Le Nouveau Gabon

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Le ministre gabonais de la Santé, Dr Guy Patrick Obiang Ndong, séjourne les 12 et 13 avril 2021 à Port-Gentil dans la province de l’Ogooué Maritime pour le lancement de la campagne nationale de vaccination contre la Covid-19, apprend-on d’un communiqué du ministère de la Santé.

« Cette phase d’extension de la vaccination dans la capitale économique du pays répond aux objectifs de Plan national de vaccination notamment son axe stratégique 3 visant à organiser une campagne de vaccination efficace », souligne le communiqué.

La campagne nationale de vaccination a été lancée le 23 mars dernier à Libreville dans la province de l’Estuaire. La seconde phase concerne la province du Haut-Ogooué et les infirmeries militaire de Libreville. Elle se poursuivra dans les autres provinces et enfin au niveau communautaire à travers des unités mobiles, pour atteindre l’ensemble du territoire national. 

Au cours de son séjour, et afin de susciter l’adhésion du plus grand nombre, le membre du gouvernement tiendra, aux côtés du responsable de la Coordination technique du Comité de pilotage du plan de veille et de riposte contre l’épidémie à coronavirus (Copil) et de la responsable du Comité national de vaccination contre la Covid-19, des séances de sensibilisation avec les leaders religieux, communautaires et les responsables d’entreprises.

En rappel, une délégation des techniciens de la Coordination nationale du comité de vaccination séjourne depuis le 9 avril dans la ville de Port-Gentil pour l’évaluation et la mise en conformité des sites de vaccination ainsi que la formation des agents vaccinateurs.

A ce jour, sur 4043 volontaires, 3925 ont reçu leur première dose de vaccin. Aucun effet secondaire majeur n’a été identifié ou signalé par la commission de pharmacovigilance.

Brice Gotoa

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Le journal français Le Parisien révèle dans un article publié le 9 avril dernier que Liliane Massala, l’ambassadrice du Gabon à Paris, a saisi la justice, après la diffusion, le 21 octobre 2020, d’une vidéo contenant des propos violents à son égard et une menace de « prise d’otage », dénonce son avocat, Me Jean-Georges Betto.

Dans un extrait audiovisuel long de près de 25 minutes et mis en ligne sur sa chaîne YouTube, Jonas Moulenda, journaliste exilé en France depuis 2015, souhaite la « bienvenue » à la diplomate gabonaise nommée en septembre 2020 et lui promet un comité d’accueil musclé. « Tu viens représenter la junte au pouvoir », un régime « dictatorial » et « criminel », déclare Jonas Moulenda en s’adressant à l’ambassadrice, par ailleurs qualifiée de « pintade orgueilleuse ». « On va bien s’occuper de toi. La résistance viendra te souhaiter la bienvenue ». « Tu es venue nous défier (...) Tu viendras nous expliquer pourquoi ton gouvernement (...) s’entête à maintenir les Gabonais dans la galère », poursuit le journaliste.

« Si on touche à un cheveu d’un Gabonais, tu nous verras à l’ambassade ». « Si ça se passe mal à Libreville le 25 (NDLR : octobre, jour choisi par la hiérarchie ecclésiastique pour la réouverture des églises, interdite par le pouvoir), c’est toi qu’on va chicoter (NDLR : gifler). » « On va te talocher », poursuit l’opposant, précisant : « On connaît où tu habites ». « On ne va pas avoir pitié de toi parce que tu es une femme », « si tu nous échappes à l’ambassade, on va débarquer là-bas », « le plus dur reste à venir pour toi », poursuit encore, tout sourire, Jonas Moulenda dont l’audience sur YouTube cumule plus de 23 000 abonnements et ses vidéos un total de 6 millions de vues.

« Il est absolument inadmissible de faire peser une pression de cette nature sur une représentante diplomatique. Le combat politique doit s’exercer de manière pacifique et non par la violence. Ces menaces intolérables sont prises très au sérieux, l’ambassade n’étant pas protégée et l’auteur de cette vidéo détenant l’adresse personnelle de madame Massala. », déclare Me Jean-Georges Betto. 

Il ajoute, « Liliane Massala souhaite pouvoir être protégée pour prévenir un passage à l’acte. Elle est légitimement inquiète, pour elle et ses enfants ».

S.A.

Face à l’occupation anarchique du patrimoine routier national, le ministre des Travaux publics, Léon Armel Bounda Balonzi, a décidé de réagir. Dans un communiqué signé le 9 avril 2021, le membre du gouvernement rappelle aux populations les conditions d’exploitation de la voie publique.

