Le président français Emmanuel Macron est arrivé ce 1er mars 2023 à Libreville au Gabon pour prendre part au One Forest Summit, un sommet sur la préservation des forêts du bassin du fleuve Congo. Dès son arrivée, il a été reçu par son homologue gabonais.
C’est la première fois que le président Macron arrive au Gabon depuis qu’il est à la tête de la France. Et c’est la deuxième fois qu’un président français foule le sol de ce pays d’Afrique centrale depuis l’arrivée du président Ali Bongo au pouvoir en 2009. Le dernier voyage d’un président français (Nicolas Sarkozy) remonte à février 2010.
Cette visite du président français en terre gabonaise à cinq mois de la prochaine présidentielle, est considérée par une partie de l’opposition gabonaise et de la société civile comme un soutien à Ali Bongo en vue de cette élection prévue au mois d’aout prochain. Mais, pour le chef de l’État français, il n’en est rien. « Je ne viens pas faire un déplacement électoraliste. Et d’ailleurs, on parle à tout le monde, y compris aux opposants, et on continuera de le faire », a indiqué Emmanuel Macron en présentant le 27 février 2023, sa politique pour l’Afrique.
Au cours de sa visite en terre gabonaise, le président Macron va assister à la 2e journée du One Forest Summit ouvert ce 1er mars. Il va également inaugurer la nouvelle ambassade de la France au Gabon et remettre au président Ali Bongo Ondimba, une copie du fonds d’enregistrements sonores Mvet et Bwiti, effectués au Gabon entre 1954 et 1966 par Herbert Pepper, chercheur de l’Orstom (Office de la recherche scientifique et technique outre-mer), organisme aujourd’hui remplacé par l’IRD (Institut de recherche pour le développement).
Le Gabon est la première étape de la tournée africaine d’Emmanuel Macron. Après Libreville, il se rendra ensuite en Angola puis au Congo et en République démocratique du Congo dans le cadre de sa tournée en Afrique centrale.
Sandrine Gaingne
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Le Gabon séquestre chaque année plus de 140 millions de tonnes de carbone. Lors de la COP 27 en Égypte, 90 millions de tonnes de ces crédits carbone ont été validées de manière « définitive » par la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (UNFCCC). Pourtant, ces crédits carbone peinent à être vendus sur le marché international, principalement auprès des pays occidentaux, a affirmé le ministre gabonais des Forêts au cours de la plénière d’ouverture du One Forest Summit qui s’est ouvert ce 1er mars 2023 à Libreville au Gabon.
« Ça fait trois mois que nos crédits carbone existent. Il y a le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) qui vend ces crédits. Mais, au niveau des États on n’a pas remarqué un grand engouement même si on a signé des accords internationaux au niveau de Paris. Le secteur privé vient nous voir et on est en négociations, mais, on est très déçu de la réaction des États », a déploré Lee White. En effet, « dès que le Gabon lance les discussions sur ses millions de crédits carbone avec les pays occidentaux, c’est silence radio », se plaint le ministre Lee White. Et pourtant, d’après Francis James, représentant résident du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), les crédits carbone du Gabon sont de bonne qualité.
Selon Akim Daouda, l’administrateur directeur général du FGIS, la vente de ces crédits carbone aurait permis au Gabon de préserver la nature, de créer des emplois et de maintenir ce stock de carbone aussi élevé qu’il est, car ça coute de l’argent et des investissements de conserver sa forêt intacte. En effet, la vente des 90 millions de tonnes de crédits carbone aurait pu rapporter au Gabon environ 1,26 milliard de dollars soit 773,39 milliards de FCFA, le prix de la tonne de carbone étant estimé à environ 14 dollars sur le marché international selon le ministre gabonais des Forêts dans un récent entretien.
Le Gabon séquestre annuellement l’équivalent de 140 millions de tonnes de carbone, alors qu’il n’en émet que 35 millions. Fort de cette différence de plus de 100 millions de tonnes de carbone, le Gabon ambitionne de vendre ses crédits carbone aux entreprises et États qui en ont besoin.
Le Gabon a néanmoins vu ses efforts récompensés en juin 2021 par la Norvège. Ce pays européen avait décidé de lui octroyer un financement de 17 millions de dollars, soit environ 9,3 milliards de FCFA, pour son engagement en faveur de la protection de ses forêts. Cette enveloppe représente la contrepartie du carbone supplémentaire séquestré entre 2016 et 2017, grâce aux mesures mises en œuvre par le gouvernement gabonais dans le but de lutter contre la déforestation et limiter les dérèglements climatiques.
Sandrine Gaingne
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Une semaine après la fin de la concertation politique au Gabon entre la majorité et l’opposition, l’heure est à l’évaluation des acquis et des avancées dont on pourrait mesurer l’importance lors des joutes électorales prévues cette année. Alors qu’une partie de l’opinion est dubitative quant à aux résultats positifs de cette messe politique, des leaders de l’opposition ne cachent pas leur satisfecit.
Au cours d’un point de presse, le groupe des 40 partis ayant pris part au conclave croit pouvoir tirer les marrons du feu à travers un certain nombre de réformes envisagées et qui devraient être formalisées en textes réglementaires. Il en est ainsi de la proportionnelle. Il s’agit d’un système électoral où le nombre de sièges à pourvoir dans un scrutin de liste est partagé en fonction du nombre de voix recueillies par les partis politiques en compétition. Il s’oppose au scrutin majoritaire en cours au Gabon ou le parti qui a le plus grand nombre de voix remporte tous les sièges.
Sans entrer dans les détails de la proposition faite à ce sujet lors de la concertation politique, ces opposants, leaders des partis au poids électoral relativement limité, ont dit espérer que cette réforme renforce leur représentativité au parlement et au sein des municipalités. « Ce que nous allons faire au niveau de l’opposition lors des législatives et municipales, c’est de faire en sorte que nous ayons une dose de proportionnelle, elle fera en sorte qu’on ait une meilleure représentativité de nos parties. Donc, pour nous, c’est une victoire », s’est réjoui Louis Marie Gondjout, président de l’Union nationale initiale.
Pour cette raison, les députés Séraphin Akouré Davin du parti les Démocrates et Serge Mabiala du Rassemblement héritage et modernité ont appelé à l’unité de l’opposition. Ces élus ont par ailleurs invité les Gabonais à s’inscrire massivement sur les listes électorales.
