Le 9 mars 2021, l’opération hebdomadaire d’injection de liquidité dans le secteur bancaire de la Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, RCA, Tchad, Guinée Equatoriale) par la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) a enregistré un nouveau record. Selon les données officielles, les établissements de crédit ont capté la totalité des 250 milliards de FCFA proposés par la banque centrale (contre le précédent record de 213,7 milliards de FCFA du 2 mars 2021, Ndlr), dans le cadre de cette opération de refinancement.
Mieux, apprend-on, l’intérêt des banques a été tel que la demande a surclassé l’enveloppe disponible. En effet, révèle la banque centrale, la demande des banquiers a atteint 251,7 milliards de FCFA le 9 mars 2021, en dépassement de 1,7 milliard de FCFA par rapport à l’offre.
Le regain d’intérêt observé autour du refinancement bancaire auprès de la BEAC, depuis le début de l’année courante, n’est pas expliqué par la banque centrale. Mais, des banquiers ont souvent indiqué que les établissements de crédit sollicitent la liquidité lorsque leurs besoins sont supérieurs à la demande exprimée par les agents économiques.
De ce point de vue, la hausse de la recherche des financements par les banques de la Cemac ces derniers mois, révèle une reprise effective de l’activité économique dans les six pays constituant cet espace communautaire.
BRM
A l’issue de sa session ordinaire du 10 mars, le conseil municipal de Libreville a adopté un budget primitif 2021, équilibré en recettes et en dépenses, de 27,7 milliards de FCFA contre 26,3 milliards en 2020. En hausse de 5,3% en glissement annuel, ce budget va permettre de financer les projets d’investissements de la mairie au cours de cette année.
« Nous prenons, dès lors l’engagement de gérer de manière orthodoxe les ressources mises à notre disposition, en veillant à ce que l’exécution du budget soit conforme au vote exprimé. Cet engagement s’inscrit également dans le respect de l’exigence d’une tolérance zéro désormais fortement préconisée par la tutelle pour proscrire les détournements de fonds publics », a indiqué Eugène Mba, maire de Libreville.
Ce budget adopté dans un contexte pandémique, permettra à la commune de mener des programmes d’hygiène, de salubrité et d’éclairage public dans la capitale, la construction des passerelles et des fontaines publiques, l’aménagement des toilettes publiques dans la ville, la création des nouveaux parcs et jardins, le renouvellement du parc automobile, l’achèvement du Centre de santé de Mindoubé...
« Les besoins d'investissement étant nombreux, les ressources restent limitées, les réalisations concrètes sur le terrain doivent refléter le volume des fonds dégagés », souligne-t-on à la mairie de Libreville.
Rappelons que le Gabon prévoit de verser aux collectivités locales 25 milliards de FCFA au cours de l’année en cours.
SG
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Deux entreprises sont entrées en production dans la Zone économique spéciale (Zes) de Nkok au cours du mois de janvier 2021, a annoncé l’Autorité administrative de la zone économique à régime privilégié de Nkok (AAN).
Spécialisées dans les activités de déroulage et de placage du bois, les deux sociétés que sont Century Gabon suarl et Lila Wood Ndustry sarl rejoignent donc la liste des entreprises déjà opérationnelles au sein de cette zone depuis sa création en 2010.
A cette date, des 88 entreprises spécialisées dans la transformation de bois présentes dans la Zes de Nkok, une soixantaine est désormais opérationnelle.
A noter que depuis l’interdiction de l’exportation des grumes au Gabon, le nombre d’entreprises opérant dans la Zes de Nkok ne cesse de croitre. Il est passé de 80 à 155 entreprises entre 2009 et 2019, selon des chiffres du ministère des Forêts.
Cette zone qui emploie près de 10 000 personnes a permis d’augmenter la capacité de production de l’industrie du bois du Gabon et d’asseoir sa position à l’international grâce à la transformation de produits répondant à des standards de qualité internationaux et 100% made in Gabon.
Le Gabon envisage de devenir d’ici 2023 le leader mondial du bois tropical transformé. Cet objectif sera atteint selon les autorités, grâce au plan d’accélération de la transformation de l’économie du pays, lancé au mois de janvier 2021 et qui vise à accélérer la transition vers l’après-pétrole.
SG
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World Tourism Forum Institute veut aider le Gabon à redynamiser le secteur touristique et stimuler son économie, à travers l’organisation d’un forum international sur le tourisme à Libreville.
