À la tête de la Fédération gabonaise des sociétés d’assurances et de réassurance (Fegasa) depuis juillet 2018, le Dr Andrew Gwodog travaille sans relâche pour donner au secteur des assurances un attrait plus reluisant. Entre innovation technologique avec des applications numériques visant à faciliter le quotidien des usagers et engagement social envers les populations, notamment en cette période de crise sanitaire mondiale, jamais les assureurs du Gabon n’avaient été aussi solidaires.
Grâce à un management bien agencé, SCG-Ré qu’il dirige, fait figure d’entreprise citoyenne au Gabon. En 2019, la société qui poursuit le déploiement de son plan de développement commercial en Afrique a réalisé d’excellents résultats en clôturant l’exercice avec un chiffre d’affaires de 14 milliards de FCFA en hausse de 7% par rapport à 2018.
Le leadership de cet ancien membre du gouvernement est aujourd’hui difficile à remettre en cause. Homme politique, dirigeant d’entreprises, mais aussi engagé dans le social, Andrew Gwodog représente la nouvelle génération de managers sur qui le Gabon peut compter, y compris pour le représenter au-delà de ses frontières.
Grâce à une situation sanitaire presque sous contrôle au Gabon, le pays va pouvoir entamer la deuxième phase du déconfinement. Au cours d’une conférence de presse prévue ce 16 octobre, le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, et les membres de son gouvernement vont dévoiler les contours de la phase 2 de l’allègement des mesures restrictives prises pour limiter la propagation de la Covid-19 dans le pays.
L’on image que les contours du couvre-feu, la réouverture des lieux de culte, des bars, restaurants, et boites de nuit seront les principaux enjeux de cette sortie.
Après un confinement débuté en avril 2020, le Gabon a entamé depuis le 1er juillet un déconfinement qui se veut progressif. Plusieurs mesures d’allègement ont été ainsi prises pour relancer l’économie et préserver les emplois.
Cependant, malgré ces mesures et l’accompagnement du gouvernement, les entreprises déjà opérationnelles peinent à sortir la tête de l’eau. D’après certains chefs d’entreprises, un déconfinement total permettra aux opérateurs économiques de relancer leurs activités progressivement.
Selon des chiffres du Comité de pilotage du plan de veille et de riposte contre l’épidémie à Coronavirus au Gabon, le pays compte au 12 octobre 2020, 8 860 cas testés positifs (4,4%) dont 8 298 guéris (93,6%) et 54 décès ; 3 personnes hospitalisées, dont 2 en réanimation.
SG
Le groupe belge Besix, le constructeur de la Burj Khalifa (Dubai), la plus haute tour au monde, est intéressé par le Gabon. Une délégation de cette entreprise spécialisée dans la construction d’infrastructures a eu une rencontre le 13 octobre 2020 avec l’Agence nationale de la promotion des investissements (Anpi) à Libreville.
Une rencontre de prise de contact qui a donné l’occasion au directeur général de l’Anpi, Gabriel Ntougou, de présenter les différentes opportunités d’investissement et les facilités offertes par le Gabon, notamment les opportunités qui existent dans le projet Ntoum 7. Ce dernier vise à améliorer la desserte en eau dans certaines communes du pays et renforcer de 140 000 m3/jour la capacité de production actuelle de cette ressource à Libreville. Également présenté à cette structure, le projet de construction du port de pêche de Port-Gentil.
L’Anpi espère que cette rencontre aboutisse à un partenariat fructueux. Actif depuis 1909, le Groupe belge Besix s’est illustré dans la construction, promotion immobilière et concessions dans le monde. Il a déjà effectué de grands travaux en Afrique.
SG
De concert avec la communauté internationale, le Gabon célèbre la Journée internationale de la femme rurale, ce jeudi 15 octobre 2020. L’événement, piloté par le ministère des Affaires sociales et des Droits de la femme, est placé sous le thème : « Promouvoir les activités socio-économiques des femmes rurales, moteurs de la résilience en temps de pandémie ».
Le clou des manifestations sera marqué par le lancement du chapitre national du Réseau des femmes leaders d’Afrique (AWLN). Créée en juin 2017 à New York, avec le soutien de la Commission de l’Union africaine et des Nations unies, cette plateforme est une initiative de femmes africaines leaders de divers secteurs.
L’AWLN soutient la promotion des femmes dirigeantes africaines par le biais de projets phares, d’apprentissage par les pairs, de partage d’expériences et de dialogues intergénérationnels afin de renforcer les contributions des femmes à la construction et au maintien de la paix, des économies durables et de la transformation sociale.
