Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Le ministre gabonais des Travaux publics, de l’Équipement et des Infrastructures, Léon Armel Bonda Balonzi a échangé ce 21 juin 2022 avec les responsables de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) du Maroc, en présence des membres de la Caisse de dépôt et de consignation (CDC) du Gabon. Les échanges ont porté sur les aspects liés à la construction d’une cité moderne dans la commune de Ntoum.

Les responsables de la CDG ont présenté au membre du gouvernement leur expertise en matière de construction de nouvelles villes ou de cités administratives afin d’accompagner le Gabon dans la réalisation des projets. « L’idée est de partager l’expérience du Maroc dans la réalisation de ce genre de projet. Il s’agit d’une ville nouvelle en banlieue de Libreville », a déclaré Mohessine Semmar, membre du directoire Groupe CDG Maroc.

La CDC, promotrice du projet Movingui, dispose de plusieurs hectares à Okolassi dans le département du Komo-Mondah pour bâtir une ville. « Il s’agit donc d’un site de 385 ha situé dans la commune de Ntoum au lieu-dit Okolassi. Ces 385 ha ont vocation à évoluer pour atteindre les 500 ha. Cette ville va être développée par la Caisse de dépôt et de consignation », a indiqué Jean Blaise Ipedissy, secrétaire général de la CDC avant d’ajouter, « c’est dans le cadre de ses missions régaliennes que la direction générale de la Caisse de dépôt et de consignation a sollicité la Caisse de dépôt et gestion du Maroc pour partager avec elle sa longue expérience de plus de 60 ans ».   

Créée en 1959, la Caisse de dépôt et de gestion du Maroc est une institution financière publique qui gère l’épargne à long terme au Maroc. C’est un important investisseur dans le pays, qui possède de nombreuses filiales opérant dans divers secteurs de l’économie. Pour le projet Movingui à Okolassi, les trois parties se retrouveront très prochainement autour d’une table pour examiner les aspects techniques en vue de sa réalisation, apprend-on.

Brice Gotoa

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L’ambassadeur du Gabon au Maroc, Sylver Aboubakar Minko Mi Nseme, a reçu en audience, le 20 juin, Kamal Ben Addou Idrissi, directeur général de la société marocaine Etafat spécialisée dans les travaux topographiques et géomantiques (traitement informatique des données géographiques).

« Cette société qui opère déjà dans plusieurs pays africains est intéressée par le marché gabonais. Cette audience a donc permis aux deux personnalités d’échanger sur les potentialités d’investissement qu’offre le Gabon dans le domaine de la géomantique », apprend-on.

Pour l’heure, peu de détails filtrent de cet entretien. Mais, Etafat ouvre les discussions avec les autorités au moment où le Gabon exécute le Plan d’affectation des terres qui nécessite un travail de cartographie et de géomatique afin d’identifier les lots qui ont déjà été attribués comme permis forestier, ceux qui sont plus ou moins dégradés, ceux qui sont fertiles, etc. Ceci afin d’avoir des données fiables sur l’état réel des forêts au Gabon. C’est à partir de cet état réel, expliquent les autorités, que le pays peut gérer plus facilement les forêts et le développement agricole qui demande l’affectation des terres.

Depuis 1983, Etafat apporte son savoir-faire technique et une compétence dans les métiers du foncier, du conseil et de l’ingénierie, de la data géospatiale et des systèmes d’informations géographiques pour accompagner ses clients dans la sécurisation foncière.

S.A.

Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et la Commission nationale pour les réfugiés (CNR) envisagent d’autonomiser les réfugiés au Gabon. L’information a été donnée par l’ambassadeur itinérant de la Commission nationale pour les réfugiés, Évelyne Otsobogo, à l’occasion de la journée mondiale des réfugiés le 20 juin 2022.

Souvent confrontés aux problèmes d’emploi, apprend-on, les réfugiés peinent à se prendre en charge. L’ambassadeur de la CNR souhaite leur donner la possibilité de bénéficier d’un appui et d’un accompagnement technique de l’incubateur national Cyberschool-Entrepreneuriat. L’objectif étant d’assurer leur autonomisation par le biais des formations en entrepreneuriat et la mise en place des activités génératrices de revenus.

« Les réfugiés sont des personnes qui, lorsqu’elles arrivent, ont des besoins. C’est la raison pour laquelle nous avons voulu échanger avec Cyberschool dans le cadre justement de leur autonomisation. Que cette structure nous parle des activités qu’elle mène pour le bien de toutes les personnes y compris les réfugiés », a déclaré Évelyne Otsobogo.

