Le Nouveau Gabon

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Le commandant en chef des Forces de police nationale (FPN), le général de division Serge Hervé Ngoma (photo), vient de suspendre quatre officiers de police de leurs fonctions pour avoir sorti de la prison centrale de la ville de Tchibanga, dans la province de la Nyanga, leur collègue, a-t-on appris dans une décision signée le 25 juillet 2021. Ces « officiers sont suspendus de leurs fonctions, par mesure conservatoire, en attendant les conclusions du conseil d’enquête », renseigne la décision du commandant en chef.

Ces suspensions concernent le colonel Abraham Elanga, directeur régional des Polices urbaines sud, les commandants Jean Martin Litouki et Hugues Noël Ekang Ekomie, respectivement commissaire central de Tchibanga et chef d’antenne Police judiciaire (PJ) de Tchibanga, ainsi que Levy-Gaël Moussavou-Mbongo, chef d’antenne de l’Office central de lutte anti-drogue (Oclad). Ces « policiers visés sont mis, toutes affaires cessantes, à la disposition de l’Inspection générale des Forces de police nationale pour les besoins des enquêtes en cours », indique le document.

Selon le commandant en chef des FPN, les dispositions consacrant la nomination des responsables par intérim seront prises par la direction générale de l’organisation et des personnels afin d’assurer la continuité du service public.

Ces quatre officiers suspendus ont dans la journée du 25 juillet sorti de prison de Tchibanga le chef d’antenne des services de la Direction générale de la documentation et de l’immigration (DGDI) de la province de la Nyanga qui avait été placé sous mandat de dépôt, le 23 juillet, par le procureur de la République de Tchibanga pour complicité de violence et voies de faits.

Brice Gotoa

Selon le ministère de la Justice (Minjustice), les 21 candidats de la prison centrale de Libreville (PCL) ont décroché l’examen du Brevet d’études du premier cycle (BEPC), selon les résultats officiels parvenus à la direction de la prison centrale de Libreville.

Toujours selon la même source, ce taux de réussite de 100% a pu être possible grâce aux instructions données par le gouvernement gabonais via le ministère de la Justice, Garde des Sceaux et chargée des droits de l’Homme en vue d’œuvrer en faveur de la formation et de la réinsertion des détenus en fin de peine ou non. Car au même titre que les autres élèves, « les détenus jouissent de leur droit à l’éducation ».

Ainsi, ce taux de réussite « considérable et encourageant », précise le Minjustice, est une conséquence de la promotion, du développement et de la diversification des programmes d’enseignement et de formation au profit des détenus, et d’une volonté de faire des établissements pénitentiaires des espaces de concurrence, de science et d’éducation.

De façon globale, selon le ministère en charge de l’Éducation, sur un total de 40 573 candidats inscrits à l’examen du BEPC au Gabon en 2021, 30 557 ont été reçus, soit un pourcentage de réussite de 79,39%.

Sylvain Andzongo

 

(Le Nouveau Gabon) – Le Centre hospitalier régional Georges Rawiri (CHRGR) de Lambaréné va bénéficier d’une unité de soins intensifs mise en place par une équipe de spécialistes en anesthésie et réanimation en mission de formation dans la province du Moyen-Ogooué.

Selon un communiqué du ministère de la Santé, cette unité de réanimation, première du genre dans un Centre hospitalier régional, est dotée d’appareils de dernière génération notamment des respirateurs, des aspirateurs, des poux seringues électriques, des oxymètres pour la prise en charge des patients en phase aiguë. Elle a une capacité litière de trois lits au démarrage des activités.
« Cette unité de soins intensifs contribuera à améliorer la prise en charge des patients d’une part, et d’autre part, à augmenter la capacité litière de la structure avec l’expérience acquise par le personnel », a déclaré Pr. Ervais Richard Obame, anesthésiste-réanimateur et responsable de la mission.

Pour le ministre de la Santé, Dr Guy Patrick Obiang Ndong, par ailleurs initiateur de cette formation, il s’agit d’une action qui vient matérialiser la volonté du président de la République d’améliorer le plateau technique des structures sanitaires de l’intérieur du pays.

La mise en place de cette unité de soins intensifs s’inscrit dans le cadre de l’opérationnalisation du volet sanitaire du Plan d’accélération de la transformation (PAT) que vient de valider le Gabon afin d’améliorer l’offre de soins dans le pays.

Après le CHRGR de Lambaréné, apprend-on, l’équipe des spécialistes se rendra respectivement dans les centres hospitaliers régionaux d’Oyem, Makokou et de Mouila avant de faire un bilan à mi-parcours pour cette première phase et poursuivre dans les cinq CHR restants.

