Le ministre gabonais des Sports, informe Franck Nguéma, a signé le 15 octobre dernier 77 fiches de recrutement dans la fonction publique de jeunes diplômés de l'Institut national de la jeunesse et des sports (INJS).
Ces jeunes diplômés gabonais sont de la promotion 2020 de l’INJS pour « A2 Professeur adjoint d'EPS (63) et B1 Maître d'EPS (14) », a affirmé le membre du gouvernement. Ils intègrent la fonction publique dans un contexte où le Gabon a gelé les recrutements pour une période de deux ans, excepté dans quatre secteurs prioritaires à l’instar de la santé et la sécurité.
Depuis le début de l’année, plusieurs diplômés de l’INJS ont été recrutés au Gabon. Notamment, 80 jeunes enrôlés à la fonction publique entre janvier et mars 2021, dans la cadre du plan de régularisation progressif des situations administratives pour les années 2020-2021. Ce plan fait partie des 144 propositions adoptées par les responsables de l’administration publique et les organisations syndicales lors du forum de la fonction publique, organisé en janvier 2020 à Libreville. Il vise la régularisation des agents en pré-salaire de tous les secteurs, les diplômes de toutes les Ecoles nationales ; ainsi que les reclassements après stages de tous les secteurs de l’administration.
D'après le ministère de la Fonction publique, entre janvier et juin 2021, 1 684 situations de reclassement ont été régularisées. S’agissant des recrutements, 1 962 agents ont été recrutés au cours de cette période selon la répartition suivante : 1 161 sortants écoles et 801 reclassements, toutes administrations confondues.
S.G.
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Le gouvernement gabonais recrute des opérateurs économiques pour la construction et l’exploitation des sandwicheries scolaires modernes dans les établissements primaires et secondaires publics du territoire national, à travers des partenariats publics-privés (PPP). Un avis à manifestation d’intérêt y relatif vient d’être lancé par le ministère de l’Education nationale.
« Ce projet vise à doter l’ensemble des établissements scolaires publics du Gabon d’au moins une sandwicherie moderne, conformément aux normes de l’Agasa (Agence gabonaise de sécurité alimentaire), en appliquant une politique de prix attractifs », indique le communiqué d’avis à manifestation d’intérêt.
Au Gabon, dans les établissements scolaires, le constat en matière de restauration « fait ressortir plusieurs manquements sur le plan hygiénique, en sus d’un impact négatif significatif sur le rendement des apprenants », souligne le ministère de l’Éducation nationale. La nouvelle initiative vise donc à garantir une meilleure sécurité alimentaire dans les établissements scolaires publics.
Selon l’avis à manifestation d’intérêt, le résultat attendu est que chaque établissement scolaire public du Gabon dispose d’au moins une sandwicherie moderne d’ici le 31 décembre 2023. Les opérateurs économiques intéressés à accompagner l’Etat gabonais dans ce PPP ont jusqu’au 2 novembre 2021 pour le dépôt de leurs dossiers.
Par ailleurs, dans le cadre de ce projet, les opérateurs économiques retenus bénéficieront des avantages suivants : chaque opérateur économique pourra exercer son activité au sein d’un établissement scolaire public sur une période de dix ans ; chaque opérateur économique sera exonéré des frais de location, d’eau et d’électricité sur une période de dix ans. Toutefois, ceux-ci devront s’acquitter d’une redevance trimestrielle forfaitaire.
Brice Gotoa
Selon les projections du gouvernement, le projet de construction de la centrale thermique au gaz naturel d’une capacité de 120 MW d’Owendo va générer 300 emplois, informe le Focus projet, un document édité par la cellule de la communication de plan d’accélération de la transformation. Soit environ 200 emplois créés dans la phase de construction de la centrale et 100 autres dans la phase d’exploitation.
Ces emplois, apprend-on, seront créés dans plusieurs corps de métiers grâce à l’implication des PME. A noter que selon ses projections, le gouvernement prévoit de créer 10 000 nouveaux emplois chaque année d’ici 2023.
La construction de la centrale thermique à gaz d’Owendo, dont la mise en service est prévue en mi-2023, ambitionne également d’assurer à la fois la réduction des coûts de génération électrique et une meilleure utilisation de la ressource gaz avec pour effet la baisse des émissions de CO2. « La centrale thermique se caractérisera par la réduction importante des coûts de génération électrique et une puissance additionnelle de production d’électricité ». Ce qui devrait permettre d’accroître de 250 MW la capacité de production d’électricité actuellement située à 600 MW. « La centrale thermique se caractérisera par une puissance totale installée de 117,4 Mégawatts (MW) avec 12 turbines à gaz performantes. Notant que cette production additionnelle bénéficiera à 600 000 consommateurs », lit-on dans le Focus projet.
Aussi, « l’installation de production prévoit une grande flexibilité d’évacuation de l’énergie électrique produite, avec un raccordement au réseau 20 000 Volts (20 Kv) en direction d’Owendo et au réseau 90 000 Volts (90 Kv) en direction de Nkok et de Bisségué. Ce dispositif fiable permettra de renforcer la stabilité du réseau et de garantir ainsi un accès continu à l’électricité », poursuit la même source.
Financé à hauteur de 77 milliards de FCFA, ce projet va être mis en œuvre conjointement par la société finlandaise Wärtsilä, du Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS), et Gabon power company (GPC) sous la supervision de l’Etat gabonais. La convention de concession pour le financement, la construction, l’exploitation de cette centrale a été signée le 21 septembre 2021.
S.G.
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Dans une récente note relative au nouveau programme économique du Gabon le Fonds monétaire international (FMI) invite le pays à plus de transparence dans la gestion des « comptes spéciaux » du Trésor public
Ces comptes spéciaux, explique le FMI, renvoient à plusieurs procédures exceptionnelles de gestion budgétaire. Premièrement, il peut s’agir des opérations financières entre le gouvernement et certaines entités publiques. Deuxièmement, ça peut être des recettes affectées collectées par le gouvernement pour le compte de certaines entités publiques. Enfin, il peut s’agir des services bancaires que le Trésor fournit à des entités publiques ou privées.
