Le Nouveau Gabon

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Le directeur général de l’Agence pour la sécurité alimentaire (Agasa), Sylvain Patrick Enkoro, a mis fin à l’emballement médiatique et des réseaux sociaux sur la présence du riz plastique sur le marché gabonais. Au cours d’un point de presse, ce 12 juin, il a révélé les «vérités scientifiques» de ce qui s’apparente désormais à une affaire.

Deux séries de tests ont été réalisées selon l’Agasa sur différentes marques de riz pour parvenir à ce résultat. La première a été réalisée sur 41 échantillons de riz de différentes marques commercialisées au Gabon.

La deuxième série de tests portait sur des analyses physico-chimiques approfondies qui ont permis de rechercher des contaminants environnementaux, des agents pathogènes ainsi que des résidus chimiques dans 72 échantillons prélevés sur 46 marques de riz dans un laboratoire national d’analyse et de contrôle sénégalais certifié ISO/CEI 17025.

Ces deux séries d’analyses ont révélé l’absence de non-conformités portant sur la qualité et la sécurité sanitaire du riz commercialisé sur le sol gabonais.

«Les résultats des analyses de laboratoires qui confirment, à bien des égards, ceux des analyses sensorielles, sont sans appel : toutes les marques de riz actuellement distribuées en République gabonaise ne contiennent pas de traces de matières plastiques et sont à tout point de vue consommables en toute sécurité. Par conséquent, non préjudiciables à la santé des populations et propres à la consommation humaine selon l’usage prévu», explique le directeur général.

«A l’exception d’une dépréciation marginale du riz de marque KT-Rice en provenance du Vietnam, le riz vendu sur le marché local est sain et conforme à la réglementation.», a conclu le responsable.

SeM

La Société d'exploitation du Transgabonais (SETRAG) vient d’acquérir une nouvelle rame de neuf voitures. Dans ce lot, quatre voitures sont de première classe, avec 54 sièges chacune, dans une configuration 2 + 1, tandis que cinq sont équipées comme des voitures de seconde classe avec 84 sièges disposés 2 + 2.

Cette nouvelle acquisition dont l’investissement s’élève à environ 4,592 milliards de francs, vient renforcer le parc des machines vieillissant. Tout comme elle va permettre d’améliorer le confort et la sécurité des voyageurs à bord des trains.

La livraison de ces équipements s’est effectuée, le week-end dernier au port d’Owendo, en présence des responsables de SETRAG, qui ont réceptionné ce premier lot. Lequel fait partie d’une commande de 20 voitures voyageur modernes.

Un autre lot de 11 voitures rénovées devrait suivre d'ici la fin de 2017, dont les deux premiers et quatre voitures de seconde classe, trois voitures restaurant avec kitchenette et deux voitures VIP.

Pour la maintenance, le personnel de la SETRAG s’est rendu en Roumanie pour la formation et la familiarisation avec ces nouveaux équipements.

Pour le directeur général de la SETRAG, Patrick Claes, «cette acquisition s’inscrit dans le renouveau du Transgabonais, et divers autres investissement dans le domaine de la maintenance et de l’entretien de la voie sont prévus cette année».

Cette acquisition a été possible grâce aux financements octroyés l’an dernier, par la Société financière internationale de la Banque mondiale et l'Agence française de développement, pour accroître les capacités, l'efficacité et la fiabilité du réseau ferroviaire gabonais ainsi que l'acquisition du nouveau matériel roulant.

Stéphane Billé

Le 12 juin dernier, le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, a conduit une forte délégation des membres du gouvernement à la ‘’Maison d'Alice’’ d'Angondje, banlieue située au nord de Libreville.

Cette visite avait pour objectif d'examiner les modalités pratiques, la nature de l'appui que le gouvernement peut apporter à cette structure hospitalière qui accueille les malades atteints de cancer, et enfin, mesurer l'importance de l'investissement nécessaire dans la lutte contre cette maladie.

