Le Nouveau Gabon

Le Nouveau Gabon

Au Gabon, la Gabon Oil Company, société d’Etat en charge de l’exploration et de la production d’hydrocarbures vient d’entrer en possession de sa première licence de production depuis sa création en 2011, dénommée Mboumba. Elle dit espérer profiter de cette opportunité pour générer rapidement des revenus suffisants afin de concurrencer les compagnies internationales dans le domaine de la production de brut.

« Le champ Mboumba a été signé il y a quelques jours avec le ministère en charge du pétrole. Notre stratégie est d’optimiser à travers lui, nos revenus à terre pour générer suffisamment de liquidités, pour que dans deux ou trois ans, nous puissions nous affirmer comme un acteur majeur des découvertes en mer », a expliqué M. Arnauld Engandji-Alandji, le directeur général de la compagnie.

La GOC était jusqu'à présent principalement axée sur la commercialisation de pétrole brut et de pétrole raffiné produit dans le pays.

Le gisement Mboumba qui est situé entre Port-Gentil et Libreville appartenait, il y a encore quelques semaines, à la filiale gabonaise du français Total, qui a dû le retirer de son portefeuille pour mieux faire face aux effets de la crise pétrolière actuelle. Selon un responsable de la société nationale des hydrocarbures du Gabon, le champ génère jusqu’à 1500 barils de pétrole par jour et possède un potentiel gazier intéressant.

Cependant, les autorités n’ont toujours pas évoqué le montant de l’acquisition.

Le pays, récemment redevenu membre de l’OPEP, produit 220 000 barils de pétrole par jour, essentiellement extraits par les compagnies pétrolières internationales : Total et Shell.

 

Olivier de Souza

Organisée au début du mois d’octobre de chaque année, la rentrée judiciaire qui marque la reprise des activités de la justice et qui, par ailleurs, offre ainsi l'opportunité aux magistrats de dresser le bilan de l'année écoulée, mais aussi d'en définir les principales lignes directrices pour l'année qui commence, s’est déroulée en présence du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM).

Dans son discours d'ouverture, la représentante du Ministère public, Henriette Mengue, Commissaire général à la loi, a ainsi attiré l'attention du gouvernement et du Parlement sur la question de l'applicabilité de la loi. Une problématique à laquelle le Conseil d'Etat fait régulièrement face lorsque, faute d'adoption par le gouvernement de textes complémentaires, les citoyens le saisissent pour rentrer dans leur bon droit.

Le premier président du Conseil d'Etat, Martin Akéndengué, a quant à lui, rendu un hommage appuyé au corps judiciaire après avoir rappelé le contexte de violences post-électorales qui a intensifié le travail des juges des tribunaux correctionnels.

Synclair Owona avec la DCP

Outre la particularité que cette 3e édition d’‘’Octobre Rose’’, coïncide cette avec la commémoration du 23e anniversaire de ce concept à travers le monde, l’on note l’entrée dans cette initiative, d’un nouvel acteur majeur, ‘’La Maison D’Alice’’ qui, plus qu’un établissement, constitue un cadre de vie qui offre aux malades, un séjour chaleureux assorti d’un accompagnement approprié.

Le lancement de la présente campagne d’‘’Octobre Rose’’ qui a eu lieu ce lundi 3 octobre 2016, consistera donc à mener, comme lors des précédentes éditions, des campagnes d’informations et de sensibilisation sur le bien-fondé du dépistage précoce du cancer de sein et du col de l’utérus et d’encourager les femmes à s’y soumettre. Il sera outre question, de doter les centres de détection précoces, d’équipements adéquats pour les activités liées à cette campagne ‘’Octobre rose’’.

A travers le message : « Les cancers, parlez-en aux femmes que vous aimez » et dont l’objectif de disséminer le message, le plus largement possible est resté le même, la fondation Sylvia Bongo Ondimba (FSBO) pour la famille, entend susciter une mobilisation nationale contre le cancer, afin de convaincre les femmes sur l’importance du dépistage précoce de ces pathologies, en insistant sur la gratuité de cet acte dans les structures hospitalières dédiées, et de promouvoir le rôle clé que devraient jouer les hommes sur ce sujet.