Seulement, relève l’institution de Bretton Woods, toutes ces opérations identifiées dans des comptes « spéciaux » au sein des livres du Trésor ne sont pas clairement reflétées dans le budget. « Ainsi, il n'a pas été possible de suivre les flux entrants et sortants sur une base brute, créant des écarts entre les opérations au-dessus et en dessous de la ligne et offrant des opportunités de mauvaise gestion des ressources publiques. Par exemple, dans le cas de la collecte de recettes affectées, certains remboursements à des entités publiques ne correspondaient pas aux montants collectés », relève le FMI.
Pour changer la donne, le FMI que les opérations de recettes affectées dans les fichiers baptisés tableau des opérations financières (TOFE) afin de séparer la part des recettes affectées conservée au budget de celle destinée aux entités publiques. « Cette classification permettra à l'équipe [du FMI] de mieux suivre ces opérations et incitera les autorités à s'assurer de l'équilibre des comptes afin qu'il n'y ait pas d'impact sur le déficit budgétaire », indique le FMI.
L’institution précise que, dans le cadre du précédent accord élargi, les autorités gabonaises se sont engagées à clarifier à la fois les comptes spéciaux et les recettes affectées (car certains d'entre eux étaient destinés à financer les opérations budgétaires de l'administration centrale). Afritac Central, un organisme d'assistance des gouvernements créé par le FMI, a fourni une assistance technique pour mettre à jour le cadre juridique et organiser l'enregistrement et la publication de ces opérations dans le budget.
Ainsi, plusieurs tableaux fournissent désormais des informations sur la répartition entre le gouvernement central et les agences publiques tandis que d'autres suivent les flux entrants et sortants (certaines agences bénéficiant de différents types de revenus affectés) conformément aux dispositions de la loi organique. Le montant total des recettes affectées est désormais affiché et approuvé dans le budget comme le reste des recettes collectées. Mais il faut redoubler d’effort dans la gestion transparente de ces comptes spéciaux.
S.A.
Dans une interview accordée à la radio Urban FM le 12 octobre, le directeur général (DG) de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), Patrick Ossi Okori, a annoncé une réduction de la masse salariale au sein de l’organisme public qu’il dirige.
« C’est une entreprise malade dans tous ses compartiments. Particulièrement sur le plan financier. Nous avons dit que nous avons un train de vie assez élevé. Si vous regardez par exemple notre masse salariale, elle est énorme. Mais ce n’est pas du fait d’un directeur général. Ce sont les différentes conventions collectives que nous avons signées au fil des années qui ont accordé un certain nombre de privilèges aux collaborateurs et que nous sommes en train de revisiter aujourd’hui. Il faut réduire drastiquement la masse salariale [évaluée à peu près entre 2 et 3 milliards de FCFA), les départs en retraite... », a déclaré le DG de la Cnss.
Il précise que le top management de la CNSS est en train de négocier avec certains collaborateurs pour que leur salaire connaisse une petite coupe. Ce qui permettra à l’entreprise « malade » de réduire son train de vie. Le DG lui-même s’est dit prêt à renoncer à certains de ses avantages mais aussi, à réduire son propre salaire. Mais il n'indique pas à quel horizon cela sera exécuté.
Patrick Ossi Okori précise que dans le cadre de la restructuration de la CNSS, les recrutements ont été suspendus sauf quand c’est vraiment nécessaire ou si les compétences recherchées sont en externe. D’un autre côté, l’entreprise a aussi décidé de ne plus investir dans l’immobilier sur fonds propres comme par le passé.
A croire le DG, le fonctionnement de la CNSS est structurellement déficitaire. Car, la structure recouvre seulement 22 milliards de FCFA par trimestre. 12 milliards sont affectés aux prestations familiales, les maladies, accidents de travail, le fonctionnement, etc. Les 10 milliards restants sont affectés aux pensions qui absorbent normalement 19 milliards de FCFA. Ce qui crée un gap de 9 milliards de FCFA qu’il faut combler.
Sylvain Andzongo
Le budget de l’Etat gabonais pour l’année 2022 devrait s’équilibrer en ressources et en charges à 2936,6 milliards de FCFA, selon le projet de budget approuvé le 15 octobre dernier par conseil des ministres. Ce montant est en baisse de 191 milliards de FCFA par rapport à celui de l’année 2021 qui se chiffre à 3127,6 milliards de FCFA.
Ce projet de budget sera consacré à la relance de l’économie gabonaise ainsi qu’à l’accélération de sa transformation dans un contexte marqué comme en 2020, par la crise sanitaire. Il vise à cet effet un taux de croissance de 3,0%, la réduction du déficit budgétaire par l’optimisation de la mobilisation des recettes intérieures, l’arrimage des projets d’investissements contenus dans le plan d’accélération de la transformation (PAT). Le gouvernement ambitionne également d’améliorer les conditions de vie des populations à travers la création d’emplois et la réduction des inégalités, d'améliorer l’offre dans le secteur de l’éducation et de la formation ainsi que l’adaptation du système éducatif aux besoins du marché du travail, la consolidation du dispositif de sécurité et de défense...
Dans cette enveloppe, les prévisions des recettes budgétaires (hors recettes affectées aux tiers) sont évaluées à 1924,6 milliards FCFA, contre 1622,2 milliards FCFA arrêtés dans la loi de finances rectificative de 2021, soit une hausse de 302,4 milliards FCFA.
Les dépenses et les charges de trésorerie quant à elles s’évaluent à 1992,5 milliards de FCFA contre 1971,9 milliards de FCFA dans la loi de finances rectificative, soit une hausse de 20,6 milliards de FCFA, essentiellement due à la prise en charge des dépenses liées aux plans sociaux. Avec notamment des dépenses de fonctionnement et d’investissement en baisse respectivement de 0,2% et 8%.