 Brice Gotoa

 

Ouvert ce 23 juillet 2021 à Tokyo au Japon, le Gabon est représenté à la 32ème édition des Jeux Olympiques (JO) par 5 athlètes répartis dans 4 disciplines différentes. Il s’agit de Sara Myriam Mazouz, Antony Obame, Guy Maganga Gorra, Adam Mpali et Aya Mpali, respectivement en judo, en taekwondo, en athlétisme et en natation.

Les 5 compétiteurs tenteront de se surpasser, malgré le contexte particulier desdits jeux afin de faire honneur au pays et au drapeau gabonais. A cet effet, le président gabonais Ali Bongo a adressé ses encouragements à ces 5 athlètes participant à cette compétition.

« Le Gabon n'est pas seulement un champion en matière d'environnement ou de parité. Il est également dans le domaine du sport. A toutes nos Panthères engagées à l'occasion des Jeux Olympiques de Tokyo, j'adresse, au nom de la Nation toute entière, mes plus vifs encouragements. Donnez le meilleur de vous-mêmes. Honorez notre drapeau. Rendez-nous fiers ! », peut-on lire sur la page Facebook d’Ali Bongo Ondimba.

C’est dans un contexte de Covid-19 que s’est ouverte cette édition des JO de Tokyo. Actuellement confrontées au variant Delta, les autorités japonaises ont décidé d’imposer un huis clos quasi-total sur l’ensemble des évènements prévus.

Le Gabon est à sa 11e participation des JO et compte à son actif une médaille d’argent remportée par Anthony Obame en taekwondo aux Jeux de Londres en 2012, soit 40 ans après la première participation (1972).

Brice Gotoa

L’Etat gabonais vient mobiliser 26 milliards FCFA auprès des investisseurs de la Cemac dans le cadre de trois émissions de titres organisées le 21 juillet dernier. La première émission portait sur des bons de trésor assimilables (BTA), d’une valeur globale de 14 milliards de FCFA et d’une maturité de 26 semaines avec une échéance prévue pour le 21 janvier 2022. Pour cette opération, le pays fait carton plein en plaçant 100% des titres émis.

Concernant les deux autres émissions d’obligations du trésor assimilables (OTA) de maturités de 3 ans (5,25 %) et 5 ans (6,25%), le Gabon a respectivement récolté 10 milliards et 2 milliards de FCFA auprès des investisseurs du marché de la Beac. Soit un total de 12 milliards de FCFA. Mais cette enveloppe est en deçà des objectifs visés par l’Etat gabonais qui espérait mobiliser au moins 20 milliards à travers ces deux opérations.

Contrairement aux OTA de 3 ans de maturité souscris à hauteur de 10 milliards de FCFA, ceux de 5 ans de maturité n’ont pas connu l’engouement des investisseurs. Son taux de souscription se situe en effet autour de 20 % par rapport à l’objectif minimal de 10 milliards de FCFA et à 16,8 % comparativement à l’objectif maximal de 12,5 milliards de FCFA.

Ces derniers mois, l’on observe un manque d’engouement chez les investisseurs la sous-région vis-à-vis de certaines levées de fonds du Gabon. A titre d’illustration, les OTA de 25 milliards de FCFA émises par le Gabon le 20 janvier 2021 n’ont enregistré que 7 milliards de FCFA de souscriptions. Soit un taux de couverture de 28%. Celle-ci avait une maturité de 3 ans pour un taux d’intérêt de 5,5%.

Tout de même, les BTA du pays connaissent régulièrement du succès sur le marché de la BEAC tout comme l’emprunt obligataire émis par le trésor public en mai dernier. Ce dernier a permis de mobiliser jusqu’à 188 milliards de FCFA auprès des investisseurs de la Cemac. Soit, une sursouscription de 13 milliards de FCFA.

Pour cette année, le Gabon a prévu de lever la somme de 883,5 milliards de FCFA sur le marché de la BEAC. Soit 563,5 de BTA et 320 d’OTA.

SG

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Fabien Owono Essono, ancien ministre gabonais de l’Agriculture est décédé ce 23 juillet 2021. Attristées par la nouvelle de sa mort, plusieurs personnalités ont rendu un hommage à cet ancien député de la commune d'Oyem, qui a occupé plusieurs fonctions au sein de l’administration gabonaise.

Parmi ces personnalités, le Pr Daniel Ona Ondo, président de la Commission de la Communauté économique et monétaire des États de l’Afrique centrale (Cemac). « Je me fais le devoir de rendre un hommage mérité à ce grand commis de l'Etat Gabonais et digne fils du Woleu-Ntem, notamment de la ville d'Oyem, dont le souvenir restera gravé dans la mémoire des populations qu'il avait su représenter valablement durant son mandat de député à l'Assemblée nationale », écrit le Pr Daniel Ona Ondo sur Facebook. Il poursuit, « le regretté Fabien Owono Essono, laisse en effet, un héritage humain, social et politique inestimable dans sa ville natale d'Oyem. Cet ancien ministre, qui était très apprécié de tous pour ses qualités intrinsèques, va sans nul doute manquer à notre localité qui perd un de ses illustres fils».