Rappelons que la ‘’Maison d'Alice’’ est une initiative de la Fondation Sylvie Bongo Ondimba pour la Famille (FSBO). Elle a été construite en l’honneur de la première patiente gabonaise à avoir été traitée en radiothérapie à l’Institut cancérologique de Libreville (ICL).

Sa construction procède du souci d’accueillir les patients venus des zones reculées de la capitale ou du pays, et ne disposant pas d’options d’hébergement à proximité ou de moyens de transport pour suivre leur traitement en continu à l’ICL. Elle accueille, prend en charge et forme les personnes atteintes du cancer, notamment du col de l'utérus et du sein.

Outre l’hébergement en pension complète du patient, la ‘’Maison d'Alice’’ offre également un accompagnement social et psychologique afin d’aider le patient à supporter le traitement et ses effets secondaires, et à comprendre la maladie pour améliorer ses chances de guérison.

L’objectif étant de réduire l’incidence et la mortalité de ces pathologies féminines le plus fréquentes. Depuis 2014, grâce à la FSBO, plus de 27 600 femmes ont pu bénéficier d’un dépistage de ces cancers. Et selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé, au Gabon, la probabilité de développer un cancer avant 75 ans est de 9,7%.

Stéphane Billé

La quatrième édition de la compétition nationale, organisée par Junior Achievement Gabon et ses partenaires a rendu son verdict les 9 et 10 juin dernier, dans les catégories ‘’Mini-entreprise’’ et ‘’Its Tyme’’ et ‘’Yep’’. Sur les 78 projets mis en compétition, neuf lauréats, soit trois dans chaque catégorie, ont ainsi été primés pour l’originalité et la pertinence de leurs projets.

Dans la catégorie ‘’Mini-entreprise’’ qui comptait 22 équipes, le premier prix, d’une valeur d’un millions de francs offert par Citibank, est revenu au Lycée Paul Emane Eyeghyé (Oloumi), pour son projet ‘’Recycling Industry’’ spécialisé dans la confection de poufs faits avec des matériaux recyclables.

Le deuxième prix a été décerné au collège Mabignath, pour la fabrication de gommes ‘’Irhone ‘’, les lauréats ont reçu un bon d’achat de 500 000 francs offert par Axa Gabon.

Quant au troisième prix, il est revenu au collège Quaben pour ‘’Eco-Déco’’, tableaux en 3D. Les heureux élus ont eu droit à 5 tablettes offertes par Airtel Gabon.

Pour la catégorie ‘’Its tyme’’, les lauréats ont, également été récompensés à la hauteur de leur talent. Avec quarante-trois projets en compétition, les jeunes déscolarisés d’Oyem (chef-lieu de la province du Woleu-Ntem), ont décroché le premier prix, grâce à leur projet ‘’Strag Alimentation’’, conçu pour la transformation de l’arachide. Ils se sont ainsi adjugé une enveloppe de 500 000 francs.

La deuxième marche du podium est revenue à ‘’Compro Restaurant’’, qui est récompensé à hauteur de 300 000 francs. Et la troisième place revient à ‘’Magic Citron’’ pour une valeur de 200 000 francs.

Enfin la catégorie ‘’Yep’’, qui fait son entrée pour la première fois dans la compétition nationale, a également fait d’heureux gagnants avec 8 projets en compétition. Sur les trois lauréats de cette catégorie, deux proviennent de Franceville. Le premier prix a été attribué à ‘’STPA Agriculture’’, de l’USTM pour la fabrication de farine panifiable fait à base de manioc. Son montant avait une valeur de 500 000 francs. Le deuxième prix est revenu à ‘’SEM Gabon’’, tandis que le troisième a été décerné à ‘’TROK’ Africa’’. Ces deux derniers prix avaient une valeur respective de 300 000 francs et 200 000 francs.