Pour ce faire, la FSBO, en collaboration avec les personnels de santé, les acteurs économiques, associatifs et institutionnels locaux initie des activités d’informations et de sensibilisation à travers le territoire national.

A l’occasion de la présente édition d’’’Octobre Rose’’, des tests de dépistage gratuits seront effectués sur plus de 12 000 femmes âgées de plus de 25 ans, dont 8000 à l’Estuaire, et le reste dans les provinces du Haut-Ogooué, du Moyen Ogooué, de l’Ogooué-Maritime et du Woleu-Ntem.

La FSBO envisage également de mobiliser près de 200 médecins, gynécologues, sages-femmes et infirmières dans 48 structures de santé, réparties dans cinq provinces et sensibiliser 80 000 personnes.

La cerise sur le gâteau. La prise en charge du malade qui revêt un aspect personnalisé, sera assurée par ‘’La Maison D’Alice’’ en complémentarité avec l’Institut de cancérologie de Libreville qui prodiguera des soins thérapeutiques gratuits. Une gratuité des soins, faut-il le rappeler, est perçue comme une réponse adéquate au difficile contexte socio-économique dont font face, la plupart des patients.

Pour rappel, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba qui fait désormais partie de l’Union internationale contre le cancer (Union for International Cancer Control) est engagée dans la lutte contre le cancer et en particulier, ceux du sein et du col de l’utérus, depuis 2013. L’objectif étant de réduire l’incidence et la mortalité de ces pathologies féminines le plus fréquentes. Depuis 2014, grâce à la FSBO, plus de 27 600 femmes ont pu bénéficier d’un dépistage de ces cancers. Selon les chiffres fournis par l’Organisation mondiale de la santé, au Gabon la probabilité de développer un cancer avant 75 ans est de 9,7%.

Synclair Owona

Avec un prix moyen du baril de Brent (pétrole de référence) inférieur à 50$,  les projets d’investissements non encore approuvés dans le secteur pétrolier amont de la côte ouest africaine, sont devenus économiquement insoutenables, indiquent des données fournies par Rystsad Energy, une firme spécialisée dans l’analyse des opérations liées à l'exploitation des hydrocarbures.

Avec des coûts estimés à près de 80$ par baril, le Nigéria est celui qui présente le pire des profils du point de vue du champ de cette analyse. Il est précédé de la Guinée Equatoriale, du Cameroun, du Gabon, du Ghana et de l'Angola. Cela suppose tout simplement que les investisseurs du secteur pétrolier amont, auront du mal à s'engager sur de nouvelles initiatives de développement des hydrocarbures dans ces pays

Cette situation est très complexe pour l'Angola, le Nigéria mais aussi la CEMAC (communauté économique à laquelle appartiennent le Cameroun, le Gabon et la Guinée Equatoriale), dans le sens où le pétrole joue un rôle important dans leurs positions financières, comptables et commerciales extérieures. Le Nigéria et l'Angola n'en finissent pas de voir leurs économies plonger, plombée par la baisse des revenus et la hausse de l’inflation.

En Afrique centrale la situation reste assez stable, car le rythme de consommation des réserves de change reste assez modéré. Mais le Cameroun qui a parié sur la relance de son secteur pétrolier, risque d'avoir du mal. Entre 2010 et 2015, on a pu constater que  les développements des champs pétroliers en vue d'accroître la production à 100 000 barils, ont entraîné des dépenses associatives d’un peu plus de 1000 milliards de FCFA (1,7 milliard $) de la part de la compagnie nationale pétrolière (SNH).

