Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Le directeur régional de l’Organisation des Nations Unies Femmes (ONU Femmes) pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, Oulimata Sarr a annoncé, le 23 août 2021, que son organisation ambitionne d’ouvrir un bureau ONU Femmes au Gabon. C’était au cours de l’audience que lui a accordé le ministre gabonais des Affaires sociales, Prisca Koho Nlend.

« Je suis venue apporter mes félicitations mais aussi voir comment ouvrir un bureau ONU femmes au Gabon. C’est une demande très forte et ça fait partie de ce que nous allons discuter avec le système des Nations unies », a déclaré Oulimata Sarr.

Pour le ministre Prisca Koho Nlend, cette perceptive traduirait le couronnement des engagements déployés par les plus hautes autorités du pays dans le cadre de la politique consacrée à l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.

Cette information intervient dans un contexte où le gouvernement a adopté en mars dernier trois projets de loi qui visent à accorder plus de droits aux femmes en République gabonaise.

Et donc, l’ouverture de ce bureau au cas où le projet se concrétise, permettrait de contribuer à l’émergence de la femme gabonaise mais surtout de soutenir l’engagement du Gabon en matière de protection du droit des femmes.

Oulimata Sarr a souligné l’intérêt pour le Gabon d’accélérer les ambitions et les engagements en faveurs de la femme en ouvrant de nouveaux chantiers tels que la budgétisation sensible au genre, l’accès à l’information relative à la mobilisation des ressources liées à l’autonomisation des femmes afin de consolider son rôle de « champion » de l’égalité femmes/hommes dans la sous-région.  

Selon le Cabinet Berger, les femmes représentent 90% des victimes de violences sexuelles et 83% des victimes de violences économiques au Gabon. Le pays d’Ali Bongo Ondimba compte fléchir la tendance, ainsi la période 2015-2025 a été décrétée « décennie de la femme » en 2015 par le président de la République afin de promouvoir la femme souvent victime de plusieurs formes de violence.

Brice Gotoa

Les attestations de perte, dépôt de plainte en vol et bien d’autres documents administratifs pourront désormais être délivrés dans tous les commissariats au Gabon, renseigne un communiqué du Haut commandement des forces de police nationale.

Avant cette note, il fallait se rendre à la direction de la sûreté urbaine et certains commissariats pour se faire établir ces documents. « Il y’a quelques années, certaines procédures administratives n’étaient disponibles qu’à la direction de la sûreté urbaine (établissement des attestations de perte, dépôt de plainte en vol, etc.) et au commissariat de Sogatol (établissement de sépulture etc.). Désormais, comme pour les plaintes, selon votre province, commune et arrondissement de résidence, vous pouvez solliciter ces services de police au commissariat le plus proche », indique le communiqué du Haut commandement des forces de police nationale.

Il est question à travers cette nouvelle mesure selon les autorités gabonaises, de rendre les services de police accessibles aux usagers et réduire le temps de traitement de leurs sollicitations.

S.G.

Au cours de la 71e session du Comité régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’Afrique qui s’ouvre ce 24 août 2021 en présentiel et en virtuel, le ministre gabonais de la Santé va intervenir sur la question de l’intensification de la riposte à la Covid-19.

Dans un panel avec le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des États-Unis d’Amérique pour l’allergie et les maladies infectieuses, le Dr Guy Patrick Obiang Ndong va entretenir les participants sur le thème : « une approche globale de santé publique afin d’endiguer la troisième vague ».

Ce sera certainement l’occasion pour le ministre gabonais de la Santé, de parler des efforts déployés par le Gabon pour barrer la voie à une troisième vague de la Covid-19 dans le pays, et réduire les cas de contamination.

En fait, la stratégie du Gabon face à la menace de cette 3e vague a consisté notamment à maintenir l’état d’urgence sanitaire sur toute l’étendue du territoire national. Cependant, au-delà de cette mesure, la vaccination demeure la meilleure arme contre cette pandémie selon les autorités. D’où l’accent mis sur les campagnes de sensibilisation dans le pays pour vacciner le plus grand nombre de personnes. Selon les chiffres du Comité national de vaccination (Copivac), 76 226 personnes éligibles ont été vaccinées contre la Covid-19 au 20 août 2021. Le pays enregistre à la date du 23 août, 68 cas actifs avec un total de 165 décès depuis le début de la pandémie.

A noter que la 71e session du Comité régional de l’OMS va réunir les ministres de la santé et les représentants des pays africains. Jusqu’au 26 août prochain, ceux-ci devront examiner les principaux défis sanitaires du continent. En dehors de la crise de la Covid-19, les ministres de la Santé des 47 Etats membres de la région africaine de l’OMS vont discuter de la mise en œuvre d’un cadre pour une riposte multisectorielle intégrée à la tuberculose, à l’infection à VIH, aux infections sexuellement transmissibles et à l’hépatite. L’objectif visé à travers cette rencontre est d’améliorer la santé et le bien-être des populations.

