Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Le directeur Afrique d’Olam International fait désormais des personnalités qui tiennent le gouvernail de l’économie gabonaise. Avec ses nouveaux attributs de Président directeur général de la plateforme Infrastructures et logistique, Arise Holding, Gagan Gupta se veut désormais l’un des grand bâtisseurs du continent.

Après avoir mené avec succès la mise en place de projets d’envergure dans l’agro-business, il a initié un partenariat public privé (PPP) dans le secteur des Infrastructures entre Olam International Ltd, AFC (Africa Finance Corporation) et la République gabonaise.

Résultats des courses, GSEZ, la filiale d’Arise Holding au Gabon, compte à ce jour une Zone économique spéciale dynamique (plus de 140 clients de 18 pays, opérant dans 17 secteurs); deux ports à la pointe de la technologie (terminal à conteneurs et terminal minéralier avec leurs services logistiques multimodaux ); des projets infrastructurels tels que l’électrification rurale et enfin la gestion de l’actuel aéroport de Libreville, dont la construction d’un nouveau  terminal, voué à devenir un hub sous-régional. Loin de s’arrêter en si bon chemin, son groupe se veut également le deuxième employeur après l’Etat, avec un effectif de près de 17 500 salariés. Ses investissements sont évalués entre 2011 et 2017 à 1400 milliards de FCFA.

Le gouvernement gabonais entend faciliter l’accès aux soins et doter le pays d’un système de santé pertinent et de qualité à l’horizon 2022. Pour atteindre cet objectif, le ministère de la Santé a élaboré un plan d’actions stratégiques couvrant la période 2020-2022.

Les actions à mener pour l’implémentation dudit plan tournent autour de plusieurs axes, notamment l’élaboration et la validation par le gouvernement d’un code de santé, une nécessité d’après les autorités pour atteindre les objectifs fixés dans le secteur sanitaire.

Le plan santé 2020-2022 prévoit également le renforcement de la gouvernance hospitalière, l’amélioration de l’accessibilité et de la disponibilité des médicaments dans les hôpitaux, le développement d’un programme d’opérationnalisation des départements sanitaires par le biais de la réhabilitation des structures sanitaires.

Dans un contexte où l’économie du pays est fortement perturbée par la pandémie du coronavirus, la mise sur pied de toutes ces actions doit contribuer à l’amélioration de la qualité et de l’offre d’accès aux soins.

D’après le ministre de la Santé, Guy Patrick Obiang Ndong, le Gabon traverse une période conjoncturelle sur le plan économique à cause de la Covid-19. A cet effet, il est urgent de concentrer les actions sur ce qui peut permettre d'alléger le panier de la ménagère et faire en sorte que les populations puissent avoir un accès facile aux soins de qualité.

SG

Le récent rapport du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) sur l’impact socio-économique du coronavirus au Gabon révèle que ce contexte défavorable pourrait contribuer à augmenter la pauvreté dans le pays.

A en croire le Pnud, le niveau de pauvreté au Gabon augmenterait de 3,6% en 2020. Ce qui est l’une des conséquences sociales du coronavirus dont les effets sur les revenus ont été analysés compte tenu des restrictions de travail qui pourrait toucher chaque travailleur quel que soit son statut social. « Si les travailleurs du secteur public et des grandes entreprises du secteur privé disposent d’une garantie plus solide en matière de protection de l’emploi et du maintien du salaire, ce n’est pas souvent le cas pour les travailleurs des PME ou du secteur informel, notamment ceux touchés par les mesures de confinement (commerce, transport, restauration, hôtellerie…) », indique le rapport.

La même source poursuit : « Il en serait de même des petits agriculteurs des zones rurales qui verraient se rétrécir leurs débouchés dans les zones urbaines. Ainsi, les ménages pauvres, souvent en situation de chômage ou d’auto-emploi et les travailleurs non qualifiés, subiraient relativement les plus grandes pertes de revenu ».