La récente rencontre extraordinaire des pays membre de l'organisation des exportateurs de pétrole (OPEP) qui fournit près de 40% du pétrole vendu dans le monde, était très attendue des observateurs qui espéraient une réduction de la production des principaux producteurs, avec à la clé une hausse des prix du baril. Mais pour l'instant les accords d’Alger restent à confirmer et leur efficacité, à prouver.

Les prix du pétrole Brut et Brent décolle difficilement des 50$ sur les principaux marchés de matières premières le Brut WTI se négocie même à 48$. Selon Bjørnar Tonhaugen le vice-président des marchés pétroliers chez Rystad Energy, il ne faudrait pas s'attendre à une amélioration des prix avant 2017. Dans son analyse, l'expert estime que le consensus trouvé par l'OPEP ne va pas entraîner une réduction des volumes produits sur le court terme, car des pays comme le Nigéria ou la Libye ont obtenu des dérogations, compte tenu des défis économiques qu'ils affrontent.

Idriss Linge

Carlos Lopès, le secrétaire exécutif de la Commission économique de l'ONU pour l'Afrique, démissionnaire, a estimé, le 30 septembre, que le franc CFA, la monnaie de 14 pays de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique centrale ainsi que des Comores, est un «mécanisme désuet », relançant ainsi le débat sur l’utilité du maintien de cette monnaie créée en 1945.

«Le franc CFA est un mécanisme désuet qui devrait être revu. Aucun pays au monde ne peut avoir une politique monétaire immuable depuis 30 ans. Cela existe dans la zone franc. Il y a donc quelque chose qui cloche», a affirmé le diplomate de l'ONU à quelques heures d'une réunion des ministres des Finances de la zone franc CFA tenue à Paris. «Le mécanisme est devenu désuet et n'est pas adapté à la conjoncture internationale qui est très dynamique», a-t-il ajouté.

Le franc CFA a une parité fixe avec l’euro et les pays de la zone franc ont l’obligation de déposer 50 % de leurs réserves de change auprès du Trésor public français. Selon un rapport de la zone franc, la BEAC (Banque des Etats de l’Afrique centrale) et la BCEAO (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest) disposaient en 2005 de plus de 3600 milliards de francs CFA auprès du Trésor français.

Cet arrimage du franc CFA à l’euro était une garantie de stabilité monétaire dans la zone franc. Mais le système est aussi accusé par certains économistes de freiner le développement de l'Afrique. En effet, les échanges intercommunautaires sont toujours faibles, et la compétitivité est basse à cause de l'arrimage, pensent les opposants à ce système.

Par ailleurs, les pays de la zone franc ne disposent pas des 3600 milliards de francs CFA (environ 72 milliards d’euros) confiés au titre de dépôts auprès du Trésor public français, pour financer leur développement.

Après plusieurs années de soldes budgétaires excédentaires, laissant une large part à l’investissement public, les autorités gabonaises ont dû s’adapter à la conjoncture liée à la baisse des revenus pétroliers.

L’une des options choisies a été le recours à l’endettement public et aux avances statutaires de la Banque centrale (BEAC). Suite à trois opérations d’endettement public en 2015, l’encours de la dette publique qui était de 16.5 % du PIB en 2011, puis de 27.6 % en 2013, est passé à plus de 40 % du PIB en janvier 2016. Au titre de ces engagements on peut, entre autres citer :

- Un emprunt de 30 milliards XAF en avril 2015, sur le marché régional de la CEMAC, avec un taux d’intérêt de 5.3 % par an.

- Une émission d’eurobonds à hauteur de 500 millions USD en juin, soit près de 289 milliards XAF, avec une maturité de dix ans au taux de 6.95 %.

- Un emprunt obligataire de 80 milliards XAF en septembre 2015, au taux d’intérêt de 6 % pour une maturité de cinq ans.

Selon le Directeur général de la dette, Thierry Minko : « La stratégie d’endettement développée par la Direction générale de la dette sous conduite du ministère de l’Économie, intègre totalement les stratégies économiques et budgétaires de l’État».

