Au titre des nombreuses autres initiatives visant à soutenir le projet sportif de la jeune tenniswoman, Célestine Avomo Ella (photo), l’Etat gabonais vient de lui octroyer une subvention annuelle supplémentaire de près de 40 millions de FCFA.
Selon la ministre de la Jeunesse et des Sports, Nicole Assele, cette dotation témoigne de la reconnaissance de l’Etat aux progrès remarquables de cette jeune athlète qui figure désormais dans le top 300 de la catégorie junior de la Fédération internationale de tennis (FIT).
Cette nouvelle ligne budgétaire devrait ainsi permettre à Célestine Avomo Ella, actuellement admise au centre de formation de Nairobi au Kenya depuis 2014, d’affronter le calendrier international, la saison prochaine, avec une participation envisagée à, au moins deux Grands Chelems de sa catégorie. Dont probablement Wimbledon à Londres et Roland Garros à Paris, avec in fine, la volonté de se hisser dans le top 50, selon les objectifs déclinés par son entraîneur.
Dans l’immédiat, la jeune pépite du tennis gabonais est attendue à Tunis pour le tournoi WTA, circuit-professionnel, du 4 au 30 septembre prochain, après un stage d’environ trois semaines à Barcelone.
A 17 ans, Célestine Avomo Ella compte à son actif une cinquantaine de compétitions pour une trentaine de victoires. Elle a, par ailleurs, été demi-finaliste lors de la dernière CAN de la discipline et de sa catégorie en 2016, à Nairobi, et quart-de-finaliste lors des derniers Jeux Africains en 2015, à Brazzaville.
Stéphane Billé
Le secrétaire général de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), Mohammed Sanussi Barkindo, s’est entretenu avec le chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba, avant de regagner le siège de l’organisation au terme de la mission de quatre jours qu’il a effectuée dans le pays.
Au cours de cette audience, Mohammed Sanussi Barkindo a présenté ses félicitations au président de la République qui a décidé de la réintégration du Gabon au sein de la grande famille du cartel de l’or noir, 20 ans après l’avoir quittée. D’après le communiqué de la présidence, le secrétaire général de l’Opep a également salué le programme de diversification et de transformation de l’économie gabonaise dont le but vise à libérer le pays de sa très grande dépendance au pétrole. Aussi l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, par la voix de son secrétaire général, entend-elle apporter son soutien et son appui à ce programme.
Le chef de l’Etat, soucieux de la création des emplois et de la formation des techniciens et des ingénieurs gabonais dans le domaine des hydrocarbures a sollicité l’appui de l’Opep dans le renforcement des capacités du capital humain employé dans les compagnies pétrolières opérant au Gabon. Cet appui du cartel devrait également s’étendre à des domaines autres que celui du pétrole et à la formation des gabonais en général, question d’assurer la prise en main par la nationaux des emplois stratégiques dans divers secteurs d’activités.
SeM
L’exécution du plan de relance économique du Gabon, approuvée par le Fonds monétaire international (FMI) est adossée au Mécanisme élargi de crédit auquel le pays a été élu au mois de juin. Grâce à cette facilité, il bénéficie d’une enveloppe de 642 millions de dollars, soit environ 385,2 milliards de FCfa de cette institution dans le cadre du programme de trois ans conclu de commun accord.
Le chef de mission du FMI à Libreville, Alex Segura-Ubiergo, au terme de la mission qu’il a engagée voici quelques jours dans le pays, a annoncé que la première tranche de 58 milliards de FCfa a déjà été décaissée par le Fonds et placée à la Banque des Etats de l’Afrique centrale. Le ministre de l’Economie, Régis Immongault Tatangani a saisi l’opportunité de la conférence de presse organisée à cet effet, pour présenter le compte d’emploi de ces fonds.
« Une partie a été utilisée, pas encore la plus grosse parce qu’il y a des règles d’ordonnancement. », souligne-t-il. Ainsi, d’après le chef de mission du FMI, les fonds ont permis au gouvernement de régler une partie de la dette extérieure du Gabon et de désintéresser une partie des prestataires locaux de l’Etat.