Pour rappel, les 1er prix des catégories ‘’Its tyme’’ et ‘’Mini-entreprise’’ représenteront officiellement le Gabon à la compétition continentale africaine, qui aura lieu du 6 au 8 décembre 2017 à Johannesburg en Afrique du Sud.

Au terme de cette édition, Radia Garrigues, directrice exécutive de JA Gabon n’a pas manqué de situer les enjeux de cette compétition. « Chaque année dans chaque pays où Junior Achievement est installé on réalise une compétition nationale pour clôturer nos programmes d’entreprenariat et d’éducation financière. On reçoit tous les jeunes qu’on a formé dont beaucoup de jeunes de province cette année pour pitcher devant un jury de professionnels et ça nous permet d’avoir les meilleurs projets qui représenteront le Gabon en décembre prochain à Johannesburg à la compétition africaine», a-t-elle expliqué.

Pour le ministre des PME chargé de l’entreprenariat national, Biendi Maganga Moussavou «L’enjeu d’une telle compétition c’est de soutenir la diversité de notre économie. Nous avons une crise qui frappe des entreprises dans plusieurs pays dans le monde. Face à la crise la vie ne s’arrête pas, on continue de faire des recherches pour trouver des solutions et la solution passe par des secteurs privés qui se développent et l’entreprenariat des jeunes est très important dans cette logique. Nous comptons beaucoup sur les jeunes pour relever le défis pour apporter une contribution importante à la croissance de notre économie.», a-t-il conclu.

Stéphane Billé

Le ministre de l’Agriculture Yves Fernand Manfoumbi veut travailler en faveur de la diversification de l’économie, tirer la croissance vers le haut, et générer davantage d’emplois en faisant de l’agriculture un secteur clé de l’économie.

Il a fait part de cette ambition du gouvernement aux bailleurs de fonds et partenaires techniques du Gabon, au cours d’une séance de travail qu’il a eue, à son cabinet, ce 12 juin, avec l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), l’Agence française de développement (AFD), la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) ainsi que la Banque mondiale.

Pour lui, il s’agit de créer des revenus de l’ordre de 600 milliards de Fcfa en accentuant et en développant les filières d’exportation que sont les fruits et légumes, le cacao, le café, le palmier à huile, l’hévéa, les céréales et le poisson. Ce qui va conduire le pays à garantir sa sécurité alimentaire. Cela passera par la réponse aux besoins et habitudes alimentaires des populations, assurés grâce à la production locale.

Un accent doit également être mis sur la valorisation du potentiel agricole et l’augmentation des surfaces cultivables. Tout ceci en ayant à l’esprit le respect des axes prioritaires du Plan stratégique Gabon émergent dans ce volet.

SeM

Le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, et une délégation de la confédération patronale du Gabon (CPG) dirigée par Alain Bâ Oumar, ont échangé au sujet de la situation des créances des entreprises en souffrance au trésor public.

Avec les ministres de la Justice, de la Promotion des Investissements, des PME et du ministre délégué à l’Economie, les deux délégations ont passé au peigne fin, toutes les questions relatives à la dette ainsi qu’à son chronogramme d’apurement.

Le président de la confédération patronale du Gabon a proposé que des engagements supplémentaires soient pris par le gouvernement afin d’accompagner les entreprises dans leur rôle de moteur de croissance économique et de création de richesse.

Pour le chef du gouvernement, le plan de relance économique constitue un moyen efficace de soutien à l’attractivité de l’économie nationale, pour la création des emplois et de la richesse, ceci malgré un contexte socio-économique particulièrement difficile.

Aussi, a-t-il invité les chefs d’entreprise à privilégier la voie du dialogue et de la négociation pour apaiser les tensions sociales, de plus en plus récurrentes dans leurs entreprises.

