Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Le Gabon s’apprête à déclencher une opération contre l’immigration illégale, en procédant à des expulsions des étrangers en situation irrégulière. Le 22 juin, le ministère des Affaires étrangères a informé les missions diplomatiques accréditées dans le pays que les forces de défense et de sécurité lanceront, « dans les prochains jours », une « vaste opération de contrôle des titres de séjour » des étrangers séjournant irrégulièrement sur le territoire gabonais.

Le ministère précise que cette opération se soldera par le rapatriement des étrangers qui seront interpellés pour défaut de carte de séjour. À cet effet, il est demandé à ces missions diplomatiques de « faciliter toutes les démarches administratives qui seront entreprises par la Direction générale de la documentation et de l’immigration visant à reconduire, vers leurs pays d’origine, les personnes en situation irrégulière ».

La loi du 18 juin 1986 fixant le régime d’admission et de séjour des étrangers au Gabon dispos que tout étranger est tenu de quitter le territoire national à l’expiration du délai de séjour qui lui est accordé. Cette loi précise que « sera refoulé et passible d’une amende de 250 000 à 500 000 FCFA, tout étranger qui n’aura pas quitté le territoire national à l’expiration du délai de séjour accordé ». La Direction générale de la documentation et de l’immigration (DGDI), qui est notamment chargée de recueillir et de centraliser toutes les informations sur la sécurité du territoire, dit avoir constaté que des ressortissants étrangers bénéficiant d’un visa court séjour décident de s’installer définitivement au Gabon, sans autorisation préalable de sa part.

Cette décision du ministère des Affaires étrangères intervient à la veille des élections générales (présidentielle, législatives et locales) qui se tiendront le 26 août prochain dans le pays. Le conseil des ministres du 26 juin, présidé par le chef de l’État gabonais Ali Bongo Ondimba, a confirmé par décret le calendrier électoral rendu public dimanche dernier par le Centre gabonais des élections (CGE).

P.N.N.

Lire aussi :

Les élections présidentielles, législatives et locales programmées le 26 août 2023 au Gabon

La Fédération gabonaise des courtiers d’assurance (FGCA) a un nouveau président en la personne de Désiré Ngoa Mboulou. Élu le 2 juin dernier, il remplace à ce poste Alain Michel Massoussou qui occupait cette fonction depuis 2010.

Pour la promotion et le développement du courtage en assurance au Gabon, Désiré Ngoa Mboulou compte s’inscrire dans la continuité de son prédécesseur. « Notre feuille de route est la suite de l’œuvre déjà entreprise. Il s’agira de mettre un frein à la course effrénée au chiffre d’affaires pour les compagnies et les courtiers avec pour conséquence immédiate la baisse du chiffre d’affaires du marché. La FGCA va militer activement pour un retour des techniques de tarification des assurances plus appliquées. Il s’agira aussi de favoriser la cadence des règlements des sinistres en respectant les dispositions de l’article 13 du code CIMA (Conférence interafricaine des marchés financiers) », affirme-t-il.

De manière spécifique, il s’agit « pour les membres de la FGCA de reverser dans les délais fixés les primes collectées aux assureurs. En contrepartie, les assureurs devront verser les commissions aux courtiers », explique-t-il. Parmi ses priorités, il compte également œuvrer pour le respect de l’éthique entre confrères du marché des intermédiaires, et militer pour la mise en place des nouveaux produits ainsi qu’élargir la liste des assurances obligatoires. Désiré Ngoa Mboulou se donne également pour mission de susciter de nouvelles adhésions à la FGCA des courtiers et intermédiaires du marché.

