Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Les dates de la 17e édition de la prestigieuse course cycliste La Tropicale Amissa Bongo sont connues. Ce sera du 22 au 28 janvier 2024, indiquent les organisateurs dans un communiqué publié ce lundi 3 juillet. « Après une édition 2023 couronnée de succès, La Tropicale Amissa Bongo est de retour et prête à enflammer les routes du Gabon une fois de plus. Les équipes professionnelles et les sélections nationales africaines les plus talentueuses se réuniront à nouveau pour un spectacle cycliste inoubliable ! », peut-on lire dans le communiqué.

Le parcours officiel sera dévoilé dans les prochaines semaines, apprend-on. Comme par le passé, cette édition entend relever le défi d’un Tour du Gabon répondant aux standards de l’Union cycliste internationale (UCI) et aux attentes des participants et du public. La Tropicale a fait son retour en 2023 après deux années d’interruption liée à la pandémie de Covid-19. Le Français Geoffrey Soupe a remporté l’édition 2022.

Depuis sa création en 2006, la Tropicale Amissa Bongo est devenue la plus grande course du continent. Organisée chaque fin du mois de janvier, la course gabonaise réunit l’élite du cyclisme africain et des cyclistes européens de renom. Outre de promouvoir la destination Gabon, elle a aussi servi de révéler des talents émergents du continent, à l’instar de l’Erythréen Biniam Girmay, élu cycliste africain de l’année pour la troisième fois consécutive lors de la dernière édition de la course en 2022 et vainqueur l’année dernière de Gand-Wevelgem et d’une étape du Tour d’Italie.

P.N.N

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Les ministres des Affaires étrangères du Gabon et du Tchad ont signé, vendredi 30 juin à Libreville, deux accords visant à intensifier leur coopération bilatérale, tout en s’efforçant de la mettre au service du développement de la sous-région Afrique centrale. « Nous avons les organisations sous-régionales, mais j’estime que pour booster tout cela, il faudrait plutôt des coopérations bilatérales qui sont solides. Et des possibilités existent pour qu’on puisse réellement faire en sorte que l’intégration de notre sous-région puisse nous permettre d’être la locomotive au niveau du continent africain », a déclaré le ministre tchadien Mahamat Saleh Annadif.

Par cette signature, les deux pays s’engagent à densifier et diversifier la coopération bilatérale dans les domaines de l’économie, du commerce, des investissements, des finances et des établissements bancaires, de l’industrie de la défense, de l’agriculture, de la science et de la technique, de l’éducation, de l’information, du sport, du tourisme, de la santé et de tout autre domaine d’intérêt commun, indique la partie tchadienne qui qualifie ces accords d’« historiques ».

« Il nous revient à nous de faire en sorte que les ambitions visées par nos deux chefs d’État se traduisent par des actions concrètes et à la hauteur des challenges. Par ces deux instruments qui viennent assurément enrichir le cadre juridique de coopération entre nos deux pays, nous voici davantage outillés pour mettre le pied à l’étrier dans des secteurs qui sont à notre portée », assure le ministre gabonais Hermann Immongault.

Les deux membres du gouvernement ont exprimé leur confiance quant à l’impact positif de cette coopération sur le développement économique et social de leurs pays, ainsi que sur la consolidation de la paix et de la stabilité dans la sous-région. Ces accords prévoient en effet le règlement pacifique des différends pour trancher les litiges qui pourraient survenir entre le Gabon et le Tchad, dans un contexte de persistance des conflits armés dans certaines parties de l’Afrique centrale.

Lors de sa première visite de travail et d’amitié en août 2022 au Gabon, le président tchadien Mahamat Idriss Deby Itno avait discuté avec son homologue gabonais, Ali Bongo Ondimba, du raffermissement des liens multiformes de coopération entre Libreville et N’Djamena, ainsi que des questions liées à la paix et à la sécurité dans la sous-région et sur le continent. Le dirigeant tchadien avait notamment salué le « rôle important » que le Gabon a « toujours » joué dans les règlements des conflits dans son pays.

P.N.N.

Le ministère gabonais de l’Économie numérique et la société indienne Shapoorji-Pallonji ont paraphé, le 29 juin dernier, un mémorandum d’entente en vue de la construction d’un Datacenter national pour la conservation de ses données. La signature de cet accord est le résultat des négociations entamées depuis le mois de mars 2023 entre la société indienne et le gouvernement gabonais.