Au plan national, l’initiative vise un principal objectif : permettre aux femmes de la section gabonaise de s’engager collectivement, en développant le réseau, afin d’amplifier leurs voix et d’apporter des réponses adéquates aux préoccupations du pays en matière de développement.
Il est à noter que le Gabon est soutenu dans ce processus d’autonomisation de la femme rurale par le bureau sous-régional de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) pour l’Afrique centrale. Le gouvernement et cette institution onusienne ont initié une collaboration axée sur les enjeux liés à cette autonomisation des femmes rurales et à la promotion du genre dans les systèmes alimentaires.
La FAO est particulièrement active sur ce dossier avec le renforcement des capacités des femmes rurales dans la production, la transformation et la commercialisation de leurs produits agricoles en vue de leur autonomisation. La clé de voute de cette dynamique étant leur promotion, leur participation et leur engagement à l’économie du pays, à travers des activités génératrices de revenus. Une approche qui cadre avec la stratégie d’investissement humain du gouvernement gabonais visant à améliorer les conditions de vie des plus vulnérables.
Marcel Saint-clair Eyene
Dans un contexte de chute de la production pétrolière, les autorités gabonaises entendent promouvoir le développement des ressources gazières nationales dans le but d’engendrer de nouvelles sources de revenus. L’objectif affiché est de faire du gaz, une nouvelle opportunité de développement du secteur des hydrocarbures.
Différents projets visant notamment à valoriser cette ressource sont ainsi en cours, dont celui de la construction de l’usine d’engrais de l’ile de Mandji. Cette orientation stratégique est inscrite dans le Code des Hydrocarbures depuis 2014. Le pays dispose des réserves prouvées de gaz naturel à hauteur de 28,3 milliards de mètres cubes, essentiellement sous forme de gaz associé. Mais, il n’en fait actuellement qu’un usage limité, puisque plus de 90% de sa production est réinjectée dans le sous-sol, ou brûlée, faute de débouchés économiques.
L’exploitation des ressources gazières est actuellement assurée par la compagnie franco-britannique, Perenco à partir de deux gisements : Ganga et Ozangue. En 2019, la société a produit 416 millions de m3 de gaz, lui offrant un positionnement stratégique au Gabon, puisqu’elle alimente les centrales thermiques de Port-Gentil et Libreville.
Dans le cadre du déploiement des activités, Perenco vient également de parapher un nouvel accord avec le gouvernement, pour la production du Gaz du pétrole liquéfié (GPL), pour le marché local. Cet accord prévoit la construction des installations à Batanga dans l’Ogooué-Maritime, pour la production de ce produit.
Au Gabon, la plus forte concentration des ressources de gaz se trouve autour de Rabi-Kounga, d’Olouwi et Ozangue. Les récentes découvertes de gaz à condensats par Total, Shell et Eni dans trois blocs off-shore nécessitent, quant à elles, des travaux d’appréciation. Elles pourraient, si ces ressources s’avèrent importantes et économiques, propulser le Gabon sur la scène mondiale des producteurs de gaz.
Marcel Saint-clair Eyene
Pour une meilleure production agricole au Gabon, le gouvernement a adopté en conseil des ministres, ce 13 octobre 2020, le projet de loi fixant la politique semencière végétale au Gabon.
Si ce texte est adopté par le Parlement, il devra créer, selon le gouvernement, les conditions adéquates à la promotion de la qualité, de la production, la commercialisation et l’utilisation des semences afin de contribuer à l’atteinte de l’objectif national de sécurité alimentaire.
Le projet de loi, qui vise également la mise en conformité avec la politique semencière de la zone Cemac, va nécessiter la création de deux organes. Il s’agit du Fonds d’appui au secteur semencier chargé du financement des activités d’homologation du secteur et du Conseil national semencier chargé de donner un avis sur la commercialisation, la qualité de ces produits.
Ce projet de loi devrait par ailleurs combler le vide juridique actuel et permettre la structuration de la filière en favorisant la mise à disposition des producteurs de semences certifiées et performantes.
SG
Parmi les 15 membres élus le 13 octobre au Conseil des droits de l’Homme des Nations unies, figure le Gabon. Le pays va occuper ce siège pendant trois ans (2021-2023) au même titre que trois autres pays africains élus le même soir, lors de l’assemblée générale des Nations unies. Il s’agit de la Côte d’Ivoire, du Malawi et du Sénégal. Le groupe des États d’Afrique avait quatre sièges à pourvoir.