Dans la même veine, le Pnud établit une première variante du niveau de développement humain qui serait de 0,675 en 2020, soit une perte de 3,5% par rapport à 2019 ou de 3,6% par rapport au scénario de référence de 2020, ramenant le Gabon à la situation de l’année 2012.

Dans la deuxième variante, le niveau de développement humain serait de 0,695 en 2020, soit une perte de 0,7% par rapport à 2019 ou de 0,8% par rapport au scénario de référence de 2020 ; ce qui pourrait ramener le Gabon à la situation de l’année 2016.

Le Pnud relève que la transmission de la crise sanitaire aux sphères économiques et sociales du Gabon passe principalement par le commerce extérieur, en particulier le marché de pétrole découlant de la récession dans la plupart des pays de l’OCDE et de la Chine.

Sylvain Andzongo

Selon le rapport Afrobarometer 2020 paru ce début de semaine, 62% des Gabonais soit six personnes sur 10 estiment ne pas être suffisamment libres de s’exprimer, notamment sur les questions politiques. Ils espèrent de ce fait davantage bénéficier du droit de dire ce qu’ils pensent dans ce domaine. Une condition nécessaire pour apaiser le climat politique, encourager les jeunes et les populations marginalisées à la participation politique, et consolider la démocratie gabonaise.

En revanche, 57% des Gabonais seraient favorables à l’interdiction par le gouvernement de toute critique et injure à l’encontre du chef de l’Etat.

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Et même s’ils déplorent des failles dans la liberté d’expression, les populations (65%) reconnaissent être libres d’adhérer à la formation politique de leur choix. Encore plus (71%) affirment leur liberté de choisir pour qui ils votent, précise le rapport.

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Médias

Toutefois, cette liberté doit se refléter à travers les médias. D’après le rapport Afrobarometer, la proportion de Gabonais qui est favorable à la liberté des médias est passée de 61% en 2017 à 81% en 2020. Mais en pratique, plus de trois quarts (78%) des répondants à l’enquête estiment que la presse au Gabon n’est « pas très libre » ou « pas du tout libre » de publier sans censure du gouvernement. Ils revendiquent de ce fait moins de censure du gouvernement sur les médias. D’après ce rapport, sur 18 pays interrogés, le Gabon se classe deuxième dans la perception d’un manque de liberté des médias.

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Afrobarometer est un réseau panafricain et non-partisan de recherche par sondage qui produit des données sur les expériences et évaluations des Africains relatives à la démocratie, à la gouvernance, et à la qualité de vie.

SG

Le président de la République Ali Bongo a pris part ce 16 septembre 2020 au lancement du Bureau Afrique du Centre mondial pour l’adaptation (GCA) à Abidjan en Côte d’Ivoire.

Tout en fustigeant les effets dévastateurs du changement climatique sur l’environnement, le chef de l’Etat gabonais, par ailleurs président de l'Initiative africaine pour l'adaptation, s’est félicité de la mise en service de cette organisation internationale.

« Le lancement de GCA Afrique est une initiative audacieuse et innovante visant à galvaniser le soutien nécessaire pour intensifier considérablement l'adaptation sur le continent, identifier les lacunes et connecter les partenaires régionaux pour trouver des solutions », a souligné Ali Bongo.

Dans la même lancée, Ban Ki-moon, coprésident du conseil d'administration du GCA et 8e secrétaire général des Nations unies a situé l’importance de cette organisation internationale pour le continent. « Notre nouveau bureau régional soutiendra les efforts d'adaptation régionaux et nationaux en mettant l'accent sur les meilleures pratiques existantes sur le continent, en les diffusant et en assurant leur intégration à part entière dans des efforts d'adaptation internationaux plus larges. »

Cette structure concentrera ses activités sur les programmes et les actions, la diffusion élargie et plus rapide des connaissances, le renforcement des capacités et la définition des priorités répondant aux défis aigus du changement climatique, auxquels les pays africains sont confrontés.