Au dernier rendez-vous entre le gouvernement et le patronat qui avait donné lieu à la signature d’un accord le 24 octobre 2016, un chronogramme d’apurement de la dette intérieure avait été arrêté. Chaque année, à partir de 2017, le gouvernement et le patronat étaient tombés d’accord sur le versement de 20 milliards Fcfa comme acompte pour rembourser progressivement les sommes dues aux sociétés concernées. Ce chronogramme arrêté de commun accord prévoyait une liquidation desdites créances au bout de cinq ans, soit en 2022. Elles étaient arrêtées après audit, à la date de décembre 2014, à la somme de 100 milliards de Fcfa et n’intégraient pas les arriérés de 2015.

SeM

 

Dans sa publication d’avril 2017, le Groupe d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique centrale (Gabac) a répertorié onze typologies de financement avéré du terrorisme dans la sous-région.

La première typologie est relative à l’utilisation abusive des organismes à but non lucratif. A partir de cas de figure, explique le Gabac, cela donne « une idée de la variété des formes d’abus auxquels les terroristes et leurs financiers soumettent des organisations conçues généralement pour atténuer les difficultés auxquelles les couches vulnérables de la société sont confrontées ».

La seconde typologie, elle, est liée aux sociétés de transfert de fonds. Ici, estime le Groupe d’action, la messagerie financière constitue jusqu’à ce jour l’un des maillons faibles des dispositifs internationaux de lutte contre le financement du terrorisme. Ceci, parce qu’elle permet aux acteurs non connus des établissements financiers (clients occasionnels) de déplacer aisément des fonds partout dans le monde.

Le Gabac note en troisième position, le couvert d’établissements financiers à travers lesquels, les opérations de change manuel constituent l’une des principales vulnérabilités en matière de financement du terrorisme. Du fait notamment de l’utilisation des devises dans les transactions commerciales internationales (achat des armes) et de la facilité à déplacer des sommes importantes dans des volumes très réduits (utilisation des coupures de 500 euros).

Au quatrième rang, figure les trafics illicites. Cette typologie est essentielle à la compréhension des spécificités du terrorisme et de son financement dans le bassin tchadien. Car, elle est au cœur de la relation entre traditions économiques et pratiques criminelles.

Le cinquième cas de figure est le financement par des opérateurs économiques. « Le faible contrôle des véhicules et la multiplicité des routes de contrebande facilitent le trafic des armes qui, en l’occurrence, sont livrées en petites quantités à Boko Haram par l’entremise des opérateurs illégaux du secteur du transport transfrontalier », révèle le Gabac.

Le Groupe d’action poursuit son repertoire avec la collecte et la remise de fonds. Car, malgré les risques encourus du fait de l’insécurité due à la fréquence des attaques à main armée, les opérateurs économiques ont continué à transporter des sommes importantes d’argent. Ce sont des fouilles fortuites, systématisées à cause de Boko Haram, qui amènent à découvrir des caches d’argent dans les marchandises, tout comme c’est le cas avec les armes et les munitions.

Les typologies sept et neuf se regroupent puisqu’elles concernent l’extorsion de fonds qui se manifeste par le paiement des rançons.

Une autre méthode concerne des personnes politiquement exposées. Les cas recensés concernent des mécanismes de financement des actes terroristes par des hommes politiques, en vue d’en tirer des ressources importantes pour se positionner et se maintenir en politique, ou pour influencer la politique intérieure d’un gouvernement. L’avant-dernier moyen utilisé inclut les embuscades et pillages. C’est ici le lieu de rappeler qu’à mesure que les effectifs de Boko Haram grossissent, les recrues sont obligées de s’autofinancer à partir du butin issu des attaques.

Enfin, le Gabac a répertorié la criminalité faunique. L’on est en présence de prélèvements massifs des groupes armés sur les ressources naturelles et les espèces protégées. La détermination des braconniers est à la mesure de leurs modes opératoires qui impliquent la mobilisation de petites armées et l’usage d’armes de guerre.

Sylvain Andzongo

47%. C’est l’un des plus mauvais taux de couverture des titres mis en adjudication par le Gabon depuis le début de l’année 2017, sur le marché de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac).