S.G.

Le Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon (CSAIG) sollicite le gouvernement pour la construction d’une école islamique à Tchibanga dans la province de la Nyanga au Sud du Gabon. C’est l’objectif de la rencontre du ministre gabonais des Affaires sociales, Prisca Koho Nlend avec une délégation du CSAIG ce 23 août 2021.

, Imam Mouslim Mouissi Mouissi, le membre du gouvernement ne peut rester à l’écart d’un tel projet. C’est un établissement qui va abriter tous les élèves de la province de la Nyanga. « Le soubassement est déjà sorti de terre. Mais nous sommes maintenant asphyxiés et nous faisons un recours vers nos proches, nos autorités pour dire voici une œuvre de la nation qui est là, alors nous sollicitons leurs participations », a déclaré Imam Mouslim Mouissi Mouissi, président du CSAIG antenne Nyanga.

 À terme, ce projet devrait former un grand nombre d’enfants dans cette partie de la ville et accompagner l’Etat dans sa politique éducative. « On a prévu 17 salles de classe. A côté des salles de classe il y a également le bureau administratif », a indiqué le président du CSAIG. Après les villes de Franceville, Port-Gentil et Mouila c’est au tour de Tchibanga d’accueillir une école islamique.

Le conseil supérieur des affaires islamiques est l’instance représentative des musulmans du Gabon. Il est placé sous l’autorité morale du Raïs (président de la République, Ali Bongo Ondimba) de la communauté musulmane du Gabon. Il a entre autres pour mission de se préoccuper de l’image, de la défense et de la valorisation de l’Islam et des musulmans auprès de l’opinion publique.

Brice Gotoa

Dans le cadre de l’émission du programme télévisé « Face à Vous » diffusée simultanément sur Gabon 1ère, Gabon 24 et Radio Gabon, le 18 août, Erlyne Antonela Ndembet Damas, ministre de la justice, garde des Sceaux du Gabon a apporté des éclairages au sujet des réformes en cours dans le secteur.

Le membre du gouvernement est revenu sur des réformes qui concernent aussi bien les infrastructures carcérales, notamment les maisons d’arrêt, ainsi que les textes de loi relatifs aux peines et à leur exécution. En ce qui concerne la surpopulation carcérale, elle a indiqué que « le gouvernement effectue des travaux d’extension des prisons, en attendant la construction des nouvelles structures qui respecteront un peu plus les normes internationales ». Aussi, a-t-elle ajouté : « les travaux d’extension qui s’inscrivent dans le droit fil de la volonté des plus hautes autorités du Gabon d’œuvrer davantage en faveur du respect des droits de l’Homme en République gabonaise aideront à asseoir encore plus la notoriété du pays auprès des instances internationales, en matière de respect des droits de l’Homme ».

L’autre réforme abordée par le Garde des Sceaux concerne notamment les délais de détention. Cette réforme consistera à la mise en pratique des peines alternatives, contrairement à l’emprisonnement systématique, tel que préconisé dans le système judiciaire gabonais. Par l’instauration des peines alternatives à l’emprisonnement, le Code pénal prévoit, dans son chapelet de peines, que l’inculpé ou le prévenu pouvait faire un travail d’intérêt général pour payer sa dette à la société. Une bien belle manière, selon le membre du gouvernement, de respecter les droits de l’Homme et de lutter contre la surpopulation carcérale.

La réforme concernant le Juge d’application des peines devrait permettre quant à elle de veiller au respect des conditions de détention, que les délais de détention soient respectés, qu’il n’y ait plus des détenus qui passent des années en prison sans être jugés. Ce sera une juridiction ou un juge qui s’en chargera.

Si toutes ces réformes annoncées aboutissent, cela fera évoluer les conditions carcérales dans le pays. Car, dans son rapport 2019, l’ambassade des Etats-Unis au Gabon indiquait que, « Les conditions carcérales étaient très dures et potentiellement délétères en raison de la mauvaise qualité de l’alimentation, de l’insuffisance des installations sanitaires, du manque d’aération, d’une surpopulation extrême et de la médiocrité des soins médicaux. Les conditions dans les maisons d’arrêt et les centres de détention étaient comparables à celles des prisons. Il n’y avait pas d’aménagements spéciaux pour les détenus en situation de handicap »

A titre d'illustration, la prison centrale de Libreville était extrêmement surpeuplée ; construite pour accueillir 500 prisonniers, elle en contenait environ 3 000 personnes au moment de la diffusion du rapport 2019 au cours de l'exercice 2020.