Alex Segura-Ubiergo qui était dans le pays pour prendre le pouls de la société civile quant à la perception qu’elle a du programme triennal conclu avec le Gabon, s’est dit satisfait de l’exécution du programme et a annoncé que le FMI effectuera des revues trimestrielles pour évaluer l’exécution du programme. Ce qui permettra dans le cadre d’une bonne appropriation des critères par le gouvernement d’accélérer les décaissements.
SeM
Sur les 734 jeunes présélectionnés pendant les caravanes de recrutement organisées il y a un mois dans le cadre de la mise en œuvre du Contrat d’Apprentissage Jeunesse (CAJ) par l’Office national de l’emploi (ONE) et l’Autorité administrative de la zone de Nkok au profit des entreprises installées au sein de cet espace, 200 premiers jeunes demandeurs d’emplois ont été reçu par les deux partenaires de cette opération ce 2 août 2017.
D’après l’Autorité administrative de la zone de Nkok, ces rencontres qui s’étaleront sur quatre jours, soit du 2 au 5 Août 2017 ont pour objectif de familiariser les jeunes candidats à l’environnement de travail dans lequel ils s’épanouiront. Il est prévu une présentation de la zone économique spéciale de Nkok, la présentation du CAJ et une visite d’entreprises installées dans la zone.
La zone offre une première vague de 524 postes dans le cadre du CAJ. «Des effectifs qui devront être occupés sur la période allant d’août à septembre 2017 et une deuxième vague de 500 postes supplémentaires à partir du mois d’octobre.», renseigne l’Autorité administrative. A titre de rappel, le Contrat d’Apprentissage Jeunesse est une initiative du gouvernement qui vise à favoriser l’employabilité des jeunes gabonais avec ou sans qualification.
SeM
Les travaux du tronçon Port-Gentil-Omboué, long de 93 kilomètres et qui doit relier la province de l’Ogooué-Maritime au reste du pays, avancent à grands pas. «On peut déjà circuler sur le bitume en commençant du PK 18,525 au PK 30. L’avancement est conforme au chronogramme arrêté au départ.», indique Garba Mohammed, superviseur du projet sur la chaîne de télévision publique Gabon Télévision.
Ce projet dont la durée des travaux est de cinq ans, consiste en la construction d’une nouvelle route qui part de Mbega, localité située à 22 kilomètres au sud de Port-Gentil, et qui longe la côte atlantique vers le Sud jusqu’à Omboué. Des travaux qui ouvriront les départements de Bendje et d’Etimboué au reste du Gabon et permettront de développer un flot d’activités économiques rendues difficiles jusqu’ici par l’enclavement de la zone ainsi que l’accès pénible des populations aux potentiels clients, désireux de profiter des produits agricoles, piscicoles et touristiques qu’offrent cette localité. Le tout à cause du fleuve Ogooué et de la lagune Nkomi qui isolent le coin et le coupent du reste du pays.
Mais, sur ces deux cours d’eau, deux ponts sont érigés. Le premier, construit sur le fleuve Ogooué, à l’embouchure gauche a une longueur de 4 707 mètres. Quant au second, situé à l’embouchure de la lagune Nkomi, il mesure 4 577 mètres. Pour la réalisation de ces travaux titanesques, 2000 ouvriers gabonais et 500 chinois travaillent sur ce chantier qui va permettre de dynamiser le transport, les échanges et d’améliorer les conditions de vie des habitants des villes alentours. En plus de cet enjeu économique, ces deux ponts vont donner un coup de fouet aux activités grâce à l’interconnexion de la capitale économique au reste du pays ; ce qui fera de Port-Gentil, un véritable centre économique et une destination touristique.
