Le Nouveau Gabon

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En poste depuis le 12 mars 2019, Gregory Laccruche Alihanga (photo), le nouvel édile de la Commune d’Akanda décline ses grandes ambitions pour cette circonscription administrative, située au nord de la ville de Libreville. Economie de cet entretien…

Le Nouveau Gabon : Monsieur le Maire, quels sont les grands axes de votre feuille de route à la Commune d’Akanda ?

Gregory Laccruche Alihanga : Merci de m’accorder cet entretien. En effet, nous allons placer notre action publique autour de la proximité. C’est-à-dire, les maires que nous sommes et le conseil municipal se doivent d’être plus proches des populations. Ils se doivent également, d’être le relais efficace de l’action gouvernementale. Pour ce faire, nous inscrivons le bien-être de nos administrés, au cœur de notre gouvernance. En outre, vous n’êtes pas sans savoir qu’une action publique correcte est celle qui est orientée avant tout vers les populations. Nous nous engageons donc pour des actions qui ont un impact direct et de manière inclusive sur les populations.

Vous avez été reçu récemment par le chef de l’Etat, au même titre que plusieurs de vos collègues à travers le pays. Est-ce qu’il vous a été prescrit une feuille de route particulière, notamment pour vous à la mairie d’Akanda ?

Effectivement, nous avons été reçus par le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba. C’est-à-dire les maires des communes de Libreville, Owendo et d’Akanda et des neuf autres capitales provinciales du pays. Le message du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba avait deux principales leçons. La première consistait en une orientation des politiques publiques à se servir davantage des relais sociaux que nous constitutions. Tandis que la seconde était une recommandation d’être beaucoup plus à l’écoute des populations. Ce, du fait que nous sommes dans une conjoncture économique particulièrement difficile. Et qu’en dépit de cette situation, nous puissions répondre positivement aux besoins des populations. C’est-à-dire, en posant des actes concrets pour leur bien-être.

Quels sont les principaux chantiers qui vous attendent ?

Nos engagements sont axés sur les services sociaux de base, tels que : l’accès à l’eau potable, l’accès au logement, la santé, les voiries, l’éclairages urbain et bien d’autres. Bref, c’est la fourniture de tous ces besoins de base qui doit guider notre action, à travers des solutions concrètes. Cela rejoint d’ailleurs la déclinaison faite par le chef de l’Etat l’autre jour, et qui nous incombe de traduire en actes concrets.

Au niveau d’Akanda le dispositif mis en place peut-il vous permettre d’atteindre ces objectifs ?

En ce qui nous concerne, à la mairie d’Akanda, nous sommes déjà sur cette longueur d’ondes. Car, nous avons initié un certain nombre de projets allant dans ce sens et qui sont intégrés pour certains dans le timing de nos 100 premiers jours.

Sans la mise en application de loi sur la décentralisation, pensez-vous réellement atteindre vos objectifs ?

Effectivement, la décentralisation est un problème auquel toutes les communes du pays font face. Nous souhaitons qu’elle soit être accélérée. D’ailleurs à ce propos, le chef de l’Etat, nous a rassurés sur l’aboutissement de ce processus.

Comment allez-vous financer vos projets ?

Effectivement, les budgets d’investissements sont amoindris. Mais il nous revient, en tant que managers de la cité, de trouver des mécanismes et des solutions de financement innovants. Nous envisageons à cet effet, des options telles que des Partenariats publics-privés (PPP), pour pouvoir réaliser nos investissements. Il est donc de plus que jamais question d’arrêter d’attendre tout de l’Etat central.

Avez-vous déjà initié un schéma allant dans ce cadre ?

Un exemple très concert que je m’en vais vous annoncer et qui devrait aboutir dans un avenir très proche, c’est celui d’un partenariat avec un opérateur de transport publics pour la commune d’Akanda. Sur fonds propres, une société va assurer le transport public dans notre commune. Dans ce cas précis, la mairie va jouer un rôle de régulateur, pour s’assurer que les tarifs pratiqués par l’opérateur soient accessibles à tous.