Ce projet de budget prend aussi en compte les recommandations issues du débat d’orientation budgétaire du mois de juin dernier, et les mesures arrêtées dans le programme économique et financier signé avec le Fonds monétaire international (FMI). Il va être transmis à l’assemblée nationale pour adoption.
Sandrine Gaingne
Ce Vendredi 15 octobre 2021, sous la Très Haute Présidence de Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat, Le Conseil des Ministres s’est réuni dès 10h par visioconférence.
Dès son ouverture, le Conseil des Ministres a relevé l’intense activité diplomatique du Président de la République, Chef de l’Etat, aussi bien au niveau régional qu’international.
En effet, le 24 septembre 2021, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a pris part, par visioconférence, à la 76eme Session Ordinaire de l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU).
Au cours de cette rencontre au Sommet, le Chef de l’Etat a exhorté les dirigeants du monde à plus de multilatéralisme afin de bâtir ensemble une économie mondiale tenant compte des aspirations des peuples qui souhaitent un partage plus équitable des vaccins et des progrès technologiques face à la pandémie de la COVID-19 qui déstructure notre société.
En séjour de travail à Londres, au Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, le Président de la République a été reçu le 29 septembre 2021 par Son Altesse Royale, Le Prince Charles, Prince de Galles. Les échanges entre les deux personnalités ont porté sur les questions de défense, d’environnement, de climat et de biodiversité.
Sur le plan régional, le Chef de l’Etat a, pour sa part, reçu en audience, le 12 octobre 2021, Monsieur François LOUNCENY FALL, Représentant Spécial du Secrétaire Général de l’ONU et Chef du Bureau Régional des Nations Unies pour l’Afrique Centrale (UNOCA). Lors de cette entrevue, le diplomate onusien a félicité le Président de la République pour les récents succès diplomatiques du Gabon, notamment pour l’élection de notre pays en qualité de Membre non Permanent du Conseil de Sécurité des Nations Unies pour la période 2022-2023, la réforme historique de la CEEAC conduite par le Président Ali BONGO ONDIMBA, son leadership en matière de droits de l’homme ainsi que le rôle primordial que notre pays assurera du 1er au 02 novembre 2021 au niveau du segment des Chefs d’Etat et de Gouvernement ou de Délégation lors de la prochaine COP 26 axée sur la préservation de l’environnement qui se tiendra en Ecosse.
Dans le cadre de sa visite de travail à Libreville, Son Excellence Faustin-Archange TOUADERA, Président de la République Centrafricaine, a été reçu le 13 octobre 2021 par Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA. Les échanges entre les deux hommes d’Etat ont porté essentiellement sur la coopération bilatérale, le retrait du contingent gabonais de la MINUSCA et sur les questions d’intérêt commun. Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres se félicite de la concrétisation des offres du Mécanisme COVAX avec les arrivées successives de 100 620 doses de vaccin Pfizer et 168.000 doses de vaccins Johnson and Johnson. L’acquisition de ces nouvelles doses vient renforcer les stocks disponibles et permet de diversifier l’offre vaccinale aux populations avec une couverture dans les départements du pays à compter du 18 octobre 2021.
Aussi, au regard des données épidémiologiques marquées par une forte hausse de nouvelles contaminations, suivies d’un taux élevé d’hospitalisation des personnes non vaccinées, le Conseil des Ministres exhorte-t-il toutes les populations résidant au Gabon à privilégier l’effet protecteur du vaccin dont les équipes de campagne itinérantes de proximité, permettent un accès rapide.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
MINISTERE DU BUDGET ET DES COMPTES PUBLICS
Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de Loi de Finances Initiale 2022.
Ce projet de budget est élaboré sur la base des très hautes orientations de Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat. Il prend en compte les recommandations issues du débat d’orientation budgétaire du mois de juin dernier, les actions du Plan d’Accélération de la Transformation (PAT) et les mesures arrêtées dans le programme économique et financier signé avec le Fonds Monétaire International (FMI).
L’élaboration du projet de loi de finances initiale 2022 s’inscrit dans un contexte de reprise de l’activité économique internationale.
En effet, la croissance mondiale est projetée à 4,9% en lien avec le retour à une situation sanitaire maîtrisée et de stabilisation des prix des matières premières.
A ce titre, le projet de loi de finances 2022, vise les objectifs suivants :
Les principales hypothèses sur lesquelles repose le cadrage macroéconomique et budgétaire 2022 sont arrêtées comme suit :
Les Recettes budgétaires (hors recettes affectées aux tiers) seraient évaluées à 1924,6 milliards FCFA, contre 1622,2 milliards FCFA arrêtés dans la Loi de finances rectificative 2021, soit une hausse de 302,4 milliards FCFA. Les Recettes budgétaires se décomposent comme suit :
En ce qui concerne les Dépenses et les Charges de trésorerie, les dépenses budgétaires sont évaluées 1992,5 milliards de FCFA contre 1971,9 milliards de FCFA dans la Loi de finances rectificative, soit une hausse de 20,6 milliards de FCFA, essentiellement due à la prise en charge des dépenses liées aux plans sociaux.
Ces dépenses se répartissent ainsi qu’il suit :
Les Charges financières de la dette qui s’établissent à 316,9 milliards FCFA contre 293,6 milliards FCFA dans la Loi de finances rectificative 2021, soit une augmentation de 23,3 milliards FCFA liée à la hausse du service de la dette intérieure.
Les Dépenses de fonctionnement, hors Compte d’affectation spéciale (CAS), se chiffreraient à 1161,9 milliards FCFA contre 1164,7 milliards FCFA dans la Loi de finances rectificative, soit une baisse de 0,2% correspondant à 2,8 milliards FCFA, en rapport avec la maîtrise des dépenses liées aux subventions.