«Le transport des personnes et des biens, les activités comme le tourisme, le commerce, l’accessibilité des populations dans les différents centres de santé, la création des emplois, sont autant d’atouts qu’offre cette route. Donc c’est dire que ce chantier est très important parce que c’est le plus grand chantier du pays après le Transgabonais.», explique Patrice Ontina, gouverneur de l’Ogooué-Maritime.
D’après le constructeur chinois du chantier qui a eu une séance de travail avec les autorités et le gouverneur de la province de l’Ogooué-Maritime, China Road and Bridge Co (CRBC), les travaux sont exécutés à 75% et arriveront à terme en 2019. Les ponts sur l’Ogooué et la lagune Nkomi deviendront respectivement les troisième et quatrième ponts d’Afrique derrière le pont du Caire (20 500 mètres), et le Mainland bridge de Lagos au Nigeria, long de 10 500 mètres.
SeM
Libreville vient d’abriter les travaux de lancement du Centre régional de collaboration et de prévention des maladies pour l’Afrique centrale (CCR). Cette réunion qui a été présidée par le ministre de l’Egalité des chances, Blaise Louembe, assurant l’intérim de son collègue de la Santé empêché, avait pour principal objectif, de mieux asseoir les mécanismes de mise en œuvre de ce dispositif.
Il s’agissait pour les experts de développer un consensus sur les structures de gouvernance ainsi que sur le cadre de collaboration du CCR de l’Afrique centrale, et d’élaborer des termes de référence du Réseau régional intégré de surveillance et de laboratoire (RISLNET).
Il était également question de discuter et s’étendre sur les activités de santé publique pour le CCR; et de s’accorder sur le rôle crucial des instituts nationaux de santé publique dans la région et des centres d’excellence dans le cadre du RISLNET.
L’élaboration des stratégies pour une santé dans le cadre du RISLNET dans la région de l’Afrique centrale constituait le dernier volet des échanges entre les spécialistes au cours de cette rencontre.
Selon le Dr Anne-Marie Antchouey Ambourhouet, présidente du Conseil consultatif et technique du centre africain pour le contrôle et la prévention des maladies, l’importance de ce réseau n’est plus à démontrer. « L’atteinte de ces objectifs passe par des Centres collaborateurs régionaux opérationnels et performants, qui sauront créer des synergies et mutualiser les ressources régionales pour identifier et résoudre les problématiques de Santé publique à l’échelle régionale mais aussi continentale.», a-t-elle indiqué.
Pour le ministre Blaise Louembe: « Le poids des maladies infectieuses reste élevé dans la région d’Afrique centrale. Ainsi, les indicateurs liés aux maladies transmissibles (le paludisme, le VIH/Sida, la tuberculose, les maladies évitables par la vaccination et les Maladies Tropicales Négligées) demeurent préoccupants.»
De ce fait, a-t-il conclu : «Le choix de Libreville pour abriter le Centre régional de collaboration pour l’Afrique centrale est judicieux et hautement apprécié par le gouvernement gabonais…»
Stéphane Billé
Cette année, la Comilog semble sur le point de réaliser son objectif de production de 4 millions de tonnes de minerai de manganèse.
Alors que la compagnie a produit 1,517 million de tonnes au 1er semestre 2016 et 1,896 million de tonnes au second semestre dudit exercice, sa production au premier semestre bat tous les records. Elle se situe à 1,933 million de tonnes. « Nos objectifs pour le futur sont clairs : d’une part accroître notre compétitivité dans tous nos secteurs d’activités et d’autre part, trouver les bons relais de croissance porteurs d’avenir. Nous visons l’excellence managériale et opérationnelle à tous les niveaux de notre organisation », se réjouit Christel Bories, Pdg du groupe Eramet.
Cette progression, d’après la maison-mère, est « en ligne avec l’objectif annoncé de 4 millions de tonnes sur l’année 2017. Cela traduit les progrès opérationnels réalisés chez Comilog et sa filiale Setrag assurant le transport ferroviaire du minerai ». Quant aux coûts du minerai de manganèse, « après une correction au début de l’année 2017, les prix du minerai restent à des niveaux élevés. La moyenne des prix du minerai 44% CIF Chine, s’établit à 5,69 dollars/dmtu au premier semestre 2017contre 2,91 dollars/dmtu au premier semestre 2016, et 5,70 dollars/dmtu au second semestre 2016 ».