Toutefois, soulignent les observateurs, il sera important de garder un profil d’endettement prudent dans les prochaines années, pour s’assurer du caractère soutenable de la gestion de la dette. Dans ce cadre, les autorités gabonaises ont annoncé leur intention de revenir progressivement à un ratio d’endettement de 35 % du PIB d’ici 2020. Elles tablent à cet effet sur la croissance rapide du secteur hors-pétrole, pour contribuer à la bonne santé économique et financière du pays.

 

Synclair Owona

La direction générale des Caisses de stabilisation et de péréquation (Castaib) vient de fixer les prix d’achats du kilogramme (Kg) de cacao et de café au stade planteur, pour la campagne 2016-2017.

A cet effet, le prix du café coque est de 550 FCFA, le Kg. Celui du cacao grade 1 est fixé à 1100 FCFA. Le cacao de grade 2, lui sera vendu à 800 FCFA.

Les campagnes cacaoyères et caféières 2016-2017 sont ouvertes depuis ce 1er octobre 2016. L’ambition du Gabon est de produire 1000 tonnes de café robusta à l’horizon 2020. Le pays est parti de plus de 1000 tonnes à la fin des années 70 pour un peu moins de 100 tonnes actuellement. Pour le cacao, le Gabon produisait près de 7000 tonnes à la fin des années 70. Aujourd’hui, cette production est de 500 tonnes. L’objectif est de remonter ne serait-ce qu'à 5000 tonnes de cacao à travers un plan de relance étalé sur 5 ans.

Ismaël Ondias Soun, le directeur général de la Castaib a déclaré à cet effet à la presse en avril dernier qu’en collaboration avec le ministère en charge de l’Agriculture, une réorganisation de la filière Café-cacao est en cours. « Nous avons, par exemple, ensemble réfléchi sur les moyens à mettre en œuvre afin que les planteurs gabonais puissent évoluer en coopérative pour le souci d’une plus grande efficacité.», a affirmé Ismaël Ondias Soun.

 

S.A

En septembre 2011 à Nkok (27 km de Libreville), le gouvernement a inauguré le lancement des travaux d’aménagement de la Zone économique à régime privilégié (Zerp) qui, selon l’autorité administrative de la zone, comptabilise en septembre 2016, 2948 emplois créés, dont près de 70% occupés par des Gabonais.

L’autorité administrative indique aussi que la Zerp compte 18 opérateurs en production. 9 sont dans le secteur du bois (1er, 2ème et 3ème transformation), 5 dans la sidérurgie-métallurgie (fer à béton, billettes, laiton, lingots d’aluminium etc.), 2 dans la chimie hors pétrole (gaz industriel et médical, batteries pour véhicules) et 2 dans les matériaux de construction (briques industrielles et béton). S’agissant de l’agroalimentaire, des investisseurs brésilien et indien se lanceront prochainement dans la production des produits laitiers et de la chaire de poulet.

L’année 2015 a marqué par le renforcement des capacités du Guichet unique de l’AAN (Autorité administrative de la Zerp de Nkok) avec une dizaine d’administrations publiques qui s’ajoutent aux bureaux déjà représentés pour le total à 17.

Au cœur de la zone économique, cette administration est devenue le bras séculier de l’Etat. Elle offre aux opérateurs un service d’accompagnement centralisé, de la création des entreprises à leur entrée en production. En septembre 2015, la Zerp a été primée par Financial Times Magazine comme 2ème zone franche la plus prometteuse en Afrique subsaharienne.

Sylvain Andzongo

Quelques semaines après le lancement de son enquête de satisfaction interne qui visait à identifier les meilleurs moyens pour favoriser l'implication des salariés du Groupe dans les projets mis en oeuvre au bénéfice de nos communautés d'accueil, l’analyse des résultats a permis à la Fondation BGFIBank de dresser un bilan positif.