En effet, au cours d’une visite en mars dernier à Libreville, les responsables de ladite société, qui se présente comme l’une des meilleures en termes de construction des centres de stockage des données, avait proposé ses services au Gabon. À l’issue de cette visite, le ministre de l’Économie numérique avait instruit ses services de poursuivre les discussions avec le groupe indien avec l’implication de l’administration centrale et les entreprises sous tutelles notamment la Société de patrimoine des infrastructures numériques (SPIN) et l’Agence nationale des infrastructures numériques et des fréquences (ANINF), afin de mieux analyser cette offre. Finalement le Gabon semble avoir été convaincu par ladite offre, d’où la signature de ce mémorandum d’entente.

Toutefois, le ministère de l’Économie numérique ne donne pas plus de détails sur cet accord qui permettra au Gabon au cas où il aboutit, de réaliser l’un de ses projets phares dans le numérique à savoir la construction d’un Datacenter national dans le but de gérer et stocker ses données.

SG

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Le taux global de réussite au baccalauréat au Gabon a atteint 81,65% en 2023 contre 76,06 en 2022, selon les résultats rendus publics par le ministère de l’Éducation nationale à l’issue du second tour le 30 juin dernier. En effet, sur les 29 585 candidats qui ont pris part à cet examen national dans toutes les séries (général et technique et professionnel), 24 159 ont été déclarés admis.

Dans ces résultats, le baccalauréat de l’enseignement général enregistre un taux de réussite de 99,86% au second tour contre 35,81% au premier tour. Ce qui consacre un taux de réussite global de 82,01% contre 77,48% pour le baccalauréat général 2022. L’enseignement technique et professionnel pour sa part affiche un taux de réussite de 84,44% cette année contre 67,90% en 2022 à l’issue des deux tours.

D’après le ministre de l’Éducation nationale, cette hausse est une première au Gabon depuis l’instauration du baccalauréat général et technique et professionnel dans le pays.

Pour Camélia Ntoutoume Leclercq, cette hausse globale enregistrée au baccalauréat 2023 est la résultante du respect du calendrier de l’année scolaire consécutif au maintien du dialogue permanent instauré avec les partenaires sociaux entre autres. Car, l’on se souvient que l’année scolaire 2021-2022 avait été perturbée par des grèves à répétition des enseignants réunis au sein du Syndicat de l’éducation nationale (Sena) et la Convention nationale des syndicats de l’éducation nationale (Conasysed).

SG

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Sous la présidence d’Ali Bongo Ondimba, président du Gabon et président en exercice de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), les chefs d’État et de gouvernement de la sous-région se sont réunis à Libreville le 1er juillet dernier pour la 23ᵉ session ordinaire de leur conférence. Au cours de cette rencontre, la conférence de la CEEAC a exhorté les États membres à s’acquitter de la totalité de leurs arriérés de contributions communautaires d’intégration afin de permettre à la communauté d’atteindre ses objectifs qui sont notamment de parvenir à une meilleure intégration de la sous-région.

Lors du sommet de Libreville, la conférence a noté que quelques États ont payé une partie de leur contribution et d’autres ont fait des annonces dans ce sens. Des avancées qui ont été appréciées par le chef de l’État gabonais et qui permettent de réduire l’ardoise de ces arriérés. Cependant, selon l’Ambassadeur Gilberto da Piedade Verissimo, président de la Commission de la CEEAC, « le financement de notre communauté demeure encore trop incertain » pour permettre à la sous-région de réaliser ses ambitions « au rythme souhaité par le Traité révisé de la CEEAC ».

Alors, pour inciter les uns et les autres à honorer leurs engagements, la conférence a exhorté les États membres qui n’ont pas encore inséré la contribution communautaire d’intégration dans leur loi de finances respectives de le faire, et à mettre en œuvre intégralement ces mécanismes de financement. Elle a également instruit le président en exercice du conseil des ministres, le président de la Commission, le ministère du Budget du Gabon « d’engager un dialogue politique bilatéral avec chaque État membre pour définir une feuille de route assortie d’un plan d’action sur les mesures à prendre par chaque pays pour apurer ces arriérés de contributions, insérer dans leur loi de finances et appliquer intégralement les mécanismes de la contribution communautaire d’intégration », indique le communiqué final de ce 23e sommet.

La CEEAC regroupe 11 pays. À savoir, l’Angola, Burundi, Cameroun, la Centrafrique, Congo-Brazzaville, Congo-Kinshasa, Gabon, la Guinée équatoriale, Rwanda, Sao Tomé-et-Principe, et Tchad.