Le Bureau Afrique du GCA est une organisation internationale qui agit en tant que courtier en solutions pour accélérer l'action et le soutien aux solutions d'adaptation, de l'international au local, en partenariat avec les secteurs. Ce bureau est logé au siège de la Banque africaine de développement (BAD).

SG

Le Groupe BGFIBank informe qu’au terme d’un audit indépendant de sa gouvernance et de sa solidité financière, BGFIBank Europe, son hub à l’international, a reçu de l’agence de notation Bloomfield Investment Corporation, la note AA+. Cette note à Long Terme correspond, sur l’échelle de notation en devises de l’agence, à la note BBB- (note d’investissement), avec une perspective stable.

Basée sur une évaluation rigoureuse portant sur la période de 2015 à 2019, les notes obtenues AA+ à long terme et A1 à court terme se sont avérées satisfaisantes dans la définition et l’interprétation de l’échelle de la notation financière internationale. Le Comité note que « le modèle économique de BGFIBank Europe a progressivement évolué, depuis sa création jusqu’en 2019. En effet, d’un modèle marqué par la prédominance du Groupe (autant en termes de ressources que d’affaires apportées), avec une activité centrée sur l’escompte de traites avalisées, la banque a progressivement évolué vers un modèle basé sur le financement transactionnel, avec une baisse de la dépendance aux ressources du Groupe ».

Cette transformation, poursuit le communiqué, « s’est notamment faite à la faveur des changements exogènes, dont la baisse des cours du pétrole et des matières premières (entrainant la réduction des ressources en provenance des filiales sœurs) et le durcissement de la réglementation des changes dans la zone CEMAC notamment. La mise en application de sa stratégie, adossée sur le développement de la signature ainsi que des financements, a permis de générer un PNB en hausse significative, passant de 5 millions d’euros en 2015 à 13 millions d’euros en 2019. Après un résultat déficitaire en 2015, la banque enregistre un résultat net en amélioration progressive, qui s’établit à 3,3 millions d’euros en 2019. »

Le juge d’instruction au Tribunal criminel spécial du Cameroun, a retenu, contre Edgard Alain Mebe Ngo’o, ex-ministre de la Défense, les charges de détournement pour une somme globale de 20,37 milliards de FCFA. Son épouse a été également inculpée pour complicité.

Au Cameroun, le 26 août dernier, le juge d’instruction au Tribunal criminel spécial (TCS), Jean Betea, a rendu une ordonnance de non-lieu partiel et de renvoi devant le TCS concernant Edgard Alain Mebe Ngo’o, ancien ministre délégué à la présidence en charge de la Défense (Mindef), et ses coaccusés (dont son épouse), en détention provisoire depuis le 8 mars 2019.

Selon le site SBBC, au terme de l’information judiciaire, le juge d’instruction du TCS, tribunal compétent pour des affaires de détournements de derniers publics d’au moins 50 millions de FCFA, a jugé les charges de « délit d’initié » insuffisantes. Par contre, il a retenu les charges de détournement pour une somme globale de 20,37 milliards de FCFA contre l’ex-Mindef.

Selon le juge d’instruction, l’ancien membre du gouvernement aurait violé certaines dispositions du décret n° 2004/275 du 24 septembre 2004 portant Code des marchés publics dans la procédure de passation de plusieurs marchés de fourniture de matériels, équipements et prestations militaires avec la société chinoise Poly Technologies Inc. Ce qui aurait causé à l’État le préjudice d’un montant de 300 000 euros, soit 196,8 millions de FCFA. 

En outre, Jean Betea a retenu les chefs d’accusation de corruption, prise d’un intérêt dans un acte ; blanchiment aggravé de capitaux dont le montant avoisine 20 milliards de FCFA.

Son épouse Bernadette a été inculpée pour complicité de détournement de la somme totale de 5,23 milliards de FCFA. Elle est aussi poursuivie pour complicité de corruption, blanchiment de capitaux dont le montant avoisine 5 milliards de FCFA.