Envisagez-vous également des hypothèses de jumelage avec d’autres cités à travers le monde ?

Nous avons commencé à regarder ces hypothèses de jumelages avec d’autres cités que ce soit Sud-Sud ou Nord-Sud. En tout cas, nous ne sommes pas fermés à la discussion. Mais en réalité, le dossier est en étude, notamment pour examiner la faisabilité ainsi que les avantages à en tirer réciproquement. Mais laissez-moi vous dire que certains pays européens et même asiatiques seraient d’ores et déjà intéressés par l’initiative. Le moment venu, je vous communiquerais les conclusions finales.

Quels sont les rapports que vous entretenez avec les communes de Libreville, d’Owendo et bien d’autres grandes vile du pays ?

C’est vrai, ces communes à juste titre, ont plus d’expérience que nous. Maintenant, moi je suis un jeune maire au même titre que la commune d’Akanda, nous allons nous rapprocher de ces autres municipalités pour voir dans quelle mesure, elles peuvent nous apporter leur expertise et tabler sur un partage d’initiatives concluantes. En réalité, ce serait intéressant pour nous d’avoir une coopération entre les mairies de Libreville, d’Owendo et d’Akanda. Car, notre proximité devrait constituer un atout essentiel pour notre développement commun.

Quelle est la singularité de la commune d’Akanda par rapport aux autres communes du pays ?

Akanda, lors de sa création avait été baptisée la ‘’Ville dans le parc’’. C’est une idée du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba qui envisage de faire de cette commune, une ville au sein du parc. Ce concept renvoie et englobe plusieurs notions de développement durable, d’écoresponsabilités qui sont hautement importants pour notre commune. Car, nous avons des zones tampons, un parc national, et bien d’autres aspects du développement durable qui nous confèrent ce statut à juste titre.

Alors, comment allez-vous mettre à profit ce riche profil ?

Sur cet aspect, nous avons plusieurs projets que nous allons engager avec les responsables et les gestionnaires de ces domaines. Mais, il convient tout de même de signaler que le parc qui constitue une économie primordiale de la commune d’Akanda devrait faire partie de l’univers des populations. A l’heure actuelle, nous avons certaines populations qui ont besoin d’accéder à ces terres et zones agricoles. Des discussions sont envisagées dans ce sens, pour que l’on puisse totalement intégrer le parc dans la cité. Dans tous les cas, le développement durable est hautement important pour nous. A cet effet, nous ambitionnons faire d’Akanda, le site pilote du développement durable du Gabon. Notamment avec le traitement et le recyclage des déchets.

Comment se passe la gestion de la cité avec les autres conseillers qui ne sont pas du même bord politique que vous ?

La stratégie est toute simple. Notre mode de gouvernance repose sur la communication et l’intégration. A partir du moment où nous discutons avec les gens, et qu’on leur explique la vision, le bien-fondé de celle-ci, au bénéfice des administrés, il n’y a pas de problèmes. En outre, toutes les personnes qui ont été élues au sein de notre conseil, représentent l’électorat local et les populations, militent pour le bien être de ces dernières.

Quel est votre rêve pour la commune d’Akanda ?

Mon rêve pour Akanda est simple. Faire de cette commune, une cité en pleine mutation et qui évolue avec son temps. Evidement pour moi, Akanda doit rester une cité dans le parc et se détacher de son image de cité dortoir. Une cité où l’on trouve de l’emploi, où l’on a une vie et un dynamisme économique, une cité cosmopolite, où chacun trouve sa place. Et enfin, une cité bannie de toute forme de clivages ethniques, sociaux ou raciaux.

Un mot à l’endroit de vos administrés

Ce que je voudrais envoyer comme message à mes administrés, c’est ce que le conseil est là pour eux. Nous sommes à leur disposition. Nous ferons tout pour mettre en œuvre, la politique du gouvernement, et accélérer la transformation de leur commune. Mais ce travail ne se fera pas seulement par nous, mais avec eux aussi. Ils doivent dans ce cadre, régulièrement se rapprocher de nous pour un dialogue permanent et constructif.