Le nouveau président de la FGCA a été présenté à la Fédération gabonaise des sociétés d’assurances (Fegasa) le 23 juin dernier et n’est pas un inconnu du secteur gabonais des assurances. Désiré Ngoa Mboulou a travaillé au sein de plusieurs entreprises dans le secteur au Gabon. Il a notamment été responsable du service sinistre et responsable commercial au sein de la compagnie d’assurance Saham de 2006 à 2013. Puis, il a intégré la Société commerciale gabonaise de réassurance (SCG Ré). Ici, il a été chef de service administration et moyens généraux, chef de département administration et ressources humaines avant de rejoindre le cabinet H&H Brokers and consulting comme directeur général. Une expérience professionnelle qui lui sera utile dans à la tête de la Fédération.

Rappelons que les sociétés de courtage en assurance ou des courtiers en assurance sont des intermédiaires entre les assurés et les compagnies d’assurance. Elles ont une mission de conseil et de recherche des meilleures solutions d’assurance adaptées au profil de l’assuré et à ses besoins.

Sandrine Gaingne

Lire aussi :

Assurance : 11 sociétés de courtage interdites d’exercer sur le marché gabonais

Le Gabon suspend l’agrément de la société de courtage ACAF Assurances

Au cours du premier trimestre 2023, l’activité du transport a enregistré une baisse de performances de 9,2% par rapport au trimestre précédent, selon la note de conjoncture du ministère de l’Économie. Une baisse d’activité qui s’explique principalement par les performances du transport ferroviaire et aérien.

De manière détaillée, l’activité du transport aérien, mesurée par son indice du nombre de passagers, a enregistré une baisse de 5,1% au premier trimestre par rapport au trimestre précédent. Comme l’explique le ministère de l’Économie, « l’activité a été lestée par la hausse des prix des billets, décidée à la suite de l’augmentation du prix du kérosène, mais également de la taxe aéroportuaire de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna) ».

1 Activite

S’agissant du transport ferroviaire, l’activité s’est repliée de 10,2% à la fin du premier trimestre 2023 par rapport au trimestre précédent. Cette évolution négative est liée à l’impact de l’interruption du trafic intervenue à partir du 24 décembre 2022 en raison de la rupture de la voie ferrée. En effet, après quelques semaines d’arrêt, le trafic marchandises s’est normalisé à partir du mois de février 2023. Concernant le trafic passager, celui-ci a très peu fonctionné au cours du premier trimestre, compte tenu des nombreux incidents techniques sur le Transgabonais. Et jusqu’à ce jour, le transport des passagers demeure suspendu sur le Transgabonais.

SG

Lire aussi :

Transport aérien : la Beac entrevoit une baisse d’activité dans le secteur au 1er trimestre 2023

Marc Gaffajoli, l'ADG d’Afrijet explique la hausse des prix des billets d’avion

ZIS de Nkok : avec la zone logistique multimodale, le Gabon veut améliorer le transport des marchandises

Transport ferroviaire : après de nouveaux accidents, la Setrag suspend une nouvelle fois le trafic

Dans la continuité du quatrième trimestre 2022, la production de manganèse au premier trimestre 2023 au Gabon a chuté de 29,7 % en glissement trimestriel, selon la dernière note de conjoncture du ministère de l’Économie. Elle s’établit à plus de 1,7 million de tonnes au premier trimestre 2023 contre 2,4 millions de tonnes au quatrième trimestre 2022 et 2,8 millions de tonnes au troisième trimestre 2022. Soit une baisse de 14 % entre les deux derniers trimestres de l’année 2022.

D’après le ministère de l’Économie, cette baisse a été favorisée par la perturbation du transport des marchandises, née de la rupture de la voie ferrée intervenue le 24 décembre 2022. Une situation qui « a obligé les opérateurs situés au-delà du lieu de l’incident à baisser très fortement leur activité, faute de pouvoir évacuer le minerai. Cet accident est venu exacerber une situation déjà marquée par une pénurie de carburant et une faible disponibilité de wagons pour l’évacuation du minerai », justifie le ministère de l’Économie. De plus, l’achèvement de certains chantiers prioritaires contenus dans le plan d’accélération de la transformation et le ralentissement d’autres ont contrarié la bonne orientation de l’économie nationale, soutient-on.