Également élus, la Chine, le Népal, l’Ouzbékistan, le Pakistan, la Russie, l’Ukraine, Bolivie, Cuba, la Bolivie la France, le Royaume-Uni.
L’élection du Gabon n’est pas une surprise, car le pays est signataire de plusieurs conventions internationales pour la valorisation des droits de l’Homme. Au cours de son mandat, le Gabon devra davantage améliorer ses instruments et respecter des standards élevés en matière de droits de l’Homme, comme l’exige la résolution de mars 2006 créant le Conseil.
Le Conseil des droits de l’Homme des Nations unies, qui siège à Genève, est composé au total de 47 États membres, dont 13 du groupe des États d’Afrique.
SG
La maladie vient d’emporter une figure importante du secteur aéronautique gabonais. Arthur Nkoumou Delauney, directeur général de l’Agence nationale de l’aviation civile (Anac), est mort ce 13 octobre 2020 en France, des suites de maladie. Il avait 47 ans.
Durant les trois années passées à la tête de cette institution, Arthur Nkoumou Delauney a marqué d’une pierre blanche le secteur aéronautique gabonais. En 2018, il a contribué au processus de certification Oaci de l’aéroport de Libreville qui devenait ainsi le premier aéroport d’Afrique centrale ayant décroché ce certificat. La remise officielle du certificat d’aérodrome s’est déroulée le 30 août 2018, à Libreville, en présence du président de la République, Ali Bongo Ondimba.
Aussi, en 2019, son travail acharné a permis de sortir le Gabon de la liste noire des pays dont les compagnies aériennes sont interdites de vol dans l’espace aérien européen. Le pays figurait dans cette liste depuis juillet 2018.
Ce travail acharné va être récompensé par les plus hautes autorités du pays qui vont le nommer le 31 janvier 2020 en Conseil des ministres, comme le conseiller spécial, chargé de missions du président de la République. À son décès, il cumulait ces fonctions à l’Anac et à la présidence de la République.
Diplômé de l’aéronautique, il a pendant toute sa vie travaillé au sein des compagnies aériennes avant sa nomination à l’Anac.
SG
Sur le plan national, en sa qualité de Chef Suprême des Forces de Défense et de Sécurité, le Chef de l’Etat a pris part, le samedi 10 octobre 2020, à lacommémoration de la fête de la Saint Michel, Patron des parachutistes. Au cours de cette cérémonie militaire, le Chef de l’Etat a rendu un hommage mérité aux Forces de Défense et de Sécurité, tout en saluant leur engagement dans la lutte contre la Covid-19 et le maintien de l’ordre pour la protection des populations face à cette pandémie.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
MINISTERE DU BUDGET ET DES COMPTES PUBLICS
Monsieur le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a adopté, le projet de Loi de
Finances Initiale pour l’Exercice 2021.
Les principales hypothèses sur lesquelles repose le cadrage macroéconomique et budgétaire 2021 sont arrêtées comme suit :
Ainsi, pour l’année 2021, le projet de budget de l’État est équilibré en ressources et en charges, à 2681,5 milliards FCFA contre 3047,1 milliards de FCFA en 2020, soit une baisse de 365,6 milliards (hors prélèvements affectés aux tiers distincts de l’État, qui s’élèvent à 86,9 milliards de FCFA).
S’agissant des ressources, les recettes budgétaires seraient évaluées à 1874,4 milliards FCFA contre 1501,8 milliards FCFA arrêtés dans la loi definances rectificative 2020, soit une hausse de 372,6 milliards FCFA.
Les ressources de trésorerie et de financement se situeraient à 807,0 milliards FCFA, contre 1545,3 milliards FCFA dans la LFR 2020, soit une baisse de 738,3 milliards FCFA.
En ce qui concerne les dépenses et les charges de trésorerie, les dépenses budgétaires sont évaluées à 2043,5milliards de FCFA contre 1900,5 milliards de FCFA en 2020, soit une hausse de 143,1milliards de FCFA par rapport à la LFR 2020.
Ces dépenses comprennent :
Elles sont principalement orientées vers le soutien à la relance de l’économie
MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DE L’ALIMENTATION
Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de loi fixant la
Politique Semencière Végétale en République Gabonaise.
Ainsi, la présente loi crée les conditions adéquates à la promotion de la qualité, de la production, la commercialisation et l’utilisation des semences afin de contribuer à l’atteinte de l’objectif national de la sécurité alimentaire.