Sandrine Gaingne

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Au premier trimestre 2023, l’activité de la téléphonie, mesurée par son indice du chiffre d’affaires, a reflué de 2,1% par rapport au quatrième trimestre 2022 (-3,8%), indique la dernière note conjoncturelle sectorielle de la direction générale de l’économie et de la politique fiscale (DGEPF). La DGEPF explique que cette situation résulte des contreperformances de la téléphonie mobile, dont le chiffre d’affaires ne cesse de baisser.

En cause notamment, la multiplication des actions commerciales qui se traduit par la baisse implicite des tarifs. Cette baisse est notamment consécutive à la campagne de boycott menée en avril dernier visant à contraindre les opérateurs télécoms à réduire leurs tarifs, notamment Moov Africa Gabon Telecom et Airtel Gabon. Ces résultats sont également la résultante du repli du nombre d’abonnés Internet mobile qui a contribué à « lester l’activité », selon la même source.

À fin mars 2022, le Gabon comptait officiellement 3 millions d’abonnés à la téléphonie (fixe et mobile) et 2,2 millions à l’Internet (GSM et haut débit). En glissement annuel par contre, l’activité a crû de 1,3% en lien avec les bonnes performances des connexions Internet qui ne cessent de s’apprécier, grâce notamment au développement des services en ligne, se félicite la DGEPF. Dans son dernier audit, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) note une « légère amélioration des différents indicateurs qualité en termes de voix et des services data ».

P.N.N.

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« A compter de ce jour, les dérogations accordées aux transporteurs routiers de grumes pour circuler les week-ends et jours fériés sont suspendues. Est également suspendu, l’octroi de nouvelles dérogations », a annoncé le ministre des Transports, Auguste Roger Bibaye Itandas, dans une note datée du 29 juin 2023. Ainsi, rappelle le ministre des Transports, les dispositions de l’arrêté du 29 mai 2002 interdisant la circulation de ces poids lourds les week-ends et les jours fériés ainsi que les sanctions y relatives « demeurent applicables intégralement dans toute leur rigueur ».

Selon cet arrêté, tout véhicule grumier qui circulera en violation des prescriptions de cette décision sera passible d’une peine d’amende forfaitaire allant de 500 000 FCFA à un million de FCFA et de l’immobilisation immédiate du véhicule par les forces de sécurité ou les contrôleurs routiers. Et le propriétaire du véhicule ou son préposé écopera également d’une peine d’amende forfaitaire allant de 500 000 FCFA à un million de FCFA. « Les services de la brigade de contrôle routier du ministère des Transports, ainsi que les forces de défense et de sécurité sont chargées de veiller au strict respect de la présente mesure », précise le ministre des Transports.

Le membre du gouvernement ne donne pas les raisons de la suspension de ces dérogations. Mais en 2002, la mesure avait été prise pour des besoins de sécurité routière étant donné que ces poids lourds sont souvent à l’origine de plusieurs accidents sur les axes routiers.

SG

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Pour bénéficier du fonds global de 2 milliards de FCFA récemment mis en place par le président de la République, dans le cadre du programme Activités génératrices de revenus (AGR), les Gabonais économiquement faibles (GEF) sont invités à déposer leur candidature. Les dépôts de dossiers se font du 26 juin au 7 juillet 2023 dans les gouvernorats de province pour les personnes résidant dans les capitales provinciales, dans les préfectures pour celles qui résident dans les départements et dans les sous-préfectures pour celles qui résident dans les districts.

Il est demandé aux postulants de fournir une demande manuscrite, une copie de leur pièce d’identité, une copie de la carte CNAMGS (Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale) avec la mention GEF, ainsi que des documents justifiant le statut de coopérative ou d’association. À cet effet, les candidats doivent être des Gabonais économiquement faibles exerçant une activité à titre individuel, en coopérative ou en association dans les domaines tels que le commerce, l’artisanat, l’agriculture, la pêche, l’élevage, les services, la petite transformation.

Le programme AGR ambitionne de lutter contre le chômage dans le pays. Selon l’Organisation internationale du travail (OIT), le Gabon possède l’un des taux de chômage chez les jeunes les plus élevés d’Afrique subsaharienne (36%).