Cette conjonction de facteurs a eu pour conséquence une nette amélioration du résultat de l’entreprise au premier semestre de l’année en cours qui s’établit à 346 millions d’euros (227 milliards de Fcfa). Quant aux prix des alliages de manganèse, ceux-ci restent fermes après une croissance soutenue tout au long de l’année écoulée.
SeM
Après les premiers échanges de civilités entre le secrétaire général de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), Mohammed Barkindo, et le ministre du Pétrole et des hydrocarbures, Pascal Houangni Ambourouet, les deux hommes ont eu une séance de travail, le 1er août 2017. Au cours de cette réunion, le ministre du Pétrole a dévoilé au patron du cartel de l’or noir la stratégie de développement du secteur au Gabon, sur la période 2017-2022.
D’après le ministre, celle-ci se définit en quatre axes qui offrent la possibilité au pays d’innover et de diversifier son économie. Ainsi, le premier axe concerne l’organisation du travail au niveau interne, grâce à la désignation d’une équipe d’experts nationaux capables d’une part, d’organiser des échanges et de conclure des partenariats mutuellement bénéfiques avec des compagnies pétrolières et des partenaires domestiques ; et de poursuivre la collaboration avec l’Opep et d’autres partenaires au niveau mondial, par ailleurs.
Dans un deuxième temps, il s’agira selon le responsable, «d’avoir une conduite du changement dans le secteur». Le troisième axe vise à mettre en place une procédure organisationnelle et opérationnelle capable de «nous permettre d’améliorer le secteur».
Pour améliorer les performances du secteur, Pascal Houangni Ambourouet entend en quatrième lieu, assurer le renforcement des capacités des équipes affectées au développement du domaine des hydrocarbures. «L’innovation n’est pas du reste puisque nous avons décidé, dans le cadre de la diversification de notre économie, de mettre en place le biocarburant.», poursuit-il.
Mais avant cette présentation, le ministre du Pétrole a exposé le cadre qui guide l’action de son département ministériel dans ce secteur. «Nous allons désormais travailler selon quatre axes d’orientations : la performance, la bonne gouvernance, l’éthique et bien évidemment les bonnes pratiques de gestion. Le secrétaire général nous a aussi défini sa stratégie configurée à travers quatre axes d’orientations : la bonne gouvernance, la performance, l’éthique et l’amélioration des ressources humaines dans le secteur.», explique l’autorité .
Pour Mohammed Barkindo, le Gabon est un membre prépondérant de cette organisation bien qu’il subisse les contrecoups de la crise pétrolière. «C’est une occasion pour moi de discuter des différentes orientations de la vision du chef de l’Etat sur les différentes politiques qui doivent être mises en place pour relancer le secteur du pétrole qui fait face à cette crise qui affecte tous les pays membres.», souligne le secrétaire général.
SeM
C’est par un « résultat opérationnel courant de 256 millions d’euros, en amélioration de 347 millions d’euros par rapport au premier semestre 2016, dans un contexte de hausse significative des prix du manganèse » que le groupe Eramet, maison-mère de la Compagnie minière de l’Ogooue (Comilog), ouvre le communiqué qui a sanctionné la session du conseil d’administration tenue le 26 juillet à Paris.
D’après Christel Bories (photo), Pdg du groupe, malgré les incertitudes de l’environnement de certains produits développés par l’entreprise, 2017 reste une année déterminante. « Les résultats du premier semestre sont en forte hausse. L’année 2017 est une année charnière pour Eramet. Le Groupe n’est encore qu’au début de sa transformation et l’environnement au sein duquel il évolue reste incertain », indique-t-elle.