Dans la même mouvance, les exportations de manganèse ont également baissé au cours de cette période. En effet, au cours du premier trimestre 2023, le Gabon a exporté plus de 2 millions de tonnes de manganèse contre 2,5 millions de tonnes au quatrième trimestre 2022.

1 Evolution

Des performances qui ont également impacté le chiffre d’affaires du secteur qui est en baisse au premier trimestre 2023. Soit de 177,7 milliards de FCFA contre 217 milliards de FCFA au quatrième trimestre 2022 et 231,5 milliards de FCFA au premier trimestre 2022.

À la fin de cette année et au cours des années à venir, le Gabon espère accroître ces chiffres et porter sa production de ce minerai à 11,11 millions de tonnes de manganèse.

Sandrine Gaingne

Lire aussi:

Manganèse : Comilog produit 7,5 millions de tonnes pour un bénéfice de 197 milliards de FCFA, en hausse de 121 % en 2022

Manganèse : la production gabonaise chute 14 % au 4e trimestre 2022, pénalisée par la pénurie de carburant

À Luanda en Angola, le président gabonais Ali Bongo Ondimba a promis, mardi 27 juin, une aide à la République démocratique du Congo (RDC) évaluée à plus de 300 millions de FCFA (500 000 dollars). Cette enveloppe représente la contribution du Gabon aux « efforts de paix dans l’Est de la RDC » en proie à l’insécurité, indique la présidence gabonaise dans un communiqué publié mercredi 28 juin.

Le chef de l’État gabonais a fait cette annonce lors d’un sommet quadripartite sur la coordination et l’harmonisation des réponses régionales au conflit dans cette partie de la RDC. Au nom de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (Ceeac) dont il est le président en exercice, Ali Bongo Ondimba a appelé à une mutualisation des efforts pour que, face aux « défis multiformes » de l’Afrique, la résolution de la situation d’insécurité dans l’Est de la RDC soit effective.

Il s’est également félicité des différentes initiatives mises en œuvre pour l’ouverture des perspectives favorables à la pacification durable de cette partie de la RDC. Ce sommet quadripartite a réuni les États membres de quatre organisations sous-régionales, à savoir : la Ceeac, la Communauté d’Afrique de l’Est (CAE), la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (Cirgl).

À l’issue des travaux conduits par le président angolais, João Lourenço, toutes les parties ont adopté le cadre conjoint de la Ceeac, de la CAE, de la SADC, de la Cirgl et des Nations Unies pour la coordination des initiatives de paix dans l’est de la RDC, sous les auspices de l’Union africaine (UA). « Ce cadre harmonise les différentes initiatives du sommet quadripartite et est assorti d’une répartition des responsabilités et d’un calendrier arrêté pour chacune des parties », précise la présidence de la République gabonaise.

P.N.N

Lire aussi:

Luanda : le président Ali Bongo Ondimba attendu à un sommet sur la situation sécuritaire dans l’est de la RDC

Le groupe minier australien Fortescue Metals a déclaré qu’il allait procéder à l’expédition des premières tonnes de minerai de fer de haute qualité du projet Belinga au Gabon à la fin de cette année. « Premiers minerais chargés sur le train. En bonne voie pour la première expédition d’ici fin 2023 », écrit la compagnie dans une présentation faite lors de la 26e édition du World Mining Congress (WMC) qui se referme ce 29 juin à Brisbane (Australie), et que Le Nouveau Gabon a consultée.

Cette première cargaison est un jalon important dans la stratégie de Fortescue Metals qui doit le conduire à produire 2 millions de tonnes de fer par an. Le 7 février 2023, le Gabon a signé avec Ivindo Iron SA, une coentreprise détenue à 80 % par Fortescue Metals, une convention minière en vue de l’exploitation du fer de Belinga dans la province de l’Ogooué Ivindo. Le géant minier australien indique qu’il s’agit d’un gisement d’un potentiel de plusieurs milliards de tonnes, avec des teneurs élevées en fer.