Les Dépenses d’investissement (hors CAS) s’établiraient à 326,4 milliards FCFA contre 353,3 milliards FCFA dans la loi de finances rectificative 2021, soit une baisse de 8% correspondant à 26,9 milliards FCFA. Cette baisse résulte d’une volonté de privilégier les projets matures ayant fait l’objet d’études.
Les Autres dépenses connaîtraient une augmentation de 13 milliards FCFA pour se situer à 36,5 milliards FCFA. Cette hausse est portée par les coûts sociaux des restructurations des entreprises publiques et les contentieux de l’État.
Par ailleurs, les Charges de trésorerie et de financement s’établiraient à 852,4 milliards FCFA contre 1071,8 milliards FCFA dans la LFR 2021, soit une baisse de 219,4 milliards FCFA, consécutive à la réduction des interventions sur les marchés financiers.
Les dépenses à caractère social ont été renforcées. Elles s’élèvent à 479 milliards FCFA contre 456,2 milliards FCFA dans la Loi de finances rectificative 2021, soit une hausse de 22,8 milliards FCFA.
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES
Au terme de la présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d’agréments de Leurs Excellences Messieurs :
– Mamadou Mandjou BERTHE appelé à exercer en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Mali près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;
– Sipapela Cletius SIPAPELA appelé à exercer en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République de Namibie près la République Gabonaise, avec résidence à Brazzaville, en République du Congo.
Le Conseil des Ministres a également approuvé la nomination de Monsieur Christian GOURAYEB en qualité de Consul Honoraire de France à Port- Gentil.
Enfin le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes : PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
CABINET DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Est remis à la disposition de son administration d’origine M. Davy Franck NZAMBA.
MINISTERE DU BUDGET ET DES COMPTES PUBLICS
SECRETARIAT GENERAL
DIRECTION GENERALE DE LA COMPTABILITE PUBLIQUE ET DU TRESOR
DIRECTION GENERALE : Inspecteurs Vérificateurs :
– Chef de Service Courrier : M. FOUSSANDZOGO Rodolphe Flory.
SERVICES D’APPUI
INSPECTION DES SERVICES
POLE AUDIT ET MAITRISE DES RISQUES
Inspecteurs Vérificateurs :
Inspecteurs Vérificateurs Adjoints :
– Mme Carole NTSAME EKOUMA, Chargé de vérification :
– Mme Arlette Carmel ONKOMA AYEMEGUI ép. LENDJONDJO,
POLE CONTROLE DES POSTES COMPTABLES
Inspecteurs Vérificateurs :
Inspecteur Vérificateur Adjoint : – Monsieur NDONG Pierre
Chargé de vérification :
– Monsieur ANOUZOGO ESSONO Michel
SERVICES CENTRAUX :
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
Directeur Adjoint : Monsieur BOUSSOUGOU MAPANGOU Guy Moril ;
Chef de Service Formation et Perfectionnement :
Madame Mariette ;
KWAOU MBOUNDZOU
Chef de Service Contentieux et Affaires Sociales : Monsieur LEBOULOU Rodrigue ;
Chef de Service Recrutement et Gestion des Carrières : Monsieur LASSENY MBOUROU Placide Raymond
DIRECTION DU PATRIMOINE ET DES MOYENS
Directeur Adjoint : Monsieur LEKOGO ONTSIA Nestor, Inspecteur Central du Trésor ;
DIRECTION DE LA CENTRALISATION ET DE LA PRODUCTION COMPTABLE
Directeur Adjoint chargé des Collectivités locales et des établissements publics nationaux : Madame OKIAS Edna
DIRECTION DU COMPTE DE GESTION
Chef de Service recette de l’Etat : Madame ESSEBADI MATIMI Inès Cedya.
DIRECTION DES ETUDES ET DE LA REGLEMENTATION
Chef de Service des Etudes : Mme Raïssa Laure Elsa AKOURE LEDOUMOU;
DIRECTION DES OPERATIONS MONETAIRES ET FINANCIERES
– Directeur : Mme Christelle Vincithia NGOUNOU WONDEU ;
– Directeur Adjoint : Mme BARRIER NGOUANGA Sonia Augustine ;
– Chef de service des opérations financières : M. Polynice OYONO, Inspecteur Central du Trésor ;
– Chef de Service Prévision : Monsieur KOUTANA ANEGUE Nicolas, Inspecteur Central du Trésor ;
Chef de service Contrôle des risques : Monsieur AKOMA ONDO Yannick Sander ; Inspecteur Central du Trésor ;
DIRECTION DES REGLEMENTS
Directeur Adjoint : Mme Mariette KOUMBA NZIENGUI, épouse NYAMA ;
Chef de Service Compensation : Madame NGUILI ép. ESSONO OBOUNOU Claudia ;
Chef de Service Règlements : Monsieur OZOUAKI MBIRA OWONDO Greg Rodney, Inspecteur Central du Trésor ;
DIRECTION DE LA DEPENSE
Directeur Adjoint : Lysiane MANFOUMBI,
Inspecteur Central du Trésor ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 21 sur 58
Chef de Service Administration Economique et Financière : M. Marjolaine AGAMBOUE épouse ENIE, Inspecteur Central du Trésor ;
DIRECTION DES RECETTES HORS PETROLE
– Directeur : M. Vianney MAGANGA MUCKEYTU
Monsieur Christopher ; KIKI TCHILOULIKA
SERVICES DECONCENTRES SERVICES TERRITORIAUX
RECETTE PRINCIPALE DES IMPOTS Receveur Principal :
– Mme MAGHESHIMANGIENDE MAGNAGA ép. MAGOUANGOU Corinne, en charge du Suivi de la Mobilisation des Ressources ; Pôle Audit.
RECETTE DES GRANDES ENTREPRISES
Receveur : M. MBA NDONG Germain, Inspecteur central du trésor,
TRESORERIE PROVINCIALE L’ESTUAIRE
Fondé de Pouvoirs : Monsieur Albert AKUE.