Alain Georges Banassoubek
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Jérôme Angouo, le nouveau président du conseil d’administration de la Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale (Cnnii), a été officiellement installé dans ses nouvelles fonctions ce 28 février 2023. La cérémonie était présidée par le ministre des Transports, Brice Constant Paillat. Nommé lors du conseil des ministres du 1er février 2023, il remplace à ce poste Oumarou Baba Toukour qui lui succède à la présidence du conseil d’administration de l’Autorité de régulation des transports ferroviaires (ARTF).
Jérôme Angouo prend donc fonction au sein de cette société en difficulté et devra mettre à profit son expérience dans le secteur des transports pour aider à relever cette dernière comme le lui a indiqué le ministre des Transports lors de la passation des charges. « La Cnnii se trouve à un carrefour de son histoire où elle doit affronter des courants impétueux. La Cnnii fonctionne aujourd’hui avec le minimum. Il faut de l’inventivité, de la créativité, de l’audace et par-dessus tout, il faut du courage. Je pense que toutes ces qualités, vous les cristallisez », a indiqué le ministre Brice Constant Paillat. D’après lui, « la direction ainsi que tous les agents de la Cnnii auront besoin de votre expérience, votre expertise, votre chaleur. Parce que dans les moments difficiles comme ceux que traverse la Cnnii, on a aussi besoin de la chaleur des uns et des autres, de la sérénité, d’une communication fluide qui ne soit pas parasitée par des considérations individuelles. Monsieur Angouo, le gouvernement attend de vous que comme vous l’avez fait dans vos fonctions précédentes, que vous soyez pleinement impliqué dans le redressement de la Cnnii », a-t-il poursuivi.
Et conscient du challenge qu’il devra relever pour atteindre ces objectifs, Jérôme Angouo s’est dit optimiste quant à l’avenir de cette structure. « La Cnnii est une structure stratégique dans le cadre du développement de notre nation. C’est un outil qui doit être pérennisé dans les aspects exploitation, commerciaux et sociaux. Sur le plan de l’évolution, sur le plan stratégique et commercial, je suis convaincu qu’avec le dynamisme des équipes, nous serons très bientôt sur la bonne voie », a-t-il affirmé.
Oumarou Baba Toukour a également montré son optimisme pour cette société sur laquelle il fondait beaucoup d’espoir et qu’il laisse avec le regret de n’avoir pas pu la redresser. « La Cnnii dispose d’un atout indéniable ». Et malgré les difficultés qu’elle traverse, « nous restons optimistes quant à l’avenir de notre armement national. Mais, cela exige que toutes les parties engagées dans cette aventure assument leur part de responsabilité, à commencer par l’État, en favorisant les investissements nécessaires à la relance de cet outil ». D’après Oumarou Baba Toukour, son objectif de relancer la Cnnii n’a pas été atteint à cause de plusieurs aléas. Entre autres, le retard de la matérialisation de nombreux investissements prévus et un certain nombre d’avaries subies par les navires de l’entreprise en 2022. Le nouveau PCA devra donc travailler avec la direction de l’entreprise pour faire face à ces difficultés et sauver la Cnnii de la faillite.
SG
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Le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, a reçu en audience hier 28 février, une délégation conduite par le Premier Ministre de la Papouasie Nouvelle-Guinée, James Marane, en prélude au sommet sur One All Forest. Au menu des échanges, des sujets d’intérêt commun entre la République gabonaise et ce pays de l’Océanie. Notamment des questions de développement, de biodiversité, de préservation et de gestion durable des forêts tropicales. Les deux pays présentent des similitudes. Leurs territoires sont notamment couverts à 75% de massifs forestiers et par conséquent réservoir inépuisable de carbone.
« Pour rappel, le Gabon et la Papouasie-Nouvelle-Guinée entretiennent une convergence de vues au niveau multilatéral, sur les Questions environnementales et climatiques, exprimées lors de la 15e Conférence des Parties (COP 15), à Copenhague, et lors de la COP 21 à Paris. Les deux personnalités ont notamment évoqué la nécessité de créer une coalition forte de pays forestiers pour la préservation et l’exploitation durable des forêts. En leurs qualités de pays du Bassin du Congo-Ogooué et de la forêt amazonienne, dotés d’un couvert forestier important », précise la direction de la communication présidentielle.
Un partenariat entre les deux pays au vu des enjeux du sommet de Libreville devrait se traduire par leur ambition de jouer un rôle de premier plan dans la préservation des forêts. « Ce que nous avons en commun en héritage en tant que nations forestières, c’est l’oxygène. Nous sommes confrontés au même défi, le fait que nous soyons venus ici est une preuve du respect de la visibilité et des efforts du gouvernement et du président en matière forestière. Mais plus encore, nous essayons de faire en sorte que tous les pays forestiers parlent d’une seule voix, car nous possédons une empreinte carbone importante », a expliqué James Marane au sortir de l’audience avec le chef de l’État gabonais.
AGB
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Au cours d’une audience avec le ministre de la Promotion des investissements, Hugues Mbadinga Madiya, ce 28 février 2023, Daniel Freihofer, chef de mission adjoint de l'ambassade de Suisse au Gabon, a montré l’intérêt de son pays à investir au Gabon. Les domaines ciblés par les Suisses sont l’agro-industrie, les infrastructures, l’énergie, les mines, etc.
Pour le diplomate helvétique, les différentes réformes engagées par le Gabon dans le but d’améliorer son environnement des affaires sont favorables à l’investissement. En effet, ces dernières années, le Gabon a mis en place plusieurs réformes qui facilitent entre autres la création d’entreprises, et qui ont permis de rationaliser le processus d’octroi du permis de construire. Des réformes qui incluent également des facilités pour le raccordement à l’électricité, le commerce transfrontalier, le transfert de propriété et la justice commerciale…
L’objectif du Gabon à travers ces réformes est de diversifier davantage son économie et accélérer sa transformation, en réduisant sa dépendance au pétrole et attirer plus d’investissements. Dans cette veine, la Suisse comme d'autres pays se présente donc comme un partenaire pour le développement économique du pays, la création des richesses et des emplois.
SG
Au cours de l’année 2022, la balance commerciale entre le Gabon et la France a été déficitaire en défaveur du Gabon, selon les données de la direction générale du Trésor français. En effet, le pays d’Ali Bongo Ondimba a acheté en France des marchandises d’une valeur de 536 millions d’Euros (345,9 milliards de FCFA). Ces importations sont en hausse de 32 % en 2022 après une baisse de 12,5 % en 2020, suivie d’une stagnation (+0,75 %) en 2021 selon la même source.
