Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Les mesures adoptées lors du séminaire gouvernemental des 14 et 15 septembre prévoient une baisse des rémunérations de certaines catégories de personnalités et de fonctionnaires, ainsi qu’une réduction et une réaffectation des véhicules administratifs aux responsables de l’administration.

Au niveau du commerce des véhicules par exemple, le chiffre d’affaires poursuivra sa dégringolade et pourrait frôler les 50% au deuxième trimestre 2017. Car, au 31 mars de cet exercice, les ventes de véhicules neufs avaient connu une chute de plus de 30% de leur chiffre d’affaires en raison du tassement des commandes de l’Etat, principal client des compagnies de commercialisation de véhicules et des entreprises du secteur pétrolier en crise.

La décision de l’Etat de réduire son parc automobile va donc impacter négativement cette branche du tertiaire déjà en mauvaise position depuis quelques années. Au cours de l’exercice 2016, l’Union des représentants des automobiles industrielles, l’association des concessionnaires auto, annonçait un repli de 12,3% de son chiffre d’affaires imputable au recul des commandes de l’Etat et du privé.

Pourtant, entre 2012 et 2014, la vente de véhicules neufs affichait une moyenne de 5 000 unités par an. L’année la plus florissante fut 2013, avec 5 774 véhicules neufs pour un chiffre d’affaires de 185 milliards de Fcfa. Un an plus tôt, les concessionnaires avaient réalisé des ventes de 5 324 véhicules avec cette fois, un chiffre d’affaires de 211 milliards de Fcfa.

La dégringolade amorcée depuis 2015 ne s’arrête pas. 3 754 véhicules vendus en 2015 contre 3 292 en 2016. Des chiffres qui traduisent une baisse de plus de la moitié des activités du secteur, et qui vont davantage se creuser avec la décision du gouvernement.

Le secteur en pleine difficulté, pourrait ne pas se relever de sitôt de cette situation au regard du tour de vis que vient d’opérer l’Etat, son principal client.

Cependant, le chiffre d’affaires généré par les ventes de véhicules industriels a progressé de 28,4%, pour se situer à 23,1 milliards de Fcfa, contre 18 milliards de Fcfa en 2015, sous l’effet de l’accroissement des commandes des secteurs forestiers et des transports.

La baisse des revenus des personnalités aura également un impact sur cette activité singulièrement et de manière générale sur la consommation des ménages.

L’activité économique étant animée par les agents de l’Etat et les fonctionnaires, ceux dont les revenus sont les plus élevés constituent la classe des grands consommateurs. En outre, les entreprises pétrolières qui auraient pu tirer la consommation vers le haut, avec la crise que connaît le secteur depuis bientôt trois ans, verront un pan de l’activité du secteur tertiaire en berne.   

Si d’un côté on va réaliser des économies, de l’autre, les mesures gouvernementales mettront le commerce en difficulté ; ce secteur qui verra ainsi son chiffre d’affaires en net recul à la fin de l’exercice.

SeM

 

Le plan de relance de l’économie du Gabon vient de connaître un lifting avec des mesures qui permettront de réaliser des économies et de dynamiser certains secteurs. Pour Christian Magnagna (photo), le ministère des Mines, la stratégie passe par la diversification des partenaires, l’identification des gisements et des minerais à développer et exploiter.  

Le Gabon vit une crise économique sévère depuis bientôt deux ans. Le ministère des Mines a-t-il une stratégie propre qui permet de relancer l’économie ?

D’abord il faut souligner que les objectifs visés par ce séminaire gouvernemental sont de rappeler l’intérêt pour tous les membres du gouvernement et les administrations, de s’approprier le Plan de relance économique (Pre), qui est l’instrument que le gouvernement a mis en place, à la demande du chef de l’Etat, pour nous permettre de sortir de la crise. Le Gabon souffre comme la plupart des pays d’Afrique, des méfaits de la crise internationale. Elle se traduit chez nous par la baisse des cours du pétrole donc une récession économique, plutôt qu’une contraction de la trésorerie.