La mine de fer de Belinga, située dans le nord-est du Gabon, est en effet présentée comme l’un des plus grands gisements d’hématite à haute teneur non développés au monde. « Belinga est important en termes de création de valeur, car chaque indication dont nous disposons montre que le projet a le potentiel d’être à grande échelle et de très haute qualité », a déclaré la directrice de Fortescue Metals, Fiona Hick, au World Mining Congress le 27 juin dernier. Le groupe a prévu d’investir 200 millions de dollars sur la période 2023-2024 pour développer ce gisement de fer découvert en 1955.

Patricia Ngo Ngouem

Lire aussi:

Services miniers : le Britannique Capital obtient un nouveau contrat à la mine de fer de Belinga au Gabon

Fer de Belinga : Le début de l’exploitation annoncé pour le second semestre 2023

Le groupe bancaire gabonais BGFIBank dans un communiqué rendu public le 27 juin 2023, affirme qu’elle n’a subi aucune cyberattaque au sein de sa filiale de la République démocratique du Congo (RDC). Ce démenti fait suite aux informations publiées dans certains médias et qui alléguaient que la banque a été victime le 21 juin 2023, d’une cyberattaque de la part du groupe de cybercriminels Bianlian. Une attaque qui a notamment mis en danger la sécurité des données sensibles de la banque d’après ces médias.

« Après vérifications et enquêtes internes en collaboration avec nos équipes de sécurité́ informatique du Groupe, nous tenons (…) à rassurer l’ensemble de nos parties prenantes — filiales, collaborateurs, actionnaires, fournisseurs, clients, partenaires… — que ces allégations, du reste malveillantes — demeurent totalement infondées et diffamatoires », a indiqué l’entreprise dans son communiqué.

BGFIBank rassure par ailleurs que son « système bancaire fonctionne correctement à ce jour. La sécurité́ des informations et données clients, ainsi que la qualité́ des services font l’objet de contrôles permanents pour garantir la confidentialité́, la sûreté et l’intégrité́ des données et informations de nos parties prenantes », poursuit la banque. Le groupe bancaire soutient aussi qu’il se réserve le droit d’engager des actions légales contre toutes tentatives d’actes « malveillants et diffamatoires » à son endroit.

Tout de même, il faut dire que les cyberattaques sont régulières dans les banques en Afrique. Une situation exacerbée par la digitalisation des activités bancaires. La Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Gabon (BICIG) en a été victime le 10 mai 2020. Au cours de cette attaque, les hackeurs avaient pu dérober plus de 113 millions de FCFA aux clients de la banque.

Alors, au vu des dégâts que causent chaque jour les cybercriminels dans les banques, les experts recommandent à ce secteur d’investir davantage dans sa cybersécurité. Il est aussi important selon les spécialistes, de former le personnel régulièrement en sécurité informatique, afin de rendre leurs personnels plus compétents.

SG

Lire aussi:

Dimitri Ndjebi, nouveau directeur général de BGFIBank Gabon

BGFIBank Gabon : Loukoumanou Waidi, le directeur général démissionne après 4 années à la tête de la filiale

Le groupe BGFIBank revendique un bénéfice de 62 milliards de FCFA en 2022, en hausse de 35 %

Les perturbations enregistrées dans la fourniture de l’eau potable devenues récurrentes ces derniers temps dans le Grand Libreville sont « consécutives à la baisse saisonnière du niveau de la rivière Nzémé qui alimente la station de production de Ntoum », explique la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) dans un communiqué.

Face à cette situation, la SEEG a mis en place un programme d’alimentation alternée d’eau potable dans les quartiers affectés. Il s’agit selon la SEEG, d’un planning quotidien, prévisionnel qui sera évolutif en fonction des contraintes d’exploitation. Les quartiers touchés sont entre autres, Okala (Nord,Sud,Mikolongo), Alibandeng, Ambowe, Bel-­Air, Louis, Dragon, Kinguélé, Belle vue 1, Glass, London, Toulon, Baraka, Plaine-­Niger, Bissegué, Mindoube 2, Beausejour, Cité Damas, Soduco, Ondogo, Awoungou et Alénakiri, Avorbam, Angondjé, etc.