RECETTE- PERCEPTION D’OWENDO
DE Receveur- Percepteur : Monsieur AGEMINIA MBEDOME Pamphile, Inspecteur Central du Trésor ;
Chef de Service Dépense : Madame EDI ESSOGO Julienne, ép. NTOLO ;
Chef de Service Compte de Gestion : Madame PEMBA Béatrice ;
Chef de Service Recette : Madame MOUSSOUNDA LEWANDJA Ruth Zita ep. BIDONA ;
RECETTE- PERCEPTION D’OKALA :
Receveur- Percepteur : Monsieur MABACKO IKOBA Ghislain, Inspecteur Central du Trésor ;
RECETTE- PERCEPTION DE NZENG- AYONG :
Receveur-Percepteur : Madame ANDEME ONDO Corinne, Inspecteur Central du Trésor ;
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Madame MBOUI EDZO Géraldine ép. LEFLEM, Inspecteur du Trésor ;
Chef de service Caisse : Madame ADJAYENO Adrienne Brita ;
RECETTE- PERCEPTION DU PONT NOMBA :
Chef de Service Compte de Gestion :
M. ADA NGYE Armelle ép. NDEMEZOGO, Inspecteur du Trésor ;
RECETTE-PERCEPTION DE NTOUM Percepteur : M. ABOUROU OBINI Edgard RECETTE-PERCEPTION DE COCOBEACH
Percepteur :
M. NYARE ANVAME Julien, Inspecteur du
Trésor ;
RECETTE- PERCEPTION DU CONTENTIEUX DE L’ETAT :
– Receveur-Percepteur : Mme BOUROBOU MAPANGO Marie-Gabrielle ép. BOUTOTO MIHINDOU, Inspecteur
Central du Trésor ;
PERCEPTION DE LECONI
Percepteur : Monsieur NGABINA Félix ;
PERCEPTION D’AKIENI
Percepteur : Monsieur OLOUMOU Sosthène Inspecteur du Trésor ;
PERCEPTION D’OKONDJA
Percepteur : Monsieur NDONG ATOMO Mathieu, Inspecteur du Trésor ;
PERCEPTION DE BONGOVILLE
Percepteur : Monsieur SIONGOUANI Jean Arcade, Inspecteur du Trésor
TRESORERIE PROVINCIALE DU MOYEN OGOOUE
PERCEPTION D’OVAN
Percepteur : Monsieur ASSOUMOU NGUEMA Jean Bernard, Inspecteur du Trésor ;
PERCEPTION DE MEKAMBO
Percepteur : Monsieur MASSOUKOU Hugues Clotaire, inspecteur du Trésor ;
TRESORERIE PROVINCIALE DE L’OGOOUE-LOLO
Trésorier Provincial : Monsieur MAKAMBA Brice, Inspecteur Central du Trésor ;
Fondé de Pouvoirs : M. ELLA ONDO Symphorien, Inspecteur du Trésor ;
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Madame MITENDI Ariane Sonia ép. MAKAMBA ;
PERCEPTION DE LASTOURVILLE
Percepteur : Monsieur MANGAHOUMA Aimé Constant, Inspecteur du Trésor ;
TRESORERIE PROVINCIALE DE L’OGOOUE MARITIME
Chef de Service Comptabilité et Règlements : M. DIVINGU-DI-NGOL Katsime ;
Chef de Service Recette :
M. MOUKOUTY Aimé Joël ;
Chef de Service Informatique :
M. ZUE ABESSOLO Jean Olivier ;
PERCEPTION D’OMBOUE :
Percepteur : ANGOUE BITEGUE Adrien
TRESORERIE PROVINCIALE DU WOLEU- NTEM
Fondé de Pouvoirs : Monsieur BISSIELOU Benjamin, Inspecteur Central du Trésor ;
Chef de Service Dépense : Monsieur OKOMBA PEA Symphorien ;
Chef de Service Recette : Monsieur ONDOUNDA ASSELE Gildas Armel, Administrateur Civil ;
Chef de Service Compte de Gestion : Madame BILOGHE BITEGHE Sylvie ép. NDONG ZUE, Contrôleur et Huissier du Trésor ;
Chef de Service Caisse : Monsieur BOUDINGA NZENGUE Idriss, Contrôleur et Huissier du Trésor ;
PERCEPTION DE MINVOUL :
Percepteur : M. MOUSSOUNDA Guillaume,
Inspecteur du Trésor ;
SERVICES A AUTONOMIE TECHNIQUE OU
DE GESTION TRESORERIES SPECIALES
TRESORERIE SPECIALE DES FINANCEMENTS EXTERIEURS
Fondé de Pouvoirs : M. APLOGAN ESSIMBA Uriel Geffrey ;
Chef de service Compte de Gestion : M. EYEGHE ZOCK Willy ;
TRESORERIE DE LA DETTE PUBLIQUE
– Fondé de Pouvoirs : M. MOULOUNGUI MIHINDOU, Inspecteur Central du Trésor ;
– Chef de Service Informatique : M. MOUCKAGA MOUCKAGA Eric Larriviere ;
CENTRE DE FORMATION ET DE DOCUMENTATION DU TRESOR
Chef de Service Formation et Pédagogie : Madame AYITEBE Elfried-Pascale ép. IVANGA
RECETTE DES IMPOTS A LA DIRECTION PROVINCIALE DU HAUT- OGOOUE
Receveur des Impôts : Monsieur EROUMBENGANI SAMBA Cédric Jerson, Inspecteur Central du Trésor ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 35 sur 58
RECETTE DES IMPOTS A LA DIRECTION PROVINCIALE DU MOYEN OGOOUE
Receveur des Impôts : Monsieur EBACKAUB OBOUNOU Charles Clotaire, Inspecteur Central du Trésor ;
RECETTE DES IMPOTS A LA DIRECTION PROVINCIALE DU WOLEU –NTEM
Receveur des Impôts : Monsieur BIKOUYI MANGANO Moukenguissi, Inspecteur Central du Trésor ;
RECETTE DES IMPOTS A LA DIRECTION PROVINCIALE DE LA NGOUNIE
Receveur des Impôts : Monsieur BASSIBANDA WABI José BADOS, Inspecteur Central du Trésor ;
AGENCES COMPTABLES :
AGENCE COMPTABLE DE LA DOCUMENTATION ET IMMIGRATION :
Fondé de Pouvoirs : Madame WOUONO OGNALIGUI Rachelle, Inspecteur Central du Trésor ;
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme MOUKODOUM Inès Marina ép. SOSSOU, Attaché des Services Economique et Financier, matricule 160252Z
Chef de Service Compte de Gestion : Mme ACHE NDONG Léonie, Administrateur Civil, matricule 113403Y
AGENCE COMPTABLE DE LA HAC ET DU MEDIATEUR DE LA REPUBLIQUE
Agent Comptable : Madame ADZABE NNA Hermine Josabelle ép. NKIET, Inspecteur Central du Trésor ;
AGENCE COMPTABLE DE L’ANPI-GABON
– Fondé de Pouvoirs : Monsieur ANGUILET Christed, Inspecteur Central du Trésor ;
– Chef de service Comptabilité et Règlements : M. BANDANGOYE OPOUYA Kevin Narcisse
AGENCE COMPTABLE DES HOPITAUX MILITAIRES
– Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme MADOUMA MADOUMA Rosalie Ruth, Inspecteur du Trésor ;
– Chef de Service Compte de gestion hôpitaux militaires : Madame WALEMBAUD PEPOKA Laeticia Aurore, Inspecteur du Trésor.