Il y a aussi, de moins en moins d’argent pour nous permettre de poursuivre les efforts de développement tels que lancés depuis 2015. Il faut rappeler qu’entre 2013 et 2017, nous avons perdu du simple fait de la crise internationale, plus de 1 000 milliards de FCfa. Sur le budget de l’Etat, on avait à l’époque 2 700 milliards de recettes budgétaires pour nous permettre de financer l’action publique. Aujourd’hui on n’en a plus que 1 700 milliards. Il y a nécessité de s’adapter à cette conjoncture qui n’est pas facile, qui n’est pas favorable. Mais l’action publique doit se poursuivre. Et c’est l’objet du Pre qui a identifié les secteurs majeurs qui doivent permettre de booster de nouveau l’économie.

Avec cette érosion des ressources budgétaires, de quelle manière peut-on efficacement redynamiser l’économie?

On redynamise l’économie avec des niches économiques que nous n’avons pas toujours exploitées. C’est le cas de l’agriculture qui se déploie, des services, du tourisme notamment, que nous devons évidemment impulser afin qu’il attire de plus en plus de personnes et participe à la croissance économique. C’est le cas des mines. À ce sujet, il faut rappeler que jusque-là nous avons reçus très peu d’investissements pour la valorisation de notre potentiel minier. Pour coller aux impératifs de la relance économique et surtout de la croissance inclusive au niveau de notre pays, la stratégie est simple. Dans un premier temps, nous devons mieux connaître notre potentiel minier. Nous avons le manganèse ; l’or est aujourd’hui, un potentiel identifié et pour lequel nous avons managé une exploitation industrielle. Mais nous avons également l’orpaillage qui a commencé dans les zones de l’Ogooué-Ivindo dans le Nord, de l’Ogooué-Lolo. Il existe surtout d’autres gisements que nous gagnerons à connaître. 

La connaissance du potentiel peut-elle à elle seule suffire pour créer de la richesse et de la valeur ajoutée dans ce secteur ?

Nous devons accentuer la connaissance de notre cadastre minier. C’est-à-dire où est-ce que nous avons des indices miniers intéressants à valoriser et quelles sont les autres matières que nous gagnons à valoriser. Nous avons un gisement emblématique qui s’appelle Belinga. Un gisement de fer de classe mondiale sur lequel nous sommes en train de travailler afin d’attirer des investisseurs directs étrangers pour nous aider à valoriser ce gisement qui va apporter une grande contribution dans le PIB. Nous avons également aux abords de Lambaréné, le gisement de Maboumine qui est un gisement polymétallique contenant des terres rares, du niobium et un peu d’uranium mais pour lequel nous sommes en train de chercher des partenaires pour le valoriser permettant ainsi à cette partie du Gabon de profiter de l’industrie minière et contribuer à apporter à l’Etat les ressources dont il a besoin pour son développement.

De quoi avez-vous besoin pour accomplir cette tâche?

Nous avons besoin que la mine nous apporte de l’emploi. Et c’est pour cela que nous avons mis en place au niveau de l’Ecole des mines et métallurgie de Moanda un cadre de formation au développement du Gabon mais surtout à l’emploi des jeunes. C’est pour cela que nous invitons la plupart des jeunes à se former parce que le secteur minier a de plus en plus besoin de jeunes qualifiés.

La contribution du secteur minier à l’économie reste marginale. Quelles sont vos ambitions pour augmenter cette contribution ?

On a eu très peu d’investissements dans le secteur minier. La mine pèse à ce jour, un peu moins de 4% du PIB. L’objectif pour nous c’est qu’à terme, c’est-à-dire dans deux ans, on puisse doubler cette contribution ; c’est-à-dire avoisiner 6 à 8% du PIB. Mais le gouvernement ne sera satisfait que si la stratégie mise en place pour le développement du secteur minier amène ce secteur à occuper une place beaucoup plus importante voire une contribution de deux chiffres, d’un peu plus de 10% du PIB. Et c’est ce sur quoi nous travaillons, avec une expertise internationale pour nous aider à mieux connaître notre potentiel minier afin d’en finaliser le cadastre.