Docteur en économie, Fabien Owono Essono est né le 22 décembre 1945 à Oyem. Il a fait ses études primaires et secondaires au Gabon avant de s’envoler pour la France où il obtient son diplôme d’Economie. Il revient par la suite au pays où il va intégrer l’université Omar Bongo comme enseignant. Il va également occuper plusieurs fonctions eu sein de l’administration gabonaise. Notamment, les fonctions de Conseiller du président de la République,  directeur adjoint de cabinet civil du chef de l’Etat, directeur général d’Air Gabon,… avant d’être nommé ministre délégué en charge des PME, puis ministre délégué aux Finances  et ministre de l’Agriculture.

SG

Alios Finance Gabon (AFG), filiale du Groupe Alios Finance SA et pionnier de l’activité de crédit-bail au Gabon s’achemine, vers la fin du paiement de son emprunt obligataire émis en 2014.

Dans un récent communiqué, la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac), dépositaire central unique des valeurs mobilières de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), informe que Alios Finance Gabon SA, émetteur de la valeur « Alios Finance Gabon 6,25% Net 2014-2021 » procèdera le 13 août 2021, à l’amortissement du principal à hauteur de 908,5 millions de FCFA et la mise en paiement des intérêts pour un montant de 113,56 millions de FCFA, soit une annuité de 1,02 milliard de FCFA. La date d’ouverture des opérations d’encaissement est fixée au 14 août 2021.

Alios Finance Gabon a décidé d’émettre sur le marché financier de l’Afrique centrale un emprunt obligataire d’un montant de 10 milliards de FCFA, au taux brut de 6,25% l’an sur une période de sept années. AFG a sollicité la société BGFIBourse en qualité d’arrangeur et agent placeur, à l’effet de mobiliser ces ressources auprès du public de la sous-région.

Les fonds collectés lors de cette émission devaient servir au financement de ses activités (financement des crédits, développement du réseau agence ; accroissement de la notoriété…). Finalement c’est 6,35 milliards de FCFA qui ont été levés. Selon le calendrier prévisionnel, Alios Finance Gabon devrait avoir achevé le remboursement de cet emprunt contracté en 2014 au 31 décembre 2021.

S.A.

Le Gabon annonce l’introduction du « QR Code » (un type de code-barres en deux dimensions, constitué de modules noirs disposés dans un carré à fond blanc) dans les formulaires phytosanitaires et alimentaires destinés au commerce extérieur.

Dans une publication parue le 22 juillet, l’Agence gabonaise de sécurité alimentaire (Agasa) informe les opérateurs économiques du secteur alimentaire et phytosanitaire que des modifications ont été apportées aux différents formulaires mis à leur disposition. « Le QR Code permet de : garantir la traçabilité des données déclarées ; sécuriser nos documents contre les falsifications », explique l’Agasa. Les nouveaux formats entreront en application obligatoire à compter de ce 1er août 2021.

L’Agence indique que les documents concernés sont : les formulaires de demande d’importation ; ceux de demande d’importation des produits alimentaires d’origine animale et mixte ; certificat sanitaire vétérinaire à l’importation ; certificat vétérinaire à l’importation des produits alimentaires d’origine animal et mixte ; formulaire de demande d’importation des produits alimentaires d’origine végétale ; certificat phytosanitaire des produits alimentaires d’origine végétale, etc.

C’est donc pour contrôler la qualité des aliments que le pays renforce ainsi son dispositif de sécurité car jusqu’ici, le Gabon ne disposait que de formulaires ordinaires à l’import/export peu ou prou sécurisés. Ce qui ne garantissait pas toujours la qualité des denrées entrantes ou sortantes dans le pays.

En attendant l'imposition du QR Code, le FAO indique que « Sur le plan de la sécurité sanitaire des aliments, le Gabon qui importe 96% de ses denrées alimentaires possède un cadre juridique et réglementaire obsolète et inadapté ».

Sylvain Andzongo

Le Gabonais Henri-Max Ndong Nzue pourrait bientôt prendre la tête de la direction exploitation-production du groupe Total Énergies en Afrique. Selon des informations d’Africaintelligence, confirmées par des sources à la présidence de la République, l’ingénieur gabonais est pressenti pour remplacer le français Nicolas Terraz à ce poste. Ce dernier occupe cette fonction depuis 2019.