Propos recueillis par Stéphane Billé

Le 1er mai 2019, lors de la célébration de la fête du Travail, la direction générale de la Caisse de stabilisation et de péréquation (Caistab) a annoncé le lancement de la phase de commercialisation du café d’Alanga. Elle se fera le 6 mai prochain.

Cette marque inaugurée en 2018 par le chef de l’État gabonais, Ali Bongo Ondimba, est le fruit de la réhabilitation du bloc agro-industriel de café d’Alanga qui, autrefois, couvrait une superficie de 170 hectares.

Après plusieurs années d’abandon, la Caistab a repris l’exploitation de ce patrimoine national sur une superficie de 40 hectares avec pour objectif de développer à terme 80 hectares de ladite plantation de café.

Médaillé d’or du 4e concours international des cafés torréfiés lors du salon international de l’alimentation organisé à Paris en octobre 2018, par l’Agence de valorisation des produits agricoles, le café d’Alanga est déjà, selon la Caistab, très prisée dans nombre de pays d’Occident, d’Asie et d’Afrique. Aussi doit-il amorcer sa phase de commercialisation au niveau local après la phase promotionnelle qui a duré d’avril à décembre 2018.

La Caistab vise également après le lancement du 6 mai prochain, un référencement à l’international afin d’assoir la notoriété de la marque.  

PcA

vendredi, 03 mai 2019 12:13

Le Gabon invité à la Ticad 7 au Japon

Ce 2 mai 2019, l’ambassadeur du Japon au Gabon a été reçu en audience par le Premier ministre (PM). À l’occasion, Masaaki Sati a remis Julien Nkoghe Bekale, le carton d’invitation du Gabon à la septième édition de la Conférence internationale sur le développement de l’Afrique (Ticad 7) qui se tiendra au mois d’août prochain.

Au cours de cette audience, le diplomate nippon a également indiqué que son pays souhaite en outre, que Libreville prenne part aux festivités relatives à l’intronisation du nouvel empereur du Japon.

En guise de réponse, le PM a fait savoir à son interlocuteur que ces deux sollicitations seront examinées par le gouvernement qui se fera ensuite le devoir, d’informer la partie japonaise des décisions arrêtées.

Stéphane Billé avec la Primature

 

La Guinée Équatoriale est, selon Teodoro Obiang Nguema, chef de l’État de ce pays, « sur le point culminant de sa marche vers le développement intégral ». Car, avec l’exploitation pétrolière, le pays a réalisé d’importants progrès.

« Nous sommes tous témoins des profondes mutations économiques et sociales que la Guinée Équatoriale a subies depuis le milieu des années 90 », renchérit le Gabonais Daniel Ona Ondo, président de la Commission de la Cemac. Tous se sont exprimés à l’ouverture de la 3e Conférence économique nationale (III CEN) tenue le 2 mai 2019, à Malabo.

Mais du fait du retournement brutal et non anticipé des cours du pétrole en 2014, nuance le président de la Commission de la Cemac, cet élan s’est estompé. D’où, précise Ona Ondo, l’urgence d’accroître la résilience de l’économie. Une perspective qui doit s’adosser sur la promotion de l’intégration régionale question de transformer de manière efficace les économies des six États de la sous-région.

Les autorités estiment que l’exploitation du pétrole a profondément transformé la Guinée Équatoriale, dans les domaines des infrastructures, de l’énergie, de l’eau potable, de l’accès à la santé et à l’éducation, mais elles notent encore des insuffisances.  

PcA

 

Le Premier ministre a présidé une réunion ans son cabinet le 2 mai 2019. À l’ordre du jour : l’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures visant à accroitre la mobilisation des ressources intérieures. Avec les membres du gouvernement, Julien Nkoghe Bekale (photo) a passé en revue le niveau d’implémentation de ces mesures ainsi que les problèmes auxquels se heurte leur application efficace.