Selon l’ambassadeur de la CNR, le Gabon compte près de 350 réfugiés et de demandeurs d'asile répartis dans toutes les provinces du pays. Le HCR entend œuvrer pour améliorer leur condition de vie. « Il y a des réfugiés qui ont des projets ou des idées à développer. Et nous à Cyberschool, avons des outils appropriés pour ça », a indiqué Eugène Willy Assoumou Ndong, directeur général de Cyberschool.

Au cours de cette journée, il a été question de présenter aux réfugiés un outil de business plan développé par Cyberschool et utilisé par l’État à travers l’Office national de l’emploi (ONE). Cet outil permet de monter des projets en un temps record.

Brice Gotoa

Le Gabon, en collaboration avec l’Union africaine et la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (Ceeac), célèbre du 22 au 24 juin 2022 dans la zone des trois frontières Gabon-Cameroun-Guinée Équatoriale, la 12e édition de la Journée africaine des frontières.

Selon le ministère gabonais de l’Intérieur, les manifestations y relatives auront lieu dans les villes frontalières d’Ambam au Cameroun à travers une concertation des acteurs locaux des trois États membres de la Ceeac, et une foire exposition au lieudit « marché mondial ». À Ebébiyin en Guinée équatoriale, il sera organisé un atelier de sensibilisation sur le renforcement de la résilience des zones frontalières et un plaidoyer pour la ratification de la Convention de Niamey sur la coopération transfrontalière à Bitam, au Gabon. Ladite Convention adoptée en 2014 par l’Union africaine vise à promouvoir la coopération transfrontalière et à garantir le règlement pacifique des différends frontaliers.

En choisissant la zone des trois frontières pour abriter cette célébration, explique le ministère de l’Intérieur, l’Union africaine et la Ceeac veulent soutenir la promotion de la paix et l’intégration régionale par la coopération transfrontalière. Le thème de cette année est : « le développement économique et social des zones frontalières à travers la ratification et la mise en œuvre de la Convention de l’Union africaine sur la coopération transfrontalière dite Convention de Niamey ».

Pour le ministre de l’Intérieur, Lambert-Noël Matha, la paix dont jouissent certains pays d’Afrique centrale est largement tributaire de la contribution des plus hautes autorités du Gabon en tête desquelles, le président de la République, Ali Bongo Ondimba. « La paix nous la voulons tant à l’intérieur de notre territoire qu’avec nos voisins avec lesquels nous partageons une communauté de destin », déclare M. Matha.

S.A.

En crise financière depuis plusieurs années, la Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale (Cnnii) espère sortir la tête de l’eau d’ici l’année prochaine. Au cours du conseil d’administration tenu le 17 juin dernier à Libreville, les dirigeants de la Cnnii ont énuméré des pistes de solutions pour éviter la faillite à cette compagnie qui n’est plus rentable depuis quelques années.

Premièrement, l’accord de partenariat signé le 11 mai dernier avec le groupe Seamed France qui va permettre de renforcer sa flotte et ses équipements. Selon le président du conseil d’administration de la compagnie, il est notamment prévu, dans un premier temps, que la société française appuie la Cnnii de trois bateaux. Notamment, un FCT, une barge avec pousseur et un bateau rapide. « Ils vont nous apporter les équipements. Ça, c’est acté. Il faut maintenant discuter avec les autorités de la République sur le cadre global de cette joint-venture ou de la future co-entreprise. Nous pensons qu’au quatrième trimestre 2022, les équipements seront là », a expliqué Oumarou Baba Toukour, le président du conseil d’administration de la Cnnii. À en croire ce dernier, les responsables de Seamed France seront à Libreville cette semaine pour confirmer les perspectives de l’arrivée des navires et de la logistique.

Ensuite, la question des équipements et de la logistique a été abordée. Sur cette question, le Sette-Cama, bateau d’une capacité de 350 passagers et 700 tonnes de fret, a connu une restructuration « totale » au chantier naval de Port-Gentil, mais sa sortie reste tributaire aux décaissements des crédits alloués à la Cnnii par l’État pour sa réhabilitation, apprend-on. Le Ntchengue Express, l’autre bateau à l’arrêt depuis 2019, a reçu de nouveaux moteurs acquis en Inde, et est en attente de financement pour sa réhabilitation. Le retour de ces bateaux dans la flotte de la Cnnii permettra de redynamiser le service du transport maritime.

Concernant sa dette à ses fournisseurs que sont notamment les conseils départementaux de Ndougou et du Como Océan, la Cnnii prévoit d’aller vers eux afin de « voir comment échelonner les créances et également négocier les enveloppes de ces créances, parce qu’il faut négocier avec eux », précise le PCA.