Pour l’instant, le groupe pétrolier français n’a pas encore fait de communication sur le sujet. Mais, si la nomination est officialisée, Henri-Max Ndong Nzue sera le tout premier Africain à diriger la branche exploration et production de Total Énergies au sud du Sahara et l’un des cadres africains les plus hauts placés au sein d’une major pétrolière. Déjà, plusieurs filiales de Total Énergies sont gérées par les Africains, à l’instar de la filiale gabonaise. Ce qui laisse croire que le groupe français est aujourd’hui tourné vers une politique d’africanisation de son management.

Né en 1965, Henri Max Ndong Nzue est un ingénieur diplômé de l’École polytechnique de Paris et de l’École nationale des statistiques et de l’administration économique de la même ville. Il a intégré le groupe Total depuis plusieurs années. Au sein de cette multinationale, il a gravi une à une les marches de l’échelle managériale avant d’être nommé en 2015 directeur général de la filiale gabonaise. Il est d’ailleurs le tout premier Gabonais à occuper cette haute fonction dans le pays. Durant sa carrière au sein de cette structure, il a travaillé en France, au Yémen, aux Pays-Bas, en Norvège. Il connait donc bien le groupe.

À la direction exploitation-production, l’ingénieur devra affronter les perturbations occasionnées dans le secteur pétrolier par la pandémie de Covid-19. Une conjoncture qui a, en partie, entrainé la baisse des bénéfices de Total Gabon au cours de l’année 2020. En effet, la filiale locale de l’entreprise française a enregistré un résultat net en baisse de 274%.

Sandrine Gaingne

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Les difficultés de la Société gabonaise des transports (Sogatra) ont été évoquées par le ministre des Transports au cours de l’émission « Face à vous » sur Gabon 1ère. A en croire Brice Constant Paillat, cette société publique de transport cumule à ce jour une dette qui se chiffre à 22 milliards de FCFA. Soit une dette fournisseur estimée à 1,5 milliards de FCFA et une dette sociale à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) et la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs).

Cette dette a été accumulée notamment en raison des charges de cette structure qui bénéficie pourtant d’une subvention de l’Etat à hauteur de 4 milliards de FCFA. La Sogatra c’est « 858 agents, 386 millions de masse salariale net mensuelle, 36 bus, 4 milliards de subventions annuelles de l’Etat. Et si vous ne prenez rien que la masse salariale de 386 millions de FCFA rapportée à l’année, vous avez absorbé la subvention accordée par l’Etat à la Sogatra », a expliqué Brice Constant Paillat.

Liquidation

Aujourd’hui, si rien n’est fait pour relever cette entreprise, elle pourrait être mise en « liquidation », d’après le membre du gouvernement. D’où la nécessité de trouver des solutions en urgence. Et la « seule alternative » qui se présente aujourd’hui dans ce cas, c’est de mener une « réflexion en profondeur sur la Sogatra en incluant les partenaires sociaux, pour définir le modèle qui doit être celui de la Sogatra dans le contexte actuel. J’ai assigné à la direction générale de la Sogatra de rencontrer les partenaires sociaux ». Aussi, un comité interministériel a été mis en place pour proposer une solution devant permettre de relever cette structure.

Par ailleurs, il est impératif selon le membre du gouvernement, de réduire de manière « drastique les effectifs. Il faut revoir les modalités de la gouvernance, il faut revoir l’organigramme qui est pléthorique », a-t-il soutenu.

Trans’Urb

Les difficultés de la Sogatra ont certainement été aggravées avec l’arrivée en avril 2020 dans le secteur du transport urbain de la société Trans’Urb. Cette dernière opère sur le même réseau d’exploitation que la Sogatra.

Et avec Trans’Urb dans le secteur, le gouvernement a pensé à redéfinir les missions de la Sogatra. Dans ce sens, le gouvernement mène actuellement une réflexion dans le but de réorienter la Sogatra vers le transport interurbain, afin qu’elle desserve le Grand Libreville et l’intérieur du pays. « Ce sont les modèles que nous sommes en train d’étudier aujourd’hui pour voir s’ils sont rentables. Ça a déjà été expérimenté à l’époque », souligne le ministre des Transports. Cependant, déplore-t-il, l’état du réseau routier et le problème de pièces de rechanges pourraient constituer des obstacles.

La Sogatra est une société parapublique créée dans le but de proposer des services adaptés à sa clientèle et de participer à la résolution de la problématique du transport urbain et interurbain au Gabon. Mais, à cause de ces différentes difficultés financières, la Sogatra peine à remplir la mission de service public qui lui a été confiée par l’Etat, conclut le ministre des Transports.

Sandrine Gaingne

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