Parallèlement, le pays d’Afrique centrale a vendu en France des marchandises pour une valeur numéraire de 310 millions d’Euros (203,8 milliards de FCFA) en 2022, en hausse de 92 %. « Cette hausse est principalement liée à la très forte croissance des importations d’hydrocarbures naturels et des produits des industries extractives (+161 % par rapport à 2021) mais également à un effet-prix causé par la hausse des cours de certains produits importés par la France (hydrocarbures, bois…) », indique la direction générale du Trésor français.
Les importations du Gabon de la France sont constituées pour l’essentiel de produits agricoles et des industries agroalimentaires (20 %), des biens d’équipement (équipement mécanique, matériel électrique, électronique et informatique) (27 % du total en 2022), biens intermédiaires (25 %), et produits pharmaceutiques (10 %) que le Gabon. Et les produits vendus par le Gabon en France sont les hydrocarbures naturels (43 %), les minerais métalliques (24 %) et le bois (31 %) au cours de la période sous-revue.
SG
Pendant son séjour en terre gabonaise dans le cadre du One Forest Summit, le président français Emmanuel Macron mènera plusieurs activités. Dans son agenda, il est prévu entre autres, la remise au président Ali Bongo Ondimba, d’une copie du fonds d’enregistrements sonores, effectué au Gabon entre 1954 et 1966 par Herbert Pepper, chercheur de l’Orstom (Office de la recherche scientifique et technique outre-mer), organisme aujourd’hui remplacé par l’IRD (Institut de recherche pour le développement).
Il s’agit « du fonds ethnomusicologique Pepper et Sallée composé de 900 séquences sonores représentant plus de 700 heures d’enregistrement, collectées entre 1954 et 1970 au Gabon. Tous les pans de la tradition orale et musicale gabonaise y sont représentés : pièces musicales réalisées avec les groupes majeurs d’instruments utilisés par les principales ethnies du pays, chants, contes, épopées (“Mvet”), cérémonies cultuelles (“Bwiti”) et rites initiatiques, etc. », indique un document de l’Élysée consacré au One Forest Summit.
En effet, ce sont les autorités gabonaises qui avaient demandé une duplication des originaux de ces œuvres en 2005, afin qu’elles ne se détériorent pas. Un disque dur contenant la copie de toutes ces archives sera donc remis aux autorités gabonaises, et une base de données a été créée et sera mise à disposition de la communauté universitaire du pays, apprend-on.
En dehors de cette activité, le président français va inaugurer la nouvelle ambassade de France à Libreville. Il s’agit d’un nouveau bâtiment dont la construction a été décidée en 2013 dans le but de regrouper dans un même bâtiment la chancellerie politique, le consulat général et la trésorerie, pour une rationalisation des espaces et des moyens, un meilleur accueil du public, et une sécurité renforcée.
SG
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Mesdames, Messieurs,
Le lundi 27 février 2023, sous la Très Haute Présidence de Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’État, le Conseil des Ministres s’est réuni dès 10h00 au Palais de la Présidence de la République.
Au moment où notre pays se prépare à accueillir le One Forest Summit, du 1er au 2 mars prochain, marqué par un très haut niveau de délégations officielles attendues ainsi que des thématiques à aborder, le Conseil des Ministres a tenu à présenter au Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, les félicitations du Gouvernement et du Peuple gabonais pour son impulsion manifeste dans le rôle moteur joué par notre pays quant à la préservation de la biodiversité mondiale avec en point d’orgue l’organisation de cette importante rencontre.
Le One Forest Summit mobilise tous les acteurs engagés dans la protection des forêts dont les États, les Organisations internationales, les chercheurs, les entreprises et acteurs financiers, les ONG, entre autres participants.
Au regard de l’importance de cet événement international qui est une grande première sur le Continent africain et un privilège pour notre pays, le Conseil des Ministres invite les populations ainsi que les professionnels des secteurs touristiques et des services en général, à réserver un accueil à la dimension de l’hospitalité chaleureuse caractéristique du Gabon.
Poursuivant les travaux, le Conseil des Ministres a vivement marqué son soutien et ses encouragements au Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, pour son dynamisme en faveur du rayonnement constant de la diplomatie gabonaise aussi bien au niveau régional, continental qu’international.
En effet, le 25 février 2023, le Président de la République, Chef de l’État, a pris part, à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, au XXIIe Sommet des Chefs d’État et de Gouvernement de la Communauté Economique des d’États de l’Afrique Centrale (CEEAC).
Cette Session Ordinaire a été marquée par la passation des charges entre Leurs Excellences Ali BONGO ONDIMBA, Président en Exercice entrant de la CEEAC et Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République Démocratique du Congo, Président en Exercice sortant.
Ce déplacement a été l’occasion pour le Chef de l’État, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, de s’entretenir en tête-à-tête avec Ses Homologues de la République du Tchad, le Général Mahamat Idriss DEBY ITNO et de la République Démocratique du Congo, le Président Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO.
Au cours de ces deux rencontres, les échanges ont porté sur le développement de nouveaux axes de coopération entre leurs pays respectifs, ainsi que sur les sujets qui seront abordés lors du One Forest Summit, prévu à Libreville.
Sur un tout autre plan, le Président de la République, Chef de l’État, a reçu du 20 au 21 février 2023, Son Excellence Mohamed BAZOUM, Président de la République du Niger, en visite de Travail et d’Amitié dans notre pays.
Au cours de leur entretien, les deux Chefs d’État ont examiné les questions d’intérêt commun et se sont réjouis de leur parfaite convergence de vues sur les questions climatiques et sécuritaires.
Aussi, tenant compte des relations d’amitié et de fraternité ayant prévalu lors de leurs échanges, les deux Chefs d’État ont convenu de redynamiser la coopération bilatérale entre le Gabon et le Niger notamment par l’organisation d’une Commission mixte de coopération.
Par ailleurs, le Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a procédé, le 23 février 2023, à la clôture de la Concertation politique qui s’est tenue durant dix jours et à laquelle les partis politiques et groupements de partis politiques légalement reconnus de la Majorité et de l’Opposition ont pris part.