Aujourd’hui, en dehors de l’accord avec Seamed France, la Cnnii compte sur les financements de l’État pour être rentable d’ici 2023. Car, sans l’appui de l’État, elle risque la banqueroute. « La Cnnii est aujourd’hui au bord du naufrage, cette situation est inacceptable, l’État doit faire quelque chose, cette compagnie a besoin d’équipements navals et de logistique portuaire en raison de la forte demande en transport naval de personnes et de biens, pour redonner de la viabilité à cette société d’État. Car aucune croissance n’est possible si les bateaux et la logistique portuaire sont inexistants ou totalement obsolètes », a déploré le Colonel Allyanoh Mouenzi Mouenzi, représentant du ministre des Transports lors du conseil d’administration de la Cnnii du 17 juin dernier.

Lancée en 2013, la Cnnii est l’armement national de droit public dont l’activité principale est le transport des biens et de personnes par voie d’eau. Cette société publique assure notamment le transport des passagers et des marchandises entre Libreville et Port-Gentil. Elle a pour responsabilité le développement des activités de transport maritime et en eaux intérieures.

SG

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Lancée le 1er juin dernier, la campagne de ramassage des bouteilles en plastique dans le Grand Libreville s’est achevée ce 20 juin 2022 à la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok. Selon le Haut-commissariat à l’environnement et au cadre de vie, initiateur de cette opération dénommée « Challenge bouteilles plastiques », 3,8 millions de bouteilles en plastique ont été collectées à la fin du concours le 10 juin dernier, soit 30 tonnes.

« Ce challenge a mobilisé massivement les populations du Grand Libreville avec un réel engouement jamais égalé. C’est un véritable succès qui doit donc perdurer et se déployer sur l’ensemble du territoire national. C’est un challenge réussi par tous et avec le concours de tous », a déclaré Michel Stéphane Bonda, ministre délégué des Eaux et Forêts.

Ces bouteilles plastiques feront l’objet de recyclage par la société chinoise Jia Ming Plastics Manufacturing, spécialisée dans le recyclage des déchets plastiques au Gabon. « Cette campagne vient donc répondre à un double objectif : participer à la préservation de l’environnement en instaurant une économie circulaire et en fournissant de la matière première à l’opérateur Jia Ming Plastics Manufacturing », a expliqué Anne Nkene Biyo’o, administrateur général de la ZES de Nkok.

Pour les autorités, cette opération avait pour objectif d’associer les populations à la lutte contre la pollution plastique. Ainsi, des récompenses ont été décernées aux meilleurs collecteurs de chaque arrondissement. « La collecte des bouteilles plastiques est mon activité au quotidien. Par jour, je fais 300 kilos à moi seul. Je travaille avec Jia Ming Plastics Manufacturing depuis le 20 septembre 2021. C’était une aubaine pour moi lorsqu’ils ont lancé ce concours parce qu’avec Jia Ming Plastics Manufacturing c’est 25 bouteilles à 100 FCFA. Or avec ce challenge, c’était à 10 FCFA la bouteille. C’était une occasion pour moi de valoriser mes compétences », a expliqué Régis Nnang Nnang, meilleur collecteur honoré pour avoir collecté plus de 96 000 bouteilles plastiques.

Les meilleurs collecteurs de bouteilles dans chaque mairie d’arrondissement ont bénéficié d’une récompense de 500 000 FCFA pour le premier prix, 200 000 FCFA pour le deuxième et un bon d’achat d’une valeur de 50 000 FCFA pour le 3e.

Brice Gotoa

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Une légère reprise de la pandémie de la Covid-19 est observée depuis quelques semaines au Gabon, informe le Comité de pilotage du plan de veille et de riposte contre l’épidémie à Coronavirus au Gabon (Copil).

En effet, la situation épidémiologique du pays indique une remontée progressive des cas de contamination passant de 6 nouveaux cas au début du mois de mai à 27 cas pour la période allant du 29 au 31 mai. Et dans la période du 9 au 15 juin 2022, 108 cas ont été enregistrés. À raison de 90 dans l’Estuaire, 16 dans l’Ogooué Maritime et 2 dans la Ngounié.

« Bien que cet indicateur de l’épidémie reste en dessous du seuil d’alerte et que les chiffres d’admission en réanimation et de décès restent à zéro, ce sursaut épidémique nous rappelle que l’épidémie est loin d’être derrière nous en dépit de la levée des mesures restrictives et nous interpelle à une extrême prudence », rappelle le Copil.

Raison pour laquelle le Copil recommande aux populations d’appliquer les mesures barrières comme le port de masque dans les espaces clos, les transports en commun et les mesures d’hygiène appropriées.

SG

Le ministre de la Promotion des investissements, Hugues Mbadinga Madiya, a reçu le 17 juin à Libreville, une délégation de la Société financière internationale (SFI), filiale de la Banque mondiale.