 « Le ministre des Travaux publics et de l’Equipement et des Infrastructures rappelle aux populations que conformément aux dispositions de la loi n°013/2003 du 17 février 2005 portant protection du patrimoine routier national, toute occupation privative du patrimoine routier national est soumise à une autorisation préalable délivrée par les services compétents du ministère chargé des routes (…) et à redevance », annonce le communiqué.

Au Gabon, les emprises du patrimoine routier, dépendances du domaine public national s’étendent sur 60 mètres, comptés à partir de l’axe du terre-plein central, de part et d’autre des voies express et des routes rapides à 2 x2 voies, renseigne le communiqué ; 30 mètres comptés à partir de l’axe central de part et d’autre des routes nationales ; 15 mètres comptés à partir de l’axe central, de part et d’autre des routes d’intérêt régional (provinciales, départementales et communales).

Depuis l’année dernière, l’Etat gabonais a institué une redevance pour l’occupation privative du patrimoine routier national. Elle varie de 2500 francs CFA à 1 million de francs CFA par an, selon le type d’autorisation (voirie ou de location, de stationnement ou de dépôt en tous lieux du Gabon, ou de rejet en tous lieux du Gabon), la surface empiétée et la localité.

Le membre du gouvernement invite toute personne occupant une dépendance du domaine public routier à titre privatif, pour l’exercice d’une activité commerciale, à se présenter au ministère des Travaux publics, de l’Equipement et des Infrastructures (Direction de la Programmation, d’entretien et de protection du patrimoine routier national) pour une mise en conformité de sa situation.

Faute de quoi, « le ministère des Travaux publics, de l’Equipement et des Infrastructures se réserve le droit d’entamer toute procédure et de procéder à toute action qu’autorisent les lois et règlement en vigueur », conclut le communiqué.

Brice Gotoa

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Selon les données fournies par le ministère de l’Economie, au cours de l’exercice 2020, le nombre de passagers transportés au Gabon par voie terrestre est de 12,2 millions de personnes contre 2,1 millions en 2019, soit une augmentation de 478,1%.

« Cette évolution a été confortée par la décision de gratuité de transport durant la période de crise sanitaire pour tous les usagers du Grand Libreville », explique le ministère de l’Economie. Comme autre explication, ajoute la même source, l'augmentation du nombre de passagers dans le transport terrestre a été marquée en 2020 par le lancement des activités de la nouvelle société de transport Trans’Urb, dans un contexte marqué par la crise sanitaire au coronavirus.

Cela s’est traduit par le renforcement du parc automobile (+277%) à une moyenne de 113 véhicules (taxi, bus et autobus) en 2020 contre 30 véhicules en 2019. 

Dans le détail, le Gabon compte 104 bus à fin décembre 2020, contre 15 en 2019, soit une hausse de 575,1%. Le nombre de taxis est établi à 20 à fin 2020, contre 13 à la même période en 2019, soit une hausse de 51,3%.

S.A.

Au cours de l’année 2020, le secteur de l’eau et de l’électricité a enregistré des performances mitigées selon de récentes données du ministère de l’Economie. Si la production nette d’électricité s’est légèrement améliorée (+0,6% à 2396,2 Gwh en 2020), suite au relèvement des achats auprès de la société de patrimoine (+2,5%), les ventes facturées quant à elles n’ont pas suivi la même tendance. Elles ont fléchi de 2,7% à 1658 Gwh, « sous l’effet des problèmes de facturation des consommations d’électricité et des contraintes sanitaires liées à la Covid-19. En conséquence, le chiffre d’affaires hors cession a baissé de 2,4%, à 172,6 milliards de FCFA », indique le ministère de l’Economie.

Eau

Dans le secteur de l’eau, le constat n’est pas plus reluisant. La production cumulée d'eau a baissé de 0,9% à 117,17 millions de m3 à fin décembre 2020, en raison d'une saison sèche plus marquée. Sur le plan commercial, les ventes hors cession ont diminué de 1,1% à 61,2 millions de m3, du fait de la contraction de la demande liée au ralentissement de l’activité dans certains secteurs. En conséquence, le chiffre d'affaires a baissé de 2,3% à 23,8 milliards de FCFA.

Pour inverser cette tendance à la baisse dans les prochaines années et assurer un meilleur accès à l’eau et à l’électricité aux populations, plusieurs stratégies ont d’ores et déjà été mises en place par le gouvernement gabonais avec la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) et ses partenaires au développement. Pour cela, le Gabon prévoit d’ici 2023, d’investir plus de 300 milliards de FCFA pour améliorer l’accès des populations à l’eau potable et à l’électricité sur l’ensemble du territoire national.