À cet effet, le Président de la République s’est félicité du bon déroulement des travaux tout en réaffirmant au Conseil des Ministres son engagement de traduire en textes législatifs et réglementaires les recommandations consensuelles entre la Majorité et l’Opposition ainsi que la mise en place d’un Comité de suivi de la Concertation.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LÉGISLATIFS ET RÈGLEMENTAIRES
Le Conseil des Ministres a délibéré sur les Affaires suivantes :
MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES
– le projet de loi autorisant la ratification de la
Convention de l’Union Africaine sur la coopération transfrontalière.
Le présent projet de loi, autorise la ratification de la Convention suscitée aux fins de la mise en œuvre des initiatives du Programme Frontières de l’Union Africaine.
Ce programme vise la promotion de la coopération transfrontalière au niveau local, sous régional et régional, le règlement pacifique des différends frontaliers, y compris la délimitation, la démarcation et la réaffirmation des frontières entre les États Parties.
Le texte indiqué permet ainsi à notre pays d’être partie prenante d’un cadre continental qui œuvre à faciliter le développement des régions frontalières ainsi que la libre circulation des personnes et des biens.
MINISTÈRE DE LA DECENTRALISATION, DE LA COHESION ET DUDEVELOPPEMENT DES TERRITOIRES
– le projet de décret portant attributions, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale de la Coopération Décentralisée.
Le projet de texte indiqué définit le cadre juridique de la Commission Nationale de la Coopération Décentralisée, en abrégé « CNCD », de remplir sa mission en tant qu’instance de régulation qui veille à ce que les actions menées par les collectivités locales avec des partenaires étrangers respectent les engagements internationaux du Gabon et se limitent au domaine de compétence des collectivités locales.
Aussi, ledit projet de texte, définit-il entres autres, les attributions du CNCD, les formes de coopération décentralisée, les règles de régularités, les actes de coopération décentralisée, les conditions d’éligibilité de tout projet de coopération décentralisée internationale.
MINISTÈRE DU COMMERCE, DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, CHARGÉ DE L’ENTREPRENEURIAT NATIONAL ET DE L’ÉCONOMIE SOCIALE
– le projet de loi portant orientation de l’Economie Sociale et Solidaire en République Gabonaise.
Le présent projet de loi, pris en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, s’inscrit dans le cadre de la conception et de la mise en œuvre de la politique du Gouvernement en matière d’Economie Sociale et Solidaire du Gabon.
Ce projet de loi vise la mise en place d’un cadre juridique commun d’orientation nationale pour faire de l’Economie Sociale et Solidaire un secteur à part entière de l’économie nationale qui participe à la création d’emplois et de richesses, notamment la lutte contre la précarité et l’inclusion sociale des populations exerçant dans ledit secteur.
– le projet de décret portant attributions, organisation et fonctionnement du Comité national de Suivi de la Sous-Traitance.
Le présent projet de décret, pris en application des dispositions de l’article 25 de l’ordonnance n° 003/PR/2021 du 26 janvier 2021 portant réglementation de la sous-traitance, ratifié par la loi n° 024/2021 du 29 novembre 2021 s’inscrit dans le contexte des réformes juridiques de promotion des Petites et Moyennes Entreprises et de la volonté du Gouvernement de leur faciliter l’accès à la sous-traitance des marchés publics.
Le Comité national de Suivi de la Sous-Traitance aura pour objectif de suivre l’exécution des politiques gouvernementales en matière de sous-traitance.
A ce titre, le Comité national de Suivi de la SousTraitance est chargé, entre autres, de contrôler le respect des principes de la sous-traitance sur les appels d’offre initiés par l’État et les Collectivités locales auprès des administrations compétentes.
Pour son fonctionnement, le Comité national de Suivi de la Sous-Traitance comprend :
– le Comité de Pilotage ; – le Comité technique.
MINISTÈRE DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS.
– le projet de décret portant les modalités relatives à la demande, à la délivrance, à la suspension ou retrait de l’agrément des associations sportives.
Le projet de décret visé pris en application des dispositions de l’article 60 de la loi n° 033/2020 du 22 mars 2021 portant Orientation de la Politique
Nationale du Sport et de l’Éducation physique en République Gabonaise détermine les conditions d’octroi ou de délivrance de l’agrément, de la procédure à suivre par la demande d’octroi et fixe les modalités de suspension et de retrait d’agrément technique.
Ce projet de texte conditionne désormais la délivrance d’un agrément technique pour l’exercice de toute activité par les associations sportives, l’organisation de toute compétition sportive, la construction ou l’édification de toute structure ou infrastructure relative à la pratique des activités physiques et sportives.
Pour la délivrance dudit agrément, le projet de texte en objet définit le régime de l’autorisation préalable conférée au Ministère de la Jeunesse et des Sports.
MINISTÈRE DU TOURISME
– le projet de décret fixant les missions, la composition et l’organisation du Conseil National du Tourisme.
Ce projet de décret, pris en application des dispositions de la loi n° 034/2020 du 22 mars 2021 portant réglementation du Secteur Tourisme en République Gabonaise, vient abroger les décrets n° 1116/PR/MTAT du 24 0ctobre 1981 portant création et attributions d’un Conseil National du Tourisme et n° 001208/PR/MTAT du 10 novembre 1981 portant création et attributions d’un Comité Interministériel du Tourisme.
Aussi, le nouveau cadre juridique porté par la loi susmentionnée opère-t-il la refonte des deux structures en une seule en créant le Conseil National du Tourisme qui regroupera désormais, en plus de départements ministériels concernés, les organisations privées exerçant dans le secteur du tourisme.
Pour son organisation, le Conseil National du Tourisme comprend :
– le Comité Stratégique ; – le Comité technique ; – le Secrétariat Permanent.
MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE LA SECURITE ALIMENTAIRE, CHARGE DE LA VALORISATION DE LA RURALITE
– projet de décret portant attributions, organisation et fonctionnement du Conseil National Semencier.
Ce projet de décret est pris en application de l’article n° 8 de la loi n° 14/2021 du 11 août 2021 portant politique semencière végétale en République Gabonaise.
Le Conseil National Semencier, en abrégé CNS est un organe consultatif chargé de donner un avis sur la commercialisation, le contrôle de qualité, la certification des semences et des obtentions végétales.
À cet effet, le CNS assiste le Ministre de l’Agriculture dans la mise en œuvre de la politique semencière nationale et des règlements des États de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) en la matière.
Pour son fonctionnement le CNS est composé des experts de différents départements ministériels concernés par les activités du secteur semencier, notamment ceux de la Recherche Scientifique, du Commerce et des Eaux et Forêts, des Douanes, du Budget, de l’Agriculture, de la Normalisation et de la Propriété Intellectuelle.