C’est dans cette optique qu’une réunion s’est tenue le 8 mars 2021 par visioconférence entre le ministre gabonais du Tourisme, Pascal Houangni Ambouroue et le World Tourism Forum Institute. « Nous venons de présenter notre plan d’accélération et de relance du secteur tourisme qui intègre bien évidement le World tourism forum », a déclaré Pascal Houangni Ambouroue.
Pour le membre du gouvernement, la redynamisation du tourisme gabonais se doit de passer par l’organisation d’évènements tels que le World Tourism Forum à Libreville. Prévu au départ pour se tenir cette année 2021, ce forum a été repoussé au second semestre 2022, compte tenu du contexte qu’impose la pandémie de la Covid-19. Cet évènement devrait permettre au Gabon d’attirer des investisseurs et de nombreux touristes.
Le Gabon a été choisi par l’organisation au regard de l’importance de son potentiel touristique. Avec ses 880 km de côtes, le Gabon possède une faune et une flore particulièrement riche et attrayante avec des espèces rares. Le pays d’Ali Bongo Ondimba a été classé par le média de la science et de l’exploration, National Geographic, au 7e rang mondial des destinations offrant, pour 2021 et au-delà, le meilleur modèle pour le tourisme durable, la protection des milieux naturels et des espèces animales.
Le World Tourism Forum est une conférence internationale dont l’objectif est de déployer une stratégie de marketing touristique pour stimuler le développement des investissements dans ledit secteur. Il est basé à Londres.
Brice Gotoa
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Depuis le 9 mars 2021, les examens de radiologie au Samu social gabonais sont gratuits pour les populations les plus démunies, a annoncé le Dr Wenceslas Yaba, coordonnateur général de ce service. « Les examens de radiologie sont strictement gratuits au Samu social. Nous avons déjà commencé une phase pilote pendant trois jours. Nous avons ici presque 2000 bons d’examen de radiologie en attente des personnes à ressources limitées. Car, pour la plupart, nos patients sont des personnes extrêmement pauvres. La radiologie gratuite est donc un véritable soulagement pour eux », a-t-il indiqué.
En dehors des radiologies, plusieurs autres services sont gratuits au Samu social gabonais. Car, il avait été lancé en 2017 dans le but d’assister médicalement et gratuitement les personnes à faible revenu. Il offre des consultations médicales en gastro-entérologie, gynécologie, ophtalmologie, cardiologie, pédiatrie ou encore en médecine d’urgence et générale. « Nous faisons 1000 consultations gratuites par jour », soutient le Dr Wenceslas Yaba.
Rappelons que le Samu social fait face depuis quelques années à quelques difficultés de trésorerie. Malgré cette situation, ce service ambitionne de prendre en charge dans les prochaines années environ 700 000 patients dans l'ensemble du pays.
SG
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Suite à la mauvaise note « CCC » attribuée au Gabon au mois de décembre dernier par l’agence de notation Fitch Ratings, le gouvernement a tenu à rassurer les investisseurs sur la situation actuelle du pays.
Dans un communiqué rendu public le 9 mars, le ministre de l’Economie soutient que cette notation « ne signifie pas que le Gabon soit au bord de la faillite ». Pour preuve, « cette décision n’a pas affecté la performance des titres gabonais sur les marchés financiers. La performance des titres gabonais est restée globalement stable depuis le début du mois de décembre, avec un rendement à maturité avoisinant 5,0% pour les obligations 2024 et 2025 et 6,5% pour l’obligation 2031 », indique Nicole Janine Lydie Roboty Mbou dans le communiqué.
La note « CCC » de Fitch Ratings traduit en effet la dégradation des équilibres des finances publiques au Gabon, « sous l’effet combiné de la baisse des recettes pétrolières et de pressions sur les dépenses courantes dans un environnement caractérisé par la crise de la Covid-19. Ce qui se traduit par des besoins de financement en augmentation dans un contexte de retards de décaissements des financements extérieurs ».
Ce contexte difficile, selon le membre du gouvernement, n’amenuise pas les efforts du Gabon pour honorer ses engagements vis-à-vis de ses partenaires. Dans ce cadre, une stratégie de règlement de la dette intérieure auditée par la Task Force est notamment en cours de finalisation.