AGENCE COMPTABLE RIPOSTE COVID
AGENCE COMPTABLE DES HOPITAUX PUBLICS DE FRANCEVILLE
Agent Comptable : Monsieur MBOUKOUEDI Hilaire, Inspecteur Central du Trésor ;
Fondé de Pouvoirs : Madame KOMBI Diane ép. EMBINGA OKINDA, Inspecteur du Trésor.
AGENCE COMPTABLE DU CNOU
Agent Comptable : M. LEBOUSSI ALIBALAH Aimerick Bertrand, Inspecteur Central du Trésor ;
AGENCE COMPTABLE DE L’AGENCE NATIONALE DE L’AVIATION CIVILE
Fondé de Pouvoirs : Monsieur OMPOURA OPANDZA Louis Bertrand ;
Présidence de la République Communiqué final SCM Page 40 sur 58
Chef de Service Recette : Madame PEINDY PEMBE Marie Claire, Contrôleur et Huissier du Trésor ;
Chef de Service Compte de Gestion : Madame MANGANYA Lucie Solange ép. NGOUWA ;
Chef de Service Caisse : Madame M’VOUMBY Arlette Lydie Dominique ép. BETOLE ADA ;
AGENCE COMPTABLE DE L’ANUTTC
Agent Comptable : Monsieur NDIBANGOYE Annysthene, Inspecteur Central du Trésor ;
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Madame DIRAMBA Stacha, Inspecteur du Trésor ;
Chef de Service Compte de Gestion : Madame NKOMBENYONDO Francine Danielle ;
AGENCE COMPTABLE DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE
Fondé de Pouvoirs : Monsieur LOUMBA Josaphat Nolasque, Inspecteur du Trésor
AGENCE COMPTABLE DU CONSEIL ECONOMIQUE, SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL
– Chef de service Comptabilité et Règlements : Mme AKELE OBIANG Séraphine, Contrôleur et Huissier du Trésor ;
– Chef de Service Dépense : Mme BAKISSI PEMBA Virginie, Contrôleur et Huissier du Trésor.
AGENCE COMPTABLE DE LA RECETTE DE N’KOK
– Fondé de Pouvoirs : M. Lydie MOUSSAVOU Epouse ASSELE ;
AGENCE COMPTABLE DE L’UNIVERSITE DES SCIENCES DE LA SANTE
– Fondé de Pouvoirs : Mme LEFEVRE COLLARD Line Charlotte Benedicta ;
AGENCE COMPTABLE DE L’UNIVERSITE OMAR BONGO
– Fondé de Pouvoirs : Monsieur DEMBA MBOMA Eugide, Inspecteur Central du Trésor, matricule 176110A
AGENCE COMPTABLE DU NATIONAL DE L’EAU ET DE L’ELECTRICITE
CONSEIL
– Agent Comptable : M. Romain NZAOU, Inspecteur Central du Trésor,
AGENCE COMPTABLE DE L’OFFICE NATIONAL DE L’EMPLOI
– Agent Comptable : Mme MBIRY OLERI Lydie ép. OTOUNGA OSSIBADJOUO, Inspecteur Central du Trésor ;
– Fondé de Pouvoirs : M. ENIE Louis Innocent Leilab ;
– Chef de Service Compte de Gestion : Mme NZEGOUBADZI MATHOUET Rosine ép. NGNYOGOMIET, Inspecteur du Trésor ;
AGENCE COMPTABLE DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET DE L’INDUSTRIE DU GABON
– Chef de Service Compte de Gestion : Mme MENGUE Marie-Claire ép. OSSINDJI, Inspecteur du Trésor
AGENCE COMPTABLE DE LA COUR DES COMPTES
Chef de Service Compte de Gestion : Madame GAGEONNET Noéline, Inspecteur du Trésor ;
AGENCE COMPTABLE DE L’IGIS
– Fondé de Pouvoirs : Madame KOUAWOU KOUMBA Edwige ép. MUSALA NGUEMBO, Inspecteur Central du Trésor ;
– Chef de Service Recette : Madame BOURDETTE EBONGWA Melissa Cécile, Attaché Culturel ;
AGENCE COMPTABLE DE LA CAISSE DES PENSIONS, DES PRESTATIONS FAMILIALES DES AGENTS DE L’ETAT
– Agent Comptable : M. INGAGA Marcel, Inspecteur Central du Trésor ;
– Fondé de Pouvoirs : Madame BETOE MINTOGHE Annick Yolande ép. NDONG, Inspecteur Central du Trésor ;
– Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme MOUBEMINE Bertille ;
AGENCE COMPTABLE DE L’IST
Agent Comptable : Mme KAMBANGOYE Nina Flore Mathurine, Inspecteur Central du Trésor ;
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme ADA BEKALE Xavière ép. EBELE NANG
AGENCE COMPTABLE DU CHU ANGONDJE
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme MOUKANDJA NGOMBI Mélanie ép. INDOUMOU MAMBOUNGOU, Inspecteur du Trésor ;
AGENCE COMPTABLE DE L’USTM ET DU CIRMF
M.