C’est également faire venir les investisseurs directs étrangers, qui ont la force du capital, pour aider à investir. Ce qui aura l’avantage de faire rentrer des devises, de participer à la consolidation de nos équilibres macroéconomiques et la monnaie du Gabon. Et surtout, de générer de l’emploi pour les Gabonais, notamment les jeunes.

SeM avec Matin Equatorial

 

Dans le cadre du processus de la mise en œuvre de la Zone de libre-échange en Afrique centrale, une délégation de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC), conduite par Mfoula Marie Thérèse Chantal (photo), secrétaire générale adjointe chargée de l’intégration physique, économique et monétaire, a échangé, ce 25 septembre 2017, avec les autorités tchadiennes.

Cet échange qui s’est déroulé en marge de sa mission de relance du Programme de productivité agricole en Afrique centrale (PPAAC), avec Hamid Koua, ministre tchadien du Commerce et du Développement industriel, a porté sur l’évolution du processus d’insertion dans l’ordre juridique interne par la République du Tchad, des instruments juridiques de commerce afin de permettre à la CEEAC d’opérationnaliser la Zone de libre-échange (ZLE).

Selon la CEEAC, cet entretien avec Hamid Koua s’inscrit dans le cadre de la mise en application des recommandations de sa 7e session extraordinaire tenue les 28 et 29 Avril 2017 à Libreville. Session au cours de laquelle, la CEEAC avait fait un certain nombre d’observations et pris certains engagements.

Ainsi, au cours de cette session, après avoir pris note de l’état d’avancement de la mise en œuvre de ce mécanisme en Afrique centrale, l’institution sous-régionale avait exhorté les Etats membres, surtout pour ceux qui ne l’avait pas encore fait, à redoubler d’efforts et à accélérer les procédures pour l’insertion du Tarif préférentiel de la CEEAC (TP/CEEAC) dans leurs lois de finances.

 

Elle les avait également instruits, à l’effet d’accélérer la mise en place du Mécanisme de financement autonome (CCI), et de comités nationaux d’agrément des produits industriels au TP/CEEAC, afin que la ZLE de la CEEAC soit effective au plus tard, au 31 décembre 2017.

Au terme de cet échange, la partie tchadienne a rassuré la délégation de la CEEAC quant au respect des engagements pris volontairement. Notamment, avec la signature très prochaine de l’arrêté mettant en place le Comité national d’agrément des produits industriels au TP/CEEAC.

Stéphane Billé

 

 

Le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, a pris part ce 26 septembre 2017, aux côtés d’une quinzaine de ses pairs, à la cérémonie d’investiture du nouveau président de la République angolaise, João Manuel Gonçalves Lourenço.

A l’issue de la cérémonie de prestation de serment à laquelle João Manuel Gonçalves Lourenço s’est vu remettre les attributs du pouvoir des mains de son prédécesseur, José Eduardo dos Santos, Ali Bongo Ondimba a chaleureusement salué celui qui, investi pour un mandat de cinq ans, va diriger un pays avec lequel le Gabon entretient d’excellentes relations politiques et diplomatiques.

Lors d’un échange en tête-à-tête, les deux hommes ont évoqué les grands enjeux de la coopération multisectorielle bilatérale, et partagé leurs visions concernant l’intégration économique entre la CEEAC, actuellement sous présidence gabonaise, et la SADC, au sein de laquelle l’Angola côtoie l’Afrique du Sud.

A titre d’exemple de manifestation de cette fructueuse coopération, en août dernier, la ministre angolaise de la Culture, Carolina Cerqueira, reçue en audience par Ali Bongo Ondimba, sollicitait au nom de l’Etat angolais, le soutien des pays de la sous-région, dont le Gabon, pour la valorisation, la protection et la préservation de la cité angolaise de Mbanza Kongo inscrite, en juillet dernier, sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.