Parallèlement, plusieurs projets sont mis en place pour relancer l’économie du pays à l’instar du plan de la transformation économique du pays qui vise, d’ici 2023, à accélérer la transition vers l’après-pétrole, en activant les nouveaux moteurs de croissance et en repensant le modèle social du pays. L’objectif étant la consolidation des finances publiques. « Cette stratégie devrait bénéficier de l’appui du Fond Monétaire International (FMI) dans le cadre d’un nouveau programme en cours de discussion », soutient le membre du gouvernement.
Nicole Janine Lydie Roboty rappelle cependant que le Gabon n’est pas le seul pays dont la notation souveraine s’est vue dégradée par Fitch Ratings au cours des douze derniers mois. Le Cameroun, le Congo ou encore l’Angola obtiennent également des notes en baisse.
SG
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Les relations de coopération bilatérale entre Libreville et Moscou pourraient être renforcées dans le domaine de l’infrastructure, a fait savoir l’ambassadeur de la République fédérale de Russie, Ilias Iskandarov à l’issue d’une audience le 9 mars 2021 avec le ministre gabonais des Infrastructures, Léon Armel Bounda Balonzi.
« Nous avons de bons partenariats au plan international et dans le domaine économique, financier y compris dans les infrastructures routières de construction. Nous avons l’expérience de coopération dans tous ces domaines et on espère donner une impulsion importante à notre partenariat gabonais », a déclaré Ilias Iskandarov. Par ailleurs, d’après les autorités russes, plusieurs sociétés opérant dans les secteurs de l’énergie, du pétrole, de l’automobile et des BTP ont manifesté l’intérêt d’investir au Gabon.
Déterminée à renforcer ses relations de coopération avec le Gabon, la Russie multiplie depuis trois mois des rencontres avec les autorités gabonaises, notamment avec le directeur général de l’Agence nationale de la promotion des investissements (ANPI), Ghislain Moandza Mboma. Les échanges ont porté sur la mise en place des stratégies d’appui au développement de la diplomatie économique entre les deux pays. Le diplomate russe avait également été reçu par le Premier ministre gabonais, Rose Christiane Ossouka Raponda.
Selon Ilias Iskandarov, en plus Gabon, la Russie ambitionne de développer des relations mutuellement avantageuses « avec tous les pays africains ».
Le Gabon et la Russie totalisent 48 ans de coopération à cette date. Depuis quelques années, les échanges commerciaux entre les deux pays se sont intensifiés. Dans le cadre de la lutte contre la Covid-19, le Gabon a recemment adopté le vaccin russe Sputnik V.
Brice Gotoa
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Depuis sa mise en service en 1986, le réseau ferré du Gabon et ses 648 km de chemin de fer reliant Franceville à Libreville n’avait pas subi de travaux majeurs. Pour atteindre ses ambitions en matière de performance, un Programme de remise à niveau de la voie (PRN) a été lancé pour la période 2016-2024.
Les travaux de réhabilitation en cours, depuis 5 ans, sur le chemin de fer gabonais « avancent bien », rassure Christian Magni, directeur général de la Setrag (Société d’exploitation du Transgabonais), dans un communiqué publié par Gabon Review.
La portée du chantier, livrable en 2024, comprend, entre autres, le remplacement des traverses en bois par des traverses biblocs (en béton), afin rendre la voie plus stable et éviter de nouveaux incidents. A 3 ans de l’échéance, le taux d’exécution a atteint 21% avec la pose de 138 km de traverses, informe le patron de la Setrag – filiale du groupe français Eramet.
Pour la fabrication de celles-ci, l’entreprise a mis sur pied une usine de production à Booué, dans le département de Lopé, partie centre du pays. «Après quatre années d’activité aujourd’hui, nous avons déjà produit 340 000 traverses, soit une satisfaction de 34% des besoins du Programme», précise Roland Allo Asseko, responsable de l’usine de production des traverses biblocs. On optant ce nouveau type de traverses, la Setrag entend ainsi doubler leur durée de vie : 50 ans contre 25 ans maximum pour les traverses en bois.
Le PNR bénéficie d’une mobilisation de 202 milliards de FCFA (3 milliards d’euros). L’Etat gabonais, grâce à l’appui de l’Agence française de développement (AFD), a contribué à hauteur de 61 milliards de FCFA, et la Setrag, de 146 milliards de FCFA, dont une partie sur fonds propres de la Société.
L’autre volet du programme comprend le traitement complet des 83 zones identifiés comme instables, la réhabilitation et la construction des gares. Une fois achevé, ce programme vise à doubler la capacité de transport du Transgabonais. Le réseau accueille actuellement 330 000 voyageurs par an et transporte 6 millions de tonnes de marchandises et minerai (en 2019).