AGENCE COMPTABLE DE TRANS’URB :
Agent Comptable : Mme KOUMBA NZIENGUI Mariette ép. NYAMA, Inspecteur Central du Trésor ;
Fondé de Pouvoirs : Mme MATAMBA MOULOUNGUI Ép. EHOUMBA Solange, Inspecteur du Trésor ;
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme BETO ANGO Jacqueline ;
Chef de Service Compte de Gestion : Mme OLENGA Jacqueline, Inspecteur Central du Trésor ;
AGENCE COMPTABLE DE LA COMMISSION NATIONALE DE LUTTE CONTRE L’ENRICHISSEMENT ILLICITE :
Agent Comptable : M. MOUGOUBOU Aristide, Inspecteur Central du Trésor ;
Fondé de Pouvoirs : Mme ONDO Corine Lemoue ép. OGNAGNA ;
Chef de Service Compte de Gestion : Mme OMOMONE NSO Gertrude ép. DITOUGOU, Inspecteur du Trésor
AGENCE COMPTABLE DU CONSEIL GABONAIS DES CHARGEURS :
Chef de Service Comptabilité et Règlements : M. EDIMA OKOUMBA
Chef de Service Recette : M. ENKORO EBALY
Chef de Service Compte de Gestion : Mme MACKONGO MAKOMBA Judith, Inspecteur du Trésor, Inspecteur du Trésor ;
AGENCE COMPTABLE DE L’ANFEP ET CONSEIL MINISTERIEL FRONT DE MER :
Agent Comptable : Mme KOYO NZENGUE Brigitte ép. MAYILA, Inspecteur Central du Trésor ;
AGENCE COMPTABLE DE TELEDIFFUSION DU GABON :
Chef de Service Dépense : Mme ODJOGUI Arielle Kettie Pachie ;
AGENCE COMPTABLE DE GABON 24
Chef de Service Recette : Madame AWORA NDAKISSA Joana ;
Chef de service Compte de Gestion : M. BILAMA GANAME Djibril ;
AGENCE COMPTABLE DE L’AGENCE DE REGULATION DES MARCHES PUBLICS :
Agent Comptable : M. KOMBILA- KOMBILA Didier, Inspecteur Central du Trésor ;
Fondé de Pouvoirs : M. DITOUGOU François, Inspecteur du Trésor ;
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme MAGANGA Philippine ;
AGENCE COMPTABLE DE L’OFFICE NATIONAL DE LA SURETE ET DE LA FACILITATION DES AEROPORTS DU GABON :
Fondé de Pouvoirs : Mme BOMBE Marthe- Blanche ép. YOUNGOU-OTHA ;
AGENCE COMPTABLE DU CHU D’OWENDO :
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme KOUNEKA Josiane ép. OKOLOGO, Inspecteur du Trésor ;
Chef de Service Caisse : Mme ZONENE AKOMONDOUH BABOUHA ;
Chef de Service Compte de Gestion : Monsieur DITSOUGHA MATOKA Roland ;
AGENCE COMPTABLE DE GABON TELEVISION
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme BANGOYI ICKAMBA Sidonie Edwige ép. MAMBENDA ;
Chef de Service Dépense : Mme LEYAMA KOBA Roselyne ép. OGARI ;
Chef de service Recette : Mme KIGOTSA ETOUGUI Wilfried, Contrôleur et Huissier du Trésor ;
AGENCE COMPTABLE DE L’ANINF :
Chef de Service Dépense : Mme KOMBI EBOUMI Florence ;
Chef de Service Compte de Gestion : Madame MEZU ONGOURE Corinne ;
AGENCE COMPTABLE DE L’ANAVEA :
Agent Comptable : M. Alfred BOUTOTO MIHINDOU ;
Fondé de Pouvoirs : Mme ANGOUE Grâce ép. NGOUBOU, Inspecteur du Trésor ;
Chef de Service Comptabilité et Règlements : Mme OSSAGOU Gaëlle ;
RECETTE MUNICIPALE DE LIBREVILLE :
Chef de Service Comptabilité et Règlements : M. LOUMBA OKOUMA Franck Alex, Inspecteur du Trésor ;
Chef de Service Dépense : Mme NGOYILA ASSIGUISSAMI Laure Chancelle ;
Chef de Service Compte de Gestion : M. TALADJI Elodie Inspecteur Central du Trésor ; Chef de Service Recette : Mme NZANG EBANG Carine ép. AKAME ;
RECETTE MUNICIPALE D’OWENDO :
Chef de Service Dépense : Mme LOKO Eliane Blanche ;
Chef de Service Compte de Gestion : Mme NTOULA Gisette Aubierge Ép. MUSA VU, Contrôleur et Huissier du Trésor ;
Chef de Service Caisse : Mme NTEME NGUEMA Geneviève ép. MEVIANE M’OBIANG, Inspecteur du Trésor ;
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITE :
Chef de Service Courrier et Accueil : Mme MOMBO MBINA Chimène Daria ;
DIRECTION DE LA REGULATION DES SECTEURS PUBLIC ET PARA–PUBLIC :
Je vous remercie.