Stéphane Billé

Les instances internationales du cyclisme de l’UCI viennent d’officialiser les dates de la prochaine Tropicale Amissa Bongo. Cette compétition qui ouvre le calendrier cycliste international, se déroulera du 15 au 21 janvier 2018.

L’épreuve gabonaise qui fêtera cette année sa treizième édition, retrouve ainsi sa place habituelle dans le calendrier cycliste mondial.

Selon les organisateurs, ces dates qui avaient changé ces dernières années en fonction d’autres évènements sportifs concomitants comme la Coupe d’Afrique des nations de football, seront désormais pérennes puisque le football africain a déplacé son épreuve majeure au mois de juin.

Une fois de plus, la Tropicale Amissa Bongo est ainsi assurée d’être la compétition cycliste d’ouverture de la saison internationale. Et qu’en outre, elle ne manquera pas d’attirer les équipes mondiales en quête de premières confrontations sportives sur les routes ensoleillées du Gabon, face aux meilleures sélections africaines.

Les contours de cette 13e édition seront dévoilés par les organisateurs dans les jours à venir.

Stéphane Billé

Dans le cadre de la maîtrise des dépenses publiques, les autorités gabonaises se sont engagées à instaurer une programmation triennale des investissements publics sur la période 2017- 2019.

Selon le gouvernement, au regard de la situation peu reluisante de l’ensemble des engagements financiers de l’Etat sur les investissements publics, ce nouveau dispositif vise, non seulement une gestion orthodoxe des dépenses d’investissements, mais également une certaine efficacité dans la réalisation des investissements publics.

Pour ce faire, le gouvernement a décidé de procéder à une nouvelle hiérarchisation des investissements. Ce qui nécessitera la prise en compte des critères d’avancement des projets déjà engagés, de l’impact social et économique desdits projets, des équilibres territoriaux, du respect du cadre de préparation des projets (existence d’étude de faisabilité revue par les services de l’Etat, contrôle des prix, appel d’offre public), et du plan de financement attractif.

De manière directe, la programmation triennale des investissements va désormais clarifier et orienter les engagements de l’Etat au titre des investissements publics.

Dans cette optique également, le gouvernement s’engage à réduire le nombre de marchés publics attribués par entente directe. Ils ne devraient plus  atteindre plus de 15% de la valeur globale des marchés publics, comme le prévoit le code des marchés publics. Or, ces dernières années, les ententes directes ont représenté près de 70% de la valeur totale des marchés publics.

Pour atteindre cet objectif, les procédures d’exception et d’urgence, souvent invoquées, vont aussi être mieux précisées et mieux encadrées. Enfin, le seuil de sous-traitance par les PME/PMI dans les marchés publics sera également respecté.

Stéphane Billé  

 

Du 25 au 29 septembre prochain, la Direction générale de la comptabilité publique et du trésor (DGCPT) accueille une mission d’assistance du département du Trésor américain.

Cette délégation composée de Laura Ross et de Michael Ablowich, du bureau d’assurances technique du Trésor américain, a été reçue ce lundi 25 septembre 2017, par Sosthène Ossoungou Ndibangoye, Directeur général de la Comptabilité et du Trésor.

Le programme de cette mission décliné au cours des civilités d’usage avec Sosthène Ossoungou Ndibangoye, est essentiellement axé sur l’optimisation de la gestion et la prévision de la trésorerie.

Mais au-delà des enjeux de cette présente visite, durant les échanges, la délégation américaine a également exprimé sa volonté de multiplier davantage les échanges avec les services du Trésor gabonais dans le domaine des finances publiques.

Selon le programme défini par les deux parties, c’est par les services techniques de la DGCTP que la mission américaine a débuté ses travaux.

Stéphane Billé

Après l’annonce au mois de juillet par le Premier ministre Emmanuel Issoze Ngondet, les villes d’Oyem dans le Nord et de Franceville dans le Sud-Est, ont procédé au lancement du concours national de plan d’affaires (CNPA).