En ce qui concerne le résultat net du groupe, il se situe à 81 millions d’euros contre une chute de 141 millions d’euros il y a un an à la même période. Sur toute l’année 2016, il avait affiché une perte de 179 millions d’euros. Quant à l’endettement du groupe, il est en constante diminution. Il est passé de 836 millions d’euros en 2016 à 664 millions d’euros eu 1er semestre 2017. « Cette réduction de l’endettement est le résultat d’une part de la priorité donnée par l’entreprise à la génération de cash, et d’autre part de l’amélioration des marchés. Le ratio dette nette sur capitaux propres s’établit à la fin du 1er semestre 2017 à 36% », renseigne le communiqué du conseil d’administration.
Cette option stratégique a eu pour effet de renforcer la trésorerie de l’entreprise de manière globale et surtout sa situation financière. Ainsi, le groupe a remboursé depuis janvier, un total de 730 millions d’euros sur les 980 millions d’euros contractés en janvier 2016. « Au 30 juin 2017, la liquidité financière du groupe Eramet reste importante, à 1,7 milliard d’euros », informe le groupe.
D’après les données consolidées au premier semestre de l’exercice en cours, la branche manganèse développée par la Comilog a réalisé elle aussi d’excellents résultats. Le groupe affiche un chiffre d’affaires de 603,5 milliards de Fcfa sur la période, en hausse de 48 % par rapport au 1er semestre 2016.
SeM
En délicatesse avec le ministère de la Jeunesse et des Sports, les fédérations de taekwondo, de tennis de table, de tennis sur court, de kickboxing et de wushu viennent toutes d’élaborer une nouvelle feuille de route censée asseoir leur partenariat à court et moyen termes avec la tutelle.
En ce qui concerne la Fédération gabonaise de taekwondo, une nouvelle assemblée générale élective sera convoquée dans les quinze prochains jours, sur la base du collège électoral et des candidatures préalablement validées par les instances compétentes. Les mêmes dispositions ainsi que les mêmes délais ont été accordés à la Fédération gabonaise de tennis de table, dont les blocages tenaient beaucoup plus aux dysfonctionnements dus aux lenteurs administratives au niveau de la tutelle.
Concernant le kickboxing, où le président sortant, Éric Ella, a sollicité une contre-enquête de moralité, et dont les résultats sont toujours attendus, il a été retenu que l’assemblée générale élective, avec ou sans ce dernier, devrait se tenir le 15 novembre prochain. Un nouvel appel à candidatures sera lancé au plus tard le 1er Octobre 2017. Mais bien avant, le secrétaire général qui expédie actuellement les affaires courantes, est chargé, outre l’organisation régulière des compétitions, de convoquer une assemblée générale extraordinaire, aux fins de réexaminer les statuts de cette Fédération. Il s’agira principalement d’ouvrir le collège électoral aux Clubs, en plus des cinq ligues actuellement fonctionnelles.
Situation plus ou moins semblable à la Fédération gabonaise de wushu où, avec ou sans la présidente sortante, Edith Biyoghe, elle aussi en attente des résultats d’une contre-enquête de moralité, une Assemblée générale élective se tiendra au plus tard le 15 novembre prochain. Là également, un nouvel appel à candidatures sera ouvert d’ici le 1er Octobre 2017.
Quant au tennis sur court, dont l’Assemblée générale élective s’est déroulée récemment, en l’absence de la tutelle, le ministère de la Jeunesse et des Sports ne prend pas moins acte de la réélection de Samuel Minko. Enfin, le président de la Fédération gabonaise de natation, Crésant PAMBO a sollicité de la tutelle un délai jusqu’en octobre prochain pour que cette jeune fédération sportive parachève la mise en place effective de la Ligue du Haut-Ogooué, la troisième avec l’Estuaire et l’Ogooué Maritime, afin de se mettre définitivement aux normes.
Toutes ces fédérations sportives sont désormais rééligibles à la subvention de l’Etat, dont elles étaient privées pour n’avoir pas organisé leurs assemblées générales électives dans les délais prescrits.
Stéphane Billé