utilisés hors Cemac que pour des besoins de déplacement (pour motifs de tourisme, études, mission ou pour des raisons de santé etc.). A cet effet, l’utilisation des cartes internationales dans les guichets automatiques (GAB) et terminaux de paiement, hors de la zone Cemac, ne pourra s’effectuer que lorsque le client aura préalablement fourni les pièces justificatives de sa présence hors de la zone Cemac », explique la responsable.
Toujours selon elle, pour que les clients d’UBA Gabon puissent effectuer des paiements internationaux hors-Cemac, ils devront fournir à la banque lors des déplacements, une copie du passeport, le billet d’avion confirmé et un visa si nécessaire. « Cependant, les paiements en ligne restent libres dans la limite autorisée par personne et par mois », précise-t-elle.
Aussi, elle indique que cette démarche de la banque vise à s’arrimer à la réglementation des changes en vigueur dans la zone Cemac (Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad). L’article 6 du Règlement n°02/Cemac/Umac/CM du 21 décembre 2018 portant règlementation des changes dans cette zone prévoit la liberté des transferts, paiements et règlements des transactions courantes à destination de l’étranger, sous réserve de la justification de l’origine des fonds et de la représentation des documents exigés par la réglementation. Ceci sous le contrôle de la Banque centrale afin d’éviter la fuite des devises nécessaires dans les transactions des importations.
En cas de non-observation de cette règlementation, la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) peut être amenée à infliger des pénalités pécuniaires à UBA Gabon et à d’autres banques hors-la-loi.
Les sanctions contre des établissements bancaires rendues publiques par la Cobac, remontent au 28 décembre 2018. Cette année-là, la Commission bancaire de l’Afrique centrale (Cobac) a « décidé d’infliger un blâme » à Alphonse Nafack, directeur général de la banque camerounaise Afriland First Bank, « pour non-respect de la réglementation des changes et des normes prudentielles ». La même sanction, pour les mêmes motifs, avait été imputée à Isong Udom, directeur général de la filiale camerounaise de United Bank for Africa (UBA). Idem pour Gwendoline Nzo-Nguty Abunaw, DG d’Ecobank Cameroon.
À l’époque, le président de la Cobac notait déjà que « dans la pratique, nous observons que plusieurs établissements de crédit ont tendance à perdre de vue le respect des règles prudentielles édictées par la Cobac et par conséquent, à se surexposer espérant ainsi satisfaire des objectifs de rentabilité ».
Sylvain Andzongo
L’administration en charge du fisc au Gabon informe que dès le 1er septembre 2021, les opérateurs des secteurs bois, habitat social, tourisme, agriculture et ciment seront assujettis à un nouveau régime d’exonération fiscale.
Selon cette administration, la loi rectificative 2021 prévoit « le passage desdits secteurs d’un régime d’exonération totale à un régime d’exonération partielle au taux global réduit de 5% ». En d’autres termes, les entreprises des secteurs susmentionnés devront désormais payer des impôts et taxes là où elles ne payaient rien du tout en termes de droits fiscaux.
La même source ajoute : « Ce nouveau régime qui s’appliquera durant une période transitoire de trois ans à compter de la première importation en régime économique et privilégié avant un retour au droit commun, portera uniquement sur les importations définitives effectuées par les entreprises agréées destinées directement, exclusivement à leurs activités ».
Dans le cadre de la loi de finances 2021, le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, a signé en début de cette année une circulaire qui encadre les exonérations fiscales au cours de cet exercice. « Le niveau des exonérations accordées ne peut dépasser 10% des recettes totales recouvrées trimestriellement. Par ailleurs, toute exonération légale est interdite en cours d’exercice budgétaire sauf autorisation expresse du Parlement », a prescrit le Premier ministre.
L’enjeu de ce tour de vis sur les dépenses fiscales est d’accroître les recettes de l’État. En effet, la loi de finances 2021 prévoit des recettes fiscales de 1 442,26 milliards de FCFA (+24%) et des droits de douane de 333,28 milliards de FCFA (+27%), soit un total de recettes fiscalo-douanières de 1 775,54 milliards de FCFA attendues en 2021.
Les exonérations fiscales à tout va sont contreproductives, selon la direction générale des Impôts. Car, elles entraînent des pertes de recettes pour l’État. C’est en ce sens qu’on les appelle couramment « dépenses fiscales » dans la mesure où elles constituent pour l’État une renonciation délibérée de certaines de ses recettes fiscales pour en principe encourager l’investissement dans des secteurs qu’il juge prioritaires.
Selon les dernières données fournies par la DGI, le montant des dispenses de TVA pour la période 2016-2017, par exemple, s’élève à 53,38 milliards de FCFA.