Dénonciations et interconnexions 

D’après le juge d’instruction, l’affaire a été déclenchée à partir d’un rapport de l’Agence nationale d’investigation financière (Anif) qui a signalé que, dans la période allant de 2009 à 2015, l’ex-Mindef et son épouse, assistante administrative chez l’électricien Eneo, se sont fait ouvrir plusieurs comptes dans différents établissements de crédit. Lesquels ont enregistré de nombreux mouvements de fonds sans lien avec les revenus de leurs activités respectives.

Selon l’ordonnance de renvoi, « une partie de ces sommes d’argent proviendrait des rétro-commissions versées par la société Mag Force International, une entreprise de droit français ayant son siège social à Saint Denis 93300 Aubervilliers, Paris, dont Robert Franchetti a été le principal dirigeant jusqu’en novembre 2014, date à laquelle François Gontier lui a succédé à la tête de cette structure ». À l’aide de cet argent, Mebe Ngo’o et son épouse auraient acquis d’importants biens mobiliers et immobiliers tant au Cameroun qu’à l’étranger.

Toujours selon la même source, au ministère de la Défense en particulier, sur la dizaine de milliards de FCFA inscrite au budget dans le cadre des crédits alloués à l’organisation de la fête nationale du 20-Mai, la moitié était affectée à l’achat des effets d’habillement militaires, notamment des bérets, des uniformes de travail et de cérémonie, des rangers et autres, tandis que l’autre moitié, débloquée en espèces auprès de la paierie générale du Trésor, était consacrée essentiellement au versement des primes en faveur des participants au défilé et aux repas de corps apprêtés par la société Limousine Prestige Services Sarl dont dame Mbe Ngo’o est la promotrice.

Société chinoise 

S’agissant du mémorandum d’entente conclu le 12 janvier 2011 entre le ministère de la Défense et la société chinoise, Poly Technologies Inc, il s’est agi d’une convention à travers laquelle la République populaire de Chine a équipé en matériels les armées de terre, air, mer, le corps national des sapeurs-pompiers et la gendarmerie, sur la base des besoins préalablement exprimés par chaque composante.

À la suite de ce mémorandum d’entente, un contrat commercial a été précédé de plusieurs phases de négociations au cours desquelles des responsables de la société chinoise ont offert « d’énormes libéralités et des cadeaux aux représentants de la partie camerounaise » dont Edgard Alain Mebe Ngo’o, selon le juge d’instruction.

Sur ce point, il est reproché à Edgard Alain Mebe Ngo’o d’avoir passé plusieurs marchés à Poly Technologies pour la fourniture de matériels « truffés d’irrégularités ». Notamment : la passation d’un marché sans avoir qualité pour le faire ou sans avoir reçu délégation à cet effet ; le fractionnement des marchés et l’inobservation des dispositions régissant la passation, l’exécution et le contrôle des marchés publics.

Pour tous ces chefs d’accusation, le couple Mebe Noo’o a chaque fois nié les faits rapportés par le juge d’instruction. Le procès proprement dit, lui, peut désormais s’ouvrir.

Sylvain Andzongo

Huit chefs d’accusations ont été retenus contre Léandre Nzue, maire de Libreville, écroué ce 15 septembre 2020 à la prison centrale de cette ville qu’il dirigeait depuis 2019.

D’après le procureur de la République près le Tribunal de première instance de Libreville, André Patrick Roponnat (photo), il a été inculpé pour association des malfaiteurs, détournement des deniers publics, blanchiment des capitaux, extorsion des fonds, concussion, corruption passive, chantage, faux usage de faux et complicité de faux.

Léandre Nzue a été incarcéré avec deux de ses collaborateurs. « Les intéressés, après leur inculpation par le juge d’instruction ont été placés sous mandat de dépôt à l’exception du chargé d’études, qui, bien qu’étant inculpé a été laissé en liberté provisoire. Signalons que des six personnes déférées, trois ont été mises hors de cause pour défaut de charges », a précisé le procureur de la République.