«Il ne s’agit pas de changer le système de collecte actuelle, mais plutôt de réorganiser les structures afin qu’elles soient davantage productives pour, au final, avoir de moins en moins recours aux emprunts», explique le ministre de l’Économie. Jean-Marie Ogandaga, a fait cette précision afin que les administrations concernées ne s’égarent de leurs missions et affinent leur stratégie pour éviter au pays le spectre du surendettement.

Collecter plus et mieux, débusquer les niches fiscales, élargir la base des contribuables en invitant les indécis et indisciplinés à s’investir dans l’effort de solidarité nationale : telle est la colonne vertébrale de la stratégie gouvernementale d’accroissement des ressources internes visant à limiter le recours intempestif aux emprunts.

Ceci doit aussi se faire dans le respect des engagements régaliens et financiers du gouvernement. C’est pourquoi le chef du gouvernement a donné des orientations pour la poursuite et l’achèvement des chantiers ouverts partout dans le pays.

La direction du Trésor doit pour cela, d’après le Premier ministre, trouver des moyens financiers conséquents pour mobiliser les ressources afin d’atteindre les objectifs escomptés.

PcA

Source: secrétariat général du gouvernement

Dans un communiqué, daté du 2 mai 2019, le ministre gabonais du Pétrole, du Gaz et des Hydrocarbures, Pascal Houangni Ambouroue (photo), réagit vivement au sujet des prétendues injonctions que le Fonds monétaire international (FMI) aurait données pour exiger la liquidation de Gabon Oil Company (GOC) et de la Société gabonaise de raffinage (Sogara), relayées par certains médias. Selon les termes dudit communiqué, «Le FMI n’a jamais donné d’injonctions au gouvernement de liquider la GOC ou la Sogara ».

Au contraire, souligne Pascal Houangni Ambouroue, lors des échanges avec la délégation du FMI, le 30 avril dernier, ses hôtes ont apprécié et salué les réformes structurelles engagées par le gouvernement et notamment dans son département ministériel. « Il convient de rappeler à toutes fins utiles que le FMI n’a pas vocation à se substituer à un État, mais à accompagner les États vers un développement inclusif par les politiques publiques porteuses de croissance », précise le ministre gabonais du Pétrole, du Gaz et des Hydrocarbures.

En d’autres termes poursuit-il, « les rumeurs relayées sur une supposée liquidation de la GOC et de la Sogara ne relèvent pas du cahier de charges du FMI. Autrement dit, ces allégations constituent tout simplement de l’intox relayée sur les réseaux sociaux ».

Au terme dudit communiqué, Pascal Houangni Ambouroue lance, à l’endroit de certains médias, un appel à « la conscience professionnelle, l’éthique et la déontologie dans le traitement de certaines informations stratégiques et souveraines pour l’État».

Stéphane Billé

Au terme d’une mission de six jours en terre gabonaise, la délégation du Fonds monétaire internationale (FMI), conduite par Boileau Yeyinou Loko, s’est dite satisfaite des performances économiques du pays au regard des progrès significatifs dans son Plan de relance de l’économie (PRE).

« Nous sommes venus faire le point sur la situation macroéconomique du Gabon et sur les programmes conclus entre le Gabon et le FMI. Il y a des progrès importants qui ont été réalisés, mais beaucoup reste à faire afin que les populations ressentent davantage les fruits des efforts consentis par le pays », explique Boileau Yeyinou Loko.

« L’action du FMI se résume en trois axes, à savoir : apporter le financement, offrir une assistance technique par l’entremise d’un appui aux administrations concernées par le programme et enfin jouer un rôle de conseil au profit des pays », précise-t-il.

Côté gouvernemental, l’on affirme tout mettre en œuvre pour un suivi efficient du programme avec le FMI. Une démarche qui vise à stabiliser davantage les paramètres macroéconomiques du Gabon.