SG

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Le Gabon s’apprête à déclencher une opération contre l’immigration illégale, en procédant à des expulsions des étrangers en situation irrégulière. Le 22 juin, le ministère des Affaires étrangères a informé les missions diplomatiques accréditées dans le pays que les forces de défense et de sécurité lanceront, « dans les prochains jours », une « vaste opération de contrôle des titres de séjour » des étrangers séjournant irrégulièrement sur le territoire gabonais.

Le ministère précise que cette opération se soldera par le rapatriement des étrangers qui seront interpellés pour défaut de carte de séjour. À cet effet, il est demandé à ces missions diplomatiques de « faciliter toutes les démarches administratives qui seront entreprises par la Direction générale de la documentation et de l’immigration visant à reconduire, vers leurs pays d’origine, les personnes en situation irrégulière ».

La loi du 18 juin 1986 fixant le régime d’admission et de séjour des étrangers au Gabon dispos que tout étranger est tenu de quitter le territoire national à l’expiration du délai de séjour qui lui est accordé. Cette loi précise que « sera refoulé et passible d’une amende de 250 000 à 500 000 FCFA, tout étranger qui n’aura pas quitté le territoire national à l’expiration du délai de séjour accordé ». La Direction générale de la documentation et de l’immigration (DGDI), qui est notamment chargée de recueillir et de centraliser toutes les informations sur la sécurité du territoire, dit avoir constaté que des ressortissants étrangers bénéficiant d’un visa court séjour décident de s’installer définitivement au Gabon, sans autorisation préalable de sa part.

Cette décision du ministère des Affaires étrangères intervient à la veille des élections générales (présidentielle, législatives et locales) qui se tiendront le 26 août prochain dans le pays. Le conseil des ministres du 26 juin, présidé par le chef de l’État gabonais Ali Bongo Ondimba, a confirmé par décret le calendrier électoral rendu public dimanche dernier par le Centre gabonais des élections (CGE).

P.N.N.

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La Fédération gabonaise des courtiers d’assurance (FGCA) a un nouveau président en la personne de Désiré Ngoa Mboulou. Élu le 2 juin dernier, il remplace à ce poste Alain Michel Massoussou qui occupait cette fonction depuis 2010.

Pour la promotion et le développement du courtage en assurance au Gabon, Désiré Ngoa Mboulou compte s’inscrire dans la continuité de son prédécesseur. « Notre feuille de route est la suite de l’œuvre déjà entreprise. Il s’agira de mettre un frein à la course effrénée au chiffre d’affaires pour les compagnies et les courtiers avec pour conséquence immédiate la baisse du chiffre d’affaires du marché. La FGCA va militer activement pour un retour des techniques de tarification des assurances plus appliquées. Il s’agira aussi de favoriser la cadence des règlements des sinistres en respectant les dispositions de l’article 13 du code CIMA (Conférence interafricaine des marchés financiers) », affirme-t-il.

De manière spécifique, il s’agit « pour les membres de la FGCA de reverser dans les délais fixés les primes collectées aux assureurs. En contrepartie, les assureurs devront verser les commissions aux courtiers », explique-t-il. Parmi ses priorités, il compte également œuvrer pour le respect de l’éthique entre confrères du marché des intermédiaires, et militer pour la mise en place des nouveaux produits ainsi qu’élargir la liste des assurances obligatoires. Désiré Ngoa Mboulou se donne également pour mission de susciter de nouvelles adhésions à la FGCA des courtiers et intermédiaires du marché.

Le nouveau président de la FGCA a été présenté à la Fédération gabonaise des sociétés d’assurances (Fegasa) le 23 juin dernier et n’est pas un inconnu du secteur gabonais des assurances. Désiré Ngoa Mboulou a travaillé au sein de plusieurs entreprises dans le secteur au Gabon. Il a notamment été responsable du service sinistre et responsable commercial au sein de la compagnie d’assurance Saham de 2006 à 2013. Puis, il a intégré la Société commerciale gabonaise de réassurance (SCG Ré). Ici, il a été chef de service administration et moyens généraux, chef de département administration et ressources humaines avant de rejoindre le cabinet H&H Brokers and consulting comme directeur général. Une expérience professionnelle qui lui sera utile dans à la tête de la Fédération.

Rappelons que les sociétés de courtage en assurance ou des courtiers en assurance sont des intermédiaires entre les assurés et les compagnies d’assurance. Elles ont une mission de conseil et de recherche des meilleures solutions d’assurance adaptées au profil de l’assuré et à ses besoins.

Sandrine Gaingne

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