André Patrick Roponnat rassure que les droits des mis en cause ont été respectés. « Il n’y a pas eu d’actes de violence sur quiconque et l’Etat de santé du maire continuera de faire l’objet d’une attention particulière », assure-t-il.

Né à Libreville il y a 62 ans, Léandre Nzue a été interpellé le 11 septembre dernier et placé en détention. Aucune information officielle n’avait jusqu’ici été donnée sur les raisons de son inculpation. Avec sa déclaration sur cette affaire, le procureur de la République brise le silence et apporte des éclairages sur les raisons de la mise aux arrêts de l’édile de Libreville.

Sandrine Gaingne

BgfiBank Gabon a publié ce 15 septembre, un appel à la vigilance face à la recrudescence des activités frauduleuses en ligne depuis le début de la pandémie du coronavirus. « Plusieurs malfaiteurs n’hésitent pas utiliser tous les subterfuges possibles pour avoir accès aux données personnelles de leurs victimes. Ces derniers profitent de la brèche offerte par la crainte du coronavirus pour se faire passer pour des organismes caritatifs dans le but de demander aux internautes de cliquer sur des liens abritant très souvent des logiciels malveillants ou dirigeant vers de faux sites web qui collecteront leurs données confidentielles afin de les utiliser pour des activités frauduleuses », révèle la banque.

Pour faire face à cette situation, BgfiBank Gabon conseille, dès réception d’un courrier électronique d’un expéditeur connu ou inconnu, d’avoir systématiquement les réflexes suivants : éviter de cliquer sur les liens des e-mails non sollicités et ne pas ouvrir les pièces jointes ; utiliser des sources faibles, telles que des sites web légitimes du gouvernement, pour obtenir des informations actualisée et factuelles sur le Covid-19 ; ne pas divulguer d’informations personnelles ou financières par e-mail.

Par ailleurs, la banque invite à vérifier l’authenticité des organismes de bienfaisance avant de faire des dons. Sans oublier de se méfier des appels et messages liés à la crise pandémique en cours.

S.A.

Dr. Guy Patrick Obiang Ndong, ministre de la Santé publique a reçu ce 15 septembre 2020 en audience Philipe Autié, Ambassadeur de France. Les deux personnalités ont au cours de leurs échanges, convenu de la nécessité d’intensifier la coopération entre les deux pays dans le secteur sanitaire.

Cette volonté de renforcer la coopération est consécutive à la réussite des programmes sanitaires d’urgence mis en place par les autorités gabonaises depuis le mois de mars 2020.

Le diplomate français s’est félicité du succès de ce projet qui a permis la fourniture d’équipements médicaux, la formation du personnel médical. Avec notamment une soixantaine d’unités de réanimation enregistrées et installées dans les structures sanitaires du pays. 55 médecins assistant de réanimation et 100 paramédicaux de blocs opératoires ou de réanimation ont été formés à ce jour dans le cadre de ce projet.

Par ailleurs, Philipe Autié a souligné le leadership du président de la République et du gouvernement dans le cadre la gestion de la crise sanitaire liée à la Covid-19 qui est appréciée au-delà des frontières gabonaises et même africaines.

Dans la bataille contre le coronavirus, le projet d’appui au secteur de la santé phase 2 (PASS 2), programme public piloté par le ministère de la santé gabonais et accompagné par l’Agence française de Développement (AFD), n’a pas été en reste. Il a permis de renforcer l’information sur les gestes barrières et les bonnes pratiques à adopter pour ralentir l’épidémie.

Le Gabon et la France entretiennent une relation marquée par des échanges étroits dans divers secteurs. Le pays européen est le premier fournisseur du Gabon devant la Belgique et la Chine. Selon les données de la Banque de France, les stocks d’investissements français dans le pays s'élèvaient à 889 M€ en 2019.

Sandrine Gaingne

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