En effet, le 7 juin dernier, l’Etat gabonais recherchait un montant initial de 10 milliards de FCFA. Mais au final, la direction générale de la Comptabilité publique et du trésor annonce que seulement 4,7 milliards de FCFA ont pu être levés. Le taux minimum d’intérêt proposé aux souscripteurs était de 4,95% et le maximum, 5,5%. Ce qui n’a tout de même pas attiré beaucoup d’investisseurs. A preuve, l’on a eu juste un taux de couverture de 47%.

Et pourtant, lors de la séance d’adjudication du 31 mai dernier sur ce même marché de la Beac, les souscripteurs se sont bousculés. Le Gabon recherchait alors un montant initial de 9 milliards de FCFA et il a pu lever 12,2 milliards de FCFA. Soit un taux de couverture de 135,55%. Le taux d’intérêt minimum proposé aux souscripteurs était de 4,8% et le maximum, 5,75%.

Même l’adjudication du 10 mai n’a pas été aussi mauvaise que celle du 7 juin. Ce 10 mai-là, le trésor gabonais voulait lever 8,5 milliards de FCFA. C'est finalement 6 milliards de FCFA qui ont été servis. Soit, une couverture du montant mis en adjudication de 71,2%. Le taux minimum proposé était de 5,25% et le maximum, 5,6%.

SA

Les responsables de la direction générale de l’énergie du ministère de l’eau et de l’énergie indiquent que la demande nationale en énergie électrique enregistrera une croissance de 400MW d'ici à 2018. Face à cette augmentation des besoins, les autorités ont entrepris de diversifier leurs partenaires et de densifier les opérateurs pouvant aider à juguler cette demande.

C’est dans cette optique que la compagnie turque Aksa, l’un des plus grands groupes d’équipements électriques et électroniques de ce pays, a annoncé la construction prochaine d’une centrale à gaz à Ntoum, située à une trentaine de kilomètres dans la périphérie de Libreville.

D’autres entreprises, comme la société danoise Vestas Wind Systems, spécialisée dans la fabrication d’équipements électriques éoliens, envisagent de venir s’installer au Gabon et de produire de l’énergie électrique à base du potentiel hydraulique qu’offre le pays à partir de son littoral.

Dans ce lot d’entreprises, on retrouve également des fonds d’investissements, à l’instar de celui des Emirats arabes unis qui veulent engager une mission d’exploration au Gabon dans les jours à venir.

SeM

Deux jours après le lapsus de Wivine Ovandong (photo), présentatrice de la télévision publique gabonaise ayant annoncé par erreur la mort du président du Gabon, Ali Bongo, la direction de ladite chaîne a annoncé samedi avoir suspendu la journaliste fautive.

L'affaire a commencé dans l'édition du journal télévisé de 23 h, jeudi 8 juin, jour du huitième anniversaire de la mort de l'ex-président Omar Bongo Ondimba, décédé à Barcelone en 2009 après 42 ans au pouvoir.

« Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, s'est éteint à Barcelone en Espagne», s’est trompé la présentatrice qui a toutefois mentionné dès la phrase suivant les documentaires « dans le cadre de la commémoration du huitième anniversaire de son décès … ».

La vidéo a fait le tour des réseaux sociaux, les internautes ont qualifié cette bévues de « lapsus inacceptable ».

La présentatrice a été suspendue de la présentation du journal télévisé "à titre conservatoire", a affirmé le directeur général de Gabon Télévision, Mathieu Koumba, qui a préciser qu’il « faut la protéger aussi, car les réseaux sociaux s'en sont donnés à cœur joie ».

Par ailleurs, Mathieu Koumba indique que «cette faute professionnelle a conduit donc la direction de Gabon Télévision à présenter ses regrets et ses sincères excuses au Président de la République, à sa famille ainsi qu’au peuple gabonais». Ajoutant en outre, que « des mesures disciplinaire ont été prises en lien avec la gravité du fait incriminé ».

Pour nous contacter: c o n t a c t [@] lenouveaugabon . c o m

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