Romuald Ngueyap
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Plusieurs localités du Gabon ont été secouées par un nouveau tremblement de terre dans la nuit du 9 au 10 mars 2021, selon des témoignages des populations confirmés par le ministre des Eaux et de l’Environnement Lee White. « Un autre tremblement de terre senti de Malinga à Libreville », a-t-il twitté il y a quelques heures.
Un autre séisme d'une magnitude de 5,4 a également été ressenti à « 00:07:56 heure locale à 12,12km de Mbigou », comme le rapporte sismologue.com.
D’après le ministre de l’Environnement qui cite l'expert géologue El Albani, ce phénomène est « dû au fonctionnement normal des failles à cause de l'ouverture continue produit au milieu de l'Atlantique qui repousse les continents, Africains et Américains ».
Il rassure tout de même les populations inquiètes. « Est ce qu'on risque un tremblement de terre beaucoup plus fort? Non! Pourquoi? Car le Gabon, contrairement à d'autres pays, comme la région de d'Agadir au Maroc, n'est pas traversé par des grandes failles », a-t-il expliqué dans un autre tweet.
Est ce qu'on risque un tremblement de terre beaucoup plus fort?
— Prof. Lee White CBE (@LeeWhiteCBE) March 9, 2021
Non!
Pourquoi?
Car le Gabon, contrairement à d'autres pays, comme la région de d'Agadir au Maroc, n'est pas traversé par des grandes failles. https://t.co/Dp69tIfm5d
Ce nouveau tremblement de terre intervient après celui qui a été enregistré le 6 mars dernier à 53km de Lambaréné dans la province de la Ngounié. Un séisme d’une magnitude de 5,2 qui, d’après le ministère des Eaux et de l’environnement, n’a pas fait de victimes. Les secousses avaient cependant été suivies de deux répliques, respectivement à 21h54 et le lendemain à 4h16.
SG
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Dans un entretien accordé au quotidien l’Union dans sa parution de ce 9 mars 2021, le ministre de l’Economie et de la Relance, Nicole Janine Lydie Roboty Mbou, est revenu sur l’accompagnement promis aux entreprises, au début de la pandémie, au Gabon, à travers le Guichet de financement d’urgence des entreprises mis en place à cet effet.
D’après le membre du gouvernement qui reconnait les résultats mitigés de ce guichet, les entreprises qui n’ont pas été financées sont celles qui ne répondaient pas aux critères. « Les dossiers de demande de crédit n’ont malheureusement pas prospéré du fait notamment du non-respect par les entreprises du critère concernant le respect des obligations sociales et fiscales. En termes simples, les entreprises n’étaient pas à jour vis-à-vis de la Caisse nationale de sécurité sociale du Gabon (CNSS), de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) et des Impôts. Leurs demandes ont donc été rejetées par les banques. D’autres entreprises n’ont tout simplement pas souhaité s’endetter pour payer les salaires », a-t-elle expliqué.
En fait, pour accompagner les entreprises en pleine crise sanitaire, le gouvernement gabonais, avec l’appui des banques, avait mis en place au mois d’avril 2020, un guichet de financement d’urgence pour porter secours aux entreprises en difficulté de trésorerie à hauteur de 225 milliards de FCFA.
Selon le ministre de l’Economie, seules les PME et TPE légalement enregistrées au Gabon et subissant des pertes de revenus en raison de la pandémie de Covid-19, ainsi que des entreprises ayant un chiffre d’affaires inférieur ou égal à 3 milliards de FCFA/an et un effectif inférieur ou égal à 200 personnes, étaient éligibles à ce financement. « De plus, ces entreprises devaient être à jour de leurs obligations fiscales et sociales tout en s’engageant à maintenir les emplois, y compris sous forme de chômage technique, conformément à la réglementation en vigueur. Les salaires, les loyers et l’électricité constituaient les dépenses éligibles à ce guichet », explique Nicole Janine Lydie Roboty Mbou dans l’Union.
Face à l’échec de ce guichet, le gouvernement a entrepris depuis quelques temps d’apporter un nouvel appui aux entreprises actuellement très impactées par la nouvelle vague de la Covid au Gabon. Pour ce faire, les autorités gabonaises travaillent en ce moment avec les banques et les assurances en vue d'apporter un accompagnement qui permettra à ces entreprises de relancer leurs activités.
SG
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