Sylvain Andzongo
Après Airtel Gabon, l’opérateur de téléphonie mobile Moov Africa-Gabon Telecom prévient ses abonnés sur une nouvelle forme de fraude orchestrée par des individus "mal intentionnés" sur sa plateforme Moov Money.
« Cette nouvelle technique d’arnaque consiste à envoyer de faux SMS de réception d’argent suivi d’un appel téléphonique. Faisant croire à une erreur de transfert et invitant à renvoyer la somme reçue », indiqué l’opérateur.
La direction générale de l’entreprise invite les abonnés à plus de vigilance et les prie de consulter leur solde « avant toutes transactions afin d’éviter de tomber dans le piège de ces arnaqueurs », souligne Moov Africa-Gabon Telecom.
Pour éviter à ses abonnés d’éventuelles attaques, Moov Africa-Gabon Telecom donne quelques conseils pratiques pour sécuriser leurs numéros de téléphone et comptes Moov Money. Il s’agit entre autres, de ne jamais taper un code dicté par un individu au téléphone ou à travers un SMS ou mail ; ne jamais communiquer le mot de passe de son compte Moov Money à une tierce personne, même à quelqu’un prétendant être de Moov Africa. Aussi, l'opérateur de télécom marocain recommande à ses clients ne jamais laisser leur pièce d’identité, après des opérations d’identification de leur numéro ou de toute autre opération chez Moov Africa…
Il y a quelques semaines, c'est l’opérateur Airtel Gabon qui a annoncé le lancement d’une enquête pour traquer les auteurs des attaques de son service Mobile Money. Comme chez Gabon telecom, Airtel Gabon disait avoir constaté que des individus tentent de saisir de manière frauduleuse les informations monétaires des clients Airtel Money, en se faisant passer pour ses agents.
Brice Gotoa
L’accord de pêche signé le 29 juin 2021 par le Gabon avec l’Union européenne engage les navires européens à avoir dans leurs équipes des marins gabonais. Ainsi, selon les termes du nouveau protocole de mise en œuvre de l’accord de partenariat dans le secteur de la pêche (APP), pendant l’exercice de leur activité dans la zone de pêche du Gabon, les senneurs de l’UE se doivent d’embarquer six marins Gabonais pour l’ensemble de la flotte pour la première année de l’application du protocole. Pour la deuxième année de son application, ce sont huit marins qui sont exigés, et pour les années suivantes, un total de dix marins gabonais par année.
Parmi ces marins Gabonais, les armateurs européens ont l’obligation également de recruter quelques-uns et leur signer un contrat qui leur garantit le bénéfice du régime de sécurité sociale.
Salaire
« Le salaire des marins embarqués est à la charge des armateurs. Il est à fixer, avant l’embarquement, d'un commun accord entre les armateurs et les marins ou leurs représentants respectifs. Il est versé régulièrement. Toutefois, les conditions de rémunération des marins ne peuvent être inférieures à celles applicables en vertu de la législation gabonaise et en tout cas, pas inférieures au salaire mensuel minimum pour un matelot qualifié établi par la sous-commission sur les salaires des gens de mer de la commission paritaire maritime de l’OIT (Organisation international du travail) », précise de l’accord APP.
Cependant, précise l’accord, au cas où les navires de l’UE ne sont pas en mesure d’embarquer le nombre de marins gabonais requis, ils doivent payer un montant forfaitaire de 25 euros (16426 de FCFA) par marin non embarqué et par jour de présence dans la zone de pêche du Gabon. Par ailleurs, si pour des raisons « exceptionnelles dûment justifiées », l’armateur n’est pas en mesure de trouver de marin présentant les qualifications requises, il est exempté de cette obligation.
Selon une source au ministère de l'Agriculture, le Gabon veut à travers cette mesure, lutter contre le chômage dans la marine marchande et donner la possibilité à ses marins d'apprendre de leurs confrères européens.
37 navires
Rappelons que l’accord de pêche entre le Gabon et l’Union européenne signé le 29 juin 2021, autorise 37 navires français et espagnols à pêcher dans les eaux gabonaises annuellement 32 000 tonnes (tonnage de référence) de poissons. En contrepartie de cet accès aux eaux et ressources halieutiques de sa zone de pêche, le Gabon devrait recevoir au moins 17 milliards de FCFA sur 5 ans, selon l’article 13 du protocole. Ce nouveau protocole d'après l'UE a l’ambition de contribuer à la préservation des ressources maritimes, à la sécurité alimentaire et à la diversification de l’économie gabonaise. Ce, en cohérence avec les objectifs du Plan stratégique Gabon émergent 2025 (PSGE 2025).
Sandrine Gaingne
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