Cette mission, qui s’est déroulée du 24 au 30 avril 2019, s’inscrit dans le cadre du suivi de l’accord au titre du mécanisme élargi de crédit (Mecd) signé avec le FMI, le 19 juin 2017. Durant son séjour, la délégation du Fonds a eu de nombreux échanges avec les autorités gabonaises (le ministre d’État en charge du Budget, Jean Fidèle Otandault, le ministre de l’Économie, Jean Marie Ogandaga et celui du Pétrole et des Hydrocarbures, Pascal Houangni Ambouroue...).

Stéphane Billé

Le lancement des activités d’immatriculation des navires sous pavillon gabonais aux Émirats Arabes Unis, en avril dernier, va induire l’avènement de nouveaux métiers connexes à l’exercice de cette activité. 

C’est dans cette optique qu’Abou Dabi, dans le cadre du volet social de l’accord sur les activités du registre international gabonais des navires, assure la formation de quatre Gabonais chaque année, ceci pendant 10 ans, aux métiers connexes d’immatriculation des navires dans les instituts spécialisés de ce pays.

Il s’agit notamment du personnel devant constituer les effectifs du corps des inspecteurs de la sécurité des navires et une autre batterie de métiers devant permettre au Gabon de mener lui-même les activités liées au développement de l’économie maritime.

PcA

Dans le cadre de la revue de l’accord sur le mécanisme élargi de crédit, Boileau Yeyinou Loko, le chef de mission du Fonds monétaire international (FMI) au Gabon, a eu une séance de travail, le 30 avril dernier, avec Pascal Houangni Ambouroue, le ministre du Pétrole, des Hydrocarbures et du Gaz.

L’objectif visait à faire l’état des lieux de la situation macroéconomique du Gabon en général et celle du ministère du Pétrole en particulier pour le compte de l’exercice 2018. Il était aussi question de baliser les perspectives 2019 en matière d’investissement et de production pétrolière. Un secteur qui pèse près de 80 % des exportations du pays et 25 % de son produit intérieur brut.

Si l’impact de la crise pétrolière est resté perceptible dans l’économie du pays, les autorités comptent tirer avantage de la mise en route du nouveau code des hydrocarbures lors de l’exercice 2019. Avec l’entrée en vigueur de ce nouveau code, le pays espère accueillir davantage d’investisseurs. La nouvelle loi pétrolière gabonaise se veut, en effet, très attractive. Elle offre beaucoup plus d’avantages aux entreprises du secteur.

PcA

 

 

 

 

 

Le 29 avril 2019, Justin Ndoundangoye, le ministre gabonais des Transports et de la Logistique a reçu en audience Muhammad Ayaz, le directeur exécutif de Jumpur Group. Fin avril dernier, le groupe émirati a pris l’engagement d’accompagner le pays dans le développement de l’économie maritime à Dubaï en marge des activités d’immatriculation des navires sous pavillon gabonais.

 

Muhammad Ayaz est donc venu au Gabon en vue de mener une étude relative à la construction des quais passagers et frets à Libreville, Port-Gentil et Ndjolé, pour le compte de la Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale (CNNII).

 

Le directeur général du groupe émirati, dont l’expertise est mondialement reconnue dans la réhabilitation des bateaux, a d’ailleurs visité la voie fluviale Port-Gentil-Ndjolé-Lambaréné dans la perspective de désengorger ce linéaire et d’y construire des stations maritimes et des quais minéraliers.

 

«Ce groupe ambitionne non seulement de faire dans le transport des biens et personnes, mais également dans le transport des produits de carrière, de minerais, des hydrocarbures ainsi que des grumes par voie d’eau», explique le ministre des Transports et de la logistique, Justin Ndoundangoye.

 

Une mission conjointe à Moscou en Russie est annoncée. Elle a pour objectif d’inspecter le premier bateau qui sera mis à la disposition de la CNNII par le groupe Jampur.

 

PcA

 

 

 

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