MINISTÈRE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES PARTENARIATS PUBLIS-PRIVES, CHARGE DE L’AMELIORATION DE L’ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES
– le projet de décret portant désignation de l’organe de régulation des contrats de partenariat public-privé et précisant la mission attachée.
Ce projet de décret, pris en application des dispositions de l’article 6 de l’ordonnance n° 009/PR/2016 du 11 février 2016 relative aux partenariats public-privé, vient compléter le dispositif réglementaire existant.
À cet effet, l’Agence de Régulation des Marchés Publics est désignée organe de régulation des contrats de partenariats public-privé.
Par les dispositions dudit projet de texte, l’Agence est chargée du règlement des contentieux non juridictionnels susceptibles de naitre lors de la phase d’attribution des contrats de partenariat public privé, notamment en cas de non-respect des principes de liberté d’accès, d’égalité de traitement, d’objectivité, de concurrence et de transparence des procédures et du respect des règles de bonne gouvernance.
MINISTÈRE DE L’HABITAT ET DE L’URBANISME
– le projet de décret portant réorganisation de la Direction Générale de l’Habitat et du Logement.
– le projet de décret portant réorganisation de la Direction Générale des Travaux Topographiques et du Cadastre.
– le projet de décret portant réorganisation de la Direction Générale de l’Urbanisme et des Aménagements Fonciers.
La réorganisation consacrée par les projets de décret susmentionnés porte sur la redéfinition des attributions et de l’organisation des trois (3) Directions Générales ci-après :
– la Direction Générale de l’Habitat et du Logement, en abrégé DGHL, dont le rôle est de proposer et assurer la mise en œuvre des politiques publiques du Gouvernement dans les domaines de l’Habitat et du Logement.
– la Direction Générale des Travaux Topographiques et du Cadastre, en abrégé
DGTTC, assure la mise en œuvre des politiques publiques du Gouvernement en matière des Travaux Topographiques.
– la Direction Générale de l’Urbanisme et des aménagements Fonciers, en abrégé DGUAF, assure la mise en œuvre des politiques publiques du Gouvernement en matière d’Urbanisme et des Aménagements Fonciers.
Pour leur fonctionnement, les Directions
Générales indiquées se composent ainsi qu’il suit :
– les Services d’appui ;
– les Directions ;
– les Services Territoriaux.
AU TITRE DES MISSIONS-SÉMINAIRES ET CONFÉRENCES
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES
MINISTÈRE DES EAUX, DES FORETS, DE LA MER, DE L’ENVIRONNEMENT, CHARGE DU PLAN CLIMAT ET DU PLAN D’AFFECTATION DES TERRES
Au terme des interventions des membres du Gouvernement relatives à l’organisation du Sommet international One Forest Summit, co-organisé par le Gabon et la France, prévu les 1er et 2 mars 2023 à Libreville, le Conseil des Ministres a pris bonne note des mesures et dispositions prises pour l’organisation dudit Sommet.
Il est à noter que ce Sommet vise à intensifier le dialogue et la coopération entre les trois Bassins forestiers et les pays en développement pour renforcer la préservation et la gestion durable des forêts tropicales en s’appuyant sur les initiatives existantes, mais également en faisant émerger des solutions innovantes.
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :
MINISTÈRE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES ET LES AUTORITES ADMINISTRATIVES INDÉPENDANTES
SÉNAT
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL
– Secrétaire Général Adjoint : M. Loïck Albert MICKOTO, précédemment Directeur Général des Services législatifs, en remplacement de Madame ANGUE BIYOGO Brigitte, admise à faire valoir ses droits à la retraite.
MINISTÈRE DE L’EMPLOI, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DU TRAVAIL
CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : Mme. Yémalin Victoire
HOUNGBEDJI épouse OGOUEBANDJA
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE
CABINET CIVIL DU MINISTRE
– Conseiller Diplomatique : M. Eugène Williams
MENSAN.
– Conseiller technique : Mme Brigitte OTOUMOLONGUI.
MINISTÈRE DU COMMERCE, DES PETITES
ET MOYENNES, CHARGÉ DE
L’ENTREPRENEURIAT NATIONAL ET DE
L’ÉCONOMIE SOCIALE
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL
– Chargés d’Études :
DIRECTION GÉNÉRALE DU COMMERCE
– Secrétaire Particulière du Directeur Général :
Mme Patricia ABENG NDONG.
DIRECTION DES INSPECTIONS ET DU CONTENTIEUX
– Directeur : M. Jerry MAKANGA.
– Directeur Adjoint : Mme Sandra Leaticia ZENG.
– Chef de Service des Inspections et Enquêtes Commerciales : M. BOUBA MOUHAMADOU.
DIRECTION DU COMMERCE EXTÉRIEUR
– Directeur : Mme Georgina MEKUI MENGUI.
– Chef de Service Relations Economiques et Commerciales Internationales : M. Louis Stéphane AUNOUVIET NZINGA.
– Chef de Service Commerce des Services : Mme Marina GNINGONE.
– Chef de Service Règlementation Enquête Commerciale : M. Jean Daniel BILO’O TSINGA.
CELLULES DE SUIVI
– Responsables :
DIRECTION DU COMMERCE INTÉRIEUR
– Directeur : Mme Horpy Chancia OBONE ASSOUMOU épouse EBACKAUD.
– Chef de Service Règlementation : Mme Ernestine BIDZIME ANGO.
BUREAU DE COMMERCE ZONE
INDUSTRIELLE DE NKOK
– Chef de Bureau : M. Hudes MBA MINKO.
– Chef de Bureau Adjoint : Mme Angèle AVEYRA.
MINISTÈRE DU PETROLE ET DU GAZ
SOCIÉTÉ GABONAISE D’ENTREPOSAGE DES PRODUITS PETROLIERS (SGPP)
DIRECTION GÉNÉRALE
– Conseillers du Directeur de Général :
Par ailleurs, M. Balthazar MBADOU, précédemment Conseiller du Directeur Général, est remis à la disposition de son administration d’origine
GAB’OIL
DIRECTION GENERALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Serge Mesmin MBELE.
MINISTÈRE DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS
OFFICE NATIONAL DE DEVELOPPEMENT DES SPORTS ET DE LA CULTURE
– Directeur Administratif et Financier : M. Ange Sylvère DIECKO.
MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE
NUMERIQUE
CABINET DU MINISTRE
– Conseiller Diplomatique : Mme Simone
Prudence MANDEME MOUKENZA
MINISTÈRE DU BUDGET ET DES COMPTES PUBLICS
CAISSE DES PENSIONS DES PENSIONS ET DE PRESTATIONS FAMILIALES (CPPF)
DIRECTION GÉNÉRALE
– Conseiller du Directeur Général : Mme Inelle Brenda EPOUTA épouse ANEGUE OKILI.
MINISTÈRE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS DES PARTENARIATS
PUBLICS-PRIVES, CHARGE DE
L’AMELIORATION DE
L’ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES
CABINET DU MINISTRE
– Directeur de Cabinet : M. Levi Martial MIDEPANI.
– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme.
Jennifer MBOMA.
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme. Lucile Hélène NTSAME OBIANG épouse ABOGHE.
– Conseiller Juridique : Mme. Gislaine NGOUA OBIANG épouse APANGA.
– Conseiller en Communication : M. Aimé Sancerre NZIENGUI.
– Conseiller Financier : M. Yann Steeve MEFANRE.
– Conseiller Diplomatique : M. Barthélémy LEBOUSSI.
– Conseiller technique en Charge de la Promotion des Investissements et de l’Amélioration du Cadre des Affaires : M.
Arthur LONDO PANGO.
– Conseiller technique en Charge des Partenariats Privés – Publics : M. Jeff BOUBANGA MIGOLET.
– Secrétaires de Cabinet :
Mmes.
– Chargé d’Études : M. Cléophas IKOUYOU BIYOKELA.
– Chargée d’Études : Mme. Grace Valencia KIKI FOUROU.
– Chargé de Missions : M. Kevin YOSSANGOYE MOUNIENGUET.
– Chargée de Missions : Mme. Fatoumata Annette CONDE MBENGA.
– Chef du Protocole : M. Lilian Hulrich MOUANDZA.
– Aide de Camp : Sergent-chef Major Yannick
MEYO ME NDONG.
-Agents de Sécurité :
– Chauffeur Particulier du Ministre : M.
Pamphile EYI MEZUI.
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE CHARGÉ DE LA FORMATION CIVIQUE
CABINET DU MINISTRE DÉLÉGUÉ
– Directeur de Cabinet : M. Serge Célestin DELICAT.
– Secrétaire Particulière : Mme D’Avila Bénédicte ONGOUNDOU.
– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet :
– Secrétaires de Cabinet :
– Chargés d’Études : MM. :
-Chef du Protocole : M. Budelu Teddy PAMBO -
BOUANGA.
– Chargés de Missions :
– Aide de Camp : Maréchal des Logis Chef Landry MAVOUNGOU.
– Agents de Sécurité :
– Chauffeur Particulier du Ministre Délégué :
Judicaël Eric MIKODJI IPOUMA.
MINISTÈRE DE L’ÉNERGIE ET DES
RESSOURCES HYDRAULIQUES
SOCIÉTÉ D’ÉLECTRICITÉ DE TÉLÉPHONE ET
D’EAU DU GABON (SETEG)
DIRECTION GÉNÉRALE
– Directeur Général Adjoint : M. Jean Martin
MANDAULT.
CONSEIL NATIONAL DE L’EAU ET DE L’ÉLECTRICITÉ (CNEE)
DIRECTION GÉNÉRALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Blaise EDIMO.
MINISTÈRE DES TRANSPORTS
CONSEIL GABONAIS DES CHARGEURS
DIRECTION GÉNÉRALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Jean Louis MAGANGA.
OFFICE DES PORTS ET RADES DU GABON
DIRECTION GÉNÉRALE
– Conseiller du Directeur Général : Mme Virginie BAKISSI PEMBA
MINISTÈRE DE L’HABITAT ET DE
L’URBANISME
INSPECTION GÉNÉRALE DES SERVICES
– Inspecteur Général des Services : Mme Mariam Stella NDZEDI NGOMA.
– Inspecteur Général des Services Adjoint : M.
Jean-Baptiste OBAME NTOUTOUME.
– Inspecteur : M. Vincent ZUE.
SECRETARIAT GENERAL
– Chargé d’études : M. Giscard PEME.
DIRECTION CENTRALE DES AFFAIRES JURIDIQUES
– Directeur : M. Fabrice EKEGUE
BIYOGHO
– Directeur Adjoint : M. Théodore MATHA
ME KWAOU.
DIRECTION CENTRALE DE LA COMMUNICATION
SERVICE PORTAIL DU MINISTÈRE ET COMMUNICATION ELECTRONIQUE
– Chef de Service : Mme Endurance
MENGUE M’ONDO.
DIRECTION GÉNÉRALE DE L’URBANISME ET DES AMÉNAGEMENTS FONCIERS
– Directeur Général : Mme Célestine MBOUMBOU BOUANGA.
– Directeur Général Adjoint : M. Christian Doris EBANG MBA.
DIRECTION CENTRALE DES RESSOURCES HUMAINES
SERVICE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES
– Chef de Service : M. Guy Serge EFO.
DIRECTION GÉNÉRALE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE
– Directeur Général : M. Modeste MBOUMBA NZIENGUI.
– Directeur Général Adjoint : M. Didier
MOUNDZIEGOU.
SERVICE DES PROCÉDURES
D’ATTRIBUTION DES TERRAINS
– Chef de Service : M. Franck Alain EVOUEMENZEING.
DIRECTION GÉNÉRALE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT
– Directeur Général : M. Jacob Eric TSINGA.
– Directeur Général Adjoint : M. Jean Pierre MIBESSI.
DIRECTION GÉNÉRALE À LA VILLE
– Directeur Général : M. André OGNANE EBANG.
– Directeur Général Adjoint : M. Judicaël
TSOUMBOUNGOULOU.
DIRECTION GÉNÉRALE DE L’OBSERVATOIRE URBAIN
– Directeur Général : M. Yvon P. L.
NZIENGUI.
– Directeur Général Adjoint : Mme Corine
NTOUTOUME OWONE.
SERVICES DECONCENTRES
DIRECTION PROVINCIALE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE DE L’ESTUAIRE
SERVICE DÉPARTEMENT DU KOMO
KANGO :
– Chef de Service : M. Fortunin Gatien
MAYOMBO.
SERVICE DÉPARTEMENT DU KOMOMONDAH
SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE
– Chef de Service : Mme DJAMILATOU.