SG

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162 médecins et soignants cubains sont arrivés le 11 avril à Libreville pour appuyer la prise en charge sanitaire dans le pays.

Cette délégation cubaine qui est constituée précisément de 52 spécialistes, 53 médecins de santé communautaire, 50 infirmiers spécialisés, 07 ingénieurs (radiologues, biomédicaux et laborantins), va principalement être déployée dans les zones rurales, apprend-on. L’objectif étant d’appuyer le personnel sanitaire dans cette partie du pays, mais également de désengorger les centres hospitaliers urbains.

 « Ce sont des médecins qui viennent renforcer le dispositif médical existant dans notre pays. Nous renforcerons les CHU (Centre hospitalier universitaire) en médecins spécialistes, mais aussi les départements sanitaires reculés avec la médecine itinérante », a indiqué le ministre de la Santé, Guy Patrick Obiang Ndong qui a accueilli la délégation à l'aéroport de Libreville.

A en croire le membre du gouvernement, cette action s'inscrit dans le cadre du Plan d'accélération de la transformation du secteur santé et a pour objectif d'améliorer l'accès aux soins des populations gabonaises. Car, parmi les priorités du plan d’accélération de la transformation de l’économie gabonaise, les autorités prévoient sur le plan social, la mise à niveau des soins de santé primaire.

Cet appui de Cuba va renforcer la coopération entre les deux pays. Vieille de près de 50 ans, cette coopération pourrait, selon les autorités cubaines, être diversifiée dans les domaines de la formation, de la justice, du sport.

SG

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Au Gabon, la junior australienne Apollo Minerals veut accélérer ses activités de forages et d’exploration au projet Kroussou, afin de tester les nombreuses cibles identifiées sur l’actif. Pour soutenir ses plans, elle a annoncé en fin de semaine dernière une levée de fonds de 3,25 millions de dollars australiens par le biais d’un placement d’actions.

« L’important soutien reçu de la part des investisseurs […] montre qu’il existe une opportunité de création de valeur alors que nous explorons systématiquement un projet de zinc/plomb à grande échelle et proche de la surface », a commenté le directeur exécutif Neil Inwood.

La première phase du programme à grande échelle d’Apollo comprend 1 000 m de forage au diamant qui ciblera des minéralisations à haute teneur de zinc et de plomb sur les prospects Dikaki et Bouambo Est. Les chances de succès de cette campagne sont grandes, car le projet Kroussou est présenté comme un projet assez prometteur possédant plus de 80 km d’extension potentielle et de multiples opportunités de découvertes importantes.

Notons que le Gabon fonde de grands espoirs sur ce projet de zinc et de plomb alors que le pays veut se servir de son secteur minier pour diversifier ses sources de revenus dominées actuellement par le pétrole. Le gouvernement espère tirer profit du manganèse et des autres richesses du sous-sol pour porter la contribution du secteur au PIB à 10 % en 2021. Partie de 2 % en 2016, elle était de 6 % début 2019.

Louis-Nino Kansoun

 

L’activité ferroviaire au Gabon en 2020 a enregistré de bonnes performances selon la direction générale de l’économie et de la politique fiscale, avec un volume global des marchandises acheminées par rails qui s’est renforcé de 24,4% à 8,9 millions de tonnes.

Ces résultats ont été enregistrés surtout grâce au transport du manganèse dont le volume acheminé a accru de 29% passant de 6,2 millions de tonnes en 2019 à 8 millions de tonnes en 2020. Le transport des produits pétroliers ainsi que celui du bois débité ou déroulé conteneurisé ont augmenté respectivement de 11% et de 9% en glissement annuel. Ainsi, 72 761 tonnes de bois débité ou déroulé conteneurisé ont été transportés en 2019 contre 79 909 tonnes en 2020, et 64 966 tonnes de produits pétroliers ont été acheminés par rails en 2019 contre 72 099 tonnes l’année dernière.

Ces performances, enregistrées en dépit mauvais état des voies et du contexte sanitaire et économique actuel, ont permis de porter le chiffre d’affaires du secteur à 91,2 milliards de FCFA, en hausse de 16,9% sur la période sous revue.

Par contre, le transport du bois débité a baissé de 7,4% en 2020. Les produits C2M ont quant à eux chuté de 50,7%. Le transport des passagers a également suivi cette tendance baissière avec un recul considérable de 49,3% « du fait de l’interdiction provisoire de déplacement des personnes entre le Grand Libreville et le reste du Gabon entre mars et juin 2020 », indique la note de conjoncture sectorielle du ministère de l’Economie.