Sylvain Andzongo

En gestation depuis plus de deux ans, le projet de construction de la centrale solaire de Mouila dans la province de la Ngounié pourrait bientôt voir le jour. L’Etat gabonais a signé ce 23 aout 2021 avec la société Turque Desiba Energy, un contrat pour la construction de cette centrale solaire d’une capacité de 20MW.

Une partie de l’énergie produite sera rachetée par la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG). Dans ce cadre, un contrat de rachat de 15MW de cette énergie a été signé en février 2021 entre la SEEG et la société turque.

Une fois construite, cette centrale selon les autorités va contribuer au plan mix énergétique du Gabon. « Le projet, piloté par le ministère de l’Energie et des Ressources hydrauliques, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’accélération de la transformation (PAT). Il favorisera à la fois l’accès des populations à l’électricité et la création d’emplois », explique le ministère de l’Economie. Pour l’instant, aucune information n’a filtré sur la date du début des travaux.

La construction de cette centrale de Mouila sera le tout premier investissement de la société turque Desiba Energy au Gabon. Fondée en 1996, cette société spécialisée dans le développement des énergies solaires, a finalisé la création de sa filiale au Gabon il y a quelques mois seulement.

Dans le monde, cette société compte à son actif près de 30 millions d’euros d’investissement dans ce secteur. Aujourd’hui, en dehors du solaire, le gouvernement gabonais nourrit le vœu de voir cette structure diversifier ses investissements dans d’autres secteurs dans le pays. Notamment, dans l’agro-alimentaire, compte tenu de l’expertise dont jouit le groupe à l’international.

Sandrine Gaingne

Les autorités gabonaises planchent sur une nouvelle stratégie pour susciter une adhésion massive du personnel de santé à la vaccination contre la Covid-19. C’est le but de la rencontre tenue, le 20 août 2021 entre le ministre gabonais de la Santé, Dr. Guy Patrick Obiang Ndong et l’ensemble des responsables des structures sanitaires du Grand Libreville.

« Nous avons perdu une proportion non négligeable de personnel de santé au moment de la première vague et la 3e vague qui s’annonce ailleurs très meurtrière, nous ne pouvons pas affirmer qu’elle n’arrivera pas au Gabon. En préparation de cette 3e vague qui va impliquer le personnel de santé, il s’avère important et urgent de remobiliser, de resensibiliser et surtout de trouver les voies et moyens pour que ce personnel de santé, à l’instar des autres tranches de la population, se vaccine pour être protégé et protéger leurs entourages », a déclaré Pr Marielle Bouyou Akotet, président du Comité national de vaccination (Copivac).

Pour le Dr Guy Patrick Obiang Ndong, le personnel de santé qui occupe la première ligne dans la riposte anti covid-19, doit prendre conscience de l’importance de se vacciner pour éviter d’être des vecteurs de transmission de la maladie. « Le vaccin est à ce jour, le seul moyen de lutter efficacement contre le Coronavirus », a rappelé le membre du gouvernement.

Cette rencontre s’inscrit dans la campagne nationale de vaccination contre la Covid-19. Au Gabon, la situation épidémiologique du Gabon s’améliore depuis le début du mois d’août. Mais les autorités veulent durcir à nouveau les mesures de restrictions sanitaires afin de barrer la voie à la troisième vague du Coronavirus qui sévit déjà dans certains pays africains.

Le ministre de la Santé effectuera dans les prochains jours, une tournée de sensibilisation dans les différentes structures sanitaires. Chaque responsable a été invité à transmettre à la tutelle et dans les meilleurs délais, les statistiques de la vaccination de son personnel.

Selon les chiffres du Copivac du 20 août 2021, 76. 226 personnes éligibles ont été vaccinées contre la Covid-19. Par rapport à la cible prévue de 50% de la population totale vaccinée, le taux de couverture vaccinale complète est de 5,41%, celui de la première dose est de 7,51%.

Brice Gotoa

Dans son rapport 2021 sur la transparence budgétaire, le département d’Etat des USA salue les efforts consentis par le Gabon pour améliorer sa transparence fiscale. Selon le rapport, entre janvier et décembre 2020, le Gabon a réalisé des « progrès significatifs » en matière de transparence budgétaire.

Ces progrès, comme l’explique le département d’Etat américain, se sont traduits, entre autres, par la publication en ligne par le Gabon de son projet de Loi de Finance et son rapport de fin d'année dans un délai raisonnable. Le pays a également publié des rapports substantiels de l'institution supérieure de contrôle et rendu publiques ses obligations de dette, dans un délai raisonnable. Des avancées significatives, essentiellement à l’actif de la nouvelle gouvernance mise en place par le Coordinateur des affaires présidentielles, Noureddine Bongo.

Cependant, pour le département d’Etat, des efforts restent à faire : le Gabon aurait satisfait aux exigences minimales de transparence fiscale telles que définies par Washington, s’il avait fait « plus d’efforts dans la publication dans un délai raisonnable » de plusieurs documents.