Ce texte vise également la mise en conformité vis-à-vis de la politique semencière en zone CEMAC avec la création d’un Conseil National semencier consultatif et un Fonds d’appui au secteur semencier.
Par ailleurs, le Conseil des Ministres a également entériné les cinq (5) projets de décret suivants :
La création effective de ces agropoles vient matérialiser l’engagement du Président de la République, Chef de l’Etat, découlant du Plan Stratégique Gabon Emergent, de développer notre agriculture sur la base d’un foncier organisé autour de bassins de production à travers le pays.
Le choix de ces zones découle donc des études diligentées et validées par la Commission Nationale d’Affectation des Terres en fonction de leur proximité avec les infrastructures routières et
ferroviaires existantes ainsi que la nature des sols, le relief et le climat.
Aussi, ces Zones Agricoles à forte Productivité (ZAP) sont-elles destinées à promouvoir la culture de spéculations vivrières notamment la banane, le manioc, le maïs, le riz et le soja, de même qu’à développer l’élevage (avicole et porcin) à grande échelle.
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES
Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d’agréments de Leurs Excellences Messieurs :
– Mame OUMAR.THIAW, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire
et Plénipotentiaire de la République du Sénégal près la République Gabonaise avec résidence à Libreville ;
– James MBAHIMBA, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire
et Plénipotentiaire de la République d’Ouganda près la République Gabonaise avec résidence à Kinshasa en République Démocratique du Congo.
MINISTERE DES EAUX, DES FORETS, DE LA MER, DE L’ENVIRONNEMENT, CHARGE DU PLAN CLIMAT ET DU PLAN D’AFFECTATION DES TERRES
Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a marqué son accord pour l’adhésion de notre pays à la Coalition pour le Climat et l’Air Pur (CCAP).
La CCAP est une coalition volontaire de pays et d’organisations, créée en 2012 sous l’égide des Nations Unies. Son objectif est de renforcer les efforts publics et privés au niveau mondial, régional et national, afin de réduire les polluants organiques de courte durée de vie présents dans l’air et d’améliorer les inventaires.
L’adhésion de notre pays à cette coalition permettra de soutenir la mise en œuvre des actions du Gabon sur la qualité de l’air, dans la préservation de l’environnement et de la réduction des émissions de Polluants de courte durée de vie (PCDV).
Cette adhésion permettra également au Gabon d’accéder à une plateforme d’échange d’informations et de renforcement de capacités techniques sur les projets et le transfert de technologies de lutte contre les pollutions atmosphériques.
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DES DROITS DE LA FEMME
Au terme de la présentation de Madame le Ministre, le Conseil des Ministres a marqué son accord aux activités ci-après :
International sur la Retraite dans la zone de la Conférence Internationale de la Prévoyance Sociale (CIPRES).
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
SECRETARIAT GENERAL
Est remis à la disposition de son administration d’origine : M. Jude Claude OYOUMI.
AGENCE NATIONALE DES BOURSES DU GABON A.N.B.G
CONSEIL D’ADMINISTRATION
Président du Conseil d’Administration : Mme Amissa Briana BONGO ONDIMBA Epse AMBOUROUE-ROGOMBE
DIRECTION GENERALE
Directeur Général, Président de la Commission des Bourses : Mme Sandra Flore MAMBARI PINZE Epse ABESSOLO.
Directeur Général Adjoint : M. Pascal Blaise OBI.
Conseiller Technique du Directeur Général : M.Jérémie MIKOMBO.
Chargé d’Etudes : M. Aimé MOUELEY.
Directeur de la Scolarité : Mme MOUELY Epse ITOUMBA Christelle Andréa.
Chef de Service Etudiants Boursiers : M. Daniel Dick BEHOBE MABADY.
Chef de Service Etudiants Non Boursiers : Mme Philippine KOBAGHA LINGOMBE.
Chef de Service Planification : M. Jean Servais NDOUTOUME.
Directeur Administratif et Financier : Mme Paule Désirée Elisabeth MBOUMBA LASSY.
Chef de Service Financier et Comptable : M. Hebert MADIBA.
Chef de Service Approvisionnement et Moyens Généraux : Mme Inès Cynthia BINGOUMA BOUNAGHAN.
Chef de Service des Affaires Juridiques et Administratives : Mme Charlaine NGOMBI.
Directeur des Systèmes d’Information et de la Communication : M. Sylvain Charli LENGANGUI.
Chef de Service Système d’Information, Réseaux et Sécurité : M. Arnold MINDZELI.
Chef de Service Communication et Relation Publique : Mme Grace OGANDAGA ASSELE.