Cependant, au-delà de ces perturbations enregistrées ces dernières semaines, la desserte en eau potable est un problème récurrent que vivent les populations du Grand Libreville depuis plusieurs années déjà. Et celles-ci n’ont de cesse de se plaindre de cette situation qui ne trouve pas de réelles solutions malgré les projets en cours dans le Grand Libreville pour remédier à ce problème. Parmi ces projets, le Programme intégré pour l’alimentation en eau potable et l’assainissement de Libreville (Piaepal) qui permettra à 349 000 personnes supplémentaires de bénéficier d’une eau potable à l’horizon 2025 selon les prévisions.

SG

Lire aussi:

Eau/Électricité : la SEEG annonce la fermeture de ses agences commerciales en raison de la clôture comptable semestrielle

Eau et électricité : jusqu’ici gérés par la SEEG, le Parlement acte la séparation des services publics desdits secteurs

La Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) restera sous administration provisoire jusqu’au mois de janvier 2024. Le conseil des ministres réuni le 26 juin dernier qui a en effet décidé de proroger de six mois l’administration provisoire de cet établissement pour une durée de six mois supplémentaires.

Par ailleurs, le mandat de l’administrateur provisoire de cette structure qu’est Christophe Eyi et de son équipe est prolongé à la tête de cette institution. La CNSS avait été placée sous administration provisoire pour une période de 12 mois le 7 juin 2022 et Christophe Eyi avait été nommé comme administrateur avec pour mission de redresser et réformer la structure en pleine crise, et qui avait de la peine à payer les pensions de retraite et les salaires de ses employés dans les délais.

Un an plus tard, les avis sont mitigés quant à la gestion de la CNSS. Si pour certains, le bilan de l’administrateur provisoire et de son équipe est « très positif », pour des syndicats de la caisse, beaucoup restent encore à faire pour parvenir à résoudre les difficultés auxquelles fait face la CNSS.

SG

Lire aussi:

Arriérés des pensions de retraite : près de 5000 retraités passent à la caisse dès ce 24 janvier 2023

La CNSS promet de supprimer les pénalités des employeurs débiteurs qui vont s’acquitter de leur dette d’ici 30 jours

Le Gabon pourrait bientôt se doter d’un nouvel avion militaire. Au cours du conseil des ministres du 26 juin dernier, le gouvernement a validé un projet de loi autorisant l’État à contracter un emprunt de 31,1 milliards de FCFA auprès de la Banque espagnole Santander pour l’acquisition d’un nouvel avion. Il s’agit d’un avion CASA de type C295 MTA qui permettra « de renforcer les capacités opérationnelles de l’Armée de l’Air », selon le gouvernement.

Cette nouvelle acquisition permettrait également de renforcer la flotte de l’armée gabonaise qui compte selon le dernier classement des plus grandes puissances militaires réalisé par le site américain Global Fire Power (GFP), 23 avions, 6 intercepteurs de combat, 15 hélicoptères...

Des données qui classent le Gabon parmi les puissances militaires les moins puissantes du monde selon le Global Fire Power (GFP). En 2023 en effet, le Gabon occupe le 131e rang des puissances militaires dans le monde sur un échantillon de 145 pays pris en pris compte par GFP. Le pays d’Afrique centrale arrive à la 32e position en Afrique d’après la même source.

SG

Lire aussi:

Le Gabon a consacré au moins 147 milliards de FCFA aux dépenses militaires en 2020 (Sipri)

Le Gabon, 5e puissance militaire de la Cemac et la 32e en Afrique, selon un classement américain

Pour nous contacter: c o n t a c t [@] lenouveaugabon . c o m

Please publish modules in offcanvas position.