Le chemin de fer gabonais est exploité depuis 2005 par la Société d’exploitation du Transgabonais (Setrag). Long de 710 km, cette infrastructure relie Libreville à Franceville.

SG

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Le groupe gabonais BGFI Bank a annoncé pour l’exercice 2020 un résultat net de 44 milliards de FCFA. Il est en hausse de 114% par rapport à celui de l’année 2019, informe le groupe dans un communiqué. Ce résultat est jugé « historique » d’après la banque, malgré un contexte économique et sanitaire peu favorables.

Cette performance positive a été soutenue par un produit net bancaire de 197 milliards FCFA en hausse de 13% en glissement annuel. « Ce produit net bancaire est constitué à hauteur de 70% par la marge nette d’intérêts, dont la hausse de 14 % sur la période, est à mettre en relation avec la hausse de la production commerciale, l’assainissement du portefeuille clientèle, la diversification des placements de trésorerie ainsi qu’avec la baisse du coût des refinancements interbancaires », explique la banque.

Aussi, les revenus de la banque commerciale ont été portés à hauteur de 41% par la région Gabon, 35% par la région CEEAC, 17% par la région UEMOA et 7% par la région Europe et Océan Indien.

Par ailleurs, le coût du risque est en forte baisse (-94%) avec un total bilan en hausse de 12%. Cette évolution du total bilan en 2020 résulte des effets conjugués de la hausse des encours de crédits à la clientèle dans la quasi-totalité des filiales, de la hausse des dépôts de la clientèle en lien avec les actions de collecte menées à l’échelle du Groupe, avec un impact significatif dans les entités des régions UEMOA et CEEAC, et le développement des opérations de placement, notamment sur le marché des titres, selon le communiqué de BGFIbank.

La performance réalisée en 2020 par le groupe BGFIbank conforte le renouvellement de sa notation financière obtenue de l’agence Bloomfield Investment Corporation. Il est ainsi affecté des notes A+, avec une perspective stable, et à court terme, un A1-, avec une perspective stable.

Le défi pour la banque sera de maintenir le cap en 2021, en dépit d’un contexte économique et social impacté par la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19. Et avec le plan de relance économique ainsi que le plan d’accélération de la transformation mis en place dans le pays, la banque reste confiante pour 2021.

SG

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Le président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, a procédé le 9 avril 2021, à l’inauguration du Centre international multisectoriel de formation et d’enseignement professionnels, implanté dans la zone économique spéciale de Nkok.

« Il faut former nos jeunes dans des filières où ils auront un travail à la clé, un travail bien rémunéré qui leur garantit une vie décente. Le monde évolue. Les techniques et les savoirs évoluent. L'enseignement doit évoluer aussi.  C'est pourquoi nous avons réformé en profondeur le système de formation au Gabon. Pour donner la priorité à la formation technique, professionnelle » a déclaré Ali Bongo Ondimba en ajoutant qu’il prendra en charge, à titre personnel, l'ensemble des frais de scolarité de tous les élèves de la première promotion de ce centre de formation.

Pour le ministre de la Formation professionnelle, Madeleine Berre, ce Centre international multisectoriel de formation et d’enseignement professionnels est la première concrétisation d’un ensemble de nouveaux établissements de formation et d’enseignement professionnel, qui offriront à la jeunesse gabonaise, des niveaux de formation allant du secondaire au supérieur, dans des filières variées et en adéquation avec les besoins du marché de l’emploi.

Ce centre de formation a été créé le 20 novembre 2020 par le Conseil des ministres pour assurer la formation initiale et continue dans différents métiers de la mécanique, de l’électricité, l’électronique et de la maintenance automobile. L’objectif de ce centre de formation est de répondre à la demande du marché de l’emploi.  Elle est la concrétisation de la volonté et de l’engagement d’Ali Bongo Ondimba, à refonder la formation professionnelle, pour en faire un outil de choix en faveur du développement de la jeunesse gabonaise.

Fruit de la coopération séculaire qui lie le Gabon et la République populaire de Chine, ce Centre offrira des formations dans onze filières du secteur secondaire, pour des niveaux de qualification allant du Certificat d’aptitude Professionnelle (CAP) au Brevet de Technicien Supérieur (BTS), pour une capacité d’accueil de 1000 apprenants.

Implanté sur une superficie d’environ 25 hectares, ce campus, qui aura coûté à l’Etat gabonais, 25 milliards de FCFA, est constitué de 32 bâtiments regroupés en quatre blocs : un bloc administratif et pédagogique, un bloc hébergement des enseignants, un bloc hébergement des apprenants, un bloc sportif et un terrain de football.

Brice Gotoa

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