Ce bilan traduit l'implication croissante des salariés du Groupe BGFIBank dans les projets qu'elle met en oeuvre. C'est fort de leurs recommandations que la fondation a conçu le programme "Act". Selon la fondation, « l'engagement de l'ensemble des collaborateurs du Groupe au service des missions d’intérêt général constitue un levier important dans l'expression de la responsabilité sociétale du Groupe BGFIBank vis-à-vis de ses communautés. »

Le programme "Act" est un programme de mécénat participatif qui offre à l'ensemble des salariés du Groupe un socle commun d'intervention. Il leur permet de partager les valeurs de solidarité du Groupe BGFIBank en s'impliquant davantage dans sa politique de mécénat. Les salariés sont invités à mettre à profit leur temps, leur expérience et leurs compétences, au service de la communauté dans l'ensemble des 11 pays d'implantation du Groupe. «  Nous pensons que chacun peut et doit contribuer à cette dynamique positive, afin qu'elle s’impose comme une norme absolue au sein de notre Groupe. », estime Henri Claude Oyima (photo), président de la Fondation BGFIBank.

Le programme "Act" comporte 4 projets dédiés, détaillés dans une brochure distribuée à l'ensemble des salariés : BGFIVolonteer, BGFIMentor, BGFIDay et BGFIStart.

Le projet "BGFIVolonteer" donne aux salariés l'occasion d'apporter leur soutien à des structures associatives pour répondre à des problématiques d'intérêt général. Le projet "BGFIMentor" donne la possibilité aux salariés volontaires d'accompagner des étudiants dans l'élaboration de leurs projets professionnels, toute au long de leur formations académique. A travers ce projet, la Fondation BGFIBank encourage le tutorat professionnel des étudiants méritants issus, entre autres, de milieux défavorisés. Le projet "BGFIDay" donne l'opportunité à l'ensemble des salariés du Groupe de s'organiser en équipe, au sein de leur filiale, pour mettre en oeuvre des projets au bénéfice de leur communauté d'accueil. Enfin, le projet "BGFIStart" permet à chaque salarié du Groupe d'identifier et de soutenir un projet porté par une association, dans le domaine de l'éducation et de la formation.

Les services du Premier ministre gabonais Emmanuel Issoze Ngondet (photo) ont tenu le délai annoncé et fait part de la composition du nouveau gouvernement, confirmée par décret du Président de la République.

« Lors de ma toute première communication à la presse, mercredi dernier, j’avais promis de rendre publique la composition du nouveau Gouvernement ce dimanche 2 octobre 2016. Cette équipe comprend naturellement des personnalités appartenant à la majorité, mais aussi des membres de l’opposition, ainsi que de la société civile. Elle compte un peu plus de 30% de femmes, et a été renouvelée de moitié par rapport à l’équipe précédente. » a déclaré M. Issoze Ngondet dans un communiqué.

 

1. Premier Ministre, Chef du Gouvernement

M. Emmanuel ISSOZE NGONDET

 

2. Vice-premier Ministre, Ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat social et du Logement

M. Bruno BEN MOUBAMBA

 

3. Ministre d’Etat, Ministre du Développement social et familial, de la Prévoyance sociale et de la Solidarité nationale

M. Paul BIYOGHE MBA

 

4. Ministre d’Etat, Ministre des Infrastructures, des Travaux publics et de l’Aménagement du territoire

M. Jean-Pierre OYIBA

 

5. Ministre d’Etat, Ministre des Affaires étrangères, de la Francophonie et de l’Intégration régionale, chargé des Gabonais de l’étranger

M. Pacôme MOUBELET BOUBEYA

 

6. Ministre d’Etat, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres

M. Denise MEKAM'NE, épouse TATY

 

7. Ministre d’Etat, Ministre de l’Eau et de l’Energie

M. Guy-Bertrand MAPANGOU 

 

8. Ministre d’Etat, Ministre de l’Economie numérique, de la Communication, de la Culture et des Arts, Porte-parole du Gouvernement

M. Alain-Claude BILIE-BY-NZE

 

9 – Ministre d’Etat, Ministre des Relations avec les institutions constitutionnelles, chargé du dialogue politique