Suite aux perturbations enregistrées dans la nuit du 14 octobre sur le réseau de distribution de l’énergie électrique à Libreville, la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) s’explique à travers un communiqué ce 15 octobre 2021. Tout en exprimant ses regrets à la clientèle affectée, la SEEG affirme que ce manque de tension général observé sur le Réseau interconnecté (RIC) de Libreville était consécutif à une avarie survenue à 21 h 12 mn sur un équipement majeur du poste 90kV de Kinguélé, dans les Monts de cristal à l’Est de la province de l’Estuaire.
« Les équipes techniques ont travaillé d’arrache-pied pour remplacer les équipements avariés du poste, avec pour effet immédiat la réalimentation des premiers clients dès 21h45, tandis que le retour à la normale de la desserte en électricité s’est opéré à 23h12 », explique la SEEG.
Cet énième incident intervient dans un contexte où la SEEG a du mal à satisfaire la demande locale en énergie électrique. Les clients, particulièrement ceux du Grand-Libreville se plaignent de la qualité du service rendu. Plusieurs quartiers souffrent des coupures de l’eau et de l’électricité.
Pour apporter des solutions durables à ce problème et satisfaire la demande, la SEEG a lancé depuis 2020 un plan d’urgence d’investissement d’un montant de 11 milliards FCFA. Ce plan devrait garantir la continuité du service et améliorer la desserte en eau et en électricité sur l’ensemble du territoire.
Brice Gotoa
Dans le but d’améliorer la qualité de ses services, la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) a fait appel au Groupe Finactu afin de réaliser une étude actuarielle qui aboutira à des réformes au sein de cette structure. Notamment la révision du système de retraite. Cette étude a été lancée le 14 octobre 2021 par le directeur général de la CNSS en présence des techniciens du Groupe Finactu.
« La loi nous oblige chaque 5 ans ou 3 ans au moins à réaliser une étude actuarielle pour s’assurer de la soutenabilité financière et la viabilité financière du régime de pension sur le moyen et le long terme pour proposer au gouvernement les différents bouquets de réformes qui vont permettre à la CNSS de recouvrer sa situation financière d’antan mais aussi garantir aux générations futures leurs pensions sur le long terme », a déclaré Patrick Ossi Okori.
Prévue pour une période de trois mois, cette étude sera orientée sur « la collecte des données. La deuxième composante sera d’élaborer et de formuler des packages des réformes paramétriques et enfin nous accompagnerons la CNSS dans la mise en œuvre de la réforme. Toutes les attentes qui pèsent sur notre étude, les contours et les objectifs de cette mission ont été clairement dessinés et cadrés par monsieur le directeur général », a indiqué Edouard Trouillet, représentant du Groupe Finactu.
Le Groupe de conseil spécialisé Finactu a été sélectionné pour mener cette étude à l’issue d’un appel d’offres lancé il y a quelques mois. Celui-ci devra donc dans son cahier de charges, finaliser le projet de réforme du régime de base de la CNSS. Des réformes qui visent entre autres à l’amélioration des conditions des assurés et surtout des régimes de pensions de la CNSS.
Fondé en 1999 et basé à Casablanca, le Groupe Finactu est un groupe d’appui et de conseil dédié aux pays émergents. Il est spécialisé dans le conseil et l’appui aux gouvernements et institutions publiques et privées de ces pays. D’après le groupe, plus de 100 clients dans 30 pays émergents lui font confiance à ce jour, lui donnant une expérience en matière de conseil stratégique, d’accompagnement dans les domaines de la banque, assurance et réassurance, protection sociale, politiques publiques, secteur agricole, télécom, secteur postal, etc.
Brice Gotoa
Le stock d'IDE captés par le Gabon est estimé à 14 milliards de dollars (7920,8 milliards de FCFA) en 2020, selon les données de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (Cnuced). Cette même source révèle que les entrées des IDE au Gabon sont passées de 1,3 milliard de dollars (735,5 milliards de FCFA) en 2018, à 1,5 milliard de dollars (848,6 milliards de FCFA) et 1,7 milliard de dollars (961,8 milliards de FCFA) entre 2019 et 2020.
« Depuis 2016, le Gabon enregistre une hausse de ses IDE. Ces volumes montrent bien l’importance et l’attractivité de notre pays pour les investisseurs étrangers qui considèrent le Gabon comme une destination de choix. Le poids des investissements directs étrangers dans notre Produit intérieur brut est d’environ 9% quand la moyenne mondiale est de 4% », soutient Carmen Ndaot, ministre de la Promotion des investissements.
Ces investissements qui étaient traditionnellement dirigés vers le secteur pétrolier et minier ont été marqués par une diversification au cours de ces dernières années. Même si ces secteurs pétroliers et miniers demeurent les principales destinations des IDE dans le pays.
Selon la Cnuced, les flux d’IDE dans le secteur pétrolier restent élevés en raison de l'adoption du nouveau code pétrolier au Gabon en 2019 ayant conduit à plusieurs nouveaux accords de partage de production offshore, dont certains se sont concrétisés en 2020.
Cependant, les nouveaux secteurs qui attirent désormais les investisseurs sont les infrastructures et l'agroalimentaire, portés principalement par le groupe singapourien Olam, au travers d’un partenariat public privé qui le lie à l’Etat gabonais depuis 2011.
Les investisseurs majeurs dans le pays sont la Chine avec des entreprises qui investissent dans l’énergie, les infrastructures, le bois, les mines… le Maroc dans les services, mines, infrastructures et la construction, la France qui est présente au Gabon à travers des succursales des entreprises françaises dans l’exploitation pétrolière, mines, bois, agro-industrie, travaux de bâtiment et de génie civil, services financiers, concessions d'eau et d'électricité, etc.
Pour accroître son attractivité, le Gabon travaille actuellement sur l’élaboration d’un code des investissements. Ce projet de textes envisage de doter le pays d’un instrument attrayant pour les investisseurs et qui contribue à l’amélioration du climat des affaires au Gabon, selon le ministre de la Promotion des investissements.

Sandrine Gaingne
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