SERVICE DE L’URBANISME ET DES
AMÉNAGEMENTS FONCIERS
– Chef de Service : M. Lain Ulrich NGONSSAGA MOUKOKOULO,
Ingénieur des Techniques Urbaines.
SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT
– Chef de Service : M. Cherif Boubacar BODIAN OKAMBA, Ingénieur des
Techniques Topographiques.
SERVICES DE LA LÉGISLATION ET DU CONTENTIEUX
– Chef de Service : Mme Marlyse Colombe MITSIGHAMISSILI, Ingénieur des Techniques Urbaines.
DIRECTION PROVINCIALE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE DU HAUT-OGOOUÉ
SERVICE DÉPARTEMENT DE LA LÉBOMBI-LEYOU
– Chef de Service : M. Sédric Régis
ITOUMBA, Technicien Topographe ;
SERVICE DÉPARTEMENT DE LÉCONILEKONI
– Chef de Service : M. Arnold Lun Dorus YAKA, Technicien Topographe.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DES PLATEAUX
– Chef de Service : M. Guy Aimé OBAME, Ingénieur des Techniques Géomètre et Analyste Programmeur.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE LA MPASSA
SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE
– Chef de Service : M. Wenceslas ABAGHA MEYE, Ingénieur des Techniques
Topographiques.
SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMÉNAGEMENTS FONCIERS
– Chef de Service : M. Arnaud BOUKA,
Ingénieur des Techniques Urbaines ;
SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT
– Chef de Service : M. Leger MOUABY
EKANGUI, Technicien Urbaniste
SERVICE DE LA LÉGISLATION ET DU CONTENTIEUX
– Chef de Service : Mme Léaticia MOUBOUYI BOUPEMA KOUAMINA,
Ingénieur des Techniques Urbaines.
DIRECTION PROVINCIALE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE DU MOYEN-OGOOUÉ
– Directeur Provincial : M. Constant MENGUE NDONG, Architecte Urbaniste.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE L’ABANGABIGNÉ
– Chef de Service : M Kevin Boris MOUNANGA, Ingénieur des Techniques
Génie-Civil.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE L’OGOOUÉ DES LACS
SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE
– Chef de Service : M. Edgar Vianney ONDO MBENG.
SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMÉNAGEMENT FONCIERS
– Chef de Service : M. Sosthène ENGOUNA ONTSANGA, Ingénieur des Techniques Urbaines.
SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT
– Chef du de Service : M. Roland TSONGA, Ingénieur Urbaniste.
SERVICE DE LA LÉGISLATION ET DU
CONTENTIEUX
– Chef de Service : Mme Olaf-Leri-Fatina
M’VABOUA-NTSANTOU, Ingénieur des
Techniques Urbaines.
DIRECTION PROVINCIALE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE DE LA NGOUNIÉ.
– Directeur Provincial : M. Herman Vivien PENGA PEPPE.
SERVICE DÉPARTEMENT DE LA LOUETSIWANO :
– Chef de Service : M. Arlien LEKANDA, Ingénieur des Techniques Topographiques.
SERVICE DÉPARTEMENT DE LA DOLA :
– Chef de Service : M. Fortunin Gatien
MAYOMBO.
SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE
– Chef de Service : M. Borel Audiberthy NVOUMBI NGOUBILI, Ingénieur des
Techniques Topographiques.
SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMÉNAGEMENTS FONCIERS
– Chef de Service : Mme Flore Natacha LOUNDOU, Ingénieur des Techniques Urbanismes.
SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT :
– Chef de Service : M. Constant Esdras BOUMBOU, Technicien Topographe.
SERVICE DE LA LÉGISLATION ET DU CONTENTIEUX
– Chef de Service : M. Fleur Edo BIBOUTOU BIKOUATI, Ingénieur Géomètre.
DIRECTION PROVINCIALE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE DE LA NYANGA.
– Directeur Provincial : M. Délys Thierry
WALKER TEMA.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE LA BASSEBANIO
– Chef de Service : M. Réné BABALA.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE MOUGOUTSI
– Chef de Service : M. Abraham NZAMBA, Ingénieur des Techniques Topographiques.
SERVICE DE L’URBANISME ET DES
AMÉNAGEMENT FONCIERS
– Chef de Service : Mme Chery Hermélinda MAGUENDJI NZENGUI, Ingénieur des
Techniques Urbaines.
SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT
– Chef de Service : M. Aristide MACKOLANY, Technicien
Topographique.
SERVICE DE LA LÉGISLATION ET DU CONTENTIEUX
– Chef de Service : M. Landry Chanel BEKAKAYE BONGOUDA, Technicien
Urbanisme.
DIRECTION PROVINCIALE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE DE L’OGOOUÉ-IVINDO
– Directeur Provincial : M. Igor Davy BABOLONGO, Ingénieur des Techniques Géographes et Urbaines.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE LA LOPÉ
– Chef de Service : M. Germain IDIATA, Ingénieur des Techniques en Génie Civil.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE L’IVINDO
SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRES.
– Chef de Service : M. Porcel MAYI TSAMBA, Ingénieur des Techniques
Topographiques.
SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMÉNAGEMENTS FONCIERS
– Chef de Service : M. Gauthier Bérole KOUNGOU, Ingénieur des Techniques
Urbaines.
SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT :
– Chef de Service : M. Eddy NZAMBA OKENKALI, Technicien Topographe.
SERVICE DE LA LÉGISLATION ET DU CONTENTIEUX :
– Chef de Service : M. Aimé Serge MABIKA MAGANGA, Ingénieur des Techniques
Urbaines.
DIRECTION PROVINCIALE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE DE L’OGOOUÉ-LOLO
– Directeur Provincial : M. Axel Térence POUGHIDI NDZONGHA, Ingénieur
Economiste et de la Statisticien Urbaine.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE MULUNDU
– Chef de Service : Mme Pamela Karen MABOUMANA, Ingénieur des Techniques Urbaine
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE LA LOMBO-
BOUENGUIDI
– Chef de Service : M. Armel Gaëtan TEMBO LIBINDZOU, Technicien Urbaniste.
SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE
– Chef de Service : M. Thierry MOUANDZA, Ingénieur des Techniques Topographiques.
SERVICE DE L’URBANISME ET DES
AMÉNAGEMENTS FONCIERS
– Chef de Service : M Alain MABADIKA ABUI, Ingénieur des Techniques Urbaines.
SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT
– Chef de Service : M. Elie Arnaud MOUSSAVOU MOUKETOU, Ingénieur des Techniques, Génie Civile et Bâtiment.