Chef de Service Gestion Documentaire et Statistiques Mme Nadia Staelle LENDJOUGHOU KOMBA.
Contrôleur Budgétaire : Mme Natacha TSINGUI.
Par ailleurs, les personnels dont les noms suivent sont remis à la disposition de leurs administrations d’origine :
Fidèle TOMO ;
Hubert MVE ESSONO ;
Norbert NGAMBIA ;
Mme Annette BOUKANDOU.
MINISTERE DE L’ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES
SECRETARIAT GENERAL
MINISTERE DE LA CULTURE ET DES ARTS
SECRETARIAT GENERAL
MINISTERE DE L’EMPLOI, DE LA FONCTION PUBLIQUE, DU TRAVAIL ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE
SECRETARIAT GENERAL
ECOLE DE PREPARATION AUX CARRIERES ADMINISTRATIVES (EPCA)
MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DE LA RELANCE
SECRETARIAT GENERAL
MINISTERE DU BUDGET ET DES COMPTES PUBLICS
SECRETARIAT GENERAL
MINISTERE DU PETROLE, DU GAZ ET DES MINES
SOCIETE EQUATORIALE DES MINES
DIRECTION GENERALE
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DES DROITS DE LA FEMME
SECRETARIAT GENERAL
Secrétaire.Général : M. Roger MICKALA MANFOUMBI.
CAISSE NATIONALE D’ASSSURANCE MALADIE ET DE GARANTIE SOCIALE (CNAMGS)
DIRECTION GENERALE
Conseillers Techniques :
SECRETARIAT GENERAL
DIRECTION DES PRESTATIONS SANITAIRES SOCIALES
DIRECTION DU CONTRÔLE MEDICAL ET DE LUTTE CONTRE LA FRAUDE
DIRECTION DU SYSTEME D’INFORMATION
Directeur : M. Rodrigue M’FOUBOU M’FOUBOU
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
MINISTERE DU COMMERCE, DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES ET DE L’INDUSTRIE
SECRETARIAT GENERAL
MINISTERE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE, CHARGE DE LA VIE ASSOCIATIVE
SECRETARIAT GENERAL
Secrétaire Général Adjoint : M. Clément MOUPOUMBOU.
MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES PARTENARIATS PUBLICS-PRIVES, CHARGE DE L’AMELIORATION DE L’ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES
SECRETARIAT GENERAL
AGENCE NATIONALE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS (ANPI)
CONSEIL D’ADMINISTRATION
Pour le compte de l’année 2021, l’enveloppe budgétaire proposée par le gouvernement gabonais ce 13 octobre en conseil des ministres s’élève à 2681,5 milliards FCFA contre 3047,1 milliards de FCFA en 2020.
En attendant son adoption par le Parlement, ce budget équilibré en ressources et en charges, révèle d’ores et déjà une baisse de 365,6 milliards (hors prélèvements affectés aux tiers distincts de l’État, qui s’élèvent à 86,9 milliards de FCFA), soit 11,99% en valeur relative.
Il sera largement consacré à la relance de l’activité économique et de l’emploi dans un contexte dominé par la crise sanitaire de la Covid-19.
Pour l’année 2021, le gouvernement évalue les recettes budgétaires à 1874,4 milliards FCFA contre 1501,8 milliards FCFA arrêtées dans la loi de finances rectificative 2020, soit une hausse de 372,6 milliards FCFA.
Les ressources de trésorerie et de financement se situeraient à 807,0 milliards FCFA, contre 1545,3 milliards FCFA cette année, soit une baisse de 738,3 milliards FCFA.
En ce qui concerne les dépenses et les charges de trésorerie, les dépenses budgétaires sont évaluées à 2043,5 milliards de FCFA contre 1900,5 milliards de FCFA en 2020, soit une hausse de 143,1 milliards de FCFA par rapport à 2020.
Ces dépenses comprennent les charges financières de la dette qui s’établissent à 272,9 milliards FCFA contre 276,5 milliards FCFA dans la loi de finances rectificative 2020, soit une baisse de 3,6 milliards FCFA ; les dépenses de fonctionnement qui se chiffrent à 1111,2 milliards FCFA contre 1106,8 milliards FCFA en 2020, soit une augmentation de 4,4 milliards FCFA. Et enfin, les dépenses d’investissement qui s’établissent à 483,4 milliards FCFA contre 380 milliards FCFA dans la loi de finances rectificative 2020, soit une augmentation de 21,4% correspondant à 103,4 milliards FCFA.
Sandrine Gaingne