« Il était question de regarder les avancées faites sur le projet de loi portant réglementation du cadre juridique et fiscal de la loi sur le crédit-bail au Gabon », apprend-on. Le ministère explique que ce projet de loi permettra de mettre en place un dispositif juridique « très important ». Car, il répond à la volonté du président de la République, Ali Bongo Ondimba, d’améliorer l’environnement des affaires dans le pays afin que celui-ci offre une attractivité et réponde aux préoccupations des investisseurs.

Aussi, les recommandations issues de ces échanges entre le gouvernement et le partenaire financier sur les problématiques juridiques et fiscales de ce projet de loi permettront, in fine, de financer à travers l’investissement direct étranger l’économie gabonaise, et les PME locales, source de création d’emplois et d’amélioration du cadre de vie.

Pour rappel, depuis 2008, la SFI œuvre à rendre le secteur du crédit-bail viable et pérenne, afin que ce produit soit une solution de financement fiable. Car, indique-t-on, bien qu’elles créent environ 60 % des emplois dans les économies en voie de développement, les petites entreprises accèdent difficilement à des financements.

Au Gabon, le ministère de l’Économie indique une baisse de 22,9 % des opérations de crédit-bail dont l’encours s’élève à 15 milliards de FCFA à fin 2021 contre 19,5 milliards un an plus tôt. À fin décembre 2021, le marché du secteur des établissements financiers comptait deux personnes morales, à savoir : Alios Finance Gabon et Finatra, qui ont pour principale activité le crédit automobile, le crédit-bail et le crédit d’équipement.

S.A

A l’occasion de la 12e conférence ministérielle de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) tenue à Genève du 12 au 17 juin, le ministre gabonais en charge du Commerce, Yves Fernand Manfoumbi, a exposé la problématique de l’accès aux matières premières au Gabon, comme dans d’autres pays en développement.

« En matière de sécurité alimentaire, le Gabon est un pays importateur net des produits alimentaires. Il subit à l’instar des autres pays en développement, les difficultés actuelles liées à la flambée des prix des matières premières et de l’explosion du fret maritime, ce qui entraîne inéluctablement une hausse importante de la facture des importations en général, et celle des produits alimentaires en particulier », a déclaré le membre du gouvernement.

En guise de solutions à cette situation, le ministre gabonais a plaidé pour que des règles « justes » de régulation des approvisionnements des marchés soient établies, sans discrimination, et sans omettre les systèmes de production durable afin de préserver les petites économies très vulnérables.

Comme le Gabon, les pays en voie de développement se plaignent des approvisionnements en matières premières depuis la crise du Covid-19 en 2020 et le conflit russo-ukrainien en 2022. Ce qui a le don de renchérir les coûts de production ; d’occasionner la pénurie de certains produits (farine de blé, huile de palme, lait, sucre…) et l’arrêt de certaines entreprises dépendantes des matières premières importées. La conséquence la plus visible et immédiate est l’inflation alors que les revenus des populations n’ont pas progressé.

S.A.

Le ministère de Travaux publics, de l’Équipement et des Infrastructures a lancé le 18 juin 2022 un appel d’offres en vue du recrutement des prestataires pour la réalisation des travaux de pavage de certaines artères routières de la capitale gabonaise et de ses environs. Ces travaux s’inscrivent dans le cadre du projet « d’amélioration des conditions de circulation dans les communes de Libreville, Akanda et Owendo ».

Cet appel d’offres est réparti en quatre lots, dont le premier concerne les travaux de la rue Sobraga-Alénakiri vallée. Les travaux de pavage de la rue PK 12 -Débarcadère Nkoma Meba constituent le lot 2, alors que les travaux du lot 3 concernent le pavage de la voie d’accès au lotissement de Mangouba. Enfin, le quatrième lot concerne le pavage de la rue PK 14 - Rail. Selon le ministère des Travaux publics, ces travaux seront entièrement financés par l’État gabonais. Mais les raisons qui motivent le choix de ce type de revêtement ne sont pas évoquées dans l’appel d'offres.

« Les candidats ont la possibilité de soumissionner pour un ou plusieurs lots. Dans le cas où ils soumissionnent pour plusieurs lots, ils devront présenter une soumission séparée pour chaque lot en termes de personnel et de matériel sous peine de rejet. Les marchés seront attribués lot par lot. En revanche, un seul candidat ne peut être attributaire de plus de deux lots », indique le communiqué de l’appel d’offres. Les candidats ont jusqu’au 18 juillet 2022 pour le dépôt de leurs dossiers.

Le 10 mai dernier, le président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, a sillonné les rues de Libreville et de ses environs pour vérifier l’état d’avancement de certains chantiers routiers dans la capitale. Au cours de cette visite, le chef de l’État a constaté quelques anomalies dans certains projets. Il a instruit l’accélération du rythme des travaux et prescrit la réhabilitation de certains tronçons.

Brice Gotoa

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