M. Francis NKEA

 

10 – Ministre de l’Economie, de la Prospective et de la Programmation du développement

M. Régis IMMONGAULT TATAGANI

 

11 – Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République, chargé de la Défense nationale

M. Etienne MASSARD KABINDA MAKAGA

 

12 – Ministre de l’Economie forestière, de la Pêche et de l’Environnement, chargée de la protection et de la gestion durable des écosystèmes

M. Estelle ONDO

 

13 – Ministre de la Justice, garde des Sceaux, chargé des droits humains

M. Alexis BOUTAMBA

 

14 – Ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation technique et professionnelle et de l’Insertion des jeunes

M. Eloi NZONDO

 

15 – Ministre de la Santé publique et de la Population

M. Léon NZOUBA

 

16 – Ministre du Pétrole et des Hydrocarbures

M. Etienne Dieudonné NGOUBOU

 

17 – Ministre de l’Egalité des chances

M. Blaise LOUEMBE

 

18 – Ministre de la Promotion des investissements privés, du Commerce, du Tourisme et de l’Industrie

M. Madeleine BERRE

 

19 – Ministre des Transports et de la Logistique

Mme Flavienne MFOUMOU ONDO

 

20 – Ministre des Mines

M. Christian MAGNAGNA

 

21 – Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, chargé de la mise en œuvre du programme Graine

M. Yves Fernand MANFOUMBI

 

22 – Ministre du Budget et des Comptes publics

M. Mathias OTOUNGA OSSIBADJOUO

 

23 – Ministre de la Promotion des petites et moyennes entreprises, chargé de l’entrepreunariat national

M. Biendi MAGANGA MOUSSAVOU

 

24 – Ministre de la Réforme de l’Etat

M. Joël PONO OPAPE

 

25 – Ministre de l’Education nationale et de l’Education civique

M. Florentin MOUSSAVOU

 

26 – Ministre de la Jeunesse et des Sports

Mme Nicole ASSELE

 

27 – Ministre de la Fonction publique

M. Jean-Marie OGANDAGA

 

28 – Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité et de l’Hygiène publiques, chargé de la décentralisation et du développement local

M. Lambert MATHA

 

29. Ministre déléguée auprès du Vice-premier Ministre, Ministre de l’Urbanisme, chargée de l’habitat social et du logement

Mme. Edwige ESSOUKOU, épouse BETHA

 

30. Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat, Ministre des Affaires étrangères, chargé de l’intégration régionale et des Gabonais de l’étranger

M. Calixte NSIE EDANG

 

31. Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat, Ministre de l’Economie numérique, de la Communication, chargé de la culture et des arts

M. Olivier KOUMBA MBOUMBA

 

32. Ministre déléguée auprès du Ministre du Travail, chargée de la formation technique et professionnelle

Mme. Patricia TAYE

 

33. Ministre délégué auprès du Ministre du Budget, chargé des comptes sociaux

M. Guy-Maixent MAMIAKA

 

34. Ministre délégué auprès du Ministre de l’Economie, chargé de la prospective et de la programmation du développement

M. Pascal HOUANGNI AMBOUROUE

 

35. Ministre délégué auprès du Ministre du Budget, chargé du budget et du financement des pensions

M. Noël MBOUMBA

 

36. Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Economie forestière, chargée de la pêche

Mme. Chantal MEBALEY

 

37. Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Agriculture, chargée de l’agro-industrie

Mme. Françoise ASSENGONE OBAME

 

38. Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Intérieur, chargée de la décentralisation et du développement local

Mme. Lucienne OGOUWALANGA AWORE

 

39. Ministre déléguée auprès du Ministre de la Promotion des investissements privés, chargée du tourisme et de l’industrie

Mme. Irène LINDZONDZO

 

40. Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Education nationale, chargée de l’enseignement primaire

Mme. Lucie AKALAN

Pour nous contacter: c o n t a c t [@] lenouveaugabon . c o m

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