En effet, d’après le rapport américain, en 2020, les informations de base sur les rémunérations pour l'extraction des ressources naturelles n'étaient généralement pas accessibles au public. Aussi, le gouvernement n'a pas systématiquement suivi les lois et réglementations applicables dans la pratique, en particulier pour les concessions minières. La récente demande de réintégration à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) pourrait apporter une solution durable à ces problèmes spécifiques.

Par ailleurs, sur la période indiquée, le fonds souverain n'a pas divulgué sa source de financement, ni son approche générale des retraits.

Pour atteindre le niveau « satisfaisant » dans la transparence budgétaire, le département d’Etat américain recommande aussi au Gabon de clarifier dans sa réglementation, le processus par lequel le gouvernement attribue des contrats ou des licences pour l'extraction de ressources naturelles, et de suivre ces lois et réglementations dans la pratique.

Le rapport sur la transparence budgétaire classe les pays qui satisfont aux exigences minimales de transparence fiscale telles que définies par les Etats-Unis. Pour cette édition, 141 gouvernements du monde ont été passés en revue.

Dans la zone Cemac, aucun pays n’a atteint le niveau « satisfaisant » des exigences de transparence. Comme le Gabon, la Guinée équatoriale a enregistré des « progrès significatifs ». Le Tchad, le Cameroun, la Centrafrique et le Congo n’ont réalisé « aucun progrès considérable ».

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Rappelons que ce rapport est rendu public dans un contexte où le Gabon est engagé dans un programme d’assainissement de ses finances publiques et de lutte contre la corruption.

Sandrine Gaingne

Le ministre en charge de la Communication, Edgard Anicet Mbou Mbou Miyakou, vient de lancer un appel d’offres pour les travaux de réhabilitation de la station abritant les services de Télévision Masaku, station provinciale de Radio télévision gabonaise (RTG), émettant de Franceville dans le Haut-Ogooué.

« En application des dispositions de l’article 89 du Code des marchés publics, les soumissionnaires doivent justifier aux fins d’attribution du marché, de leurs capacités juridiques, techniques et financières », indique l’appel d’offres. Aussi, les candidats ne doivent pas être concernés par les mesures d’exclusion dans le cadre des marchés publics.

Les offres doivent être déposées au plus tard le 21 septembre 2021et être accompagnées d’une garantie de soumission d’un montant équivalent à 1% du montant de l’offre. À compter de cette date, ces offres resteront valables 120 jours.

Cependant, précise l’appel d’offres, « par dérogation aux dispositions de l’article 99 du Code des marchés publics, les entreprises bénéficiant de l’agrément PME ayant au plus cinq ans d’existence ne sont pas soumises à l’obligation de garantie ».

En 2006, à cause des coupures à répétition de Gabon Télécom et la foudre qui s'abattait tout le temps à Franceville, la Télévision Masaku a été équipée d'un démodulateur numérique.

S.A.

Sur un budget de 323,9 millions de FCFA destiné à l’investissement en 2021, la mairie de Mouila chef-lieu de la Ngounié, n’a dépensé qu’un montant de 21,8 millions de FCFA au cours des six premiers mois de l’année en cours. Soit 6,75% du montant prévu, a-t-on appris dans un communiqué de la mairie. « Les appels d’offres ouverts pour la réalisation des projets d’investissement ont été lancés et les marchés y relatifs viennent d’être approuvés par le directeur général des marchés publics », indique le communiqué.

La mairie n’en dit pas plus sur les raisons pour lesquelles ces ressources destinées à l'investissement ont été aussi peu utilisées au cours des six premiers mois de l’année.

Toutefois, si le budget d’investissement n’a été que très peu consommé, les ressources de fonctionnement ont été beaucoup plus sollicitées. Puisqu’elles ont été consommées à hauteur de 46,22%. Elles ont donc été « exécutées à hauteur de 260,2 millions de FCFA au 30 juin 2021 pour des autorisations budgétaires d’un montant de 563,1 millions de francs », soutient la mairie. Il s’agit notamment des dépenses courantes, des dépenses du personnel et des élus, les dépenses d’entretien et des réparations, les dépenses de transfert, les subventions accordées, les dépenses sur exercices antérieurs. S’agissant de ce dernier point, les dommages et intérêts des agents municipaux licenciés en 2014 ont été réglés à hauteur de 7,4 millions de FCFA.

En termes de recettes, la mairie de Mouila a recouvré au premier semestre, 402,9 millions de FCFA, soit 45,42% des prévisions budgétaires. Ces recettes proviennent des droits et taxes locales, des subventions et des ristournes. Rappelons que pour l’année 2021, le budget primitif adopté par cette commune s’élevait à 887 millions de FCFA (recettes et dépenses).

S.G

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