La caravane qui va sillonner les capitales provinciales du pays, du 20 septembre au 7 octobre prochain, entend inculquer aux jeunes la culture entrepreneuriale.

Organisé par le Projet de promotion de l’investissement et de la compétitivité (PPIC), de l’Agence nationale de promotion des investissements du Gabon, le CNPA est une initiative du ministère des PME, qui à travers cet évènement, veut contribuer à la promotion de l’entrepreneuriat, œuvrer à la création de richesses et d’emplois, et lutter contre la pauvreté et le chômage.

Outre le développement de la culture entrepreneuriale, le ministère veut également aider les jeunes à la promotion du leadership des demandeurs d’emploi, en ouvrant l’accès aux informations relatives à la création, la gestion et le développement des entreprises au Gabon.

Il s’agit aussi de les aider à participer à la réduction du taux d’échec des entreprises créées par les jeunes, et de faciliter l’accès aux financements notamment des jeunes filles qui, à l’issue du concours, doivent présenter des projets capables d’absorber une main-d’œuvre composée de 100 demandeurs d’emplois.

Le ministère et ses partenaires garantissent également aux lauréats, un encadrement dans leurs projets tout au long de la phase d’accompagnement.

SeM

La firme argentine Positivo BGH, spécialisée dans la fabrication de matériels et équipements électroniques tels que des ordinateurs portables, des tablettes et des téléphones mobiles, envisage de s’installer au Gabon et de monter une usine de fabrication de produits made in Gabon.

Les responsables du groupe industriel argentin ont eu des entretiens avec des membres du gouvernement notamment le ministre de l’Economie numérique, Alain Claude Bilie-By-Nze et le ministre de la Promotion des Investissements et du Commerce, Madeleine Berre, il y a quelques jours à Libreville.

D’après leurs déclarations, l’implantation de cette usine «passe par un projet d’industrialisation sur le Gabon, ensuite par un transfert de connaissances aux Gabonais ». Il est également question, assure le représentant de la firme, «de pouvoir simplement travailler avec eux de paire, et répondre à leurs besoins à un prix qui soit bien inférieur à ce qu’il y a aujourd’hui sur le marché».

Les responsables du ministère de l’Economie soulignent que le projet de Positivo BGH, s’inscrit dans la droite ligne de la stratégie gouvernementale de diversification de l’économie et de multiplication des sources de croissance.

«Cela cadre non seulement avec notre stratégie de développement mais aussi notre engagement dans l’alliance avec Smart Africa où le Gabon est lié par l’industrialisation et l’innovation.», précise-t-on à la direction générale de l’Economie numérique.

SeM

Le navire hôpital de la marine chinoise, «He Ping Fang Zhou» ou l’Arche de la paix, annoncé en début de ce mois à Djibouti, dans le cadre d’une tournée sur le continent, débarque au Port d’Owendo dans une semaine.

D’après un communiqué du gouvernement, l’hôpital flottant va réaliser des consultations médico-chirurgicales, gracieusement offertes aux populations gabonaises à bord, du 2 au 6 octobre 2017 dans plusieurs spécialités dont la médecine traditionnelle chinoise.

Aussi, les personnes intéressées par les services de l’équipe médicale de l’Arche de la paix, sont-elles appelées à s’inscrire auprès des formations hospitalières partenaires de cette opération.

Pour ce qui concerne les services, les patients auront droit à des examens approfondis ainsi qu’à des soins pointus dans les domaines tels la dermatologie, la pédiatrie, la stomatologie, l’ophtalmologie, l’ORL, ou encore la gynécologie.

L’équipe va également procéder à des chirurgies spécialisées en orthopédie, ophtalmologie, urologie, stomatologie, gynécologie obstétrique. Les 600 médecins et infirmiers de ce bâtiment sanitaire vont également réaliser des examens radiologiques et biologiques.

La présence de cet hôpital flottant chinois répond à un besoin d’offrir aux communautés locales des soins de qualité sans avoir à s’expatrier.

SeM

Pour nous contacter: c o n t a c t [@] lenouveaugabon . c o m

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