SERVICE DE LA LÉGISLATION ET DU CONTENTIEUX
– Chef de Service : M. Boris Roger NGOUA ESSONO, Ingénieur des Techniques Topographiques.
DIRECTION PROVINCIALE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE DE L’OGOOUÉ-MARITIME
SERVICE DÉPARTEMENTAL D’ETIMBOUÉ
– Chef de Service : Mme Vera Benedy BARASSOUAGA, Ingénieur des Techniques Urbaines.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE NDOUNGOU
– Chef de Service : M. Lilian Ulrich RENGOLA AULELEY, Ingénieur des
Techniques Topographiques.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DE BENDJÉ
– Chef de Service des Travaux Topographiques et du Cadastre : M. Guillaume Narvelin LEMBODJOH, Ingénieur des Techniques Topographiques.
SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMÉNAGEMENTS FONCIERS
– Chef de Service : M. Gaël Junior MVOULA OYOUGUI, Ingénieur des Techniques Urbaines
SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT
– Chef de Service : M. Cyriaque MADOUNGOU BOUDOUNGA,
Technicien Topographe.
SERVICE DE LA LÉGISLATIVE ET DU CONTENTIEUX
– Chef de Service : Mme Audrey
MOUGHOLA, Technicien Urbaines.
DIRECTION PROVINCIALE DE L’HABITAT, DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE DU WOLEU-NTEM
– Directeur Provincial : M. Anicet MOMBO, Ingénieur Géographe Urbaine.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DU NTEM
– Chef de Service : M. Franck Nicaise MBOUISSOU, Technicien Topographe.
SERVICE DÉPARTEMENTAL D’OKANO
– Chef de Service : M. Franklin BE-MBA, Technicien Géomètre.
SERVICE DÉPARTEMENTAL DU WOLEU SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE
– Chef de Service : Mme Marie Jules KOUSSOU, Ingénieur des Techniques Topographiques.
SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMÉNAGEMENTS FONCIERS
– Chef de Service : M. Soumaré KOMBILA MOUSSA, Ingénieur des Techniques Urbaines.
SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT
– Chef de Service : M. Roger BIPOLO, Technicien Topographe.
SERVICE DE LA LÉGISLATION ET DU CONTENTIEUX
– Chef de Service : Mme Flore Vanessa NZIENGUI, Ingénieur des Techniques Urbaines.
AGENCE NATIONALE DE L’URBANISME,
DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE
DIRECTION GÉNÉRALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Franck
IGNANGA IGNANGA.
MINISTÈRE DES MINES ET DE LA GEOLOGIE
CABINET DU MINISTRE
Directeur de Cabinet :
Mme Sandra Satisse CHEYI – Conseiller en Communication : Mme Anna Claire OGANDAGA
– Conseiller Diplomatique : M. Walker Yondzie NDJILA
– Conseillers Techniques :
MM.
– Serge MIKALA;
– Serge ABOUMA SIMBA ;
– Elvis Camille LEKOUEDE ;
– Justin AKUE
Chargés d’Études : MM.
– Loïc ZOTTA ;
– Igor Béranger SANGANGOYE OSSIBA
– Chef du Protocole : M. Gilles MOUSSADJI
– Aide de Camp : M. Tony MBOU SALAMBA – Agents de Sécurité :
MM.
– Chargés de Missions :
MM.
Secrétaire Particulière du Ministre :
– Mme Nancy EBOLI
Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet :
– M. Ken PagnyMOUTOU
Secrétaire de Cabinet :
– Mme Alix Correze OUANDZIE
ESSONGUE
Agent de Sécurité :
Chauffeur Particulier :
– M. Ulrich MAKANGUI MIHINDOU
SECRETARIAT GENERAL
CABINET DU SECRETAIRE GENERAL
– Chargés d’Études :
– Secrétaire Particulière : Mme Viviane YOUNGHOU.
SOCIÉTÉ ÉQUATORIALE DES MINES DIRECTION GÉNÉRALE
– Conseiller du Directeur Général : M. Kevin
MEYE
MINISTÈRE DE LA COMMUNICATION
RADIO GABON
– Directeur Général : M. Elmuth MOUTSINGA BOULINGUI.
AGENCE GABONAISE DE PRESSE (AGP)
– Administrateur Directeur Général : M. Nick Jocelyn Blampain FOUBA.
Je vous remercie
En présentant ce 27 février 2023, sa politique pour l’Afrique, le président de la République française a tenu à lever toute équivoque sur les véritables raisons de son arrivée à Libreville dans les jours prochains. « Je ne viens pas faire un déplacement électoraliste. Et d’ailleurs, on parle à tout le monde, y compris aux opposants, et on continuera de le faire », a affirmé Emmanuel Macron en réponse à la question de savoir s’il entendait les critiques faites sur sa venue au Gabon à quelques mois de la présidentielle.
En effet, si le président français vient à Libreville pour le One Forest Summit, co-organisé les 1er et 2 mars par la France et le Gabon, des Gabonais membres de l’opposition ou de la société civile soutiennent que ce déplacement est fait à des fins politiques. Pour ces derniers, il est question de soutenir le président de la République, Ali Bongo Ondimba, dans la perspective de la prochaine élection présidentielle prévue en aout prochain.
« Pour moi, l’objectif de ce sommet, et c’est pourquoi j’assume pleinement de le faire maintenant, comme on en a pris l’engagement à Charm el-Cheikh (en Égypte NDLR), c’est d’abord de mettre en place nos objectifs des différentes COP et surtout de réussir à valoriser le capital naturel dont ces économies (des pays du bassin du Congo) disposent à profusion. Et c’est l’un des grands paradoxes. On sait rémunérer les reforestations dans nos modèles nationaux et internationaux. Mais, on rémunère très mal le fait de protéger ce qu’on a, ces réservoirs de biodiversité », a expliqué le président français.
En effet, le One Forest Summit a pour objectif de donner aux grands pays forestiers des solutions « très concrètes » pour leur permettre de tirer des bénéfices économiques de politiques protectrices des forêts. Il est notamment question de rémunérer les pays qui réduisent la déforestation ou reboisent et augmentent ainsi les capacités de séquestration de leurs forêts (Redd+).
Le One Forest Summit mobilise tous les acteurs engagés dans la protection des forêts (États, organisations internationales, chercheurs, entreprises, financiers, ONG…).
Sandrine Gaingne
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